Bonjour, je m’appelle Eric. J’ai 32 ans. Ma femme est une blonde ravissante du même âge. Toutefois, comme beaucoup d’hommes, je fantasme sur les jeunes Africaines : Ghanéennes, Nigérianes, Sénégalaises… Je trouve qu’elles ont les sexes les plus spectaculaires et les sécrétions les plus abondantes qu’on puisse imaginer . A mes yeux, elles symbolisent le nec plus ultra de la féminité. Leurs vulves noires distillent comme un philtre d’amour qui m’enivre et dont je suis devenu l’esclave, comme d’une drogue. Il y a aussi la senteur envoûtante de l’entrecuisse : ce parfum de cyprine sauvage et l’odeur raffinée des baumes mystérieux dont elles enduisent leur peau de leurs doigts fins et déliés. Souvent, je vais travailler sur des chantiers en Afrique, terre nourricière de ces créatures de rêve. J’en profite rencontrer quelques unes de mes idoles. Dans une métropole comme Dakar, elles agrémentent de leur charme fou les lieux les plus ordinaires : une échoppe de tissus, le vieux bureau d’une administration surannée, les queues interminables des séances nocturnes de cinéma. A leur beauté naturelle, elles allient une gentillesse familière. Une simple parole, un éclat de rire et l’on fait tout de suite connaissance. Elles ont pour noms Issatou, Frédérique ou Samantha. On parle de leur vie autour d’un verre, dans l’un de ces bars minuscules qu’encombrent d’énormes frigos. Certaines sont déjà mamans, la plupart ont un petit ami, toujours leur manque l’argent du mariage, fastueuse cérémonie qui réjouira le village trois jours durant. Elles habitent les banlieues lointaines, sous la tôle surchauffée. Le Sheraton où je suis descendu leur est un Paradis inconnu. En général, elles m’y escortent avec joie, à cause du restaurant chic ou de la boîte branchée mais surtout, à cause de la chambre climatisée. Toutes succombent à ce luxe inouï, dussent-elles me remercier d’une faveur dont elles sont d’abord insouciantes. A vingt ans, elles ne sont plus vierges depuis longtemps. Au service de leur famille jusqu’au mariage, elles s’adonnent aux tâches ménagères mais aussi, se donnent sans façons aux cousins ou à quelque tonton protecteur, dans un esprit communautaire exempt de malice. Il s’agit de relations frustres qui préservent chez elles une pruderie surprenante. Elles se cachent pour se dévêtir et font l’amour dans le noir, sous le drap. Emane de ces déesses une impression d’innocence qui me charme.
Aline avait le ventre qui s’arrondissait, ce dont elle était fière. Elle portait une jupe en madras qui virevoltait et un fin chemisier blanc. Dans le taxi qui nous avait conduit à l’hôtel, j’avais aperçu sa culotte, en cotonnade toute simple. J’adore quand ces filles mettent des sous-vêtements de coton. On devine à travers le tissu leur toison crépue. L’étoffe retient leurs effluves. J’assois mes visiteuses sur le lit et je les hume à pleine narine, la tête sous la jupe. Ca les offusque parfois mais, la plupart du temps, elles s’amusent simplement de mes manières exotiques. Les crèmes qui leur huilent l’épiderme, la transpiration d’une journée en ville, une goutte d’urine aigrelette, quelques pertes vaginales… j’en jouirais presque ! Naïves, elles n’imaginent pas mon excitation ! Quand j’ai prié Aline de montrer sa culotte, elle est devenue rouge à souhait. Je l’ai reniflée tout mon saoul, le nez dans ses jambes écartées. Est montée en moi cette espèce d’ivresse que je recherche et qui m’ensorcelle. Je me suis levé pour déboutonner son corsage de mes doigts fébriles. J’ai découvert un solide soutien-gorge que remplissaient deux gros seins qui tremblaient, lourds d’une maternité prochaine. La fille était aussi nerveuse que moi , sa respiration s’emballait. Elle a voulu me repousser au moment où j’ai réussi à détacher dans son dos la bride du soutien. Mais les mamelles étaient déjà libérées : je les ai saisies à pleine main. La peau était douce et chaude. En voyant que la pointe de ses seins durcissait, Aline a posé gentiment la tête au creux de mon épaule, en signe de soumission. Le miroir mural reflétait une image attendrissante : une magnifique négresse dans mes bras, la poitrine dénudée et la jupe troussée sur une culotte souillée…
J’aimerais être sa chose, une sorte d’objet sexuel voué à l’adoration de cette splendeur. Mais dans les circonstances actuelles, je dois assumer le rôle du maître. Un tendre baiser dans le cou. et je lui demande d’ôter sa jupe. Elle gémit, avec un tremblement de tout son corps contre ma poitrine : la situation la gêne horriblement. Sans doute préférerait-elle que je me comporte comme les autres, que j’arrache sa jupette et copule tel une bête. Elle laisserait agir l’instinct immémorial des hommes, sans se compromettre. Mais j’insiste. Alors elle dézippe la ceinture, et la jupe glisse lentement le long de ses hautes jambes. Elle est simplement en petite culotte dans la clarté de la baie vitrée qui s’ouvre sur la mer. Je sais qu’elle a honte. L’air réfrigéré lui hérisse le poil.
– La culotte maintenant !
– Fermez le rideau, on pourrait nous voir…
Au 6ème étage sans vis-à-vis, il n’y a qu’un seul voyeur et c’est moi. Bien sûr, j’accède à ce souhait puéril que je ressens comme un ordre. Aline me tourne le dos avec pudeur et se déculotte, ne sachant que faire du sous-vêtement qu’elle conserve à la main. Je m’assieds sur un fauteuil bien en face d’elle et l’observe, splendide statue au centre de ma chambre. Je prends tout mon temps : j’ai la soirée devant moi, la nuit même pour apprécier ce joyau. Je lui desserre les cuisses. Me baisse pour admirer sa vulve par dessous. Les grandes lèvres ont été excisées mais les petites lèvres sont si développées qu’elles y ressemblent étrangement. Je les écarte des doigts pour élargir la fente et dégager le clitoris. Puis j’ouvre les fesses pour regarder l’anus. Qu’existe-t-il de plus extraordinaire ? Evidemment, jamais personne ne l’a examinée de la sorte auparavant, malgré la précocité de ses rapports sexuels. Ce qu’on jugerait anodin en Europe est le comble de l’obscénité pour Aline. Les joues en feu, elle ne cache pas son désarroi. Pour la rassurer, je connais le remède : il suffit de revenir au scénario classique des amoureux, ou du moins le lui faire croire… Je me déshabille à mon tour. Aline rejoint le lit, persuadée qu’on va coucher ensemble, normalement. Elle est un peu perdue mais soulagée, et pas mécontente (me semble-t-il) de mon physique.
On s’embrasse longuement. Je l’interroge :
– Tu ne te connaissais pas si cochonne n’est-ce pas ?
– Non, c’est mal ?
– Très mal ! Et maintenant, j’ai envie de te baiser : qu’en dis-tu ?
– Je veux bien…
– Mais avant, tu vas te branler.
– Me quoi ?
Nous sommes l’un contre l’autre, serrés tendrement. Je répète, en simulant le geste :
– Tu vas te branler et m’expliquer comment ça se passe…
Incrédule, Aline descend la main droite vers son bas-ventre. J’entends sa voix timide, hésitante, par bribes :
– Je me caresse… Je passe un doigt… C’est chaud… Trempé… Brûlant… Je suis très excitée, vous savez… Mais le clitoris me fait mal… C’est trop sensible… Baisez-moi plutôt… Pourquoi voulez-vous que je me branle ? On ne fait pas ça devant les gens…
– Tu veux vraiment que je te baises ?
– Oui, s’il vous plaît…
Je m’écarte de quelques pas. J’ai une telle érection qu’Aline se recule, étonnée. Je chavire, je sais que je vis l’un des meilleurs moments de mon existence. Sans qu’elle comprenne comment, je place la jeune femme en levrette au bord du lit. Elle me présente ses longues fesses, son anus musclé et sa vulve qui bée. Je promène mon sexe dans sa raie, délicieuse et tiède. Je me sens, selon la lenteur des caresses, sourdre et mourir sans cesse un désir d’enculer, impérieux, irrépressible. J’appuie mon sexe au centre du derrière mais c’est prématuré. Je continue à pousser pour voir, ça ne rentrera pas. Alors je m’introduis dans son vagin. C’est ce qu’Aline attend. Je lui mets de grands coups qu’elle apprécie. Elle prend son plaisir presque tout de suite, mord le drap pour ne pas hurler. Cette faculté qu’elles ont à jouir vite avec une telle intensité fait mon émerveillement. Aline est maintenant détendue, toute trempée. Je me retire et j’essaie une nouvelle fois de l’enculer. Je sens mon sexe qui s’enfonce un peu. Je force et ça pénètre enfin, avec une sensation de brûlure qui s’estompe rapidement pour se muer en un sentiment de puissance prodigieux. Je plane, véritablement heureux. Aline est silencieuse, je la devine médusée. Je lui tire les cheveux pour lui renverser la tête :
– Alors cochonne, dans quel trou veux-tu que j’éjacule ?
Je dois avouer que la réponse m’a surpris, malgré l’habitude que j’ai de ce genre de rencontre et des réactions inattendues de mes cavalières. J’en fus heureux car elle me montrait qu’Aline transcendait désormais bien des tabous. Elle me fit :
– Dans la bouche ?
J’obéis. Quand elle tendit son visage, j’ai giclé entre ses lèvres lippues, sur ses belles dents et dans sa gorge. Elle avala tout, puis elle a récupéré du sperme qui avait coulé entre ses seins pour se branler avec, sans retenue cette fois-ci. J’ai pris des photos souvenirs de sa débauche. Quand je l’ai raccompagnée en taxi dans sa banlieue incertaine aux routes terreuses, j’étais fier de moi. La voiture n’a pu aller jusque chez ses parents, la voie était trop mauvaise. Au moment de me quitter, elle m’a dit par la portière:
– Vous ne voulez-pas être le père de mon enfant ? Vous le nourrirez, je ferai pour vous tout ce que vous voudrez…
Sans attendre ma réponse, elle m’a fait un dernier bisou et je l’ai vue qui s’éloignait dans la chaleur de la nuit, le ventre proéminent, les souliers à la main et sa jupette qui flottait gaiement.