Proxénète ?Et alors ?
Annie et Chloé se partagent le travail, ma sur le matin, laprès-midi pour ma copine, un client par journée chacune, pas plus.
— Il faut savoir se faire désirer, explique Chloé. Puis, cela nous suffit amplement pour vivre.
Annie est de son avis, moi non : un peu plus de beurre dans les épinards ne me déplairait pas, mais mon opinion ne compte pas. Nous avons repris nos cours à la faculté qui nous laissent la plupart des après-midi libres. Je lui ai montré la salle de bain et le miroir sans tain.
— Espèce de petit coquin de voyeur ! Ainsi tu mespionnes ?
— Euh Pas toutes les fois.
Ne va-t-elle pas me linterdire ?
— Je le savais, mavoue-t-elle, Chloé mavait mise au courant.
— Pourquoi tu ne le disais pas ?
— Jattendais que tu le fasses toi-même.
— Tu ne men veux pas dis ?
— Non, au contraire !
Jen reste baba !
— Cela me rassure que tu sois à portée de voix, explique-t-elle.
Ben ça alors ! Je pense plutôt que de se savoir épiée augmente le plaisir quelle éprouve lorsque nous nous retrouvons tout de suite après. Du coup je nai plus de scrupules à menfermer dans la salle de bain client chaque fois que cela mest possible. Cest ainsi que jai découvert que Papa et Lucie sont des habitués du miroir sans tain. Mon père ma même confié, croyant me faire plaisir, quil préfère regarder Annie plutôt que sa fille : il jouit plus vite sous la caresse de Lucie ! Grand bien lui fasse ! Il regrette seulement que linfirmière refuse de le sucer en même temps. Jen fais le reproche à la jeune fille.
— Pas question ! réplique-t-elle. Moi aussi je veux voir !
Papa se console en obtenant souvent de Jacques ou de moi une collaboration active sur la jeune fille qui adore quoiquelle en dise, se faire tringler tout en le pompant. Annie tolère ma participation à ce rituel comme un moindre mal, car elle refuse dimiter Lucie malgré les prières de Papa : une caresse manuelle de temps en temps à la rigueur mais pas de fellation !
Jacques et moi installons des caméras dans la chambre en cachette des femmes. Les premières vidéos ne sont pas un succès, images flous, mal cadrées. Je suggère quun opérateur reste aux commandes. Le résultat est plus probant et nous le présentons à la famille.
— Fé-fé-félicita-ta-ta-tion, bafouille Papa. Qui-qui-qui i-i-idée
— Qui a eu cette bonne idée ? traduit Lucie.
Autant le paternel et son infirmière sont enthousiastes, autant Chloé est furieuse.
— Ouais ! Qui est le responsable de cette abomination ! éclate-t-elle. Cest toi Jacques ?
— Euh Cest Jean, balbutie Jacques peu soucieux de supporter seul la colère de ma sur.
Je vole à son secours.
— Oui, jai la conviction que nous ferons un tabac sur internet avec de telles vidéos.
— Cest scandaleux ce que vous envisagez là ! Vous voulez ruiner notre réputation !
Je ne me laisse pas démonter.
— As-tu reconnu ton partenaire ?
— Euh Non
Je montre une autre vidéo représentant Annie en plein effort avec un inconnu.
— Oh ! Quand las-tu prise ? minterroge celle-ci.
— A toi de deviner
Elle a beau regarder, elle ny parvient pas. Pour les rassurer, Jacques explique :
— Nous ne diffuserons pas ces vidéos sur votre site. Jean et moi allons créer un site dédié totalement indépendant, il ne sera pas possible de faire le lien entre les deux.
Je renchéris.
— Et les retombées financières seront importantes, oui, beaucoup plus importantes que vos parties de jambes en lair.
Ce dernier argument emporte leur décision.
La vie sorganise à la maison. Jacques et Chloé changent de chambre, la leur étant maintenant réservée aux visites. La salle de bain ne sert plus quaux enregistrements. Je moccupe des caméras et des corrections à apporter aux films. Jacques me remplace occasionnellement.
Notre site de vidéos marche très fort. Je suis devenu un pro de la réalisation. Je prends bien soin que les visages masculins napparaissent pas à lécran. Nous navons jusquà présent à déplorer aucune réclamation de client dAnnie ou de Chloé mécontent de se reconnaitre sur Internet. Par contre jai peur de lasser les internautes en ne présentant que des accouplements hétéro classiques. Jacques a suggéré que Chloé et Annie se caressent devant la caméra. Cela lui a valu leurs reproches cinglants et sa femme la condamné à coucher deux nuits sur le canapé du salon ! Jai eu de la chance car si Jacques navait pas été le plus rapide, cest moi qui aurais exprimé cet avis. Dieu sait ce quAnnie maurait infligé comme punition !
Nous avons recommencé létreinte à trois, Jacques entre Annie et moi avec le même succès. Chloé, quune indiscrétion de Papa met au courant, commence par piquer une grosse colère clamant quAnnie veut lui piquer son mari. Ma copine se défend : Non, elle na pas lintention de détourner Jacques. Simplement, affirme-t-elle la possession dans ces conditions est une expérience extraordinaire. Chloé ne se calme pas, nous parlementons. Ma sur déclare à la fin quelle ne nous pardonnera que si nous expérimentons avec elle ce type de triolisme.
— Encule mon mari pendant quil me fait lamour ! mordonne-t-elle.
Au tour dAnnie de ne pas être daccord !
— Tu mas demandé la permission demprunter Jacques ? Non ! Alors tu nas pas à mempêcher dutiliser mon frère, argumente Chloé.
— Dans ces conditions daccord mais je veux assister.
— Pas de problème.
Les hommes nous nous regardons en haussant les épaules en signe dimpuissance : que faire devant la volonté des femmes ? Chloé sallonge sur le lit, cuisses écartées. Elle est belle la chatte de ma sur ! Dommage quelle me soit interdite Jacques et moi affutons nos dards, Annie sinstalle en souriant dans le fauteuil. Mon beau-frère se met en place. Je mapproche du couple.
— Attends mon chéri, tu nas pas mis de crème.
— Pardon joubliais.
Annie prend le pot sur la table de Chloé. Cela me fait sourire : si nous nous amusons souvent à ce petit jeu, la provision de ma sur va rapidement y passer ! Je tends la main.
— Donne.
— Non, cest moi qui tartine, déclare Annie.
Elle enduit un doigt donguent et le passe sur lanus.
— Mmmh !
Jacques apprécie la caresse sur et dans le trou du cul.
— Tu peux y aller mon chéri, déclare ma copine en sécartant.
Javance :
— Chloé, sil te plait, écarte-lui les fesses.
— Je taide mon chéri, sempresse Annie.
Elle fait saillir le petit trou brun luisant de crème. Le gland senfonce sans difficulté, son cul prend lhabitude !
— Oooh ! sécrie Chloé.
— Nest-ce pas que cest drôle ? interroge Annie qui nous admire accroupie sur le fauteuil une main entre ses cuisses.
— Oh oui Aah ! Comment tu fais Aah ! Jacques.
— Je Mmmh ! Je sais pas.
Je ne dis rien mefforçant de ne pas perdre léquilibre
Annie doit se demander pourquoi je bougonne en retournant dans notre chambre après avoir laissé ma sur et son mari dans les bras lun de lautre. En réalité je suis jaloux de leur plaisir surtout de celui de Jacques, mais la peur de me faire enculer me bloque. Jamais je naurai le courage de réclamer ce service à mon beau-frère. Dailleurs le voudrait-il ?
La réponse ne tarde pas à venir. Un après-midi alors quAnnie et moi, son client parti, nous prenons du bon temps, Jacques nous surprend. Je veux me dégager, mais Annie me maintient prisonnier. Il sapproche et me caresse lanus. Un frisson mébranle.
— Cela fait du bien ? interroge ma copine.
— Oh ! Vous étiez de mèche !
— Chloé ma reproché de baiser Annie, explique Jacques. Comme ta copine voulait continuer à recevoir une queue quon encule, on a trouvé ce moyen.
— Je voulais connaître avec toi le même plaisir que je ressens quand tu encules Jacques, me murmure-t-elle à loreille.
— Il Il va menculer ?
— Voyons Jean, tu peux me refuser ce que je taccorde si volontiers, argumente mon beau-frère.
La crainte me paralyse.
— Tu tu ne me feras pas mal ? Aaah ! Que fais-tu ?
— Jenduis ton cul avec de la crème. Taimes pas ?
Le vagin dAnnie masse ma queue. Le désir qui avait diminué revient. Le doigt qui pistonne dans mon cul me procure un bien immense Oh ! quest-ce que cest ?
— Je mets le gland sur le trou, explique Jacques. Prépare-toi.
Annie écarte mes fesses.
— Merci, lui dit mon beau-frère.
Il donne un coup de rein. Sa queue senfonce de plusieurs centimètres.
— Ouch !
— Tu as mal ? interroge Annie un peu inquiète.
— Oui euh non, non jai pas mal.
Cest vrai, après une douleur fugitive au passage du gland, la pénétration ne menvoie que des ondes bénéfiques. Je sens le manchon progresser dans mon intestin. Jusquoù va-t-il entrer ? Ah ! Cest fini, les poils pubiens butent contre mon cul. Ooooh ! Jai limpression que la queue qui recule entraîne mes intestins et avec eux mon estomac, mes poumons Quelle sensation !
De nouveau la verge rentre.
— Aaah !
Je le repousse des fesses, ma queue recule dans la chatte. Il donne un coup de rein.
— Mmmh !
— Ouiii ! sécrie Annie quand la verge touche le col de lutérus.
Jacques se retire. Je sens le gland prêt à sortir. Oh ! Non pas ça ! Je lance le cul en arrière pour retrouver la douce dilatation. Ce faisant ma verge coulisse dans Annie.
— Allez Jean ! Montre que tu es un homme, montre à Annie que tu sais la baiser !
Jai compris. Je prends appui sur les coudes et les genoux et balance davant en arrière. Cest délicieux, les sensations se combinent dans le cul et sur la queue. Je suis Jean qui baise ma tendre amie et en même temps Annie qui se fait baiser. Je suis Je ne sais plus Jhalète comme un phoque mais je ne peux marrêter. Je ne sens plus mes membres, mon corps nest quun immense frisson, mais je continue mes va-et-vient. Le plaisir menvahit. Ce nest pas la jouissance habituelle qui rayonne à partir du bas-ventre, cest le corps tout entier qui sembrase Cest est trop Je vais mourir de bonheur Aaah !
— Hé Jean ! Réveille-toi !
On me secoue. Jouvre les yeux.
— Ah ! Il reprend connaissance.
La voix de Jacques. Annie me scrute lair inquiet.
— Quest-ce qui tes arrivé ? Tu nous as fait peur mon chéri.
Peu à peu tout me revient, nous étions entrain de faire lamour Annie et moi et Jacques sen est mêlé.
— Ce Ce
— Que veux-tu dire ?
— Cétait Cétait merveilleux oui, merveilleux
— Hé bien ! On dirait quil a récupéré Tu vois Annie, tu navais pas de craintes à avoir, il est solide ton homme ! Bon, je vous laisse les tourtereaux, noubliez pas, le repas est à sept heures !
A suivre…