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Ludmilla, salope énigmatique du lycée – Chapitre 2

Ludmilla, salope énigmatique du lycée - Chapitre 2



Après la petite sauterie de Ludmilla et Simon, ceux-ci ce sont rapprochés sans pour autant sortir ensemble. Ludmilla, comme Simon d’ailleurs préférait les relations libres. En effet, mon ami sautait sur tout ce qui bougeait dès qu’il avait une opportunité. Ludmilla semblait dans le même état d’esprit, bien que celle-ci restait mystérieuse sur qui elle était vraiment. Ludmilla avait commencé depuis quelques semaines à traîner de plus en plus avec nous après les cours, ce qui ne me laissait pas de marbre. Je jalousais secrètement mon ami et ma timidité maladive ne m’aidait pas non plus dans ma situation. Nous traînions donc ensemble, Ludmilla, Simon, Jérémy et moi, ainsi que d’autres filles que nous avions rencontré les jours ayant suivi la rentrée. La première de nos nouvelles amies se nommait Jeanne, jeune fille blonde constamment euphorique et pleine de vie relativement immature et pas vraiment mignonne. La seconde, Sarah, était une fille aux longs cheveux blonds aux formes remarquables et aux traits fins. Enfin, les dernières de la bande étaient des jumelles métisses du nom d’Alex et Sacha, toutes deux châtains et aux poitrines importantes (à vue dil 90 D), qui se distinguaient par leurs caractères : Alex était une pétasse populaire tandis que Sacha était coincée et presque invisible. Le jour et la nuit donc.

Nous nous retrouvions donc régulièrement dans les bars ou en boîte le soir après les cours ou le week-end, à vrai dire dès que l’occasion se présentait pour s’échapper de la routine que nous faisait subir les cours.

Un jour, alors que je somnolai encore dans mon lit, je fut réveillé par le bruit de cailloux cognant à la fenêtre. C’était Simon qui m’annonçait que les filles avaient organisé une « soirée pyjama entre filles », à l’initiative de Jeanne, pour ses 18 ans (elle était la seule du groupe à ne pas être majeure). Après lui avoir fait remarqué que c’était une bien étrange manière de fêter sa majorité, il déclara alors que nous devions à tout prix trouver un moyen pour nous glisser en douce dans cette soirée, afin… que tout le monde puisse passer du bon temps. Après ma réticence, Simon me convainc à l’évocation de Ludmilla qui y serait probablement.

Le soir même, nous retrouvons donc Jérémy devant la maison de Jeanne dans le but de nous introduire dans « la future petite sauterie » comme la qualifiait Simon. Après avoir été recalés par la mère de Jeanne refusant catégoriquement toute présence masculine dans cette innocente soirée entre filles, Simon monta sur le porche devant la maison afin d’atteindre la fenêtre connaissant l’emplacement de la chambre de Jeanne.

–  T’es con putain on va pas te suivre là-haut , lui lançais-je.

– Faites pas vos tapettes, rejoignez moi les gars. Qui sait ce qui se passe dans cette chambre en ce moment-même ! On m’a déjà dit que les soirées pyjama n’étaient qu’un prétexte pour se découvrir, annonça-t-il avec un sourire coquin.

-Quand on te dit se découvrir ça n’a pas forcément se sens là…

Nous le rejoignîmes malgré tout, la curiosité de voir Ludmilla prenant le pas sur le bon sens en ce qui me concernait.

Nous avions atteint la fenêtre, et c’est alors que le miracle se produit. Les filles étaient toutes en petites tenues, commençant à se dévêtir avant d’enfiler d’hideux pyjama (sans doute les créations de Jeanne). Ludmilla était bien là, dos à nous. D’après le miroir en face de nous, je suspectais qu’elle ne nous ai vu, mais cela ne sembla pas la déranger lorsqu’elle ôta son short en jean, penchant ses superbes fesses dans notre direction. Son cul à quelques centimètres de nous, simplement couvert par une mince culotte en dentelle noire, nous laissa tous bouche bée. Derrière ce cul à se damner se trouvaient les autres filles. La poitrine des jumelles étaient comme je les avaient imaginées, rondes et imposantes. Sacha, la plus coincée des deux semblait gêner de se changer devant les autres mais également excitée et au travers de son soutien-gorge apparaissait ses petits tétons pointant, qu’elle ne pouvait dissimuler. Devant ce spectacle, Simon déclara :

-Il faut absolument qu’on rentre à l’intérieur.

C’est ce moment que je choisis, sans doute déséquilibré par mon sexe grossissant dans mon pantalon, pour chuter du porche dans un puissant vacarme. Alarmé par le bruit, les filles descendirent en bas, sans que la mère nous ai entendu pour autant, par chance, et nous firent rentrer discrètement à l’intérieur. Une fois en haut, Jeanne déclara que si nous voulions rester, il faudrait enfiler à notre tour des pyjamas.

-Devant nous, précisa Ludmilla, plus affamée que jamais.

Nous enfilions donc nos pyjamas, lorsque je me rendis compte après avoir enlevé mon pantalon l’énorme érection que j’avais encore. Il fallait dire que les pyjamas portés par les filles étaient sans doute trop petits pour elles et donc extrêmement moulant. La poitrine de Ludmilla et des jumelles soulevaient leurs t-shirt, les rendant plus près du top que du t-shirt de nuit. Devant mon sexe dressé étirant mon boxer, les filles ne purent retenir de petits ricanements. Ludmilla elle-même me regardait d’un sourire amusé, sans rien dire néanmoins. J’enfile en vitesse mon bas de pyjama une fois le moment d’hébétude passé.

Malgré les recommandations de Jeanne et sa mère, Ludmilla et Simon sortirent l’alcool de leur sac et la soirée débuta réellement. Voir Simon et Ludmilla si proches me crevait le cur. Alors que la soirée battait son plein, les jeux à boire s’enchaînaient et l’état des troupes n’étaient plus guère glorieux.

C’est sans doute cet alcool qui me rendit plus audacieux que jamais lorsque Ludmilla sortit de toilettes alors que j’attendais pour y aller après elle. Après nous être jeté des regards toute la soirée, je prenais mon courage à deux mains et approcha mon visage du sien. Elle sauta à mes lèvres à son tour et m’embrassa sauvagement, puis m’entraîna dans l’espace exigu des toilettes. Goûter à ses lèvres fut un plaisir immense pour moi, mais sans avoir le temps de savourer, elle ôtait déjà mon bas de pyjama ridicule puis mon boxer.

— Dans le boxer il avait déjà l’air pas mal mais là je suis impressionnée ! Dit-elle devant mon sexe dressé, avant de le prendre en bouche. Je me laissais guider et je ne le regrettais pas. Elle suçait divinement bien, et sentir mon membre dans sa bouche chaude aux lèvres pulpeuses avec lesquelles elle enchaînait les va-et-vient m’empêchait de tenir plus longtemps. Avant même d’avoir pris le temps de lui annoncer, j’explosais à l’intérieur de sa bouche.

Ludmilla me dévisagea et je perçu un mélange d’amusement et de déception dans son regard. Cette salope avala tout de même la semence que je n’avais pu retenir, s’essuya le bord des lèvres, et sortit, me laissant seul et honteux. Je n’avais pas été à la hauteur. Loin de la performance de Simon que j’avais pu admirer en début d’année. Ludmilla ayant sans doute bien plus d’expérience que moi, elle avait dû me prendre pour un jeune puceau (que je n’étais plus depuis les grandes vacances, bien heureusement)…

Sortant des toilettes à mon tour, je renfila mes affaires de ville et pris la porte devant les regards interloqués après avoir inventé une excuse. Ludmilla me fixant de son regard quasi-indéchiffrable et si mystérieux, je me jurais de me racheter au plus vite en prouvant que j’étais capable d’être un partenaire sexuel plus que correct.

Je devais définitivement me rattraper pour reconquérir Ludmilla, ne pouvant me contenter de ce séjour dans sa bouche.

A suivre…

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