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À la recherche du nounours disparu – Chapitre 1

À la recherche du nounours disparu - Chapitre 1



Il y a une dizaine dannées, je suis partie en vacance avec mon frère de deux ans mon cadet et ma mère pour Pâques dans une maison de vacance en montagne. Le paysage était magnifique, le logement parfait… Il ne manquait plus quun amoureux. Car en effet, du haut de mes seize ans je courais déjà après les garçons. Oh jétais encore vierge mais jaimais déjà beaucoup sentir leurs lèvres sur les miennes, leur langue passé doucement sur mon cou et leurs mains dans mes cheveux qui les caressaient.

Jai finis par trouver un garçon à mon goût. Il avait le même âge que moi et se nommait Kévin. Il avait les cheveux dun noir de jais, des yeux chocolat et possédait la bouche la plus pulpeuse que je navais jamais vu chez un garçon. Quant à moi javais de magnifiques cheveux châtains clairs qui devenaient roux au soleil et des yeux marron.

Nous jouions ensemble sur le tourniquet jusquà nen plus pouvoir et dans la cage à poules. Cela dura deux semaines. Nous vivions une amourette de gamins en vacance.

Le dernier jour que je passais dans la maison de vacance était triste car nous nallions plus nous revoir, mais le sort en décida autrement… Jattendais avec mon frère et ma mère la navette qui devait nous conduire à la gare du village quand je me rendis compte que javais oublié mon nounours. Jy tenais énormément, et encore aujourdhui cela me brise le cur de ne plus lavoir. Je le dis à ma mère qui me proposa daller le chercher elle-même, mais je lui certifiais que je savais où je lavais mis et que si elle y allait ça prendrait trop de temps. Je partis donc en courant. Javais menti bien sûr, je ne savais absolument pas où javais bien pu le mettre, mais dans mon petit cur jespérais revoir une dernière fois Kévin.

Jallais voir dans la salle commune où javais passé beaucoup de temps puisque cétait le seul endroit où il y avait une télévision, il ny était pas. Je partis dans la cour près des jeux, rien en vue. Je filais dans le réfectoire, toujours rien. Je commençais à désespérer, je navais vu ni mon nounours ni le beau garçon et la navette nallait surement pas tarder à arriver. En désespoir de cause je me précipitais vers la chambre que nous avions occupée même si jétais persuadée quil ny aurait rien. Elle se trouvait au troisième étage et, fatiguée de ma course folle je décidais de prendre lascenseur.

Enfin la chance était avec moi ! Non seulement il ne mit pas longtemps à arriver mais en plus il y avait la deuxième chose que je cherchais : Kévin. Cest rempli de bonheur que jentrais dans la cabine. Un immense sourire illuminait mon visage. Il était au fond de la boîte de métal, contre la paroi face aux portes, et je me mis devant lui légèrement décalée dans le coin, lui tournant le dos.

Nous montions lentement quand brusquement on sarrêta entre deux étages… Il avait stoppé notre ascension sans dire un mot et sapprocha à petits pas feutrés. Je le sentais bouger mais je ne savais pas ce quil faisait. Je mimaginais des tonnes de choses toutes plus improbables les unes que les autres, mais je fermais les yeux et me laissait emporter par ses chimères des plus agréables…

A pas de loup il arrivait derrière moi, je sentais son souffle tiède passer sur ma nuque juste avant quil ne se colle à moi dans mon dos, ses bras menlaçant et dans bouche effleurer ma peau. Des baisers papillonnants sur mon épiderme hérissé par de doux frissons, allant de mon cou à mes oreilles en passant par ma nuque tendue à lextrême pour en savourer toutes les sensations. Ses mains nétaient pas en reste loin de là. Elles caressaient mon ventre, mes hanches et mes seins, qui étaient plus petits que les siens étant donné quil était quelque peu enrobé. Juste comme jaime. Mon bassin semblait animé dune vie propre et ondulait lascivement contre le sien. Après quelques minutes de ce traitement, sentant quelque chose devenir assez dur contre mes fesses je me retournais et commençais à participer plus activement… Je me collais contre lui, mes lèvres effleuraient sa peau tandis que la pointe de ma langue suivait le même tracé, partant de la clavicule jusquen haut de loreille. Puis je partis goûter lautre côté de son cou de la même façon. Nos mains devenaient fébriles, passant avec ardeur sous nos vêtements. Caressant, griffant, serrant tout ce qui passait sous nos doigts. Je déboutonnais son pantalon et me laissais glisser à genoux au sol entraînant avec moi le vêtement. Face à ma bouche se dressait une verge longue, épaisse et frémissante qui semblait appeler ma langue avide. Et elle létait. Incapable dattendre plus longtemps je pris en bouche cette colonne de chair qui me faisant si envie et entamait une lente et profonde fellation…

Perdue dans mes visions lubriques je navais pas remarqué que nous étions arrivés à destination, jusquà ce quune voix douce dise doucement avec :

« On est arrivé, lascenseur ne nous emmènera pas à nos chambres. »

Confuse et légèrement étourdie parce que mon esprit venait de me montrer, je sortis comme dans un rêve de la boîte en métal. Jallais tourner à gauche pour aller à ma chambre quand il me saisit par les hanches et me tourna dans lautre direction un sourire aux lèvres. Il avait raison, elle se trouvait à droite… Il sembla juger plus prudent de my accompagner et cest ensemble que nous retrouvâmes ma chère peluche.

Nous étions près de la porte lorsquil menlaça tendrement en me murmurant doucement au creux de loreille : « Voilà mon au revoir ». Et il membrassa passionnément. Prise dun puissant désir, je me collais à lui le plus possible. Il se retrouva plaqué au mur, subissant les caresses dune jeune fille désormais hors de contrôle. Après ce long baiser je le relâchai, me retournât vivement, attrapait une chaise et men servit pour bloquer la porte. Je le saisis ensuite par la main et le conduisis à un lit superposé où je le fis sassoir sur le lit du bas en faisant de même. Puis je me penchai doucement vers lui pour lembrasser à nouveau en le regardant dans les yeux.

La ferveur, qui sétait manifestée quelques instants auparavant se fit à nouveau sentir et nous commençâmes à nous dévêtir fébrilement, laissant nos lèvres se séparer seulement quelques secondes.

Enfin nus nous pouvions découvrir en totalité le corps de lautre. Il était beau. Un garçon aux cheveux dun noir de jais et aux yeux marron sur un joli visage légèrement rond. Un corps avec des poignées damour comme je les aime encore aujourdhui et des pectoraux se rapprochant plus de la poitrine dune jeune femme que dun buste masculin. Son pénis était dune taille normale pour son âge.

Après quelques caresses, de plus en plus intimes au fil des minutes qui sécoulaient, nous avons passés la vitesse supérieure. Il se glissa à genou entre mes jambes que jécartais au maximum et, en saidant de sa main, il guida son érection en moi. Doucement il me pénétra et lorsquil fut tout à fait entré il commença à bouger son corps pour appliquer un mouvement de va et vient, je bougeais également, recherchant le plaisir. Nos deux corps se mouvaient avec la maladresse de linexpérience mais avec tendresse, passion et amour.

Je neus aucun plaisir avec cette première pénétration, qui ouvrait la porte à de nombreuses autres, mais jen ai éprouvé avec ses délicieuses caresses. Quand nous eûmes terminé, nous nous rhabillâmes prestement et je partis rejoindre ma famille, le regard brillant dune petite larme, le rouge au joues et mon nounours blanc dans les bras.

PS: Les âges ont été modifiés pour que l’histoire soit acceptée 🙂

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