Saison 3, épisode 08, Sous couverture.
Tony tendit un billet au garçon d’hôtel. Celui-ci le prit et regarda Tony, l’air de dire "mouais, on m’a habitué à mieux". Alors Tony lui tendit un second billet en soupirant. Le garçon fit un bref signe de tête et s’éclipsa, refermant la porte sans mot dire.
— Alors qu’est ce que t’en dis ? demanda Tony en retournant dans la pièce à vivre de leur suite.
Ziva apparut derrière un rideau et répondit:
— Pas mal, j’ai vu mieux.
— Pas mal, dit-elle, alors qu’elle arrive de la terrasse fleurie et qu’elle passe devant le fax et le minibar… Sans parler de la corbeille de fruits gratuite ! Quelle meilleure façon de passer le week-end ?
Ziva prit un grain de raisin tandis que Tony ouvrit l’armoire en face du lit.
— C’est super, une télé grand écran ! s’exclama-t-il. Oh ! Y’a deux cent chaînes ! Regarde ça, des chaînes sur le sport, le cinéma, une chaîne sur les voyages… Une sur les animaux…
Pendant qu’il s’extasiait devant la télévision, Ziva s’était rapprochée de lui et l’attirait vers le lit. Ils échangèrent un regard langoureux et Tony demanda:
— Ça t’interesserait d’étudier les bébés macaques ?
— Il n’y a qu’une chose qui m’intéresse pour l’instant.
Un second regard langoureux puis ils s’embrassent. L’atmosphère sensuelle qui régnait depuis le départ du garçon était a son apothéose. Tony agrippa la nuque de sa collègue de travail, pendant que celle-ci se débattait avec sa robe. Enfin elle défit une dernière attache et la robe tomba à ses pieds.
Tony découvrit alors le plus magnifique de tous les corps de femme qu’il n’avait jamais vu. Et pourtant, Dieu sait qu’elle avait des concurrentes ! Ziva David, la belle, la splendide israélienne sur laquelle il fantasmait depuis son arrivée dans l’équipe, se tenait là, debout, nue devant lui, en train de l’embrasser. Il pût découvrir sa féminité toute entière, ses seins, petits mais Ô combien jolis, en forme de poire parfaite, avec leur téton dressés, ni trop longs, ni trop courts, son ventre si plat et si musclé, son intimité entièrement épilée, ses deux longues jambes si magnifiques… Tony reprit peu à peu ses esprits, et s’aperçu que Ziva était en train de lui retirer sa chemise, et qu’elle l’avait déjà débarrassé de sa veste et de sa cravate. Leurs bouches étaient toujours collées l’une à l’autre, leurs langues se cherchant, leur salive se mélangeant. Tony caressait ce corps qu’il avait tant désiré, tandis que Ziva lui débouclait sa ceinture. Lorsque son caleçon tomba sur ses chevilles, Ziva rompit leur baiser amoureux et se recula de trois pas.
— Qu’est-ce que tu fais ? lui demanda Tony
— Je vois pas bien l’intérêt de te déshabiller si je peux pas te regarder après, lui rétorqua l’israelienne avec ce regard qui plaisait tant aux hommes. Alors elle le détailla de la tête aux pieds, comme elle le ferait pour une robe dans un magasin.
— Alors ça va, je suis à ton goût ? demanda Tony d’un ton humoristique.
— Mmh.. Tu m’as l’ai un peu mieux monté que McGee, répondit-elle. Devant son air ahuri, elle ne pu s’empêcher d’éclater de rire.
— T’as vu le bleu à poil ?! s’exclama-t-il.
— Oh oui, c’est un très bon coup, répondit-elle. Enfin, quand il prend le temps qu’il faut.
— McGee est précoce ?! Et toi tu as couché avec ?! Je rêve !
— Ça va, sois pas jaloux chéri je suis sur le point de coucher avec toi ! Depuis le temps que j’y pense… Et moi, je suis à ton goût ? demanda-t-elle en faisant un tour sur elle-même. Alors Tony vit enfin ses fesses, qu’il trouvait déjà fort appétissantes dans un jean, mais là, c’était carrément magique. Ces deux globes parfaits qui se balançaient au fil des mouvements de Ziva, c’était irréel. Tony ne pût retenir une exclamation:
— Wouah… J’en avais jamais vu des comme ça…
Comme pour le chercher gentiment, Ziva se pencha en avant et se mit quelques fessées, avant de les écarter afin de dévoiler son anus. L’érection de Tony repartit de plus belle. Ziva se remit face à lui et lui dit, avec son air sensuel qui lui allait si bien:
— Tu comptes commencer un jour, ou il faut que j’appelle McGee ?
Alors Tony l’attrapa en dessous des fesses et la porta jusque sur le lit, sa bouche collée à celle de l’israelienne. Arrivés sur le lit, ils s’embrassèrent de plus belle, sur la bouche, dans le cou, puis Tony descendit sur ses seins si parfaits, qu’il lécha et caressa à coeur joie, avant de redescendre encore vers son nombril puis vers son abricot intime. Il goûta cette cyprine, la trouva délicieuse. Ziva se révélait être pour Tony ce qu’il avait imaginé dans ses fantasmes, un visage resplendissant, un corps parfait, et, cerise sur le gâteau, une coquine hors normes. Elle plaqua ses mains contre sa tête, le forçant a rester sur son antre secrète, ce qu’il acceptait volontiers. Il embrassait, léchait, doigtait la femme parfaite, et il prenait un pied incroyable. Il commença avec un doigt, puis un deuxième, et ce fut Ziva qui rajouta le troisième. De sa seconde main, il caressait son si joli petit cul qui le narguait tous les jours au boulot, l’air de dire "tu m’auras jamais, mais désespère pas quand même !". Il claqua ses fesses, ce qui arracha un cri à Ziva, de plaisir ou de douleur, il n’aurai su le dire. Cette dernière avait toujours trois doigts (deux à Tony et un à elle-même) bien enfoncés dans son vagin, lorsqu’elle se crispa, et jouit pour la première fois. Tony voulut enchaîner avec un second round mais Ziva lui demanda un peu de temps pour se reposer.
— On ne t’a pas appris à enchaîner les exploits sexuels, au Mossad ? railla-t-il.
Alors Ziva fit semblant de rire avec lui. "S’il croit que je vais le laisser me parler comme ça impunément, il risque d’être surpris !" pensa-t-elle. Elle lui fit son sourire le plus charmeur, l’embrassa avec passion, lui laissa téter ses seins quelques instants avant de s’agenouiller devant lui et de lui entamer une fellation. Tony cru qu’il revait. Ziva David était là, à genoux devant lui, nue en train de lui faire une fellation. Elle le fixai de ses yeux de femme fatale, léchant son gland, ses couilles, avalant son sexe entier, le regard plongé dans le sien. Elle frottait ses seins et son buste contre les jambes de Tony, lui caressait les fesses de sa seconde main tandis que la premère le masturbait doucement. Tony s’approchai rapdiment de la jouissance, et lorsqu’il l’atteint, Ziva enfonça un doigt dans son anus. Il hurla, de suprise ou de douleur, lui seul le savait. Après avoir récolté son sperme sur ses seins, Ziva embrassa une dernière fois son sexe et se leva, avec un sourire insolent, et lui dit:
— Voilà ou je te le mets, ton exploit sexuel, Tony ! On repart ?
Tony la ragarda en souriant, mais n’en était pas moins furieux de s’etre fait avoir. Il s’allongèrent sur le lit, et entamèrent les choses serieuses en position du missionnaire. On pouvait entendre leur souffle saccadé tandis que Tony donnait des coups de reins de plus en plus forts, en travers du lit. Ziva se saisit de la télécommande de la chaîne Hi-Fi et monta le volume pour couvrir leur discussions aux éventuels micros dispersés dans la suite.
— Tu pense qu’ils gobent ça ? demanda-t-elle.
— En tout cas j’y crois, répondit son collègue de travail.
— C’est bien ce que je me disais !
— Pour ton information c’est mon genoux
— On s’en fiche, ça devrait suffire pour l’instant !
— Ça ne fait que dix minutes, j’ai ma réputation à défendre !
— Rien ne nous dit qu’on soit déjà surveillés, Tony !
— Il faut être prudent, quand on est sous couverture ! Allez, encore quarante minutes, c’est ma moyenne, ça sera plus réaliste..
— Réaliste ?
— Oui…
— Dans ce cas… Oh.. J’ai pris les commandes… dit Ziva en les faisant basculer de manière à être sur Tony.
— Et tu m’en vois ravi ! répondit Tony ironiquement.
Ziva lui saisit alors une couille et la serra si fort que Tony gémit de douleur, avant de demander:
— Pourquoi t’as fais ça ?!
— Parce que ça, dit-elle, ça n’a rien a voir avec ton genou ! Et elle colla sa bouche à celle de Tony.