Anniversaire
Bonjour, je m’appelle Michel, j’ai 19 ans. Le lecteur aura fait connaissance dans les épisodes précédents.
C’est l’anniversaire de papa aujourd’hui et nous voici le soir, à table. Ma mère a confectionné un gâteau spécialement pour l’occasion. Le repas se passe et il est emps de passer au dessert. Nous ne sommes que trois, mes parents et moi. J’ai demandé à ma mère pourquoi il n’y avait pas d’invité, elle m’a répondu que les parents de Phil (mon grand copain) seront invités un week-end, que nous passerons ensemble dans notre petite villa du bord de mer. En ce soir de semaine, on fait simple. Lorsqu’elle apporte le dessert à table, mon père qui a pas mal consommé de vin est dèjà un peu gai. Nous sommes assis à côté l’un de l’autre. Ma mère se place entre nous pour découper le gâteau. elle porte une robe ’bleue nuit’, sans manche, qui lui arrive au dessus des genoux. La robe est décolettée en ’ U’, maman a mis un soutien-gorge ’balconnet’ qui fait ressortir le haut du galbe de ses seins. Son parfum, dont j’ignore la marque sent très bon. Pour découper la pâtisserie, ma mère se penche un peu en avant, j’avance la tête discrétement pour regarder dans son décoletté. Ses gros nichons pâles contrastent avec sa tenue vestimentaire plutôt très foncée. Mon père, d’une main, lui soulève alors sa robe et plonge l’autre dans le décoletté. Il la pelote à pleine main dans son sous-tif. J’aurai aimé la tripoter aussi, ça me donne la trique.
papa :
— Oh ! Oh ! Culotte noire ! Sexy !
maman :
— Mais enfin ! Ca va pas ! Tu es saoul, arrête !
Un peu en colère, elle va s’asseoir face à nous ; mon père nous sert copieusement le Champagne, ma mère en prend également quelques coupes. Pour terminer la troisième bouteille, mon père se lève et va servir ma mère. Debout à côté d’elle, il replonge une main dans le décoletté et verse avec l’autre le reste de Champagne entre ses seins. Maman tente de réagir mais je crois, à le voir malaxer les nénés, qu’il la tient fermement appuyée contre lui.
maman :
— Mais arrête voyons Bob ! Tu vas me faire mal !
papa :
— C’est mon ’anniv’, laisse toi faire chérie.
maman :
— Nous ne sommes pas seuls, si tu n’avais pas remarqué.
papa :
— Quoi ? Michel ! Mais il t’a certainement déjà vu à poil, hein Michel !
moi :
— Bin….. heu………
papa :
— Allez ! Tu l’a déjà matée non ?
maman :
— Arrête maintenant Bob, ça suffit !
Loin de s’arrêter mon père pose la bouteille sur la table et sort à deux mains les nichons de maman de son décolleté, les passant par dessus le soutien gorge. La voilà les nichons à l’air, face à moi, de l’autre côté de la table. Je reste sans bouger à ma place, ne sachant que dire, que faire. Ce qui est sûr, c’est que je ne me prive pas de regarder ; je bande sec. Mon père fait encore boire deux coupes à ma mère.
papa :
— Ils te plaisent les nichons de ta mère ?
moi :
— Bin…. oui, ils sont gros et fermes.
papa :
— Qu’est-ce qui te plaît à toi, qui te fait durcir ?
Je bois en vitesse deux coupes de Champagne, ça va m’aider à répondre à mon père.
moi :
— J’aime bien regarder sous les jupes…. tout ça quoi.
papa :
— C’est une bonne idée ça. Chérie, monte sur la table stp.
maman :
— Mais….
papa :
— Ne fais pas ta pucelle, vas-y.
Elle monte d’abord sur une chaise, avec l’aide de mon père, là voilà sur la table. Je suis toujours assis à la même place, ma mère vient se placer face à moi, et tout en restant debout , elle me sourit, elle est restée avec ses nichons à l’air. J’avance la tête et suis sous sa jupe. Elle porte une culotte noire classique, elle écarte les jambes ; elle est tellement touffue que ses poils dépassent sur les côtés.
Ses cuisses blanches me font un effet excitant par rapport au noir de sa culotte et de sa robe.
maman :
— Tu as une belle bosse dans ton pantalon, Michel, ça te plaît ?
moi :
— Oh maman c’est beau, tu es excitante.
Mon père vient à côté de moi et sort sa bite qu’il caresse lentement en regardant aussi ce joli spectacle.
Il a une bite un peu plus longue que la mienne avec un gland plus gros, mais des couilles bien plus grosses.
papa :
— Elle sait être coquine ta mère, hein ?
Ma bite tendue ne tient plus dans mon pantalon, ça me fait mal ; je la sors aussi et comme mon père, je commence à me caresser.
maman :
— Vous avez vu ma culotte, c’est bon, le spectacle est fini.
papa :
— Non, non, on continue. Michel ! Qu’est-ce t’en pense ?
moi :
— Comme tu veux papa, mais…….. si elle avait envie de faire pipi.
papa :
— Tu entends chérie ?
maman :
— Avec tout ce Champagne, c’est vrai que j’ai envie.
moi :
— Dans le seau à Champagne m’an…….Laisse ta culotte, stp.
maman :
— Ce Michel ! Vraiment, il a de drôles d’idées.
Maman prend le sceau, relève sa robe bien haut et s’accroupit face à nous en écartant les cuisses.
Elle regarde elle-aussi son entrejambe. Elle commence à pisser, un flot large perce sa culotte et s’étale dessus avant de tomber dans le seau. La cascade tombe régulièrement, le jet est jaune clair à cause de la quantité de liquide qu’elle a absorbée. Le tissu empêche la pisse de gicler hors du seau ou loin devant, il y a juste un filet qui descend directement dedans, la plus grande partie s’étalant sur la culotte.
Avec mon père, on a la tête entre ses cuisses, on se branle lentement.
moi (en regardant mon père) :
— Je peux ?
papa :
— Fais, fais ce que tu veux, on s’amuse.
J’avance une main sur l’entrejambe trempée de pisse de ma mère et je lui caresse la fente par dessus le tissu de la culotte. Elle a maintenant fini mais reste ainsi écartée. Je lâche ma bite et lui caresse les cuisses avec les deux mains. C’est chaud et doux, en remontant dans l’entrejambe, à l’intérieur de cuisses c’est un peu humide de pisse. Je les caresse et les sèche avec les mains. Je saisis la culotte de maman de chaque côté sur les hanches et la fait descendre lentement. Je suis en admiration devant sa touffe drue et noire.
moi :
— Ohhhh maman, je t’enlève ta culotte, je réalise un rêve, tu sais. Approche stp.
Elle a compris et sans rien dire, elle se met à genoux au bord de la table et s’appuie avec les mains derrière elle. Elle m’offre ainsi son bassin bien en avant, bien écartée, me mettant sa fente et sa touffe pratiquement sur le visage, je suis toujours assis. Je pose mes mains sur ses cuisses et pose mon visage d’abord sur sa touffe. Je remonte les mains et en voulant lui palper les nichons, je m’aperçois que mon père lui suce les mamelons. Sa robe n’est plus qu’un ruban de tissu sur son bassin, le haut ayant été baissé et le bas relevé. Je lui retire complétement sa culotte que je passe sur mon visage et que je renifle. Mon père me l’arrache pratiquement des mains, la pose sur sa queue et continue à s’astiquer en pelotant ma mère. Je pose délicatement ma bouche sur sa fente, je fais monter et descendre ma langue, posée bien à plat, le long de ses grandes lèvres. Je lui nettoie bien sa foune. Avec les pouces j’écarte cette jolie chatte toute rose dans sa forêt de poils et j’enfile ma langue que j’ai mis en pointe dans la cavité. Je la rentre et la sors comme si je la baisais avec ; j’alterne ce mouvement avec de grand lichage sur tout le long, ce qui la fait mouiller. Sa chatte prend le goût de la mouille, toute trace de pisse a disparu.
maman :
— Hummmm c’est bon, mes chéris, encore.
Maman bouge du bassin, elle apprécie et roule des patins à papa.
moi :
— C’est formidable maman, quelle bonne chatte ! Quelle bonne mouille !
papa :
— Tu aimes ça Maryse hein ?
J’ai plein de mouille sur les lèvres, j’enfonce maintenant un peu mon nez dans sa fente et la caresse ainsi. Je dégage son clito avec deux doigts et passe des coups de langue dessus avant de le sucer carrément. Maman d’un coup de rein colle sa fente sur ma bouche, elle gémit en se tortillant, je lui met alors deux doigts dans la chatte et commence à la travailler avec mes doigts. Elle mouille de plus en plus. Je pense en moi-même que c’est quand même une belle salope.
Je soulève ses fesses pour lui mettre un coup de langue sur son anus. Dans un gémissement elle se dégage brutalement et se met en levrette sur la table. Papa lui prend immédiatement les cheveux et amène sa bite devant son visage.Elle ouvre grande la bouche et papa y enfonce sa queue. Elle a les avant-bras posés sur la table, elle n’utilise pas les mains. Papa lui baise maintenant la bouche en lui malaxant fermement ses nichons qui pendent comme des mammelles. Ses têtons sont durs et les galbes deviennent roses à force de pelotage vigoureux. Je me lève et écarte les fesses de maman avec mes deux pouces, sa rondelle béante n’attend que ma langue que j’enfonce en pointe dedans. Je fais comme pour sa chatte, je lui lèche aussi la raie et son trou du cul avec le plat de la langue.
moi :
— Je te bouffe le cul m’man, il est bon, c’est génial !
Elle ne peut répondre, papa est en train d’éjaculer dans sa bouche. Il lui met au moins quatre giclées.
papa :
— Ahhhhhhhh je viens ! Je viens chérie ! Tiens ! Ouiiiiiiiii
Ma mère gémit, je relève la tête, du jus coule sur son menton, elle en a plein la bouche, elle l’avale comme elle peut. Quelques gouttes tombent sur la table. Mon père s’affale sur une chaise vaincu par le plaisir.
papa :
— P… quelle suceuse chérie, tu es merveilleuse.
Maman qui a du jus qui coule sur ses nénés se retourne et me regarde dans les yeux, et avec son regard coquin m’attrape derrière la nuque et colle sa bouche sur la mienne, Sa langue insiste sur mes lèvres pour pénétrer dans ma bouche. J’ouvre moi aussi la bouche, la langue de maman y dépose une dose de jus chaud, à la fois salé et sucré, un goût bizarre ; elle me mange pratiquement la bouche, sa langue tourne autour de la mienne et je la lui suce. Quand nos bouches se décollent je lui lèche les joues et le menton pour finir de la nettoyer de tout ce foutre. Je lui pelote moi aussi ses gros nichons, combien de fois me suis-je branlé en les matant et en rêvant de les palper comme je le fais maintenant. Mon père s’essuie la bite et les couilles avec la culotte de maman qui maintenant sert de gant de toilette pour tout le monde. Il dézippe la robe de ma mère et lui dégrafe son soutien gorge, il se déshabille complétement lui aussi. Il va cherche une cinquième, sixième ?? bouteille de Champagne à la cuisine et nous en verse de nouveau une coupe, ma mère est descendue de la table et nous trinquons tous les trois debout.
maman :
— Allez Michel, toi aussi tu enlèves tout.
Je me déshabille en vitesse devant eux, maman prend ma bite en main et commence à me caresser ; mon père s’approche un peu plus et elle en fait de même avec lui. Je n’y tiens plus, je la prends par les hanches, lui fait appuyer les mains sur la table, je me place derrière elle, elle se cambre, je lui rentre ma bite dans sa chatte. Elle est trempée, je donne des coups de reins violents, je suis très excité, j’ai envie de jouir. Je baise maman devant papa qui se branle en nous regardant. Je lui mets une dizaine d’aller-retour, sors ma bite et présente mon gland sur sa rondelle encore humide de ma salive.
moi :
— J’en peux plus m’man, je te prends le cul, j’ai trop envie de t’enculer.
maman :
— Hummmm oui mon petit chéri, encule-moi, fais-moi du bien, encule maman.
Ainsi encouragé, j’enfonce lentement mon gland, c’est étroit, maman se cambre un peu plus fort, elle la veut aussi dans son cul. Mon gland disparaît dans so anus, aspiré, je sens la peau du frein qui tire un peu mais ça finit par rentrer. Je regarde mon père qui se branle dans la culotte, et enfonce ma bite entièrement dans le cul de maman. Sa rosette s’est élargie au diamètre de ma bite, quelle vision pour moi, qui rêve depuis longtemps de sodomiser maman. Une fois rentré jusqu’aux couilles, je commence à lui limer l’anus, d’abord lentement, puis trop excité, de plus en plus vite. Je la bourrique maintenant comme si j’étais dans sa chatte, j’accélère, je défonce le cul de maman. en remuant des reins, elle vient à la rencontre de ma bite pour mieux se faire empaler.
maman :
— Ohhhhh ouiiiii c’est bon, encore Michel, ouiii dans mon cul !
Pendant que je lui bourrique l’anus, papa s’est accroupi sous elle, il lui enfonce une bouteille de champagne dans la chatte. Je la sens sur ma bite à travers la paroi anale.
papa :
— Tiens Maryse chérie, prends ça, une bite dans ton cul et une bonne bouteille dans ta chatte. Vas-y salope, envoie-toi en l’air.
Une main caresse maintenant mes couilles, je me contorsionne pour voir. M… ! C’est papa qui masse mes couilles pendant qu’il fourre la bouteille dans maman. Je suis trop pris par le plaisir et sur le point de non-retour, j’arrive soudain à l’orgasme, c’est fulgurant, je lui balance tout dedans.
moi :
— Ahhhhhhhhh je viens ! Je viens m’man ! Tiens ! Tiens ! Tout dans ton cul, ohhhhhhh tiens salope !
Je lui largue cinq bonnes giclées dans les intestins, je reste un moment dans son cul, chaud et visqueux, j’apprécie ce moment de bonheur intense : je viens d’enculer ma mère et de lui jouir dedans.
moi :
Ahhhhh maman que c’est bon, quel cul merveilleux, tu m’as fait réaliser un fantasme. C’est extra.
papa :
— Bouge pas chérie je vais t’enculer moi aussi.
maman :
— Ouiiiii viens Bob, mon chéri, donne moi tout. Encule moi oui !
Vous êtes de beaux salauds tous les deux !
Il se met en position derrière elle et lui enfile d’un coup sa queue dans le cul tout grand ouvert, dégoulinant de foutre. Je reste debout à côté d’eux et admire cette queue qui rentre et sort du cul de maman. Ca glisse tout seul avec tout le jus que j’ai largué, il y en a un peu qui coule sur ses cuisses.
Maman s’enfonce deux doigts dans la chatte et se branle frénétiquement, elle arrive à l’orgasme, s’aggrippe à la nappe de la table et fait tout tomber dans un cri de jouisssance.
maman :
— Ouiiiiiiiii je jouis du cul, ouiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhh !!!!
Papa sort sa bite de son cul et jute sur les fesses de maman, il en met encore quelques giclées sur la raie. Le cul de maman est une grande ouverture marron pleine de jus blanc partout. Ca dégouline de son trou mais aussi sur ses fesses et sur ses reins, elle a du foutre partout. Je ramasse une serviette de table et essuie maman partout jusque sur ses jambes. Alors que je me relève, une main appuie appuie sur ma tête qui est au niveau des fesses de maman qui reste en position accoudée sur la table, fesses offertes.
papa :
— Lèche lui le cul, ça coule encore, nettoie tout, lèche. Fais un cul bien propre à ta mère.
Je m’agenouille derrrière elle ; je lui lèche donc la raie, les reins, et le trou du cul dans lequel avec la langue je récupère le foutre restant encore tiède. Depuis que j’ai goûté, je trouve ce goût de moins en moins dégoûtant. Je liche nos deux spermes mélangés. Maman reste passive, je crois qu’elle adore se faire bouffer le cul. Je me remets à triquer dur.
papa :
— P… il rebande, Maryse, ce salaud de Michel.
maman :
— Hummm, assieds-toi dans le canapé Michel, tu veux que maman te suce ?
moi :
— Oh m’man ça serait extraordinaire, tu m’auras tout fait, comme dans mes rêves.
Je m’affale dans le canapé, ma mère s’agenouille entrre mes jambes écartées, elle prend ma bite avec le plat des deux mains qu’elle fait monter et descendre, mon gland apparaît et disparaît sous cette caresse. Elle approche son visage, sort sa langue et lèche d’abord mon gland, elle entoure sa langue autour, insiste sur le frein, puis descend tout le long jusqu’aux couilles qu’elle lèche aussi. j’avance les fesses, sur le rebord du canapé, d’un coup maman embouche ma bite. J’ai l’impression de rentrer dans une chatte, c’est humide et chaud mais en plus, il y a ces coups de langue et ce massage de bourses.
Maman enfonce au maximum ma bite dans sa bouche elle m’aspire avec application. Elle me pompe d’abord rapidement puis ralentit, puis reprend plus vite, c’est une experte. Je me fais pomper par maman, quel pied !
moi :
— Ahhh oui maman encore ! Encore ! C’est bon ouiiii, qu’est ce que tu suces bien !
Elle continue à me pomper sans rien dire, papa se branle en nous regardant, il bande de nouveau.
papa :
— Quelle suceuse hein ? Sacrée Maryse chérie, c’est bon de te regarder pomper, tu sais.
Je me laisse complétement aller, quelle pipe, quel massage de couilles. Je ferme les yeux et appuie la tête sur le dossier du canapé savourant mon plaisir. Un doigt s’insinue dans mon anus, j’ouvvre les yeux, maman me regarde laissant ma bite,
maman :
— Tu aimes le doigt ?
La sensation de la pipe, plus le doigt dans mon cul me procure une sensation jusqu’alors inconnue mais j’apprécie.
moi :
— Ouiii vas-y maman suce moi, mets ton doigt dans mon cul, j’aime ! Je t’aime maman.
maman :
— Moi aussi mon petit chéri, je vais me mettre ta bite dans ma chatte.
Elle se relève, se place au dessus de ma queue et se laisse descendre lentement, la maintenant d’une main. Elle commence des mouvements de bassin circulaires puis d’avant en arrière, elle fait frotter son clito à mes poils pubiens. En gémissant elle se penche sur moi et m’aspire chacun leur tour mes tetons. Elle me tete comme je l’ai tetee moi aussi.
maman :
— Bob, mon chéri, je veux sentir vos deux queues, viens, prenez moi tous les deux.
papa :
— Je vais t’enculer en même temps qu’il te baise, oui chérie, tu es notre salope à tous les deux.
Papa vient se placer derrière elle et lui enfonce sa bite dans le cul déjà très bien ouvert. Il la saisit par les hanches et la fourre à fond. Maman gueule de plaisir, elle s’accroche au dossier du canapé, j’ai l’impression qu’elle va l’arracher. Je sens la bite de papa qui lui ramobne son cul à travers la paroi anale. On la bourrique ainsi à fond tous les deux, maman apprécie, ses gémissements nous excitent.
plus elle gueule, plus on la bourrique, elle arrive à l’orgasme.
maman :
— Ahhhhhhhh, ouiiiiiiii, je viens, mes salauds, vos queues, ouiiiiiii, je viens, je viens, ahhhhhhhhhh !!!
papa :
— Tiens ! Tiens ! Maryse, ma salope chérie, je te lâche tout dans ton cul, ouiiii ! Tiens !!!!!
maman :
— Viens, viens Michel, jouis dans maman, je veux vos deux jus.
Ainsi encouragé, j’éjacule aussi et je lui envoie une giclée de foutre dans la chatte. Papa s’affale sur le dos de maman qui elle-même tombe sur moi. On est ravi de plaisir, on reste dans les orifices de maman, le temps de débander puis tous deux s’asseoient à côté de moi. J’ai la bite pleine de mon jus, de la mouille de maman et du jus de papa aussi, qui a coulé jusque sur mes couilles.
papa (en posant une main sur mes couilles et ma bite) :
— Humm , Maryse Chérie, il t’a fait jouir le Michel avec ce joli paquet, hein ?
maman :
— C’est vrai que c’était bon, mes chéris.
papa :
— P…. ça c’est de l’anniversaire !
maman :
— Hummmmmm j’ai bien joui mes chéris, Ca t’a plu de te faire sucer, de fourrer et d’enculer maman Michel ?
moi :
— Ohhh m’man c’était merveilleux, quel pied ! Si ça pouvait être si bon avec les copines !
Tu es vraiment extra. Depuis le temps que j’en rêvais ! Tu te rends compte ! Ma bite dans ton cul, j’en reviens pas !
maman :
— Merci Michel chéri. Il ne faudra pas oublier d’inviter les parents de Phil un de ces jours. Depuis le temps qu’on doit se voir.
moi :
— Je vous le rappellerai. Avec Phil on y pensera.
Tu parles ! C’est sûr qu’on va même insister fortement avec Phil pour que cette soirée ou mieux, ce week-end à la mer ne soit pas qu’une bonne intention mais une réalité.
papa :
— Ouais bon on verra ça plus tard je vais prendre une douche et je me couche. Bonne nuit.
maman :
— Je viens avec toi chéri, je rangerai tout ça demain, bonne nuit Michel.
moi :
— Bonne nuit tous les deux et merci.
Là-dessus, en attendant que la douche se libère, je vais faire le rangement ; pour me calmer je me fais un WRC sur Playstation II et j’irai me coucher, je ne pense pas que je vais écouter ou mater la chambre de mes parents cette nuit, j’ai eu une bonne dose de cul aujourd’hui.
***************************************************************************
Eusèbe
(Votre avis m’intéresse. Peut-être une suite et…. d’autres épisodes, le lecteur en décidera).
