Coulybaca Texte personnel.
Chapitre 10 : Françoise se choisit un nouveau maître.
Françoise enrageait, déjà quinze jours qu’elle était affranchie de sa servitude, les choses allaient elles vraiment mieux de ce fait ?
C’est avec un soulagement certain, qu’elle avait vu arriver le terme de son obligation de docilité envers les chefs.
Respectant les conventions passées, ils les avaient laissé jouir de tous les avantages conventionnels liés à une démission ordinaire, comme eux mêmes avaient jouis de tous leurs avantages.
Cependant, c’était avec joie, même si son corps exultait sous les étreintes forcenées des trois mâles avides de profiter à fond de leur bonne aubaine, qu’elle avait vu s’interrompre cette courte période d’entière dépendance.
Elle n’en pouvait plus de toujours guetter chaque bruit, craignant à tout moment l’irruption d’un indésirable, qui découvrant le pot aux roses aurait révélé l’échange scabreux.
Enfin depuis quinze jours, elle se trouvait déliée de ses engagements, personne n’avait plus barre sur elle !
Les premiers jours, elle se sentit soulagée d’échapper à l’emprise de ses jeunes amants.
Le risque devenait trop grand, les jeunes trop imprudents, tôt ou tard ils se seraient fait prendre, et par d’autres que les chefs.
Encore avec eux avaient-elles pu monnayer leur silence, aurait-ce été le cas avec n’importe quel quidam ?
De plus ils allaient trop loin, elles ne comptaient plus les queues qui s’étaient succédées dans ses trois orifices.
Ils les avaient reléguées au rôle de garage à bites pour tous leurs copains !
Elle s’était sentie descendre mollement, sans réaction le sentier d’une totale soumission, elle se voyait maintenant ravie de l’avoir quitté, son âme se réjouissant de l’opportunité qui l’avait empêché de sombrer définitivement dans cette basse dépravation que tout son corps appréciait.
Si cet état de suggestion s’était maintenu, ou en seraient -elles maintenant ? A monnayer leurs charmes au bénéfice de leurs amants ?
Sur un banc de commissariat, accusées de racolage ?
Sincèrement, elle avait tenté d’en profiter pour restaurer l’ambiance à la maison, mais, si les enfants ravis de retrouver leur vrai maman s’était tout de suite jeté dans ses bras, il était loin d’en être de même pour son époux.
Aigri, soupçonneux, toujours entre deux vins il n’avait pas voulu croire à ce retour d’affection et n’avait reçu que du bout des lèvres ses avances.
Dès le second soir, court vêtue d’une nuisette découvrant largement ses avantages, nimbée d’un parfum capiteux elle voulut reconquérir son conjoint.
Ebahi, il s’était laissé faire, ne protestant que mollement, malheureusement, par trop aviné il n’avait pu, à sa grande désillusion mener à bien l’échauffourée amoureuse.
Elle avait eu beau faire, y mettre toute sa science, la bite maritale resta inerte, molle, sur son ventre rebondi.
Dépitée, frustrée, elle avait roulé sur le dos, alors que yeux fermés, il remarchait sa rancour, la rendant responsable de cet ultime échec.
Ainsi, cette tentative de réconciliation sur l’oreiller avait tourné court.
Loin d’aboutir, elle n’avait fait qu’enfoncer un peu plus les deux protagonistes, l’un dans sa frustration, son mépris, l’autre dans sa rancour, son aigreur.
Depuis ce jour, il ne l’avait plus touchée.
Habituée à ses six ou sept saillies journalières, ce sevrage total ne pouvait que gravement la perturber.
Son corps avait accueilli avec délice les premiers jours de repos, elle avait pu calmer les meurtrissures de son anus trop souvent sollicité ainsi que les échauffements de son con surmené, mais bien vite des vagues de langueur, de chaleur inhabituelles l’avaient incommodée.
De nouveau elle dut se surveiller pour ne pas rudoyer sa progéniture, son irritation influant peu à peu sur son comportement qu’elle voulait pourtant plus amène.
Ce mercredi, en tenue d’intérieur, robe d’hôtesse largement échancrée, fendue haut sur la cuisse, elle discutait avec ses deux rejetons, attendant avec impatience Francis qui, comme d’ordinaire les emmènerait à la piscine.
Enfin il arriva, ils allaient partir.
Marc réclama quelques biscuits pour son goûter.
Innocemment, elle grimpa sur une chaise et tendant le bras chercha à attraper le paquet remisé en haut du placard à provisions.
Une soudaine chaleur lui embrasa les reins, son intuition lui souffla que quelque chose d’inhabituelle se tramait.
Jetant un oeil discret sur le miroir mural, elle comprit instantanément la raison de cette montée orageuse.
Ses enfants encore assis à table, Francis s’était avancé pour recevoir le paquet de biscuits, il était maintenant figé, les yeux braqués sur sa ceinture.
Son reflet dans le miroir lui dévoila le spectacle qu’elle offrait en toute innocence au jeune adolescent subjugué.
Sa posture, bras tendu, reins cambrés avait obligé sa robe ample à se retrousser haut sur ses cuisses dodues, alors que la fente latérale, largement ouverte laissait entrevoir son absence de slip, tandis qu’un de ses seins choisissait la liberté, s’évadant de son écrin.
Immédiatement, elle comprit que de sa place, légèrement en contrebas, il devait avoir un point de vue enivrant, elle sentait son regard parcourir sa toison frisée à la recherche de l’entaille mauve qui la faisait femme.
Sous le choc de ce bloc d’envie sauvage, elle chancela et rougit tandis qu’une sournoise langueur amollissait ses jambes.
La brûlure dans ses reins s’intensifia, se généralisa, des langues de feu escaladaient maintenant ses lombes pour éclater en myriades d’étoiles dans son cerveau enfiévré.
Alors, au lieu de reprendre une tenue plus digne, moins équivoque, et de réprimander gentiment l’adolescent, comme toute honnête ménagère l’aurait fait, elle tendit encore le bras, accentua encore la cambrure de sa croupe, se tourna légèrement de profil, dévoilant plus encore sa riche nature.
La fente de sa robe dévoilait maintenant crûment les poils frisés de son pubis.
L’angle qu’elle avait adopté permettait au jeune voyeur de se régaler de toute la surface de la cicatrice féminine qui baillait insolemment, se lustrant petit à petit d’une cyprine luisante.
Ses yeux ne quittèrent la chatte complaisamment offerte que pour s’ancrer sur le téton dardé qui fleurissait dans l’échancrure de son corsage.
Elle sentait le regard caresser le tendre volume, exacerbant son raidissement et son envie.
Alors que de petits élancements, pointes de feux couraient sur ses aréoles, oppressée, elle comprit qu’elle ne pouvait plus longtemps garder la pose sans risquer d’alarmer ses chérubins.
Lascivement elle se tourna vers le jeune male affolé, d’instinct il tendit les bras, pour l’aider à descendre de son piédestal.
Comme par inadvertance, sa main s’engouffra dans la fente de la jupe, il lui prit les fesses à pleines mains, s’imprégna furtivement de leur chaleur avant de les abandonner vivement , comme brûlé à leur contact.
Francis n’en croyait pas ses sens, il sentait qu’elle s’était offerte, certainement dans un instant d’égarement.
Dans son inexpérience il avait compris qu’elle était bonne à cueillir, et pourtant il n’osait encore y croire.
Résolu à se ménager le temps de la réflexion, il enjoignit d’un geste aux enfants de le suivre.
— Allons y. Dit il, l’abandonnant échevelée sur le pas de porte.
Titubante, encore sous l’impact de ce désir clairement exprimé et ses propres envies, elle s’affala plus qu’elle ne s’assit sur le canapé du salon.
Furieusement, sa main glissa entre ses cuisses largement disjointes, et trois doigts dans le vagin, elle se masturba avec rage.
Le clapotis de son vagin inondé ne cessa que lorsque tétanisée par l’or-gasme elle feula un long râle de bonheur.
Molle, le ventre encore parcouru de frémissements nerveux, elle sombra dans une somnolence réparatrice.
Toute engourdie, elle se laissa envahir par de troubles rêves éveillés, elle se retrouvait au temps ou elle forniquait avec ses jeunes amants.
Miloud se plantait avec vigueur dans ses fesses qu’elle agitait d’ailleurs de façon spasmodique, entretenant ainsi son plaisir, alors qu’elle aspirait à pleine bouche le jus acre de Stephan.
Peu à peu, l’image se troubla, évolua et bientôt le visage de Francis remplaça celui de Miloud, celui de Stephan s’estompa à son tour et ce ne fut plus qu’au jeune voisin qu’elle se livra avec chaleur.
Un cri de jouissance la tira de sa torpeur, elle réalisa alors que ce cri émanait de sa propre gorge, toute à sa rêverie, elle avait repris les manipulation fiévreuses de son sexe elle venait tout bonnement d’arracher un deuxième orgasme à son corps embrasé.
Le reste de l’après midi, elle évolua comme dans un rêve, consciente que, malgré elle son corps et son âme aspirait à se soumettre à nouveau, et qu’inconsciemment elle avait déjà choisi de plier sous la férule d’un nouveau maître juvénile.
Elle s’étonnait de ne pas avoir ressenti cette envie avec les trois chefs à qui elle avait du vendanger son corps.
Elle comprenait que simplement elle avait besoin de dépendre d’un plus jeune qu’elle, que ses amants avaient créé chez elle une telle dépendance qu’elle n’aspirait plus qu’à s’humilier, se prosterner devant un maître de leur âge.
C’est dès ce moment qu’elle décida en toute conscience de vamper le jeune Francis pour mieux se placer ensuite sous son joug.
Déjà l’esprit enfiévré, elle évoquait différentes ruses pour l’amener à se découvrir, finement elle pensait qu’il ne s’y risquerait pas sans encouragement.
Fébrilement, elle revêtit une tenue la mettant en valeur, elle enfila une courte jupe à même la peau, et noua un foulard sur son opulente poitrine, qu’elle envisageait de promener à l’envie sous ses yeux.
A leur retour, ni Frédérique et ni Marc ne s’étonnèrent de cette tenue si légère, ils étaient habitués à ce que leur mère, de mours libérés, dévoile ses appâts en toute innocence les jours de forte chaleur, inconsciemment ils en conclurent que Francis se voyait élevé au titre d’intime de la maison, ce qui, pour eux était déjà acquis depuis bien longtemps.
Le sentiment de Francis fut bien différent, tout l’après-midi il avait hésité, attribuant l’attitude de Françoise tantôt à une invite claire, tantôt au hasard.
Il ne savait à quel saint se vouer, et maintenant encore qu’elle lui dévoilait ses trésors à tout moment, il n’osait comprendre.
D’un oeil exorbité il suivait tous ses déplacements, à l’affût du moindre de ses gestes pour lui fort révélateur.
Ses yeux s’emplissaient de tous les charmes que chaque mouvement lui révélait.
La tête farcie d’images croustillantes il voulut prendre congé.
Dans un dernier réflexe de convoitise, elle le pria de surveiller les devoirs des enfants tandis qu’elle prendrait une douche rafraîchissante.
Hagard il se laissa conduire au fauteuil face au couloir.
Les enfants déballèrent leurs affaires de classe et entamèrent leur travail.
Il s’avisa bien vite que de sa place, il avait une large vue sur la salle de bain que, par inadvertance elle avait oublié de fermer.
Il ouvrit la bouche pour la prévenir de son oubli, puis réalisant l’aubaine qui lui échoyait, il se tut.
Comme ignorante de sa présence, elle se dévêtit rapidement et prit place sous la douche, de la main elle suivait les contours de ses flancs généreux, caressant longuement les pointes dardées de ses seins, avant d’engouffrer sa main entre ses fesses, en écartant largement les deux globes.
Son cour eut un raté alors que s’étalait sous ses yeux les charmes les plus secrets de cette belle femme, jamais, même dans ses rêves les plus pervers il n’aurait osé imaginer l’exubérance de ces chairs, il voyait tout, depuis l’anneau ridelé, plus sombre de l’anus, jusqu’à la carnation mauve du sexe entrouvert.
Toute la durée de la douche, il se remplit les mirettes de la féminité de la voisine.
Consciente de l’avoir échauffé un maximum, elle se frotta longuement de la serviette, exposant encore plus ses charmes plus du tout secret aux yeux de son jeune mateur.
Le malheureux, sous l’oil des enfants ne pouvait même pas se branler, avec stoïcisme il laissa sa queue se développer douloureusement dans son jean serré, enfin au bord de l’explosion, il se leva, et furtivement dans le dos des enfants penchés sur leurs devoirs, d’un geste preste il sortit sa queue et éjacula à gros bouillon dans la paume de sa main.
Amusée, elle guetta discrètement le signe de sa jouissance et avec bonheur elle le vit se hâter vers la cuisine, ou sans nul doute il allait se laver les mains poisseuses de son foutre.
A son retour il la retrouva douillettement enveloppée dans son peignoir de bain.
Sous son oeil ironique, il prit congé, pressé de rentrer chez lui pour réfléchir au calme.
Ce soir là son mari s’étonna de sa bonne humeur, il n’en tira aucune conclusion et se referma encore plus dans son amertume, jaloux de voir les autres s’amuser alors que lui…
Les jours suivants, elle accentua ses avances, minaudant, dévoilant ses appas à chaque occasion, mais Francis, bien que très tenté n’osait pas faire le premier pas.
Le besoin de se plier aux volontés et aux saillies de plus jeune qu’elle devenait obsédant, chaque nuit, parfois même le jour, elle rêvait de se plier sous un jeune corps, le manque d’initiative de Francis exacerbait ses désirs tout en l’irritant de plus en plus profondément.
Elle cherchait comment amener le doux Francis à la contraindre, à abuser de son corps selon ses désirs.
Elle ne savait comment l’encourager discrètement, il ne devait en aucun cas se rendre compte qu’elle cherchait délibérément à se placer sous son autorité.
A force de réflexion, l’idée lui vint, elle mit deux jours à en préparer le scénario.
Enfin elle était prête, assurée qu’il ne pourrait y voir qu’un heureux concours de circonstances.
Sachant que ce vendredi, il avait donné rendez-vous aux enfants vers quinze heure dans le salon, s’arrangea-t-elle pour les éloigner momentanément, elle avait tout juste besoin d’un petit quart d’heure en tête à tête
Comme à l’accoutumée, Francis entra sans frapper, elle le sentit arriver dans son dos, et tout de suite, elle enclencha le magnétoscope.
La bande bien calée démarra.
Elle le sentit haleter dans son dos, les yeux rivés à l’écran.
On l’y voyait emmanchée sur le copain de Miloud, celui qui avait une si grosse bite, elle suçait à pleine bouche le petit blond, tandis que Miloud lui même lui écartelant les fesses cherchait à percer son pertuis béant.
Il ne s’attarda que quelques secondes, comme prévu, il quitta la pièce à pas feutrés, sortit sans bruit.
Deux secondes plus tard, il pénétrait à nouveau dans la pièce, claquant avec fracas la porte d’entrée.
Simulant la plus grande confusion, rougissante, elle se précipita sur la télécommande, éteignit l’écran, puis, dans une grande agitation elle récupéra la cassette qu’elle glissa vivement dans son petit coffre personnel
Elle paraissait si confuse, si agitée, qu’elle en oublia de le refermer à clé
Sûre qu’il avait épié tous ses mouvements, qu’il s’était bien rendu compte de son "oubli", elle hoqueta :
— Francis… Je ne t’attendais pas si tôt… Les enfants vont arriver… Je… Je regardais la télé… Je vais me changer… Prends un siège… Ils vont arriver… Et rapidement elle se glissa hors de la pièce, lui laissant le champ libre.
De sa chambre, par la porte restée entrebâillée, elle pouvait l’épier, surveillant ses gestes dans un miroir qu’elle avait mis deux jours à orienter parfaitement.
Avec joie, elle le vit dès son départ se glisser furtivement jusqu’au petit coffre, l’ouvrir et s’emparer avec décision des deux cassettes et de l’album qu’il recelait.
Enfin ça y était, si avec ça il ne cherchait pas à la soumettre à ses désirs, c’était à ne plus rien y comprendre, songeait-elle ravie, la balle était dans son camp, à lui de la contraindre maintenant.
Il ne lui restait plus qu’à attendre son bon vouloir, il avait là tous les arguments propres à faire chavirer même la plus honnête des femmes.
Francis n’avait plus qu’une hâte, se débarrasser au plus vite des deux petits gêneurs pour courir dans sa chambre visionner la totalité de ces films si alléchant s’il en croyait les quelques images entraperçues.
Des pas retentirent, en souriant elle l’entendit prétexter d’une migraine subite pour reporter l’activité prévue.
Francis une fois parti, elle ne vérifia même pas son coffret sûre du larcin et s’occupa dans la plus grande allégresse de ses enfants.
Un jour, deux jours, trois jours passèrent, Francis, qu’elle avait croisé à plusieurs reprises ne se manifestait toujours pas…
Allons bon, elle allait encore devoir saisir le taureau par les cornes, était il possible de se montrer si timoré ?
Avec les preuves qu’il avait en main…
Enfin…
Le mardi, comme, par hasard il entrait dans la cuisine, il la trouva sanglotantes, la tête entre les mains elle laissait cours à un pseudo chagrin.
Il ne pouvait se douter que depuis tôt le matin, un oignon à portée de main, elle guettait son arrivée !
Avec douceur, il s’informa :
— Madame… Madame Françoise… Que vous arrive-t-il… Un problème ? Un accident ?
— Non… Non… Renifla-t-elle pitoyablement, et lui prenant la main, comme à bout de résistance, elle se confia, le choisissant comme confident .
— J’avais dans mon coffret des… Des documents compromettants… Et… On me les a… Dérobés… Je ne sais pas qui… J’ai peur… Si mon mari… Mes enfants venaient à les voir… Je serai… Je serai perdue…
— Allons… Françoise… Feignit il de la consoler, entrant dans son jeu, soudain décidé à battre le fer tant qu’il était chaud.
— Ces documents… Qu’ont-ils de si dangereux, que vous ne puissiez ? Soyez plus claire… Je cherche à vous aider, mais si je ne sais pas… Pour ça… Il me faut savoir…
— Des choses… Je ferai peut-être mieux de tout te dire… Qui sait… Tu trouveras peut-être qui a… Il y a six mois… Des jeunes de l’IME… Ils m’ont fait chanter… J’ai du faire… Tout… Tout ce qu’ils voulaient… Pour qu’ils gardent le silence… Tout… Ils m’ont tout fait… Ils ont profité de moi à fond et le pire… Ils m’ont filmé… Ont pris des photos… On me voit en train de me faire… Avec un… Deux… Même trois jeunes à la fois… Ils m’ont… Baisée… Sodomisée… Et pire encore… J’avais tout récupéré, et au lieu de les détruire… Bêtement je les avais rangées dans ma cassette… Elles n’y sont plus…
— Et… que ferais-tu si les voleurs te menacent de tout dévoiler ? Demanda-t-il, un tremblement dans la voix, passant incongrument à un tutoiement plus approprié.
— Je serai obligée de recommencer… Comme ces derniers mois… J’accepterai tout plutôt que de risquer…
Ayant digéré ces informations, l’attitude de Francis se modifia du tout au tout, et comme , secrètement elle l’espérait, le gentil garçon un peu niais se transforma instantanément, se révélant sous un tout autre jour.
— Eh bien ma salope ! sois contente… Elles ne sont pas loin tes bandes… Tes photos… Elles sont dans le tiroir de mon bureau pour être plus précis…
— Non… Non… Moi qui te croyais mon ami… Qu’est-ce que tu me veux… Tu ne veux tout de même pas… Tu n’oserais pas…
Elle pensait qu’en le défiant ainsi, elle pousserait à fond son désir, qu’elle ferait sauter les derniers freins de sa censure.
Comme elle l’escomptait, ce qui démontrait d’ailleurs ses dons de psychologue, cette petite phrase porta ses fruits.
Il se redressa furieux, que l’on puisse mettre ainsi en doute ses capacités de décision, et les yeux exorbités, se dégrafant avec violence, la voix grondante il ordonna :
— Ah genoux salope… Tu vas voir si tu me fais peur… Suces… Et plus vite… Tu n’as pas le choix !
Il ne pouvait savoir qu’agissant ainsi, il comblait ses désirs les plus profonds.
Refreinant ostensiblement un sanglot, avec lenteur, après une vague hésitation elle s’agenouilla et la main tremblante s’empara du sceptre tendu qui menaçait ses lèvres .
Bigre qui aurait pu croire qu’il soit si membré !
Le beau Francis proposait à sa convoitise une belle flamberge, épaisse, longue, raide à souhait.
Déjà la queue en main, elle brûlait du désir de la sentir vibrer dans sa bouche.
Elle ne devait pourtant pas marquer une hâte suspecte, aussi freinant délibérément son envie, la mine défaite elle feignit encore l’hésitation, passant une langue tremblante sur le vit brandi, comme repoussant l’inéluctable instant ou elle devrait l’emboucher.
— Grouille l’encouragea-t-il… La voix oppressée
— Fourres la dans ta bouche… Lèches… Sinon…
Maintenant elle pouvait décemment l’absorber, il était convaincu qu’il la pliait à ses ordres, aussi avec délectation elle ouvrit largement les lèvres et goba voracement le chibre convoité.
Avec un soupir de satisfaction, de bien être il s’engouffra dans le fin fond de sa gorge, mais à peine eut-il le temps de goûter le contact de sa langue de velours, de l’écrin soyeux de ses lèvres, que dans un râle sauvage, il s’exonéra en giclées puissantes dans son pharynx.
Sans marquer la forte déception qu’elle ressentait du fait de cette conclusion hâtive, elle continua d’aller et venir sur sa hampe tout le temps de sa longue éjaculation, avalant à petites gorgées le foutre tiède qui lui tapissait la gorge, puis sans rien y paraître, sournoisement, serrant ses lèvres à la base même de ses couilles elle entreprit de lui rendre une vigueur de bon aloi.
Tout à sa joie d’avoir souillé de son foutre la gorge de la belle qu’il convoitait depuis quelques jours avec la plus grande violence, éperdu de bonheur, il la laissa faire se réjouissant de sentir sa bite reprendre de la consistance dans la chaude caverne.
Cette fois, elle voulait recevoir le fruit de ses efforts, aussi sa bouche se fit-elle tendre, la caresse de se lèvres aériennes.
Elle l’aspirait jusqu’au delà de son gosier, puis retirait lentement la tête, caressant longuement de ses lèvres les moindres replis de sa tige avant de l’enfourner de nouveau avec la même savante lenteur.
Cette fois la fellation dura longtemps, comme s’il en était besoin, d’un seul coup, lorsqu’il se cabra il resserra sa prise sur la nuque de sa zélée pipeuse, s’enfonça encore plus, lésant les amygdales, repoussant la luette dans l’arrière gorge, et de nouveau à de gros bouillons épais, crémeux, inondèrent son palais.
Empressée elle avala goulûment le sperme tiède qui la ravissait, puis elle s’attarda longuement à la toilette du braquemart tressautant qui venait de lui accorder tant de joie avant de le ranger avec habileté dans son slip.
Ne doutant pas qu’il devait à la menace qu’il faisait planer sur sa tête ce succulent pompier, la voix mâle il exigea :
— Dorénavant tu seras à ma botte… Je te ferai tout ce que j’ai vu sur le film… Tout… Je te baiserai à couilles rabattues… Je te défoncerai le trou du cul… Tout je te dis… Tu devras m’obéir…
Affichant une mine honteuse, contrite, elle souffla :
— Oui… Oui, mon chéri… Tu feras de moi ce que tu voudras… Je serai ta chienne… Mais je t’en prie ne dis rien à personne…
La fine mouche avait atteint son but, à nouveau elle devrait se plier sous le torse d’un jeune amant, qui, elle n’en doutait pas en prenant de l’assurance, et au besoin grâce à de discrètes suggestions saurait la faire râler sous lui, et très certainement, l’autorité venant sous d’autre.
A nouveau elle devrait combler les désirs, les voux d’un adolescent qui ne tarderait pas à la traiter en objet, à l’échanger, à l’avilir.
Elle retrouverait ce fort sentiment de honte, d’humiliation
de déchéance dont elle avait tant besoin pour jouir à pleine gorge, son corps se verrait à nouveau souillé par des étreintes, même les plus bestiales qu’elle ne pourrait refuser… La pleine vie reprenait .
EPILOGUE .
Comme elle l’entendait, Françoise amena son jeune voisin a asseoir son emprise sur elle, elle lui suggéra le plus souvent les étapes qui l’amèneraient à une totale dépendance, inventant des situations, des actions qui peu à peu révélèrent en Francis des qualités insoupçonnées .
Par son entremise, elle pervertit à son tour son mari, mettant ses copines à son entière disposition, bientôt, Francis vécut comme un coq en pâte, disposant à son gré des quatre femelles et en faisant disposer le mari de Françoise, ce qui leur permit de varier à l’infini les scénarios.
Sylvie retrouva du boulot, recommandée par André, elle sut de la bouche, du con, du cul gagner une place bien méritée.
Fabienne et Murielle, tout comme elle se prêtèrent avec jubilation à leurs jeux.
Complices de Françoise, elles surent tout comme cette dernière suggérer des situations scabreuses qui semblaient toujours venir des mâles; alors qu’en réalité elles menaient le jeu..
Coulybaca
Janvier 2008-01-03