Qu’on parle d’hier soir ?
Oui, c’était incroyable, j’ai encore du mal à y croire ! C’était top non ?! Je ne pensais pas que tu irais jusqu’au bout, moi non plus d’ailleurs !
Je reste bête, allongé dans mon lit, je suis perdu. Ce n’était donc pas un rêve ou ai-je rêvé de ma soirée passée ?
J’avais un peu forcé sur le whisky c’est vrai, mais de là à confondre le rêve de la réalité… Cette partie de baise à quatre n’était donc pas un rêve ! Mais comment était-ce possible ?
Je t’avoue que je ne sais pas trop ce qui nous a pris !
Tu regrettes ? Merde, tu regrettes ! Tu m’en veux ? Je suis désolée, j’étais tellement contente de réaliser mes deux fantasmes avec toi, j’aurais dû t’en parler avant. J’ai toujours eu envie de baiser devant d’autres personnes et aussi de me faire prendre pendant que j’en suce un autre.
Je suis sidéré devant ces révélations, comment ai-je pu à ce point me tromper sur Laure, ma propre femme.
Elle, la sage petite bourgeoise des beaux quartiers, la sainte-nitouche était en réalité une vraie petite salope !
Non, non je ne regrette pas, enfin si pour toi ça va, ça me va aussi, c’était vraiment bien, c’est vrai ! Mais j’ai un peu de mal à comprendre.
Tu n’as jamais vraiment parlé sexe et fantasmes et là, direct, on se retrouve en train de baiser devant nos voisins et tu l’as même…
Oui, oui je sais ! Je me suis laissé emporter par l’excitation, et puis je te sentais tellement excité aussi, je n’ai pas vraiment calculé !
Si j’avais su… On aurait pu en profiter beaucoup plus depuis tout ce temps !
Carrément, on a été con ! On peut dire merci à Claire !
Claire ? Comment ça ?
Que savait-elle de Claire ? Que lui avait-elle dit exactement ? Une formidable porte venait de s’ouvrir, il n’était pas question de tout gâcher en lui avouant que je baisais sa copine depuis trois mois.
Hier soir, ce n’était pas vraiment improvisé en fait… pour tout te dire, ça fait même longtemps qu’on prépare cette soirée… Tout a commencé début juillet à leur emménagement… Je veux bien tout te dire, mais promets-moi de ne pas te fâcher !
OK…
Je m’attendais au pire sans vraiment savoir ce qu’elle allait bien pouvoir me raconter.
On a fait connaissance le jour de leur emménagement et on na pas mal discuté, puis elle est passée me voir au magasin, on a accroché direct. Tu sais bien, je n’ai pas vraiment de copine dans cette ville, pour une fois que je rencontre une fille sympa avec qui je peux papoter… et puis toi, avec tes cours de Judo ou Jiu-jitsu quasiment tous les soirs, je m’ennuyais parfois et elle aussi, Jérôme passe sa vie et ses soirées au boulot… Du coup, on na pas mal discuté par SMS ou l’une chez l’autre avant même que je te les présente fin août.
La soirée fin août ? Au bord de la piscine ? Tu la connaissais déjà bien ?
Oui, on avait déjà beaucoup parlé, et on s’était confié l’une à l’autre. Claire m’avait expliqué la relation libre qu’elle avait avec Jérôme, du coup, on na pas mal parlé de ce qu’on aimait, de nos fantasmes. C’est là qu’elle m’a proposé son aide pour qu’on s’éclate un peu plus au lit tous les deux.
Sympa… t’aurais pu m’en parler non ?! Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
Je ne voulais pas te perdre, je suis toujours aussi amoureuse de toi et ton côté viril, sûr de toi m’a toujours beaucoup plu, j’aurais juste aimé que ça se traduise au lit, que tu me respectes un peu moins et que tu t’imposes franchement. J’avais peur que tu me prennes pour une salope en te demandant de me baiser comme tu l’as fait hier soir…
Hum, ouais je comprends… Et du coup, tu as demandé à Claire de t’aider à m’exciter hier soir ?
Pas qu’hier soir, je t’ai dit ça fait un moment… A la soirée fin août, au bord de la piscine, je lui ai fait visiter la maison, tu te rappelles ? Elle en a profité pour m’expliquer son plan, elle avait bien vu que tu la matais en douce, je t’avais grillé aussi d’ailleurs, mais je ne t’en veux pas, elle est tellement attirante ! Du coup, on s’est mis d’accord pour qu’elle t’allume, te provoque pour réveiller le mâle, comme elle dit. On s’est aussi embrassé cette fois-là pour la première fois, au fond du jardin… Laure m’avait dit OK pour s’occuper de ton mec et le chauffer pour toi, mais en échange j’ai très envie de t’embrasser. J’avais accepté avec plaisir, je ne te l’ai jamais dit, mais à la fac, j’avais déjà tenté avec une copine et ça m’avait plu alors avec une bombe comme elle… Je m’en suis voulu un peu, mais bon en même temps, on s’était juste roulé une pelle et caresser un peu, rien de méchant…
Tu étais au courant depuis le début ?
Je ne savais plus comment réagir, Claire lui avait-elle tout dit ? Et Laure s’était bien foutue de ma gueule pendant tout ce temps ! J’étais énervé contre Claire, contre Laure, contre moi-même… contre tout le temps en fait !
Oui le lendemain au bord de la piscine, j’étais très excitée quand tu la caressais à côté de moi, j’aurais trop voulu te sucer ce jour-là ou te voir la baiser, mais tu n’as pas osé, tu n’étais pas encore prêt, alors on a été à l’eau et tu es remonté… d’ailleurs on en a profité pour s’embrasser encore, toutes les deux en bikini, seins contre seins…
L’entendre raconter ça m’énervait et m’excitait en même temps, je bouillais et bandais en même temps
Et si je vous avais grillés par la fenêtre ??
C’était le risque ! Mais on a vite arrêté de s’embrasser pour garder nos mains sous l’eau. On s’est fait plaisir dans la piscine, Claire a glissé sa main dans mon maillot et commencé à me caresser… elle est vraiment douée, et j’ai fait pareil ! Elle a réussi à me faire jouir juste en me doigtant.
Je m’en voulais un peu pour toi, on t’avait chauffé et tu étais remonté avec une belle trique alors je lui ai dit de monter te voir pour tenter quelque chose… Et tu as bien craché dans ton boxer petit cochon ! J’aurais bien aimé le lécher, mais tu t’es empressé de le laver.
Ensuite, il y a eu le footing où tu as commencé à te lâcher un peu plus, tu l’as bien baisé ce jour-là non ?! Une bonne petite pipe et tu as fini par la prendre en levrette contre le bar, j’aurais adoré être à sa place, mais tu n’étais pas encore prêt.
Elle t’a tout dit ?
Oui, mais cette fois, elle n’a pas eu besoin, j’étais caché derrière la porte et je vous matais… j’en pouvais plus, je me suis doigté comme une dingue en te voyant la prendre aussi fort.
Quand tu es parti, elle s’est occupée de moi, on a filé dans sa chambre et elle m’a allongé sur le lit, ôté mes vêtements et commencé à me caresser, m’embrasser… Elle m’embrassait les seins, titillait mes petits tétons puis elle est descendue. Humm, sa langue chaude contre mon petit bouton… Elle m’a fait jouir tellement vite…
OK OK !!
Je ne tenais plus, cen était trop ! Jamais Laure ne m’avait autant excité.
OK, très bien !! Tu veux te faire baiser hein ?!? Tu veux te faire prendre comme une petite chienne ? Tourne-toi, tu vas la prendre ma bite, tu vas la sentir salope !
Sans attendre de réponse, je la retourne sur le lit et la positionne à quatre pattes, je baisse sa culotte sur ses genoux et attrape mon chibre pour lui fourrer directement jusqu’aux couilles. Elle est déjà trempée. Je commence à lui ramoner le conduit, j’attrape ses hanches pour lui démonter la chatte comme elle le mérite.
C’est ça que tu veux hein ?! T’aimes ça là ?
Huuuuuum ouiiiiiiii, vas-y baise moi fort, je suis ta pute !
Oui, t’es ma pute maintenant ! D’ailleurs je vais te prendre le cul petite chienne !
Je me retire de sa chatte gluante, mon chibre poisseux pousse déjà contre sa rondelle. Je le sens se crisper, mais je continue, ma pine est maintenant entièrement dans son fondement. Je commence à lui limer le cul lentement puis de plus en plus vite, elle commence à gémir timidement puis sous mes coups de butoir de plus en plus viril, elle finit par crier comme une truie.
Tiens prends ça dans le cul ! Crachais-je en lui déversant mon foutre crémeux au fond de son petit cul.
Nous nous étalons sur le lit, repus de sexe et vidés de toute énergie, elle me relatera en détail tout ce qui avait précédé cette soirée d’apothéose.
Nous avons revu Claire et Jérôme quelques fois après cette soirée, mais sans dérapage libertin, ils ont d’ailleurs déménagé quelques semaines plus tard, Jérôme étant muté dans une autre ville… Au grand désespoir de Laure et moi… Même si on compte bien les inviter cet été !
Depuis, nous vivons une sexualité débridée et épanouie et recherchons des partenaires pour de nouvelles expériences, qui c’est ? Je vous les conterais peut-être…
FIN