Chapitre 3 :
Ce soir, j’ai rendez vous avec James, une invitation à dîner, je me propose de préparer un dessert, une tarte oreo, chocolat et fraises, je prépare cette tarte après déjeuner et un petit moment au four, la cuisson est parfaite, je passe mon après midi à la recherche d’une tenue pour le dîner de ce soir, j’opte pour une robe courte mais très sexy qui est manches longue et dos nu.
Il est 20h très précis quand j’arrive chez lui en tenue sexy et ma tarte à la main, il m’accueille en souriant, il est très sexy ce soir, il porte un débardeur blanc, un pantalon en cuir et il est pieds nus.
— Tu es ponctuelle, j’apprécie ça et cette robe, j’approuve, dit il en m’embrassant
— La ponctualité est une de mes qualités et je ne suis pas venue les mains vides, dis-je.
— Quelle délicate attention et tu as vu juste, j’adore le chocolat, s’exclama t’il.
Nous avons dînés tous les deux et au moment où nous avons dégustés ma tarte, James se régale et s’exclame de mon génie culinaire, je rougis comme une tomate.
— Putain Johanna, tu es une cuisinière de talent, c’est délicieux …
— Je n’ai aucun mérite, c’est ma mère qui m’a appris, dis-je en repoussant mon assiette.
J’esquive poliment ce sujet car dès que je pense à ma mère, je pleure, nous sommes allés au salon où nous avons continués à discuter, je découvre que James est tout excité car je sens le cuir de son pantalon tout tendu, je lui arrache un baiser, je déboutonne son pantalon et glisse une main dedans.
— Et bien ma jolie, je vois que tu prends des initiatives, j’ai trop envie de sentir ta bouche de suceuse.
— Avec plaisir James, j’en ai aussi envie, j’ai trop envie de sucer ta belle queue …
Je ne me fais pas prier, je me place à genoux et je prends ce beau chibre dans ma bouche, je le sens gémir, c’est compréhensible, tous les mecs aiment se faire sucer et cela m’excite vraiment.
Pendant que je suis occupée à sucer ce beau jouet vivant, James a plongé deux doigts dans ma chatte qu’il agite avec délicatesse, je gémis telle une salope en chaleur, je me sens toute trempée et j’ai envie d’être baisée, de partout, envie qu’il me possède.
James retire son débardeur et m’ordonne de l’embrasser ce que je fais sans hésitation, il me murmure qu’il me désire depuis qu’il m’a vu danser, il veut me dominer, j’en ai envie aussi et d’un seul coup, des images obscènes me viennent en tête : des couples qui faisaient l’amour de manière sauvage, sans états d’âme, des ébats orgiaques, des ébats bisexuels, des ébats sadomasochistes où les femmes sont attachées, les yeux bandés, la bouche garnie d’un gagball et le cul garni d’un plug anal.
Sans un mot, il se détache de moi, je m’assieds et il s’installe entre mes cuisses, il retire ma petite culotte blanche qu’il fait glisser entre mes jambes et qu’il met dans la poche de son pantalon.
De sa langue agile, il joue avec mon clitoris, j’écarte mes cuisses de plus belle et je retire ma robe, me voilà entièrement nue pour mon partenaire, j’avais très envie de me faire prendre par ce mâle, je crois que ma prière est exaucée quand il prend un préservatif rangé dans sa poche, il retire son pantalon et il s’installe entre mes cuisses et il me prend, sans ménagement.
C’est si bon de vivre le plaisir, James m’assène de ses coups de reins si puissants, j’ai envie de jouir mais je me retiens, je me caresse le clito pendant qu’il est occupé à me baiser tout en me donnant des regards coquins, des regards sensuels, des regards dominateurs et des regards qui dit ce qu’il ressent pour moi.
James se retire et me demande de m’installer face à lui de dos et les jambes écartées, je m’exécute et il me dit qu’il revient dans une minute, il m’a demandé de rester immobile et en effet, il revint une minute plus tard, je l’entends poser quelque chose sur la table basse, je sens qu’il immobilise fermement mes poignets qu’il noue avec des menottes et qu’il me couvre les yeux avec un bandeau en cuir, je me sens vulnérable mais offerte tout d’un coup.
Je le sens écarter mon petit cul et je sens une petite sensation de froid sur ma cavité anale, je devine immédiatement qu’il s’agit d’un lubrifiant, je le sens taquiner délicatement mon petit trou avec ses doigts, je me crispe car la sensation est bizarre, presque encombrante mais la sensation se fait encore plus voluptueuse quand son chibre à remplacé ses doigts, la sodomie est un plaisir souvent critiqué mais souvent apprécié car c’est une pratique aussi vieille que le monde.
C’est si bon de se faire sodomiser, James n’hésite pas à me donner de généreuses claques sur le cul pour me motiver, je remue mon cul pour savourer encore plus ce moment explosif.
— Oh putain, comme tu vibres princesse, ton cul est une vraie merveille …, s’écria t’il dans un râle.
— C’est si bon James, oh oui, c’est trop bon, dis je en gémissant.
Il a continué à me sodomiser pendant un bon moment jusqu’à ce que le plaisir gronde dans mon ventre, je jouis et James se retire, il retire son préservatif et me demande de le faire jouir à son tour.
Il se met debout et moi, il enlève mon bandeau, il retire les menottes je tombe directement à genoux, je suce et je touche énergiquement cette queue qui n’a pas cessé de bander, encore quelques caresses et il est à point.
Et ça n’a pas loupé, il a joui quelques minutes plus tard dans ma bouche, je retrouve le délicieux goût du sperme, cette saveur chaude, crémeuse à souhait et bien salée.
Juste après cette jouissance, nous avons pris une douche et vu qu’il était très tard, il a suggéré que je reste dormir chez lui, j’accepte vu que je n’ai pas trop le choix, je m’endors dans ses bras sachant que cette nuit, elle ne me ménagera pas, je serais prête pour un corps à corps nocturne.
