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Trail en famille – Chapitre 3

Trail en famille - Chapitre 3



Petite balade en montagne.3

(Ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.)

Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands-parents avec toute la grande famille.

Je cède à regret mon tour à Annie, elle est moins autoritaire et le laisse uvrer quelques minutes. Nous sommes de chaque côté des puceaux et les encourageons de la voix et des mains.

Mais Annie réalise vite la différence entre le plaisir en solitaire et un vrai partenaire. Elle hurle, son corps s’arque tout en entraînant la tête de Charles qu’elle emprisonne entre ses cuisses. Elle se vide en appelant sa mère dans la bouche de Charles qui ne peut que subir.

-Mamannnnn ! Que c’est booonnn !… Arrrggghhh !

Suite

Elle rejette Charles que j’étends sur le dos et m’empresse de chevaucher, lui montrant mes fesses.

Les premiers centimètres sont les plus terribles de mon existence mais aussi les plus féériques.

Son énorme gland laboure mon intimité. Je m’en sers comme d’un goupillon sur à peine quelques centimètres, frottant et re-frottant son chapeau sur mon point G. C’est divin et je risque de défaillir tellement la vague de plaisir est forte. Julie en profite pour parfaire son éducation.

-Tu vois, il n’en faut pas beaucoup pour le bonheur d’une fille, juste quelques centimètres !

Mes bras tremblent tellement que je me laisse aller et m’empale plus que de raison sur son rostre.

-Putain ! Il me défonce la chatte, son gland vient de ramoner des lieux encore vierges !

Je suis étonnée que ma grotte ait réussi à engouffrer un tel gourdin. J’y vais maintenant franco sur cet axe vertical mais un sentiment de manque me tracasse.

Oui, c’est ça ! Charles est complètement passif, appuyé sur ses avant-bras regardant d’un air absent une de ses cousines chevaucher sa verge. Il faudra qu’il change d’attitude mais pour aujourd’hui, ça ne m’importe pas plus que mon premier string.

Julie ne veut pas en rester là et s’exclame :

-Eh, ne nous oublie pas ! Tu as la bite occupée mais ta bouche et tes mains sont libres

Elle prend la main droite du cousin et la pose sur sa poitrine

-Allez, grand nigaud, caresse-les Tu en as déjà caressés?

— Euh, non

Ses yeux ne quittent plus les seins orgueilleux de Julie. Sa main en saisit un, elle gémit

-Tu sens comme c’est doux. Rien que le contact de ta main fait gonfler mes pointes. Oui ! Prends mon têton entre tes doigts. Tu sens comme il devient dur ? C’est toi qui le fais durcir. Maintenant prends-le entre tes lèvres. Ooouuuiii ! Ne t’arrête plus !

Sa main s’est posée sur l’autre sein qu’il masse avant d’en pincer le mamelon. Julie râle pendant que je continue à approcher de l’orgasme solitaire sur cette queue toujours aussi ferme mais aussi inerte qu’un gode.

Elle râle, quand il lui mordille les mamelons. Ses tétons sont si durs que ça lui fait mal à chaque coup de dents. Mais je suis arrivée au point de non-retour et inonde de ma cyprine le gourdin de Charles avant de m’écrouler à côté de lui.

Julie n’attendait que ça. Elle repousse Charles et se précipite sur le pic le faisant disparaître dans sa moule avide. Elle pose ses mains sur le buste de Charles et se poignarde à une vitesse folle. Ils sont yeux dans les yeux et je vois l’incompréhension dans le regard de Charles. Il est complètement dépassé par les événements. Ça va trop vite pour lui.

Annie se rapproche de lui, lui prend la main et la glisse entre ses cuisses. Elle se sert de ses doigts comme d’un gode mais je me demande s’il s’en rend compte. Je les regarde un moment le temps de reprendre mon souffle mais ne veux pas n’être que spectatrice. Je m’agenouille sur sa tête lui donnant à nouveau ma foufoune à brouter.

Ça le fait un peu sortir de sa léthargie et sa bouche s’active sur mon coquillage. Comme pas mal d’hommes, il ne peut faire bien qu’une seule chose à la fois et j’ai la meilleure place.

Julie, elle aussi, arrive à se donner du plaisir sur ce chibre décidément fainéant et mélange sa liqueur à la mienne.

— Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa…aaa…alaud, tu me fais du… bien…, ouiiiiiiiiii, en…en…core ! Plus fort, plus au fond ! Aaaaaaah ta gro…oo…oo…osse biii…ii…ii…iite me faii…iii…it du…u bien… !

Annie a bien remarqué que la place toute chaude est libre sur ce gourdin mais n’ose pas passer à l’acte. Il faut dire que pour une première fois, elle n’a pas choisi un modèle small, le diamètre de la hampe de cet engin est assez standard, mais la tête est disproportionnée.

Nous l’encourageons :

-Tu sais, ce n’est qu’un court moment de douleur pour toute une vie de plaisir, allez lance-toi ! Et avec Charles, au moins c’est toi qui mèneras la danse.

Elle se laisse faire et s’accroupit sur les cuisses de Charles, je ne sais pas lequel est le plus effrayé.

Elle décolle les fesses de ses cuisses mais n’ose pas prendre l’épieu de Charles qui repose sur son bas-ventre. Je me dévoue, saisis le jonc toujours aussi vigoureux et le redresse.

Je frotte le gland sur les lèvres intimes d’Annie, l’insinue doucement dans la fente, le promène plusieurs fois avant de l’immobiliser devant sa matrice.

Annie plie les genoux mais par deux fois hésite avant l’instant fatidique. Julie qui s’était relevée vient appuyer de toutes ses forces sur les épaules de sa cousine qui, surprise, s’empale en une seule fois sur cette trique formidable. L’hymen n’a pu résister devant l’intrus et elle hurle avant de s’affaler sur le corps de Charles.

Il ne bouge toujours pas. Nous aidons Annie à se redresser et l’atavisme prenant le dessus, elle commence à monter et descendre sur l’axe infatigable de son cousin. Dabord doucement et précautionneusement, puis de plus en plus vite avant de nous avouer :

-Mon Dieu, les filles, c’est divin ! Mais je sens passer le bout de son bélier, putain qu’il est gros !

Soudain nous entendons Charles parler pour la première fois de la soirée, comme s’il venait seulement de se réveiller.

-Comme tu es serrée ! Beaucoup plus que tes cousines Mais qu’est-ce que tu me fais ? On dirait que j’ai mis la bite dans une trayeuse !

Au bout d’un moment, il prend enfin l’initiative, ce n’est pas trop tôt.

Il renverse Annie et se met à aller et venir dans sa chatte en mouvements amples, sortant presque totalement sa tige pharaonique avant de replonger au fond de la chatte de sa cousine dont les muscles intimes massent avec vigueur sa pine.

Il coulisse de plus en plus vite en elle, la tirant par les hanches pour pénétrer encore plus loin, plus profond.

Ses couilles frappent avec force contre le pubis. Chaque coup comprimant sous la poussée du piston de l’air qui s’échappe en faisant un drôle de bruit, il la besogne en s’emportant :

— Que c’est bon de baiser, je vous ai toutes baisées !

Annie a aussi viré sa cuti.

-Défonce-moi ! Plus fort ! Prends-moi à fond ! Je sens ta lance grossir, tu es devenu énorme, je sens que tu vas jouir. Viens, rejoins-moi dans l’orgasme ! Je sens ta sève brûlante couler en moi. Ooouuuiii !!!!!

Charles tremble de tout son corps mais continue de l’honorer de puissants coups de bélier. La chatte d’Annie palpite autour de sa queue, ne pouvant maitriser son pouvoir de succion.

Quand enfin ils se désaccouplent, le carrosse redevient citrouille. En quelques secondes, le si fier braquemart se retransforme en zizi à peine sorti de la puberté.

-Bon, je crois que ça suffira pour la première fois ! Jette Julie, mais il va falloir que tu mettes un peu plus du tien la prochaine fois. Et on a encore des choses à te faire découvrir..

Que va-t-il se passer les deux jours suivants ???

(A suivre)

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