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jeux de plage – Chapitre 1

jeux de plage - Chapitre 1



Jai 31 ans, je suis mariée depuis 5 ans. Plutôt mignonne, comme disait mon mari, je naurais pas de problème pour me trouver dautres hommes si je le voulais !

Il y a quatre ans, lors dun anniversaire, nous avons fait un bon repas bien arrosé au restaurant. Nous étions en vacances sur la cote Et Patrick, mon mari, a voulu quon enchaine avec un tour sur la plage . Pour la circonstance, javais pris la tenue très sexy , mon mari adore ça, Et pour lui faire encore plus plaisir, je navais pas de sous vêtements. Cela marrive parfois et jadore aussi cette sensation et je sais que mon mari est fou de ça.

Nous avons donc marché sur la plage. Mon mari se montrait très amoureux et câlin. Jadore quand il est comme ça. Et comme la plage était déserte, il relevait ma jupe et me caressait les fesses tout en marchant. Déserte ? à vrai dire, je ne me posais même pas la question. Jétais bien, javais trop bu et je me sentais comme sur un nuage.

Nous avons marché pas mal avant dentendre de la musique et de voir une lueur au loin. Et , en sapprochant, on devinait un groupe de 5 ou 6 jeunes, autour dun feu, jouant de la guitare. On sest rapproché , et quand on sest trouvé à une dizaine de mètres, mon mari a ralenti par curiosité et pour écouter un peu la musique. Les jeunes sen sont rendu compte. Ils nous ont observé et finalement, lun deux nous a proposé de nous joindre à eux. Mon mari a refusé une première fois avec lexcuse de ne pas vouloir les déranger. Ils ont renouveler loffre en disant quune jolie femme était toujours la bien venue ! Franchement, je nai pas trop compris sur le coup, mais mon mari a fini par dire ok. Ils ont élargi leur cercle, il y en a un qui a étendu une serviette pour nous et on sest assis dessus auprès du feu. Très vite, des bouteilles de bière ont circulé. Lambiance était plutôt chaleureuse. Ils y avait des échanges de parole, quelques blagues un peu osées parfois mais je me sentais bien. A un moment, il y en a un qui a proposé de prendre un bain. Ce à quoi jai répondu que je navais pas de maillot. Et leur réponse : -Oui, on sen est bien rendue compte !

Cest seulement là que je réalisais que jétais assisse face au feu et que ma position permettait à tous ceux den face de voir mon absence de culotte ! Et pour menfoncer encore un peu plus mon mari ajouta : – Nadine avait déjà prévu sa tenue pour le bain de minuit !

Là, quelques blagues sur ma chatte à lair ont fusées. Cest drôle, mais cela ne ma pas choqué. Mieux, je nai même pas réalisé que je continuais à lexposer !

Finalement, il y en a 2 ou 3 qui se sont levés, et mont entrainé au bord de leau . Ils se sont déshabillés et ont entrepris de me mettre dans la même tenue queux, nue ! Patrick était resté auprès du feu et me regardait. Javais limpression dêtre dans un rêve. Je me suis très vite trouvée nue et entrainée à leau. Il y en a un qui ma pris dans ses bras et sest mis à courir avant de se laisser tomber dans leau avec moi. La scène mapparaissait étrange. Patrick qui nous regardait et moi, nue entre les bras de cet homme les autres se sont amusés à me chahuter et parfois je sentais leur mains sur ma poitrine, mes fesses et plus. Je ne savais pas si je devais continuer ou marrêter, mais jétais bien ! Le jeu sest terminé, leau était quand même fraiche, et on est revenu vers le feu. Il y en a un qui a posé une serviette sur mes épaules et qui sest mis à me frictionner. Cela faisait du bien. Je me sentais réchauffée. Toujours dans la même tenue, il ma dit de masseoir auprès du feu. Il est resté derrière et a continué à me frictionner. Cest là que jai réalisé que mon mari était de lautre coté ! jai fait mine de me relever mais là des mains fortes ont appuyé sur mes épaules stoppant mon geste. Jai entendu lun deux dire quelques phrases à mon mari. Du style quil avait une femme super et très compréhensive et entendre mon mari lapprouver. Et il ajouta que cétait mon anniversaire. Pendant ce temps , on me frictionnait la poitrine avec une serviette et que le geste desecendait vers mon ventre, mon entre cuisse . je sentais le tissu me sécher . puis réalisais quil ny avait plus de tissus. Mon mari juste en face voyait tout mais ne disait rien. Ou plutôt si, il discutait mais je nétais pas le sujet de ses propos ! Je le voyais lever sa canette de biere quon lui avait tendu, la frapper contre celle de celui qui la lui avait offerte , lui dire : « à la notre ! » et en même temps, mon masseur , mavait fait écarter les cuisses ; et me caressait le minou. Je ne savais plus ce que je devais faire ! Fuir, rester, je me sentais super bien. Et du coup mon masseur posa ses levres dans mon cou. Jadore cette caresse. Quand je sentis son autre main me faire pivoter la tête et ses lévres se poser seur les mienne, jétais dans un autre monde . un doigt cherchait à se glisser en moi et mes cuisses souvrait encore plus. Cétait bon ! très très bon ! Ce doigt qui glissait en moi, cette langue qui senroulait avec la mienne. Je sentais le plaisir menvahir, prendre tout mon corps. Je sentais la chaleur du feu, mais je ne voyais plus rien, javais fermé les yeux , savourant toutes sensations. Après quelques minutes de ces caresses, je sentais des vagues menvahir, me submerger, exploser ! jétais partie ! Quand jouvris les yeux, je devinais le regard des autres et quelques rires. Je me doutais étre lobjet de ces rires mais sans en être sure . Mon mari, toujours en face, toujours la canette à la main, me regardait fixement. Ses yeux brillaient. Il semblait content. Content de quoi ? de moi ?

Sur ces pensées, mon masseur, ou un autre, je ne sais plus, me pris la main pour me faire lever. Je lai juste entendue dire : »viens ! » Il ma entrainée à quelques mètres. Une serviette et quelques vestes étaient arrangées pour faire comme une couchette.

— Allonge-toi ! me dit-il.

Je me suis exécutée. Et jai senti quil faisait de même. Quelques caresses et il sest glissé sur moi. Jai senti ses lèvres glisser sur ma poitrine, remonter vers ma bouche et sa cuisse cherchant à mécarter les jambes. Son sexe est rentré dun coup en moi. Jétais déjà bien échauffé et humide et je ne fus pas surprise dêtre prise comme cela. Je sentais les va et vient dans ma chatte. Sa bouche avait quitté la mienne et jentendais des mots à mon oreille. Du style : » cest bien tu es trop bonne jadore. Tu aimes ça hein « puis le mouvement qui saccélère et lhomme qui me dit : « Ca y est, ça vient, je vais te remplir ma salope, regarde comme cest bon » Puis lhomme savachit sur moi et ajoute quelques mots : » tes trop bonne ! reste comme ça, mon copain veux aussi te faire la fête ! »

Je suis restée immobile, les cuisses ouvertes. Et, un autre a pris sa place. Je lai senti me pilonner. Le plaisir a de nouveau pris mon corps. Jai joui ! Jai joui une fois, deux fois et je me sentais toujours pilonnée. En quelques secondes, jai sentie un échange. Et les coups de boutoir ont repris.

Après, je ne sais vraiment plus. Mon mari ma dit que tous y sont passé. Et pendant quil y en a un qui me prenait les autres le félicitaient. Le félicitaient pour la belle salope quil avait, pour accepter de les en faire profiter.

Jai jamais autant joui de ma vie en une seule fois ! A chaque nouvelle caresse, javais comme mon corps qui partait dans des spasmes de plaisir. Mon mari ma dit que javais été retournée les fesses en lair, la position de prière et que 2 ou 3 mavaient ouvert le petit trou. Je nétais pas vierge de ce coté mais pas très gourmande non plus. Et là, je métais laissé faire. Cest dailleurs dans cette position quils me laissèrent. Épuisée. Je navais pas envie de bouger.

Il était tard, ils avaient passé une soirée au delà de leur espérance et là, lun deux dit à mon mari :

— Je crois quelle a eu son compte ! On va partir, tu devrais ten occuper maintenant. On serra là demain si elle en veut encore ! Nhésite pas à lamener, on est tous volontaire !

Jai senti le bras de mon mari sur mes épaules. Il ma retourné, ma demandé si ça allait. Jai dit oui et il ma répondu quil maimait !

On est resté comme cela de longues minutes immobiles. Les autres étaient déjà loin quand mon mari me proposa de rentrer. Cest lui qui me rhabilla. Moi jétais toujours dans un rêve. Cest en marchant dans la rue de notre hôtel que je dis à mon mari amusée : « Chéri, ça coule ! » Cela le fit rire.

Le lendemain, réveil très tard. Mon mari avait déjà demandé les petits déjeuners. Sur le coup, je me demandais si je navais pas rêvé ! Mais des petites douleurs dans les fesses me confirmèrent que ce nétait pas le cas. Mais le mieux cest que mon mari semblait encore plus amoureux !

Nous en avons discuté dans laprès midi. Mon mari narrêtant pas de me féliciter de lui avoir offert ce cadeau. Pour finir, sur un air interrogateur, il me dit : » tu sais, si tu veux encore, ils sont la bas ce soir aussi ? » Cela ma fait rire. Cela aurait été quelques jours plus tard, jaurais dit oui, mais là, cétait un peu tôt …

Nadine

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