Chapitre 1
Je m’appelle Fabien, je viens d’avoir 60 ans. Maman est décédée voici deux ans, ce fut particulièrement douloureux pour moi.
Mais je préfère me remémorer (et vous raconter) l’extraordinaire aventure que nous avons vécue elle et moi. Oh je sais, je ne suis pas le premier à narrer l’amour incestueux entre un fils et sa mère, mais chaque histoire possède son vécu, ses sensations, ses particularités, c’est mon histoire. A ceux qui seraient pressés de lire des ébats torrides, je leur conseille de se montrer patients. Notre progression vers de tels actes sera très lente. Ce qui constituera aussi le charme de notre relation, un crescendo de longue haleine
Je suis né en 1957, ma mère Valérie m’a eu alors qu’elle n’avait que 20 ans. Un amour de jeunesse, enceinte de suite, mariée à la hâte pour ne pas choquer les gens prétendument « bien-pensants » Résultat un bébé, moi-même, mais un mari qui la laissera tomber alors que je n’avais que 2 ans. Un divorce. Je n’ai jamais connu mon père qui est parti vivre sur un autre continent. Ma mère ne s’est jamais remariée, et n’a pas eu d’autre enfant. De sorte que depuis l’âge de 2 ans, nous n’avons vécu que tous les deux. Elle m’a élevé, choyé, dorloté, mais appris aussi à la respecter.
Jusqu’à ce que j’atteigne l’âge adulte, Maman était assez pudique, je ne l’ai jamais vue plus qu’en sous-vêtements, et jamais nue. Elle était très belle, bien faite, des courbes gracieuses, un beau visage avec de fascinants yeux bleus clairs, des cheveux châtains mi-longs, et un sourire enjôleur qui lui permettait de mettre facilement tous les hommes « dans sa poche ».
De plus, elle était brillante, cultivée, et pleine d’humour. Malgré tous ces atouts, Maman ne s’est jamais remise avec quelqu’un. Je crois qu’elle avait un ou deux « copains », qu’elle voyait à l’extérieur. Je le devinais, car ces soirs-là elle rentrait fort tard, et était habillée super sexy, avec des jupes hyper courtes, des talons excessivement hauts, et un maquillage outrancier La voir en sous-vêtements ou en maillot de bain l’été ne me faisait ni chaud ni froid. Maman ne s’exhibait pas, ne se cachait pas non plus, la chose était naturelle entre nous.
Le moins que l’on puisse dire est que j’ai mis énormément de temps à m’éveiller aux plaisirs du sexe. Pourquoi ? Pas de petite ni de grande sur à reluquer, j’étudiais dans un lycée privé de garçons, pas de femmes ou de filles sexy dans notre entourage. Et puis, tout va changer à partir de mes 19 ans. Je sais que beaucoup ne manqueront pas de se moquer de moi, mais qu’importe. J’avais des érections depuis un bon moment, que stupidement je ne savais pas comment soulager !… Incrédule, un pote de fac m’a lancé :
— Quoi, tu n’as jamais baisé ? Tu ne te branles même pas ?! Et tu ne connais pas çà ? Tu te fous de moi !
Je me suis senti bête, alors il m’a expliqué ce qu’il faisait. J’ai suivi ses conseils, et commencé à me masturber. Quelle découverte merveilleuse ! Mes premières branlettes, mes premières « éjacs » ! Quel imbécile j’avais été, de ne pas pratiquer cela plus tôt !…
En toute honnêteté, mon sexe est de taille normale, en longueur et diamètre. Ma particularité est d’avoir toujours eu des éjaculations extrêmement copieuses et puissantes, une bonne dizaine de fortes giclées à chaque fois, souvent plus. Jouissant allongé sur mon lit, il m’est arrivé très fréquemment de m’asperger jusqu’au menton ! C’est hélas moins vrai à mon âge, mais on ne peut pas être et avoir été Avant de découvrir la masturbation, je faisais des rêves érotiques, et m’éveillais « inondé », le pyjama complètement trempé, mes draps aussi. Il est impossible, que ma mère, faisant mon lit et la lessive ne s’en soit pas aperçue, elle n’a jamais évoqué la chose.
Mais on ne se masturbe pas dans le vide, il faut « matière à branlette » pour cela. Ma mère constituait mon unique contact féminin.
C’est tout naturellement vers elle que se tournèrent mes premières pensées et actions « inconvenantes ». Et pourtant, cela me dérangeait, car j’avais un immense respect pour elle. Dès lors, son petit et anodin « strip-tease », quotidien à son retour du travail prit de plus en plus d’importance. La gorge sèche, le cur battant, et la bite déjà tendue, je guettais son retour avec impatience. Tout en faisant mes devoirs sur la table du salon, je la suivais des yeux. Son rituel était toujours le même. Fort belle, elle travaillait comme hôtesse d’accueil dans une grande société. Elle se devait d’être toujours en tailleur élégant, et en talons hauts. Bien évidement, sa jupe était raisonnablement mini, un peu au-dessus du genou, mais rien que la vue de ses belles jambes me faisait déjà de l’effet.
Elle ôtait sa veste, puis, lasse, se laissait choir dans le canapé. Elle retirait lentement ses escarpins, puis se massait longuement les pieds, des pieds maltraités par les chaussures et la position debout presque toute la journée. J’ignore pourquoi, j’étais fasciné par ses pieds, fins, délicats, aux ongles continuellement vernis de rouge ou de rose. J’en ai conservé une attirance particulière pour le pied féminin. Mais je vous rassure, j’adore tout le reste ! Pour moi, si une femme est belle elle peut l’être de la tête aux pieds.
Maman quittait ensuite sa jupe, son chemisier, et si nous étions en hiver, son collant. Elle ne restait plus qu’en soutien-gorge et petite culotte. Elle était sublime, mon érection se faisait douloureuse ! Elle alternait des parures de diverses couleurs : blanches, noires, rouges, bleues, mauves, et parfois chair. Ses culottes étaient petites et toujours fort jolies, parfois garnies de dentelle. Quelques uns de ses petits slips étaient presque transparents, et j’ai souvent deviné un beau buisson noir dessous. Ce n’était pas non plus cette mode effrénée du sexe épilé comme actuellement ! J’en ai aussi conservé une passion pour les petites touffes bien fournies
Puis, Maman traversait le salon, et disparaissait dans la salle de bains pour y prendre sa douche. J’en profitais pour m’éclipser de suite dans ma chambre, où, les yeux encore pleins des images que je venais d’emmagasiner, je me branlai comme un damné, jusqu’à une éjaculation « geyser ». Je murmurai :
— Valérie, oh Valérie, je jouis pour toi, pour toi !
Dans mes branlettes, elle n’était plus « Maman », mais « Valérie ». Par ce maigre subterfuge, je chassais la honte qui me submergeait. Je ne me masturbais pas pour une très respectable mère, mais pour une jolie femme, tout simplement. Presque en même temps, nous nous retrouvions ensuite dans le salon.
La température de notre appartement restant à peu près constante et agréable, Maman n’était continuellement vêtue que de simples t-shirts lui arrivant à mi-cuisses. Dessous je savais qu’elle conservait une culotte, mais en revanche, un ballottement très érotique me confirmait que sous le léger tissu, sa poitrine opulente était libre de tout soutien-gorge Et elle marchait toujours pieds nus, toutes les pièces exceptée la cuisine étant pourvues d’une épaisse et confortable moquette.
Un soir que comme à l’accoutumée, elle se déchaussait, assise dans le canapé, je tentai ma chance, ne craignant tout au plus que de me faire un peu rabrouer. Je me jetai à genoux devant elle, et lui dis :
— Si tu veux, je peux te masser les pieds !
Je m’attendais à un net refus de sa part, mais bien au contraire, le sourire aux lèvres, elle répondit :
— Bah, si tu veux, pourquoi pas !
J’étais fou de joie, mais essayai de n’en rien laisser paraître. Avec élégance, je pris son pied droit dans ma main, et je commençai à le masser. Mon érection était à son comble. De mes pouces, je remontai la plante, en appuyant fort, puis massai délicatement les orteils, un à un. Maman se laissait faire, alanguie dans le canapé, les yeux fermés. Comme elle était assise, sa minijupe remonta assez haut sur ses merveilleuses cuisses, que j’avais là, à quelques centimètres de mon visage. Je crevai d’envie de me jeter dessus, les caresser, les lécher, mais je devais me contenter « d’honorer » ses jolis petits pieds.
Comme elle avait légèrement écarté les jambes, je vis sans peine sa culotte, mauve ce jour-là. J’ôtai lentement son autre escarpin, avant de « m’attaquer » à son pied gauche, auquel je prodiguai le même traitement.
— Hmmmm, tu me fais du bien ! Tu ferais un excellent kiné ! Ajouta Maman dans un souffle.
Mon massage achevé, je conclus par de timides bisous sur ses orteils, guettant sa réaction. Mon geste la fit rire.
Je ne vous dis pas la branlette qui suivit dans ma chambre, terminée par un « Niagara » de foutre ! J’en avais partout sur moi, des rigoles coulaient de mon torse jusque sur mes draps. Ne subsistait qu’une inquiétude : cet acte aurait-il été unique ? Ou bien se reproduirait-il ?…