Salut c’est votre folle de lycra
Je m’excuse avant tout pour le retard que j’ai mis à vous mettre un cinquième chapitre, il fallait que je trouve inspiration, il y a des fois où c’est un peu long.
Je sortais donc de la douche et une tenue très féminine m’attendait sur le lit ; il n’y a pas à dire Coralie connaissait mes goûts en matière de tenue féminine. Les deux femmes sont arrivées pour me regarder m’habiller et surtout pour faire des commentaires on ne peut plus déplacés pour un homme. Cela m’a permis de découvrir oh combien Fabiola était magnifique, quand on voit une aussi jolie fille, on se dit quel gâchis de la voir aimer les femmes. Mais en même temps, compte tenu du contexte, que j’étais un homme en train de s’habiller en femme, leurs propos n’étaient donc pas déplacés. J’avais le droit à un collant fendu en lycra et opaque, un tanga par-dessus et pour le final une douce et longue robe et je me suis retrouvé chaussé avec de hauts escarpins. N’étant pas très habitué, j’avais plutôt tendance à me casser la gueule, mais les deux femmes veillaient à ce que je garde l’équilibre.
Le frottement de cette douce robe sur mon collant tout doux ne me laissait pas indifférent et mon sexe avait une petite tendance à vouloir fuguer de sa cachette, elle aussi en lycra. Là elles m’ont expliqué qu’elles aimeraient bien que j’apprenne à me déplacer avec ces chaussures et surtout que j’apprenne à avoir des mouvements féminins. En fait, elles avaient pour projet que nous sortions toutes les trois si je puis dire, dans la rue. Coralie m’a expliqué que je n’avais pas trop le choix, les deux voulaient me voir en femme dans la rue. Fabiola m’a dit qu’il était vrai qu’hier j’ai eu le rôle d’un étalon, autant aujourd’hui j’allais remplir le rôle d’une femme. Fabiola est partie causer avec Coralie puis est revenue avec un plug, elles ont fait en sorte de me le coller dans mes fesses. Elles m’ont expliqué que vu que j’avais du mal à rouler un peu des fesses, avec mon petit trou occupé cela allait m’aider. En fait plus je dandinais des fesses, plus je sentais la douceur du frottement des vêtements sur moi, du coup j’essayais d’en faire toujours plus pour savourer cette sensation.
Quand elles m’ont fait marcher avec mon anus rempli, c’est vrai que maintenant je roulais un peu des fesses. En vivant ce genre de moments, je trouve que le rôle de femme est vraiment très agréable. En fait la seule différence entre elles et moi c’était juste mon trois-pièces cuisine qui se trouvait entre mes jambes, car sinon je rentrais dans tous leurs vêtements. Ainsi habillé, je bandais comme un salaud, et les deux femmes souriaient à chaque fois qu’elles pouvaient le constater. Coralie avait les mêmes mollets et les mêmes cuisses que moi, accompagnée d’une même pointure ainsi elle me faisait porter toutes ses tenues les plus provocantes. Ce soir-là, nous l’avons fini dans le lit, j’étais l’étalon de lycra pour ces deux femmes. J’ai été de corvée, une bonne partie de la nuit, pour leur manger leur minou, la mission était divine. Épuisées par les nombreux orgasmes que les deux femmes ont eus, elles n’ont pas été longues à s’endormir et n’ont rouvert les yeux que vers onze heures le lendemain matin. Grosse cochonne que j’étais en train de devenir pendant qu’elles dormaient, je me frottais contre elles et entretenais ainsi ma grosse érection dissimulée sous mes dessous féminins.
J’avais toujours été un peu timide avec les femmes et voilà que maintenant, alors que j’étais dans leurs vêtements, alors que je leur étais soumis, alors que je leur étais offert, je prenais confiance en moi en tant que brouteur de minous et occasionnellement baiseur. Les jours à allant, je réalisai que je me dévergondais, car je prenais de plus en plus goût aux odeurs intimes féminines très fortes. Autant je ne voulais pas que le petit trou soit sale, autant côté minou, plus il était odorant meilleur il était. Là, Coralie et Fabiola étaient en train de dormir, et moi j’étais limite en train de me masturber dans la raie de leurs fesses. J’en arrivais même à me demander, si elles ne faisaient pas semblant de dormir, car j’y allais quand même de bon cur dans mes coups de reins. Le frottement de ses textures si douces sur mon sexe calé alternativement entre leurs deux paires de fesses, me faisait vraiment un bien fou. J’en étais arrivé à ne plus pouvoir me passer d’être habillé en femme, le seul problème c’est que Coralie voulait que je sorte exclusivement habillé comme ça en dehors des heures de travail. Il n’y a pas à dire quand je les regardais s’embrasser, ces deux femmes étaient de magnifiques gougnottes, par contre elles ne se refusaient pas un petit extra quand elles m’embrassaient ou me masturbaient.
Quelque part dans mon malheur j’étais quand même un peu verni.
« Alors petite salope, on est en train de se palucher dans mes fesses. Je constate que tu fais la même chose dans les fesses de Coralie.»
J’étais grillé, je venais de constater que Fabiola ne dormait pas.
« Viens me faire ma toilette intime, pendant que mon amie est encore en train de dormir. En plus d’être habillé en femme, rapidement tu vas finir par sentir la femme désireuse. Personnellement cela me plairait beaucoup de te voir te faire draguer par un homme directif et dominant.»
Je commençais à me faire au fait d’être habillé en femme, mais je ne me voyais pas du tout me faire draguer par un mec, qui ait pour projet de me prendre par-derrière. Voilà comment je me suis glissé sous les draps, en direction de l’entrejambe de Fabiola. Les draps étaient très doux, mais surtout cela sentait très fort la minette là-dessous. La façon de me mettre sur la craquette de ma partenaire me donnait l’impression d’être un obsédé en manque.
Je me suis rapidement positionné entre ses jambes, j’ai posé mes mains sur ses cuisses, finalement ma langue est venue à la rencontre de son petit clitoris dissimulé dans sa toison odorante. Je n’ai pas perdu de temps, de toute façon, j’étais dans le noir et je sentais les mains de ma partenaire qui me maintenaient la tête fermement. C’était un plaisir pour moi, que de me délecter de ce nectar, j’aurais passé des journées à bouffer du minou. Pendant que j’étais affairé à lui nettoyer son entrejambe, mais surtout à essayer de lui donner du plaisir, Fabiola me traitait de tous les noms. Ses propos m’excitaient au possible, même si quelquefois elle allait un peu loin. J’avais le droit à des « ma pédale », « ma cochonne », « ma gougnotte », « ma soumise », « ma lopette », « ma chienne obéissante » et j’en oublie. Dans la position que j’avais, je ne pouvais manger que son clito et son minou, je ne voulais pas trop remuer les draps, pour ne pas prendre le risque de réveiller Coralie.
Bien que mon champ d’action soit limité d’un tiers, je prenais grand plaisir à promener partout ma langue, et surtout sentir Fabiola sursauter, à chaque fois que je lui faisais un peu plus de bien que normal. Finalement à force de gesticuler, j’ai fini par réveiller Coralie et je m’en suis rendu compte, quand elle a commencé à me caresser les fesses à travers ma robe et ma culotte. Moi qui étais fier de voir réagir Fabiola à mes coups de langue, voilà maintenant qu’à mon tour, je sursautais aux caresses on ne peut plus indiscrètes de la part de Coralie. Cette dernière m’a fait changer de position pour plus de facilité, ainsi j’étais accessible par les mains des deux femmes. Ses doigts étaient inquisiteurs, ils me faisaient un bien fou, à tel point que maintenant j’écartais les cuisses pour lui faciliter l’accès. J’avais la sensation de ressembler à un chat qui écarte les membres pour faciliter les caresses que son maître lui prodigue. Maintenant j’étais pris entre deux feux, si je puis dire, je donnais du plaisir à l’une, pendant que l’autre se chargeait de m’en donner.
« Ma soumise à vraiment un petit cul qui ne demande que ça. Il faudra qu’un jour, ce dernier se fasse visiter par un mâle digne de ce nom.»
Il fallait que je sois réaliste, un jour ou l’autre elle m’offrirait un homme, le pire c’est quil y avait de fortes chances à ce que j’y prenne du plaisir. J’ai toujours aimé me travestir et me faire du bien ainsi déguisé, mais disons que là je ne contrôlais plus vraiment les événements. Il y a des moments où cela me plaisait énormément, mais il y a des fois où cela me faisait un peu peur, un peu peur de perdre les pédales et de perdre le contrôle. Pendant que Coralie était en train de me besogner la raie des fesses, Fabiola avait pris l’initiative de me masturber mon sexe qui ne demandait que ça. Il n’y avait que Coralie dont personne ne s’occupait, mais j’avais personnellement projet de descendre dans sa cave, à elle aussi. Je ne sais pas ce que vous, lecteurs, en pensez, mais quand on goûte à un minou, on ne peut plus ensuite s’en passer. Je m’interrogeais désormais sur qui de Fabiola ou moi allait jouir en premier, car mon sexe est mon petit cul bichonné par trois mains commençait à me faire beaucoup de bien.
Finalement j’ai devancé de quelques secondes, Fabiola dans ma jouissance, cela faisait quand même tout drôle de réaliser que j’arrivais maintenant à jouir, autant en me faisant caresser le sexe que dans le petit trou. Du coup, quand les caresses étaient combinées, c’était imparable, mon sexe devenait énorme et évacuait de nombreuses grosses giclées de liqueur dans ma robe. J’étais quand même assez fier de réussir à faire jouir Fabiola, qui se disait être une gougnote pure et dure. Je suis resté dans les vapes quelques instants histoire que le sang se remette où il fallait, pendant ce temps, les deux femmes ont profité l’une de l’autre. À ma grande surprise, et bien qu’ayant éjaculé dans ma robe voilà quelques instants, j’avais toujours une grosse érection. En même temps quand vous êtes au lit avec deux femmes qui sont en train de se bisouiller, je pense que vous n’avez pas d’autre choix que de bander. Quand Coralie a constaté que j’avais repris mes esprits, je n’ai pas eu besoin de venir à la cave, c’est la cave qui est venue à moi, en effet la coquine est venue s’asseoir sur mon torse pour me donner sa petite figue à dévorer.
Ma tête s’est ainsi retrouvée face à sa toison pubienne odorante, goûteuse et luisante, ses cuisses étaient de chaque côté de mon visage. Coralie était manifestement d’une grande souplesse, car je pense qu’elle était en train d’approcher le grand écart. En même temps cela était très commode, car elle pouvait se permettre de venir se pencher vers moi et me donner son minou à nettoyer, sans me demander mon avis et surtout sans que j’aie besoin de forcer sur mes cervicales pour garder ma tête redressée. Je pense que cette technique, elle devait aussi l’appliquer à ses amies, quand il y avait une partie de broute minous entre elles. Du coup pendant un bon bout de temps, j’ai pu profiter de sa position, pour me délecter de toutes ses sécrétions intimes. Ma langue se faufilait entre les petites lèvres dissimulant son clitoris, mais aussi entre ses grosses lèvres qui dissimulaient cette source de cyprine intarissable. À ma grande surprise, mais ne voyant pas ce qui se passait, j’ai découvert que Fabiola était en train de s’en prendre à mon entrejambe. Elle était en train de m’entamer une fellation.
Mine de rien, pour une gougnote qui se revendiquait comme telle, elle maîtrisait bien l’art de la sucette à l’anis. Au fil des minutes, je pouvais témoigner qu’elle avait largement la technique d’une hétéro, je sentais parfaitement qu’elle était passionnée par ce qu’elle était en train de faire. J’essayais d’occuper mes mains en caressant la poitrine de Coralie, pendant que de son côté, Fabiola occupait les siennes en venant m’exciter la raie des fesses. Naturellement mon corps donnait des coups de reins, mais aussi écartait mes jambes au maximum comme pour libérer l’accès à mon petit cul. Je sentais la douceur de ma robe sur mes cuisses, je me sentais vraiment une femelle en chaleur. A un moment, j’ai pu constater que Fabiola était venue embrasser Coralie, les voir partager ce baiser m’a encore plus excité. Après ce petit interlude, Fabiola est repartie pour continuer la fellation qu’elle était en train de me pratiquer. Je ne savais pas si elle était au courant, mais au rythme où elle allait, j’allais bientôt lui balancer ma liqueur au fond de la gorge.
Manifestement, elle a lu dans mes pensées, car à ma grande surprise, elle a cessé la fellation pour venir s’asseoir sur moi, et c’est ainsi qu’en quelques secondes, mon sexe qui était caché dans une bouche s’est retrouvé enfoui dans un minou. Il n’y a pas à dire Fabiola commençait à prendre un grand plaisir à se faire visiter la salle de jeux avec autre chose qu’un gode, apparemment elle n’était pas contre un peu de viande fraîche. Elle s’est retrouvée dans le dos de Coralie et ne s’est pas privée pour aller lui caresser la poitrine. Quand j’ai entendu le petit cri de Coralie, j’en ai conclu qu’au niveau excitation, elle nétait pas mal non plus, cela laissait supposer que mes coups de langue étaient efficaces. Finalement c’est moi qui ai pris mon pied le premier suivi de très près par Fabiola et finalement par Coralie. Cette dernière avait joui vaginalement, je pense que quand son amie s’est mise à lui pincer la pointe des seins, cela a été décisif. Pour la deuxième fois en très peu de temps je venais de me vider au plus profond de Fabiola.
Je me rappelais ce que me disait ma voisine, à savoir que Fabiola désirait une descendance disons que là, elle faisait tout pour. Quand je vois dans quel état nous nous sommes retrouvés, je n’ai pu que me dire que les trois jouissances venaient de très loin. Les deux femmes se sont à nouveau allongées à mes côtés, elles ont même pris soin de me rabattre le haut de ma douce robe longue, avant de retirer les draps sur nous. Cela m’a fait tout drôle que ces deux femmes s’endorment en me tenant le sexe, avec leur tête sur chacune de mes épaules. Quand nous avons repris nos esprits, nous sommes partis prendre un brunch dans la cuisine. Cela me faisait méditer, car il y avait véritablement trois femmes dans cette cuisine, j’avais vraiment l’impression d’être des leurs. La seule différence, c’est que le contact de mes dessous et de ma robe me collait une énorme érection. Nous nous sommes restaurés on ne peut plus sombrement avant de repartir dans la chambre, les deux femmes avaient l’air de beaucoup communiquer par SMS. Je ne sais pas combien de temps Coralie désirait que nous restions, mais je me sentais bien parmi ces femmes si belle et désirable.
À notre retour dans la chambre, Coralie a décidé que j’allais passer le reste de la journée avec un plug de belle taille dans mon petit trou. Sur le coup j’ai un peu protesté, mais les deux femmes ont été convaincantes et j’ai fini par accepter. Une fois le fondement bien occupé, j’ai trouvé que finalement c’était très agréable, ce n’était pas la même sensation qu’un vrai sexe mais ce gode en silicone souple faisait très bien l’affaire. Coralie avait vraiment tout prévu car elle m’a donné une gaine de maintien pour que le gode ne puisse être éjecté par les contractions de mon rectum. Je crois que les deux femmes étaient en train de me préparer mon petit cul, pour qu’il se fasse visiter régulièrement. Au début il y avait une petite douleur mais à force c’est le plaisir qui a pris le dessus et de nouveau l’érection comme témoin du plaisir revenu. Bien évidemment, sous ma douche robe, mon sexe en pleine forme ne se voyait pas, mais les deux femmes se chargeaient de régulièrement vérifier la condition de ce dernier. Le plus bizarre c’est quand je m’asseyais j’avais l’impression qu’il allait me remonter jusque dans la gorge. J’ai passé le reste de la journée dans ma tenue féminine avec mon petit cul encombré, mes deux amies étaient très attentionnées avec moi.
À la fin de la journée nous avons pris le chemin du retour, toutes les trois, si je puis dire. Cela commençait à me gêner beaucoup moins de me déplacer en fille, sans doute étais-je en train de prendre de l’assurance ou peut-être étais-je plus crédible. En même temps c’est vrai qu’avant de partir, Fabiola et Coralie avaient poussé le détail dans ma féminisation jusqu’au moindre détail. Dans la voiture, Fabiola était derrière avec moi, toujours en train de veiller à me chauffer et surtout me parler au féminin. Une fois rentrées chez Coralie, nous avons passé une soirée bien sympa avant que je réintègre mon appartement. Je venais de passer deux jours habillé en femme, avec des femmes très chaudes et le week-end m’avait énormément plu. Avant de les quitter les deux gougnotes m’avaient offert leurs culottes, bien poisseuses, goûteuses et odorantes en souvenir de ce week-end érotique. C’est à contrecur, mais le soir je me suis dévêtu pour juste me retrouver vêtu d’un tanga pour me coucher. Il n’y avait pas de doute j’allais bien dormir. Même si je métais débarrassé de mon plug, mon anneau rectal était toujours distendu et j’avais la sensation de sentir un courant d’air dans mon intimité.
Au petit matin, quand je me suis réveillé, mon petit cul allait beaucoup mieux, c’est avec grand regret que j’ai dû m’habiller avec des vêtements masculins, car il fallait que je parte travailler. La journée s’est bien passée, car je suis parti travailler avec la culotte de Fabiola qui sentait très bon la femme en chaleur. Quand je suis rentré le soir, Coralie m’attendait et elle m’a invité à aller l’accompagner pour faire les boutiques. J’ai mis du temps avant de répondre par l’affirmative, car je voulais quand même un peu souffler en tant que garçon. Nous sommes donc partis faire les boutiques et rapidement Coralie s’est dirigée vers un magasin de vêtements féminins. Ce n’était pas pour me déplaire car j’aurais passé des heures à traîner dans les boutiques de dessous féminins et de vêtements tout doux pour femme. Compte tenu du fait que nous étions quand même devenus très intimes, j’accompagnais systématiquement Coralie dans la cabine d’essayage, à chaque fois je profitai de l’occasion pour toucher ses vêtements si doux et moulants. Régulièrement Coralie se glissait un petit doigt dans le vagin pour ensuite me le donner à sucer, bien évidemment je le faisais avec gourmandise.
À chaque fois Coralie vérifiait l’état d’érection avancée de mon sexe, elle ne se sentait vraiment pas gênée, elle glissait carrément sa main dans mon pantalon, au risque que nous nous fassions surprendre. Au fur et à mesure de notre soirée à faire les boutiques, j’étais de plus en plus excité et Coralie le savait. Est arrivé un moment où elle a réussi à me faire essayer des vêtements féminins, c’était mon péché mignon. Dans la cabine d’essayage, je me suis retrouvé en femme sous les yeux émerveillés et amusés de Coralie. C’est ma voisine qui s’est chargée de tout ajuster au niveau de mes vêtements. Contrairement au week-end dernier, je n’étais pas maquillée, je n’avais pas de perruque, mais je me sentais quand même très femme dans cette cabine d’essayage. Pendant que j’étais en train de me regarder dans la glace, avec ma paire d’escarpins, Coralie m’a dit qu’elle allait me chercher une petite surprise. Je l’ai attendue quelque temps, avant de recevoir un SMS de sa part.
« Je t’ai payé les vêtements que tu as sur toi, mais j’ai aussi emporté tes vêtements d’homme. Je t’attends à la maison car j’ai aussi récupéré tes clés.»
Je pouvais qualifier cela, de coup pendable, mais en même temps pour la deuxième fois, il allait falloir que j’assume mes achats.
En espérant que ce chapitre vous plaise car j’ai mis beaucoup de temps à retrouver inspiration pour lui donner suite.
Bisous à vous.