Dans le chapitre précédent, Alain et David se sont bien amusés avec mes fesses pour m’administrer une bonne et longue sodomie avec, en prime, une belle fessée. Ma récompense finale a été une jolie éjaculation faciale.
Je deviens de plus en plus dévergondée, mais je me laisse entraîner dans ce jeu, et de plus, Alain est un bon dominateur à mes yeux.
Cela fait pratiquement une dizaine de jours que je n’ai pas vu mon dominateur.
Coucou, Nathalie, quels sont tes prochains jours de repos ?
Bonjour, lundi.
Dispo en après-midi ?
Oui, je peux me rendre dispo.
Très bien. Envie de prendre du plaisir ?
Oui, envie.
Alors, viens vers 14H00. Fais-toi un lavement anal !
Quoi ? ! Un lavement anal ?
Oui ! Soumise ! Lundi, c’est ton cul !
Avec David ? Toi et moi ?
Tu verras bien !
Ne me dis pas que tu as encore un invité ? !
Je te dis de venir et fais un lavement. C’est tout !
Bon, d’accord.
Notre échange de SMS s’arrête là. Je suis un peu inquiète, car je ne voudrais pas qu’Alain ait encore trouvé un homme. J’aimerais bien que nous soyons de temps en temps que tous les deux, au pire, avec David que je connais un peu maintenant.
Le jour J est arrivé. Je file à la douche. J’essaie de démonter le pommeau non sans difficulté, pour avoir une sortie d’eau directe du flexible afin d’obtenir un jet direct et étroit. J’étale dans mes mains du gel douche PH neutre et commence à frotter mes fesses, puis sur mon petit trou. De mes doigts, j’introduis du savon dans mon anus. Je lève une jambe en prenant appui sur le rebord de la douche, puis un doigt, puis deux doigts s’introduisent. Humm… Juste le fait de faire pénétrer deux doigts me donne des frissons sur tout le corps.
Un bon rinçage à l’eau claire plusieurs minutes, et me voilà irréprochable au niveau anal.
Je sais que cet après-midi, mes fesses seront sollicitées. Et, par rapport à cela, hier soir, mon mari et moi avons fait l’amour, il a voulu tenter de me sodomiser, mais j’ai prétexté une légère douleur pour laisser mes fesses reposer et être sûre de ne pas avoir mal aujourd’hui.
Je suis heureuse de revoir Alain. J’aime ses surprises de plus en plus perverses. Je n’ai aucune idée de la raison d’avoir besoin de préparer mes fesses et de faire un lavement, à part que je vais avoir le droit à la pratique de la sodomie. Je n’en sais pas plus. Surprise !
J’entre dans le terrain de la petite maison de mon dominateur. Une jolie voiture allemande est garée, je me mets à côté de celle-ci.
En descendant de mon véhicule, j’aperçois quelqu’un qui ne ressemble pas à la morphologie d’Alain. Bon, maintenant j’en suis sûre, nous ne serons pas seuls, Alain a encore invité un contact qu’il a dû avoir via son site Internet. Et je sais que je vais me faire prendre le postérieur, d’où la demande du lavement.
L’idée me séduit, et contrairement à il y a quelques semaines, je suis de plus en plus ouverte et laisse mes préjugés de côté.
La porte s’ouvre au même moment que j’arrive devant. Alain, souriant, dépose un baiser sur la joue.
Viens Nathalie, entre, le temps n’est pas beau aujourd’hui.
Oui, il ne fait pas très chaud. C’est surtout humide.
Je vais te présenter un invité. Je vais t’expliquer le programme devant lui.
Je hoche la tête, le suit. Un homme, d’une quarantaine d’années, plutôt bien balancé, brun légèrement grisonnant aux tempes, au visage carré avec des petits yeux sombres. ¨Par rapport à ma petite taille, il me semble grand. Je dirai pas loin 1.80 mètre. (Je suis habituée aux grands hommes, mon mari mesurant 1.92 mètre.)
Il regarde à l’extérieur. Quand il m’entend entrer dans la pièce, il se retourne, un sourire ravageur aux lèvres. De quelques pas, il se présente devant moi et me fait la bise.
Bonjour, mon prénom est Patrick. Enchanté.
Bonjour, je m’appelle Nathalie. Enchantée de même.
Cet homme est sûr de lui, poli et pas du tout timide. Il commence aussitôt à entamer la conversation.
On peut se tutoyer ?
Oui, bien sûr.
Tu peux dire aujourd’hui que tu as deux voitures allemandes devant ta maison Alain. Pas le même modèle, mais de la même marque. Elle est chouette ta voiture ! C’est une série 7 ?
Je n’aime pas parler voiture et mécanique. Ce n’est pas du tout mon truc.
Oui, c’est bien une série 7. Elle est à mon mari. Il a pris la mienne, il fait changer les pneus ce soir sur la route de son boulot. Je préfère ma voiture, elle est bien plus petite.
C’est clair que c’est une grosse caisse. C’est quoi comme moteur dedans ?
Je l’ai entendu dire un V8.
Whaouuuuu ! Carrément ! Ce doit être une 740 si elle est essence.
Oui, je crois.
La mienne c’est juste une série 3.
ça ne me parle pas trop les séries 3 ou 7. Ce que je sais, je n’aime pas prendre sa voiture, elle est trop grosse.
Alain nous écoute sans rien dire.
Je pense que Nathalie préfère les gros sexes sur les hommes que les gros moteurs dans les voitures.
Tu as raison Alain. Pardon, Nathalie, je t’ennuie avec mes questions mécaniques.
Non, ce n’est pas ça, mais je ne m’y connais pas du tout.
Mon dominateur se colle derrière moi, pose ses mains sur mes seins, les comprime à travers le tissu. Patrick est en face, il sourit, regarde sans bouger.
Regarde Patrick, cette paire de seins qu’elle a ma soumise.
Hum… Elle a l’air d’avoir une grosse poitrine oui.
Je suis immobile, me contente d’un petit sourire. Je trouve que ça commence fort. Il est vrai que cet invité n’est pas du tout timide, et je pense qu’ils ont bien discuté de moi avant mon arrivée.
Patrick s’approche de moi, les bras le long de son corps. Je le regarde dans les yeux, Alain toujours derrière moi me pelote les seins.
L’incité pose une de ses mains sur ma joue, la caresse. Il commence à faire quelques commentaires.
Tu as un visage d’ange. Alain a de bons goûts. Il a de la chance de t’avoir rencontrée.
Merci.
En effleurant ses doigts sur mes lèvres, je sens sa deuxième main se poser sur ma poitrine.
Tu as une superbe bouche. Ta poitrine est très bandante.
Les mains de Patrick se font plus précises sur mes seins. Il les malaxe, pendant qu’Alain me pétrit les fesses à travers mon leggins moulant.
Retourne-toi Nathalie, montre que tu as un superbe cul.
Je me retourne, Alain est en face de moi. Les mains de l’invité se posent sans hésitation sur mes fesses, se promenant partout dessus.
Quel joli cul ! Elle reçoit la fessée des fois Alain ?
Oui, elle a un cul à sodomie et à fessées. Elle est très soumise.
J’écoute leurs commentaires sans rien dire, en laissant notre invité qui n’a pas ses mains dans ses poches !
Très bien ! Tu lui as dit pourquoi j’étais là au moins ?
Non, pas encore. Je lui ai juste demandé de se faire un lavement avant de venir. Elle n’en sait pas plus.
Tu comptes lui dire quand ? Et toi Nathalie, tu as une idée de pourquoi je suis là ?
Je me doute un peu sans en être sûre.
Je te laisse le soin de lui annoncer, c’est ta soumise.
D’accord. Alors Nathalie, Patrick est là parce que c’est un adepte de la sodomie. Il a répondu à mon annonce, nous avons conversé tous les deux et nous nous sommes mis d’accord.
D’accord sur quoi ?
Il va pouvoir s’amuser avec ton cul. L’autre jour, je me suis aperçu que tu es une adepte de la pénétration anale. Ne dis pas le contraire !
J’aime bien la sodomie, mais il ne faut pas non plus que le sexe soit trop imposant, sinon, ce n’est plus du plaisir que je vais avoir.
Ça va passer ! Mais ce que tu ne sais pas est que Patrick aime aussi donner la fessée.
Si je comprends bien, je n’ai pas trop le choix que d’accepter ?
C’est exactement ça ! Tu es ma soumise. Patrick, elle est à toi !
Alain se décolle de moi, me pousse un peu plus fort vers l’invité à qui je tourne le dos. Ses bras m’enlacent, ses mains pelotent mes seins.
Tu as entendu ce qu’a dit Alain ? Tu es à moi sous les yeux de ton maître pour une ou deux heures.
Oui, j’ai entendu.
Il me lâche, se recule de quelques pas. Alain s’est éloigné un peu plus loin, mais toujours dans la même pièce.
Je veux te voir à poil ! Exécution !
Cet homme est très autoritaire ! Dirigisme ! Ferme ! Il a une assurance qui m’étonne moi-même. Je me déshabille devant lui en le regardant dans les yeux. Je me dis que je suis mal barrée vu la tournure que ça prend aussi rapidement.
baisse les yeux ! Ne me défie pas du regard ! Si tu recommences à me fixer, tu vas commencer par recevoir une correction. Je vais te botter le cul moi !
Pardon.
Pardon qui ?
Pardon Patrick.
Non, maintenant, ce n’est plus Patrick. C’est Monsieur !
Pardon Monsieur.
Elle a l’air de bien aimer être soumise, Alain.
Oui, elle aime bien. D’ailleurs, c’est un peu la base de notre relation.
Je suis limite à être paniquée, mais je me reprends vite et me dis que c’est juste un jeu qui va me permettre de prendre du plaisir, mais aussi de réaliser un fantasme que j’ai depuis quelque temps, celui d’être vraiment soumise.
Je suis à présent nue, devant cet homme que je ne connais pas du tout, et devant Alain, à quelques mètres de moi, à regarder le spectacle sans dire un mot.
Approche-toi de moi Nathalie !
Je m’approche d’un pas lent vers lui. Une fois juste en face de lui à quelques centimètres, ses mains saisissent mes seins pour les malaxer avec fermeté.
J’aime tes seins ! Ils sont gros, lourds et fermes ! Retourne-toi que je regarde mieux ton cul !
Il lâche mes seins, je me retourne pour lui présenter mes fesses. Ses mains se posent dessus et les caressent.
Tu as réellement un beau corps. Tu as ce qu’il faut où il faut ! Tu es très excitante !
Merci.
Je reçois du d’un coup une grosse claque sur la fesse droite qu’elle me fait sursauter.
Merci qui ? !
Merci Monsieur.
De ses doigts, il écarte mes deux globes fessiers pour mettre en évidence mon petit trou. Il présente devant ma bouche un de ses doigts.
Lèche mon doigt !
J’ouvre la bouche, son doigt s’introduit, il le fait aller et venir entre mes lèvres, puis le ressort pratiquement aussitôt.
Lèche-le maintenant !
Ma langue lèche son index.
Encore ! Mets de la salive dessus !
Une fois suffisamment bien humidifié, je sens ce doigt se placer juste devant mon trou, et pousser jusqu’à la faire entrer d’une première phalange. Je me cambre pour lui faciliter le passage. Je vais au mieux pour me détendre, je le trouve un peu rapide. Une chose que j’espère, c’est qu’il ne soit pas trop membré.
Je jette un regard vers Alain, appuyé contre le mur, les bras croisés. Il me sourit.
C’est bien ma soumise, tu laisses faire Patrick. Il va bien te prendre le cul. Ne t’inquiète pas, il est habitué à enculer les femmes, c’est ce qu’il préfère.
J’espère au moins un peu de douceur.
J’ai dû dire quelque chose qu’il ne fallait pas, car je reçois plusieurs grosses claques. En fait, un doigt dans mon trou du cul, et de l’autre main, les claques sans douceur, limite à me faire mal aussitôt. Je comprends que cet inconnu est sodomite et fesseur.
Patrick me retourne en faisant pivoter mes épaules, je suis maintenant face à face à lui. En malaxant mes seins, il approche sa bouche de la mienne et tente un baiser. Je tourne légèrement la tête afin de le recevoir sur la joue au lieu de la bouche.
Tu cherches déjà la fessée ? !
Non, pourquoi ?
Si je veux t’embrasser, tu te laisses faire ! Tu n’as pas à tourner la tête comme tu l’as fait !
Pardon.
Pardon qui ?
Pardon Monsieur.
Il s’approche une nouvelle fois et retente un baiser sur la bouche. Cette fois-ci, je ne le dévie pas de son baiser, le laisse faire. Ses lèvres se posent sur les miennes, nos langues s’enroulent.
Je peux utiliser ta table Alain ?
Oui, tu le peux. Fais ce que tu veux, d’ailleurs, elle t’est offerte.
Mets-toi devant la table, penche-toi, cambre tes reins petite salope.
Je comprends que j’ai affaire à un homme très autoritaire qui aime utiliser la femme pour son jouet sexuel, surtout quand elle est offerte par son dominateur, comme je le suis actuellement.
Je me dirige vers la table, prends appui sur les mains, me penche, cambre mon cul. Ses mains caressent mon postérieur pendant quelques minutes.
Je reçois une première claque que j’ai bien sentie passer !
Aie !
Quoi ? !
La claque est forte !
Tais-toi ! Tu mérites la fessée devant ton dominateur pour avoir refusé la première fois que je t’embrasse ! N’est-ce pas Alain ?
Elle le mérite oui.
Pendant plusieurs minutes, et pour la première fois, mon fessier reçoit des baffes puissantes et directes. Je ressens un échauffement sur mon derrière, limite une petite douleur.
Je regarde dans la direction d’Alain, qui, lui, regarde, toujours appuyé contre le mur, mais cette fois-ci, il a sorti sa queue et se la tripote d’un geste lent.
Redresse-toi salope !
Je me redresse, il entoure un de mes poignets avec sa main et me tire au milieu de la pièce.
Déshabille-moi sans retirer mon caleçon !
Je regarde une fois de plus Alain. Il hoche la tête de bas en haut en signe d’acceptation. Je commence par déboutonner les boutons de sa chemise, lui enlève. En me mettant accroupie, je défais les lacets de ses chaussures, et, une après l’autre, les enlève pour les poser juste à côté de moi.
Il ne dit rien, me regarde faire. Je me relève, déboucle son ceinturon, les boutons de sa braguette, fais glisser son pantalon le long de ses cuisses. Il lève une jambe après l’autre, et pose le pantalon de ville sur le dossier d’une chaise qui est non loin de moi.
Maintenant qu’il est en caleçon, je peux voir qu’une belle bosse est formée. Alain me laisse quelques minutes seule avec Patrick qui me roule des pelles à ne plus en finir en me tripotant les seins avec fermeté.
Je vois Alain revenir avec ce fameux tube de lubrifiant, je comprends pour quelle raison, puisque je suis au courant que cet après-midi, ce sont mes fesses qui sont le centre d’intérêt.
Tiens Patrick, je te le pose ici.
Merci. Mais avant, elle va sucer. Tu m’as dit que c’était une excellente suceuse si je me souviens bien.
Essaie et tu vas voir.
Mets-toi à genoux et tu sais ce que tu as à faire.
Je me mets accroupie, baisse d’un geste lent son caleçon, et surgit, devant mon visage, un sexe de belles dimensions. Il est droit, doit mesurer dans les environs de 17 centimètres, plutôt fin. Ouf ! Me voilà rassurée, il n’a pas un membre surdimensionné.
Je le prends dans ma main, masturbe doucement cette tige que je suis en train de découvrir. Du bout de la langue, je titille le gland tout en massant ses testicules.
Hum… J’aime ta douceur.
…
J’ouvre la bouche, mes lèvres glissent jusqu’à faire disparaître cette queue. Je remonte doucement en creusant les joues.
Ah oui ! Tu avais raison Alain ! C’est une très bonne suceuse ! Quelle sensualité en plus de ça !
En le suçant, j’aperçois Alain dans mon champ de vision. Il est à ma droite, tenant son sexe dans sa main, je devine sans trop voir qu’il bande fort.
Branle ton dominateur pendant que tu me suces devant lui !
Je n’ai pas grand-chose à faire pour saisir le sexe d’Alain, il est à moins d’un mètre de moi. Je garde précieusement ce que j’ai en bouche, et, de l’autre main, je commence à branler Alain qui est en forme. Cette double caresse dure plusieurs minutes.
Arrête ! Va déshabiller ton maître !
Je suis un peu perturbée sur le fait que ce n’est pas Alain qui dirige, mais son invité. Je me lève, déshabille Alain qui me caresse et m’embrasse en même temps. Une fois qu’il se trouve nu, je reprends le sexe de Patrick, et, simultanément, je les branle côte à côte. Je sens de la chaleur envahir ma chatte. Je suis tout excitée !
Elle est aussi douée, Alain, avec deux bites dans la bouche ?
Franchement, je ne sais pas, je ne lui ai jamais fait faire.
ben voilà ! Nathalie, tu vas avoir l’occasion de prendre deux bites dans la bouche.
Je suis à genoux, je le vois se coller à Alain. Devant mon visage, deux belles queues bandées qui attendent les prouesses de ma bouche.
En effet, c’est la première fois que je me retrouve avec deux hommes devant le visage. J’ai toujours eu cette image en moi sans pouvoir réaliser ce désir. Je suis heureuse de pouvoir m’investir dans cette nouveauté, et je vais faire de mon mieux pour leur montrer de quoi ce dont je suis capable de faire.
Je saisis ces deux hampes, les approche au point de faire toucher les glands. Ma langue lèche les deux, sensuellement. Mes lèvres glissent sur les deux en même temps. J’entends Alain me féliciter.
Oui, c’est bien Nathalie. Je vois que tu te débrouilles aussi bien avec une, qu’avec deux petites salopes.
… (Je lèche sans marquer une pause.
Avale les deux en même temps !
Je colle les deux bites l’une contre l’autre, ouvre en grand ma bouche, et, avec difficulté, fais glisser ces deux glands entre mes lèvres. Oui, j’aime ça ! Deux, rien que pour moi, dans ma bouche, voilà quelque chose que j’avais envie depuis longtemps !
Je me régale ! Je tète les glands en même temps, je sens une main qui pousse ma tête pour me forcer à prendre au maximum les tiges. Ma bouche se déforme, mes lèvres sont distendues. Quand je suis à la moitié de la longueur de celles-ci, je ne peux pas aller plus loin. Je bave, j’avale ma salive avec difficulté, je respire par le nez, ma bouche est pleine.
Tu vois Nathalie que deux bites, ça passe !
Je remonte ma bouche, en profite pour reprendre ma respiration.
Oui…
Tu es une belle salope avec ta bouche à pipe !
Patrick me tape le visage avec sa colonne de chair, Alain en fait autant. Je reçois non-stop des coups sur les joues. J’aime ! Je mouille !
Patrick place une main au niveau de ma mâchoire et la comprime pour faire ressortir mes lèvres en forme de cul de poule. Je suis surprise de voir son autre main prendre le sexe d’Alain, et de le frotter contre mes lèvres. Alain ne réagit pas, le laisse faire.
Tu aimes ça, petite traînée, des bites qui se frottent sur tes lèvres de pompeuse hein ? !
Oui…
Je me surprends moi-même à bien aimer l’image que j’ai devant les yeux. Celle de voir un homme avec un sexe autre que le sien dans la main. Au moment où il la lâche, je m’empresse de les prendre toutes les deux, de les branler. L’idée me vient en tête de frotter les glands l’un contre l’autre en prenant soin d’y avoir déposé de la salive pour bien les faire glisser.
De ma propre initiative, je les touche et fais en sorte qu’ils se frottent. Mes deux partenaires me laissent faire, chose qui me motive à continuer.
Je redresse la tête, les regarde, leur fais un sourire.
Crache dessus !
Chose que je fais avec plaisir. Je rassemble au maximum de la salive, et crache sur les deux glands que je m’empresse à les faire frotter. Ils sont gonflés, prêts à exploser.
Hum… C’est bon ça ! Va doucement, c’est encore meilleur.
Oui, c’est vachement doux !
Je me déchaîne, je suce, je lèche, les fais toucher. J’adore.
Stop Salope, tu vas finir par nous faire jouir ! Va te pencher sur la table que je t’encule !
Je me positionne en appui sur la table. Je sens des mains ouvrir mes globes fessiers, puis du lubrifiant, un doigt pénétrer mon petit trou. Je me détends au maximum.
A qui l’honneur, à toi Alain ou à moi ?
Tu es mon invité, c’est à toi l’honneur.
Le bout de la bite se présente juste sur mon anus, pousse doucement, entre peu à peu, revient, repart, à chaque fois un peu plus profond. Ses mains s’accrochent à mes hanches, la sodomie se fait plus énergique.
Hum. Tu as un cul à te faire enculer ! Avec ce cul, tu dois souvent te faire mettre ! Tu aimes te faire prendre l’anus ?
Ouiiiiii.
ça ne m’étonne pas !
Patrick me bourre sans ménagement pendant qu’Alain m’embrasse et commente des propos qui m’excitent.
Tu vois Nathalie, tu en veux de la bite, et bien tu vas en avoir avec moi ! Tu es belle quand tu te fais prendre le cul.
Vous m’excitez là ! Enculez-moi à tour de rôle. Je veux en prendre plein le cul.
T’inquiète, ce soir tu vas avoir mal au cul, c’est moi qui te le dis !
Je suis sodomisée d’une façon que Patrick arrive à me procurer un plaisir intense. Quand il se retire, je suis sur le point de jouir, mais il est sorti trop tôt. Alain prend sa place, et, à son tour, m’encule.
Debout sur mes jambes, appuyée sur la table, elles ont du mal à me tenir. Elles tremblent.
Pendant qu’Alain me bourre le cul, Patrick est monté sur la table pour que je le suce. Il me donne des gifles. Il pousse l’intérieur de ma joue avec son gland pour donner de petites claques à son gland au travers la peau de ma joue.
Je suis prise par la bouche et le cul en même temps. Je suis sur une autre planète.
Alain se retire de moi.
Viens, ma chérie, on va continuer dans ma chambre.
Je suis d’accord à aller dans sa chambre, ce sera plus confortable pour moi, car mes jambes ne me portent plus. J’ai soif.
J’aimerai un grand verre d’eau. J’ai la bouche sèche.
Je vais te chercher ça.
Patrick s’assoit sur une chaise, toujours en train de bander fort.
Viens t’asseoir sur moi en me faisant face. Empale-toi sur moi. Mets ma bite dans ton cul.
Il faut que je remette de la crème.
Tiens, enduis ma queue de lubrifiant.
J’étale du gel sur sa queue, en profite pour en mettre à l’entrée de mon anus. Je le chevauche, fais entrer de nouveau son sexe en moi en pénétration anale. Il pince mes seins. C’est profond ! Je fais doucement ! J’ai toujours aussi soif !
Alain revient avec une bouteille d’eau et un verre. Tout en restant sur Patrick, je bois le verre cul sec ! (Sans jeu de mots.)
Je veux bien aller dans la chambre.
Allons-y.
Patrick me demande de me mettre sur le dos.
Ecarte bien les cuisses, je vais t’enculer comme ça.
Je me mets sur le dos, écarte les cuisses. Alain tient mes jambes en l’air, Patrick me sodomise en soufflant, et râlant. Ses couilles tapent contre mes fesses. Le tour d’Alain est arrivé, Patrick attrape mes jambes si haut que mes pieds sont vers le plafond.
Cette scène dure un long moment. Je suis épuisée. Je n’en peux plus.
On peut faire une pause ? Je n’en peux plus là.
D’accord. Tu peux dire que tu en prends plein le cul.
Oui, mais j’ai besoin d’un peu de repos.
D’accord.
Je m’allonge sur le lit. Une douleur est présente au niveau de mon rectum. Une douleur légère. Il est vrai aussi que ça va faire une heure que je suis en train de me faire prendre le cul frénétiquement.
Pour échapper à une autre partie de sodomie, je me mets à quatre pattes devant Patrick et le prends en bouche. Je le suce sensuellement, d’une langue et d’une bouche lascives tout en branlant Alain. Mon but est de les finir avec ma bouche afin qu’ils ne reviennent pas dans mon derrière.
Alain se retire de ma main masturbatrice pour me faire un cunnilingus. Je suis ainsi à quatre pattes suçant l’un et me faisant lécher par l’autre. L’excitation monte en moi, j’ai envie de jouir de la chatte.
Humm, oui Alain, continue… Humm… C’est bon !
Je suce à pleine bouche Patrick.
J’ai envie de me faire prendre la chatte !
Oui petite chienne, mets-toi sur moi et viens me chevaucher pour t’empaler sur ma queue qui ne demande qu’à te prendre la chatte !
Alain se positionne sur le dos, je monte sur lui, et m’empale sur son sexe. Patrick regarde en me malaxant les seins et en se branlant en même temps.
Je monte et descends sur la hampe d’Alain, je vois Patrick de lever et se positionner derrière moi.
Couche-toi sur lui, présente-moi ton cul !
Oh non, tu ne vas pas me le rependre mon cul ?
Pire que ça ! Tu vas voir ce que c’est une double pénétration.
Non, je ne l’ai jamais fait !
Je suis surprise de la réponse de Patrick.
Ta gueule ! Tu l’as voulu dans la chatte ? Ben tu vas en avoir une deuxième dans le cul !
Je suis couchée sur Alain, sa queue en moi, mon postérieur face à Patrick. Je redoute cette double pénétration !
Toujours la bite d’Alain en moi, je sens que l’invité repasse de la crème lubrifiante sur mon petit trou.
Je ne vais pas avoir de mal à entrer, ton trou est tellement ouvert qu’on pourrait y mettre deux bites. Tu as un cul pour faire un double anal !
Non, il ne faut pas exagérer, je ne suis pas ouverte à ce point-là. Vas-y doucement s’il te plaît.
Patrick positionne le bout de sa verge enveloppée dans un nouveau préservatif, à l’entrée de mon trou, donne de petits coups de reins de façon à la faire entrer dans mon cul. Une fois qu’elle est à l’intérieur, il reste quelques instants sans bouger.
ça va Nathalie ? Quelles sont les sensations que tu as ?
Oui, ça va. Je dirai sur le moment que je me sens pleine de partout.
Tu trouves agréable cette sensation ?
Je ne sais pas encore. Le fait d’en avoir deux en moi fait drôle.
Attends, tu vas voir. Ne bouge pas Alain, je vais la limer lentement pour qu’elle prenne un peu l’habitude.
Alain ne bouge pas tout en restant dans ma chatte pendant que Patrick va et vient dans mon anus doucement.
Ohhhhhh ! Là là ! Que c’est bon ! Je la sens bien mieux, c’est plus serré. Que c’est bon !
Et attends, là, je te travaille le cul pour que tu prennes un peu l’habitude de cette nouvelle sensation, mais tu vas voir quand Alain va se mettre à bouger.
Ohhhhhh ouiiiiii, bouge Alain s’il te plaît !
Je sens une forte sensation dès qu’Alain se met à bouger le bassin. Au bout de quelques mouvements, ils arrivent à se synchroniser. Pendant qu’un est au fond de moi, l’autre est presque sorti, et ainsi de suite. Je sens ces deux queues coulisser dans un rythme régulier.
Alain prend ma tête entre ses mains, m’embrasse à pleine bouche. Il est tout excité.
Oui, c’est bien ma Nathalie, tu m’offres un très beau cadeau que te laisser prendre un double.
Ohhhhhh ! Je ne regrette pas d’être venue. Jamais je n’aurai imaginé que c’est si bon de se faire prendre en double, moi qui avais peur.
Tu te fais bien prendre ma chérie. Tu aimes ?
Oui Alain, j’aime ! Merci ! C’est grâce à toi ! Bourrez-moi tous les deux, allez-y plus fort ! Je suis votre pute ! Faites de mon corps ce que vous voulez !
Aussitôt dit, aussitôt fait, Patrick accélère le mouvement, plus fort, plus profondément à en faire claquer ses testicules contre mon fessier, pendant qu’Alain ondule du bassin.
Ohhhhhh ouiiiiii ! Ne jouissez pas tout de suite s’il vous plaît, j’ai encore envie de les sentir en moi ! Continuez comme ça, je sens que ça monte.
Patrick m’encule maintenant sans ménagement tandis qu’Alain me prend la chatte simultanément profondément que Patrick. Les deux hommes transpirent, respirent, et moi… Moi… Je jouis intensément.
Là ! ! Ouiiiiii ! ! Je jouis trop bien ! J’aime avoir deux queues en moi ! !
Je hurle de plaisir tellement je suis montée au septième ciel. Je crois que c’est la première fois que je jouis aussi fort, au point que je ne sais même plus si je jouis du cul ou de la chatte. Je crois que je jouis des deux en même temps.
J’aime avoir deux hommes en moi ! J’en veux encore et encore !
Je comprends qu’ils vont commencer à avoir envie de se soulager.
Arrêtez ! Je n’en peux plus ! J’ai trop joui en peu de temps. J’ai envie de vous finir avec ma bouche. Vous allez voir comment je vais vous vider les couilles moi.
Ah oui ? Tu veux avaler les doses de sperme ? (Patrick a l’air étonné de ma demande.)
Si tu crois que ça me fait peur, tu te trompes ! Mettez-vous tous les deux sur le dos, vous allez voir à votre tour ce qu’est une pompeuse de première !
J’entends dire notre invité. Tu es surtout une salope de première !
Venez, donnez-moi du sperme à boire.
Sur ces mots, Patrick se retire de moi, enlève son préservatif, le pose sur une des deux tables de nuit, et s’allonge près d’Alain.
Je me redresse afin de faire sortir le sexe de mon dominateur, qui lui, reste allongé.
Je me mets à genoux entre mes deux hommes, les branle en même temps. Ils me caressent les seins. Je me sens pute, chienne et soumise entre ces mâles. Mais il faut que je passe aux choses sérieuses, ils ne méritent pas que je les finisse à la main.
Par lequel de vous deux je commence ?
Tu commences par Patrick ma beauté. Il est notre invité, puis je vais te regarder le faire jouir dans ta bouche.
Avec plaisir. Alors Patrick, tu vas voir ce qu’est une bonne avaleuse.
Montre-moi ça oui. Tu ne vas pas avoir de mal à me faire jouir.
Tout en restant à genoux, je me penche vers lui, l’embouche, sans quitter celle d’Alain que je continue à branler.
Je commence par faire passer ma langue sur ses testicules, les gobe, les aspire, et les mets complètement dans ma bouche pour les faire rouler sous ma langue. Je sens qu’il apprécie ma façon de faire, il écarte un peu plus les jambes pour me laisser un peu plus de place. Tout en léchant la totalité de son sexe, je remonte peu à peu vers son gland pour le lécher sensuellement sous le regard passionné d’Alain. Mes lèvres molles entourent ce gland, et la queue disparaît dans ma bouche. Je descends, remonte, mes mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides quand je suis interrompue par la voix d’Alain.
Attends ma soumise. Nous allons nous lever tous les deux, tu restes à genoux, et tu vas nous montrer si tu es capable de nous faire éjaculer en même temps et recevoir ce que tu mérites dans la bouche.
Comment veux-tu que je vous fasse éjaculer avec ma bouche en même temps ? Je ne comprends pas.
En guise d’explication, je les vois se lever, se placer devant mon visage.
Ouvre la bouche en grand, on va y mettre nos bites.
J’ouvre ma bouche au maximum de ce que je peux, les glands s’introduisent, s’enfoncent, je serre les lèvres.
C’est bien ma chérie. Garde-les ainsi.
Je ne peux pas répondre, je me laisse faire. Les deux bites se frottent l’une contre l’autre, tape contre mon palais, ma langue. Je suis en mesure de dire, à cet instant, que je suis en train de me faire bourrer la bouche par deux étalons en même temps.
Mes lèvres sont déformées, mais elles encaissent ces allées et venues. De mes deux mains, je malaxe délicatement les testicules.
Patrick est le premier à jouir en lançant des jets puissants contre mon palais, suivi d’une vingtaine de secondes après d’Alain qui en fait autant.
Pour la première fois, je reçois deux éjaculations en même temps au fond de la gorge, que je prends bien soin d’avaler, même si je suis en difficulté de le faire.
Alain se retire le premier, Patrick le suit aussitôt. Le temps que je finisse d’avaler ce qui me reste dans la bouche, je prends les sexes en train de ramollir dans mes mains, les mets en face à face, et fait rouler les glands comme s’ils se roulaient des pelles. Je prends plaisir à regarder ce que je fais, mes hommes sursautent.
Je relève la tête vers eux, souriante et fière de moi d’avoir réussit ce défi, ouvre la bouche pour qu’ils puissent bien voir que je n’ai plus rien dans la bouche.
Ouf ! Merci à vous deux. J’ai vraiment pris un pied incroyable. Je crois que c’est la première fois que j’ai joui aussi fort. C’est trop bon deux en même temps.
Patrick me sourit, me caresse les cheveux.
Et moi, je remercie Alain de m’avoir permis de faire ta connaissance, et te remercie aussi, car tu as très bien assuré. Tu es une mangeuse d’hommes.
Je suis arrivée à la maison en fin d’après-midi. La première chose que j’ai faite est de prendre une longue et chaude douche. Après la douche, ce n’est pas souvent que cela m’arrive, mais je dois avouer que je ne tenais plus sur mes jambes, je suis allée dormir une petite heure sur mon lit.
Pendant deux jours, j’ai eu mal à mon petit trou.
Patrick, si tu lis ce récit et si tu te reconnais, je peux te dire maintenant que tu as été largement à la hauteur de mes attentes en compagnie d’Alain.
Nous allons nous revoir. C’est une promesse.
La suite quand je revois Patrick ?