Il est de fois ou l’on aimerait parlez de ce qui nous est arrivé, mais certain secret s’ont si lourd qu’on ne peut que les garder pour soi.
Cette histoire est vraie
Il y a une vingtaine d’année j’étais encore étudiant, je fis la connaissance sur le campus d’une jeune marocaine Chadia – ses parents étaient arrivé en France quelques années plutôt.
D’un physique séduisant, elle était brune avec de longs cheveux bouclés, lui tombant sur les reins. La finesse de sa taille faisait ressortir une magnifique poitrine qui attirait le regard.
Nous avons été tout de suite très complices. De nature très gaie Chadia était un vrai bonheur. Je sentais qu’elle n’était pas insensible à ma personne. Souvent après les cours ont se retrouvaient pour allez boire un verre et le week-end, ils nous arrivaient d’aller au cinéma. De culture différente, Chadia, ne pouvait me présenter à sa famille, en effet son père était très stricte sur les rapports homme femme de part ses moeurs et la responsabilité morale qu’il avait en tant que chef de famille. Il ne pouvait accepter que sa fille fréquente un garçon quel qu’il soit.
Chadia était la seconde d’une famille de 7 enfants.
Au cours des mois, ma relation avait évolué avec Chadia ont se retrouvaient en cachette après les cours pour flirter. Petits bisous, quelques caresses, Chadia se refusait à aller plus loin. C’était pêcher me disait t’elle. De temps a autre, elle acceptait de me branler, pendant que je lui suçais les seins. Des seins magnifiques, blanc aux larges auréoles, qui contraster avec la couleur ambre de sa peau. Je me montrais à chacune de nos rencontres de plus en plus pressants. Elle refusait que nos rapports aillent plus loin, m’expliquant que sa virginité était réservée à l’homme qui deviendrait son mari.
Elle sentait ma déception. De nos petits jeux était né une véritable passion l’un pour l’autre. Un véritable amour. Je l’a vis arrivé un matin au campus avec un air sérieux, un peu nerveuse, elle me demanda de la suivre dans un endroit discret. Je l’embrassais, elle me repoussa gentiment en me disant :
Ecoute j’ai quelques choses à te dire, j’ai vraiment envie de te faire plaisir et d’aller un peu plus loin avec toi, mais il faut que tu saches quelques choses.
Je m’attendais au pire au vu de la façon dont elle me présentait les choses, son anxiété était évidente. Je lui répondis je t’écoute.
Voilà me dit-elle. De part mes coutumes je suis obligé de suivre certaines règles, la femme chez moi et quelqu’un qui veille au bonheur de l’homme, a son épanouissement, qui a en charge l’éducation des enfants, de la tenu de la maison etc.
Etonné je luis dis oui et alors ?
Elle continua, mon frère ainé Nachit doit prochainement se marier au pays, depuis maintenant un an, je dois !! Elle marqua, un temps d’arrêt, je, je le soulage.
La phrase était sorti de sa bouche d’un seul coup, elle ne me regardait plus, elle baissait la tête.
Abasourdit par se révélation je lui dis- Tu veux dire que tu couches avec ton frère ?
Non me dit-elle, je le soulage, ça se fait souvent chez nous.
Je restais sans voix- je la regardais en lui disant mais pourquoi me dis tu tout ça ?
Parce que si tu m’aimes tu dois m’accepter comme je suis et je voulais que tu saches.
A cette instant un sentiment de colère de jalousie certainement me ronger les entrailles. Mais il est vrai que par-dessus tout j’aimais profondément Chadia.
Tu sais me dit-elle mes sentiments s’ont vraiment profond pour toi. S’ils ne l’étaient pas, je ne t’aurais jamais avoué tout ça. J’ai expliqué à mon frère que je t’avais rencontré, il est très reconnaissant de ce que je fais pour lui. On pourrait allez un peu plus loin. Il n’est pas contre, mais il veut te rencontrer.
Ce que m’avais avoué Chadia, j’avais beaucoup de mal à l’encaisser. Un mois c’était passé depuis cette conversation, on continuait de se voir, j’attendais qu’elle me présente son frère. L’été arriva, les parents de Chadia partaient pour le Maroc, la laissant elle et son frère en France. Elle m’invita une après midi chez elle.
C’est son frère Nachit qui vint m’ouvrir, un beau jeune homme, très sympathique, je m’installe dans le canapé du salon lui sur le fauteuil en face et la conversation s’engage. Chadia est dans la salle de bain, elle passe sa tête à la porte et m’envoie un -? tu vas bien, a ce quoi je réponds par l’affirmatif ?.
Nous parlons de choses est d’autre avec Nachit, celui-ci veut savoir qui je suis, quel est ma famille, comment je vie, la conversation prend la forme d’un interrogatoire à laquelle je me plie volontiers, voulant probablement gagné sa sympathie. Je sens que le courant passe bien entre nous. Puis Chadia sort de la salle de bain – elle a revêtu un longue robe marocaine ? une djellaba ? ce qui met en valeur sa taille et sa grâce. Elle vint s’asseoir a coté de moi, les cheveux encore mouillés par le bain qu’elle vient de prendre.
Puis Nachit, sans détour, me dit – je sais que ma soeur en pince pour toi, tu es au courant de ce qu’elle me fait, j’accepte qu’elle aille un peu plus loin mais je veux vous voir faire. Je regarde Chadia qui ne dit pas un mot, et qui fixe son frère, je suis quelque part comme un enfant qui ne sait pas ce qu’il doit dire ou faire qui cherche une réponse. Si tu en es d’accord me dit-il, on peut commencer aujourd’hui- je reste sans voix, et répond par un timide ? oui ?. Il fait un signe de la tête et Chadia soumise au bon vouloir de son frère, me dit lève toi – je m’exécute elle défait la ceinture de mon pantalon pour faire tomber celui-ci, puis retire mon slip. Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé, et me dit détend toi, je vais te faire du bien, elle caresse lentement ma verge en me fixant du regard avec léger sourire, puis a genoux entre mes deux jambes, elle commence à le lécher les couilles.
Son frère pendant se temps à baisser son pantalon et tout en nous regardant se branle – sa verge et fine et longue.
On voyait que Chadia aimait sucer. Elle engloutit ma queue, avec gourmandise, faisant aller sa tête d’avant en arrière, les doigts crispés autour de la hampe, sa bouche entourant ma bite agressive et luisante.
Je lui pris la tête entre mes mains, et accompagna son geste. La bouche pleine, elle pompa de plus en plus vite – Tu suces comme une déesse ! J’ai rarement… été sucé comme ça… oh que c’est bon.
Excité par le spectacle son frère, se leva et vint se placer derrière elle. Il souleva la longue robe, faisant apparaître un cul magnifique. Elle courba le fessier pour mieux s’offrir. Puis il présenta sa bite devant le petit trou de Chadia qui lui dit quelques choses en arabe. Celui-ci s’enfonça d’un seul coup en grognant – Chadia arrêta quelques instant de me sucer, et me fixa, le regard hagard avec une expression de douleur sur le visage, la bouche ouverte, cherchant à retrouver son souffle. Puis Nachit commença à la bourrer, en lui donnant des grands coups. Ne t’inquiètes pas me dit-il elle a l’habitude, elle aime ça, Hein tu aimes ca ? Elle reprit sa pipe en poussant de petit hum hum, la bouche déformée par mon mandrin – le spectacle était incroyable, presque irréel.
Nachit claqué son pubis de plus en plus fort sur le fessier de sa soeur. Elle ne peut retenir un premier ? n’arrête pas ?, pas très fort, suivi d’un deuxième beaucoup plus fort. Avec ses mains il écarta au maximum les fesses de Chadia, pour la pénétrer encore plus profond, au plus chaud de son corps et y délivrer tout son plaisir. A l’instant précis où Chadia ressentit les tremblements de son amant et le plaisir qu’il lui inocula par grands jets dans son ventre, un spasme la parcourra, profond, puissant : elle venait de jouir en même temps que lui. Il resta un moment dans cette position puis sortit son membre dégoulinant du cul de sa soeur. Puis me dit – vas y prend ma place. Il s’installa devant Chadia qui lui nettoya la bite, goulument.
Je présentais ma bite devant l’oeillet brun et je m’enfonçais à mon tour – comment vous décrire le plaisir que je ressentais – il n’y avait pas de mot. Rendu glissant par le sperme de son frère, je commençais mon va et vient dans le canal déjà bien ouvert par la bite de Nachit – vas y me dit-il donne lui de grand coup elle aime bien ça.
Mes mains crochetées dans ses hanches, je la sodomisais avec véhémence en une chevauchée frénétique. Je possédais cette croupe qui m’affolait. Nous étions en sueur. On entendait mes cuisses qui claquaient contre ses fesses. Son cul allait à ma rencontre, elle en redemandait et, moi je lui en donnais. Oui dit elle entre deux succions bourre moi bien – bourre moi bien. Ah je suis votre chienne allez plus fort.
C’était trop fort, c’était trop bon, trop puissant, trop tout, j’étais conscient de vivre quelque chose d’exceptionnel.
Son frère excité par la situation appuya sur sa tête et pris de soubresaut cracha sa semence dans la bouche de Chadia qui avala tout sans rechigner.
A mon tour je m’enfonçais au plus profond des ses entrailles pour y déverser mon sperme – elle baragouina quelques mots en arabe qui montré la jouissance qu’elle avait pris avec son frère et moi.
L’après midi ne s’arrêta pas là je pus jouir encore, comme son frère, deux fois dans son cul et sa bouche.
Un petit jeu qui dura pendant un mois avant que ses parents ne reviennent du Maroc.
Cette relation dura quelques mois. Aujourd’hui Chadia et devenu ma femme, nous vivons heureux et avons de beaux enfants. Lorsque son frère s’est marié, il a arrêté toutes relations avec sa soeur. J’ai du embrassé les coutumes de Chadia pour l’épouser, grâce au concours de son frère qui fut un précieux allié et qui m’aida à me faire accepter par ses parents.
Bien sur nous avons eu d’autres aventures plus tard, beaucoup plus tard avec ma femme. Mais celle-ci restera l’une des plus profondes que j’ai vécue.