J’habite un village assez rural où bon nombre de marcheurs, cyclistes ou autres pratiquants de la course à pied prennent plaisir à parcourir les rues pour s’adonner à leur sport fétiche. Ce dimanche-là, il faisait particulièrement beau et depuis tôt le matin, j’observais bon nombre de personnes passer devant chez moi en me régalant du spectacle lorsque des mecs bien foutus passaient par là.
Vers 14h, j’étais assis sur le muret devant la maison en train de profiter du soleil tout en lisant à livre en gardant un il sur ce qui se passait autour de moi. Je voyais au loin arriver un coureur avec des vêtements jaune fluo. Plus il se rapprochait, plus il semblait beau et sexy. Il était blond, les cheveux ébouriffés, 1m80, dans les 65 kilos. Arrivé devant moi je le salue d’un simple bonjour qu’il me réciproque et tandis qu’il continue sa course, je regarde son cul qui semble parfaitement musclé. Cent mètres plus loin, le garçon trébuche contre un morceau de trottoir et s’étale de tout son long par terre en criant un grand « Aïe » de douleur. Ni une ni deux, je me rapproche de lui et lui propose mon aide. Il me répond qu’il a très mal à la cuisse et veut bien que je le soutienne pour le relever.
Presque debout, il continue à se tordre de douleur et je lui propose de rejoindre ma maison pour le soigner. Je passe son bras derrière mon cou et nous tentons difficilement de revenir vers chez moi. Je l’installe ensuite sur le divan et lui demande de m’attendre quelque secondes le temps que j’aille chercher de quoi m’occuper de lui. Cela ne semblait pas plus grave qu’un claquage de muscles et empoignait donc le tube de gel adéquat tout en revenant avec ma table de massage pliante pour l’installer confortablement.
Quand il a vu ça, il m’a fait remarquer que j’étais bien équipé et qu’il a de la chance d’être tombé près de chez moi. Je souris et après avoir déplié la table, l’aide à s’installer sur le ventre. Je lui propose d’enlever son short pour pouvoir mieux masser sa cuisse endolorie et il accepte sans soucis. Je découvre ainsi son boxer qui renferme en effet un superbe fessier bien musclé tel que je l’avais imaginé. Je mets le gel dans ma main et commence délicatement à masser la zone où il a mal. Je l’entends exprimer sa douleur et essaie de faire ça au mieux. Il me dit ensuite que ça lui fait du bien et je continue donc mes gestes avec précaution.
On discute en même temps, il s’appelle Kevin, a 28 ans et vit seul dans un village à quelques kilomètres du mien. Il me félicite pour mes talents de masseur en soulignant combien c’est agréable et me demande si je suis professionnel en la matière. Je lui réponds que non mais j’ai pas mal appris de mes expériences et autres connaissances acquises çà et là. Il me fait remarquer que je devrais en faire une activité complémentaire parce qu’il serait mon premier client. Je lui demande alors s’il veut que je masse son corps complètement et il accepte immédiatement pressé d’en profiter. Je me saisis de mon huile de massage, lui enlève alors son t-shirt et observe son dos parfaitement dessiné. Je lui demande s’il fait de la musculation parce qu’il est très bien bâti, il me remercie et me dit qu’en effet c’est un des sports qu’il pratique.
Je commence donc par lui masser le dos longuement et je le sens de plus en plus détendu appréciant les sensations que mes mains lui prodiguent. Je lui demande s’il veut un massage crânien également en sachant que ses cheveux seront un peu gras ensuite et il n’y voit aucun inconvénient. Après sa tête, je repasse alors vers ses jambes et insiste sur ses pieds en appliquant les quelques connaissances que je possède sur la réflexologie plantaire. Il me dit que je suis décidemment très doué, ce qui me procure une certaine fierté et satisfaction. Je remonte vers ses jambes, insiste sur ses cuisses qui ne semblent plus douloureuses.
Afin de ne pas commettre d’impair, je lui demande s’il veut également un massage de son fessier, il hésite un peu et accepte finalement sans rechigner. Je le préviens que je vais retirer son boxer et lui demande de relever un peu son bassin. J’attrape le bord de son caleçon par l’avant et sens que son sexe semble bien en forme. En lui retirant le sous-vêtement, il a bien senti ma main contre son sexe et s’excuse de bander comme ça mais mon massage lui fait vraiment du bien. J’avoue que je suis très excité mais je me contente de lui répondre qu’il ne doit pas s’inquiéter, que je suis gay et que j’en ai vu d’autres.
Il semble surpris par ce que je viens de lui dire et je lui demande si ça l’ennuie. Il me répond que ce n’est absolument pas le cas, qu’il est hétéro mais qu’il a déjà eu quelques pensées relatives au sexe entre hommes. Je dois reconnaître que cette information me donne à mon tour une érection dans le boxer et faisant semblant de rien, je masse ses fesses avec envie. A un moment, je me lance et lui propose de lui faire découvrir des sensations nouvelles. Il devine à quoi je pense et avoue même que ça l’excite de découvrir cela. J’applique donc une bonne dose d’huile sur mes mains pour commencer à lui caresser son petit trou. La froideur de l’huile le fait frémir mais il se laisse faire sans aucun problème. Je lui introduis même un doigt délicatement et titille sa prostate ce qui le fait gémir. Il me fait remarquer que c’est très agréable et m’encourage à continuer. Je continue comme ça le massage anal pendant quelques minutes et je le sens se dilater de plus en plus.
A un moment il me demande, à ma grande surprise, si je suis d’accord de lui en faire découvrir encore plus, me précisant qu’il en a très envie. Ne rêvant que de ça depuis le départ, j’accepte bien volontiers et lui propose alors de s’installer sur le dos. Je découvre son sexe fin mais assez long bien bandé. Je baisse mon pantalon et mon boxer et m’enfile une capote rapidement. Je place ses fesses au bord de la table, relève ses jambes sur mes deux épaules. D’une main, je le branle un peu et de l’autre je continue à lui doigter un peu l’entrée. Il me signale qu’il est prêt et m’invite à le pénétrer. Doucement je commence à m’introduire en lui tandis que je continue à le masturber. Je vois son visage se crisper et essaie d’y aller le plus doucement possible. Il sourit en me disant que j’ai un fameux morceau quand même, ce qui me fait sourire à mon tour. Une fois bien en lui, je lui laisse quelques secondes pour s’habituer puis commence à faire quelques petits allers-retours qui semblent le décontracter au fur et à mesure. Au bout de trois minutes de ce traitement, il me dit que c’est vraiment trop bon et m’encourage à y aller plus fort. Encouragé, je me mets alors à le pénétrer de plus en plus vite ce qui entraîne chez lui des petits cris de plaisir.
Je m’amuse même par moments à me retirer pour rentrer tout aussi vite ce qui semble lui procurer beaucoup de bien. Il saisit son sexe avec sa main et se masturbe tout en se faisant baiser au rythme de mes coups de butoir. Je vois ensuite sa main accélérer le rythme et comprends qu’il va bientôt jouir. Je suis d’autant plus énergique dans ma pénétration et vois mon bonhomme lâcher quatre gros jets de sperme sur son ventre et ses pectoraux pendant qu’il contracte son anus sur mon sexe ce qui me fait monter la sauce rapidement. Je me retire, enlève le préservatif et gicle à mon tour toute ma semence sur son sexe et son ventre. Il a l’air épuisé mais très heureux d’avoir vécu l’expérience et me remercie pour cet agréable moment.
Je lui ai proposé d’aller se doucher, pendant que je rangeais le matériel. J’étais évidemment aux aguets d’entendre la douche finir de couler pour aller l’observer une dernière fois nu comme un ver, son corps d’athlète me faisant beaucoup d’effet. Il m’a vu et m’a demandé si je voulais l’essuyer avec un clin d’il. Je n’ai pas hésité et ai caressé chaque centimètre de son corps avec la serviette. Je me suis évidemment attardé sur son sexe qui reprenait vigueur au fil de mon massage. Une fois bien dur, je me suis agenouillé et ai enfourné son sexe en bouche. J’ai commencé une fellation telle que j’adore la pratiquer et Kevin vivait une nouvelle sensation qui semblait beaucoup lui plaire également en me faisant remarquer que les hommes savent en effet mieux sucer que les femmes. Il appuyait ses mains sur mes épaules et profitait de chaque instant. Il a saisi ma main gauche a l’a dirigée vers son anus. J’ai vite compris qu’il désirait que je le doigte à nouveau et ai donc introduit deux doigts directement en lui ce qui l’a à nouveau fait gémir. Il n’a pas fallu plus de cinq minutes à mon athlète pour à nouveau avoir un orgasme et sans prévenir m’a déchargé son sperme en bouche, qui je le reconnais avait un goût délicieux. J’ai bien nettoyé tout son sexe avec ma bouche et l’ai ensuite laissé se rhabiller.
Je l’ai reconduit chez lui, m’a une dernière fois remercié et a demandé s’il pouvait avoir mes coordonnées pour se revoir. Je n’ai évidemment pas hésité une seconde et nous nous sommes salués. J’avais hâte d’avoir de ses nouvelles.
