Ma réputation infidèle arriva très vite aux oreilles d’Antoine. Ce dernier me quitta avec regret. Il avait l’air vraiment attaché à moi et j’aurais vraiment aimé que cela soit réciproque. Néanmoins, le côté positif était que je redevenais disponible sur le marché des célibataires: une vie de perversion s’offrait à nouveau à moi (bien que le fait que je sois en couple ne m’est pas empêché de me dévergonder).
Quand mes amis apprirent mon célibat, ils voulurent tous gentiment me remonter le moral et ils m’organisèrent une fête. Tim, Louis, Pierre, Clément et quelques filles étaient invités. Je passai la soirée à m’amuser librement, volant de mecs en mecs, les chauffant en étant totalement sous l’emprise de l’alcool. Peu répondaient à mes avances car l’alcool ne les avaient pas assez échauffés. Très vite, la fête tourna en roulage de pelle générale. Les tentes se répartirent selon les couples qui se formèrent durant la soirée et résultat, je me retrouvai donc par défaut dans la tente de Pierre. Ce n’était pas totalement pour me déplaire car plus je le regardais, plus je le trouvais séduisant. Son côté innocent, ses muscles bien dessinés et son corps bronzé me rendaient totalement accro.
Vint le moment où nous dûmes nous coucher. Nous étions encore un peu alcoolisés mais la mère de Julie, chez qui se déroulait la soirée, venait d’arriver et l’extinction des feus dut donc se faire. Quand j’entrai dans la tête, j’eus la bonne surprise de découvrir un Pierre dénudé qui se déshabillait pour aller se coucher. Il n’était pas encore rentré dans son sac de couchage et portait juste un petit boxer qui moulait son (gros) paquet à la perfection. Je l’avais déjà sucé quelques fois déjà mais je ne m’étais jamais vraiment concentré sur lui. Pendant un moment j’admirai son corps viril, musclé et poilu, puis il se cacha sous le duvet en surprenant mon regard. Quand nous fûmes recouvert, nous échangeâmes quelques banalités avant de nous plonger dans un petit silence. Là, des bruits de baise nous parvinrent de la tente d’à côté, collée à la notre. C’était des halètements précipités, des murmures et des petits gémissement mais cela nous intrigua. C’était Timothée qui devait se taper une meuf de la soirée.
"C’est chaud à côté putain, dis-je doucement pour ne pas déranger Tim et la meuf.
-Ouais elle a l’air de prendre cher! J’aimerais bien voir qui est-ce qu’il est entrain de baiser.
-Moi aussi!
-En tout cas il a trop de chance. Toutes les meufs de la soirée elles étaient trop bonnes, s’exclama Pierre en haussant les épaules d’un air fataliste.
-On a qu’à regarder rapidement avec qui il le fait, il nous verra même pas, glissai-je d’un air malicieux."
Pierre me suivit dans mon délire et nous sortîmes à pas de loup de notre tente. Tim n’avait pas fermé entièrement l’entrée de sa tente, d’où la raison des bruits qui parvenaient jusqu’à nous. La fente permettait de voir ce qui se passait. Quand j’autorisai mon regard à observer l’intérieur, je vis bien Timothée se déchaîner sur la chatte d’une meuf de la soirée. Il la prenait en levrette et elle criait comme une soumise. Le jeune homme lui tenait les cheveux et donnait de grands coups de reins de temps à autre juste pour la faire crier un peu plus fort. Sa grosse bite épaisse rentrait et sortait de sa chatte à une vitesse folle tandis qu’il grognait sauvagement. Ses couilles claquaient contre les fesses de la salope qui continuait de pousser des petits cris. Il avait l’air de l’insulter à son oreille car elle faisait une tête bizarre mais il continuait de la rendre misérable en la baisant sous nos yeux excités.
Au bout d’un moment, Tim n’en put plus et la retourna, il vint près de sa bouche et éjacula sur ses lèvres avec un petit cri en lui disant de tout bouffer, ce que la jeune femme fit non sans une moue de dégoût. Finalement, Tim se rejeta sur son duvet, caressa un instant sa bite qui débandait puis s’endormit. Avec Pierre, nous rentrâmes discrètement dans notre tente avant de continuer à parler tout bas:
"Ca m’a trop excité, elle était trop bonne la meuf, me glissa Pierre avant que je ne surprenne un geste de sa main sous le duvet.
-Ouais moi aussi j’avoue, Tim lui mettait la misère hein!
-Je bande comme un gros porc du coup, se plaignit le jeune homme.
-Abuses pas, tu bandes tant que ça?, demandai-je innocemment."
A ces mots, Pierre baissa le duvet et son boxer dévoila une impressionnante érection. J’ouvris de grands yeux et poussa une exclamation admirative avant de baisser ce qui me recouvrait à mon tours, je bandais comme un âne et cela se voyait avec mon boxer qui me moulait bien. Pierre ne dit rien de spécial, il contempla la forme de ma teub pendant quelques secondes puis il prit ma main sans me demander et la posa sur son chibre enfermé dans sa prison de tissu. Je ne voulus même pas protester tellement j’en avais envie. Alors, sans rien dire je baissai le boxer de Pierre et libérai son monstre de chair. Sa bite était étonnement épaisse bien que peu longue et me faisait envie. Son gros gland, ses couilles poilues, sa tige bien dressée, tout appelait à une pipe incroyable. Mais d’abord, je pris la pine en main et commençai de gros vas et viens à la vas et vite pour ne pas lui donner trop de plaisir. Puis j’accentuai sur le gland gonflé par le plaisir. Mes mains parcouraient son corps, rassasiaient enfin leurs envies. J’autorisai mes doigts à parcourir sur ses biceps gonflés, ses pectoraux musclés et même sur ses abdos saillants. Ma bouche suivit et je me mis à lécher ces derniers avec passion sous les grognements de Pierre. Il passait une main dans mes cheveux alors que je continuais de le branler toujours plus fort, accélérant le rythme de temps à autre pour sentir tous son corps se crisper. Je voyais ses fesses poilues qui opéraient un soubresaut à chaque fois que j’allais trop fort. Je voulais que Pierre me supplie de lui tailler une pipe, je m’autorisai à me lancer des petits défis désormais. Alors ma main continua son voyage, venant caresser ses lèvres puis repassant à ses boules, migrant entre différentes parties érogènes de son corps comme ses tétons ou même ses oreilles que je me mis à mordiller passionnément. Au bout d’un moment, Pierre me susurra:
"Suces moi j’en peux plus, prends ma bite dans ta bouche et régales toi ! "
Aussitôt demandé, aussitôt fait. Je me penchai donc puis prit ce gros calibre dans ma bouche avec délice. J’ouvris grand mes lèvres pour que tout rentre et commençai directement avec une gorge profonde. Un petit cri jaillit de la bouche de mon amant mais je le couvris rapidement d’une main qui descendit vers son corps, le caressant alors que je continuais ma pipe. Mon doigt vint caresser ses tétons déjà durs tandis que ma langue léchait son frein, son prépuce puis englobait son gland entier dans un bruit de succion excitant. Mes lèvres connaissaient le chemin, faisaient leur travail de plaisir et descendirent vers les boules. J’adorais prendre ces bourses poilues et virils dans ma bouche. Je collai mon nez à ces dernières: elle sentait le mec en rut. Pierre continua de baiser ma bouche d’une main derrière ma tête et me força presque à prendre tout le chibre à nouveau. Il enchaînait les gorges profondes, se lâchant plus qu’il ne l’aurait fait avec aucune autre personne. Il ne pouvait pas se permettre cela avec les filles, je lui servais donc dexpérience, de libération, de lieu pour tous ses fantasmes.
"Tu suces trop bien putain, on dirait que tu veux autres choses à chercher comme ça là!"
Il passa sa main dans mon dos, caressa rapidement ma bite puis me retourna. Là, il lécha mes couilles, ma bite bandée un moment puis dirigea sa langue vers mon cul avant de m’offrir un anulingus sublime. Ses lèvres se collaient contre mon trou avec force, exerçant une force de succion qui me rendait fou. A chaque fois qu’il passait un peu plus sa langue dans mon intimité, je frémissais. De plus, il me branlait en même temps et rapidement de façon à ce que je criais déjà à moitié. Il devait mettre sa grosse main devant ma bouche pour ne pas que je fasse de bruit. Quand il eut assez ouvert mon cul et que sa langue eut bien goûté à mon intimité, alors il posa son gland contre mon cul. Là, il cracha sur son membre puis l’enfonça sans ménagement dans mon orifice. Je retrouvais le plaisir de la sodomie et ce n’était pas pour me déplaire. Pierre voulait me donner un maximum de plaisir et se déchaînait contre mes fesses, il s’agrippait à ces dernières et j’avais l’impression qu’il imitait Timothée tout à l’heure car il me prenait en levrette également, et avec cette même violence de films pornos. Pierre passa sa main rugueuse sur mon corps au fur et à mesure qu’il continuait ses vas et viens destructeurs: mon anus souffrait de prendre cette bite trop large pour lui mais des ondes de plaisir me traversaient. Pierre me retourna et continua ses mouvements, plus rapidement cette fois. Il était à court de souffle mais continuait à me baiser. Moi je touchais ses couilles bien dures puis caressais un moment son cul bien musclé. Chacun de ses gestes me rendaient fou. Il continua un moment à me défoncer. Je pouvais observer son visage concentré au-dessus du mien et ses gestes virils pour s’enfoncer dans mon intimité. Il vint me prendre sur le côté ensuite, une main toujours devant ma bouche pour ne pas que je crie et il accéléra le rythme, me détruisant l’anus sans ménagement en me murmurant des insultes à l’oreille. Il prenait son pied, à me traiter de salope tout en m’enculant.
"Tu kiffes ça? Tu te rappelles quand tu m’avais sucé, et bah j’avais qu’une envie c’était de t’ enculer comme une chienne et maintenant t’es comme un soumis. Allez viens là, suces la bite qui viens de sortir de ton cul!"
Je m’exécutai à ses paroles puis, pendant que mes mains malaxaient toujours son cul bien rebondis, je laissai ma langue jouait encore et encore contre son membre. L’odeur enivrante de sa queue m’excitait encore plus et il le sentait. Il me bifla un moment, venant passer son gland contre mon visage, comme pour marquer son territoire puis glissa le tout contre mes lèvres pour que je suce une dernière fois. Quand l’excitation du jeune homme atteignit son point culminant, tout ses muscles se contractèrent et je sentis un flot de semence s’abattre contre mon palais et ma langue. Pierre me maintenait fermement la tête pour que j’avale tout et quand il vit que j’eus finis, il cracha sur mon visage pour me maîtriser. Néanmoins, je n’avais pas dis mon dernier mot. Pierre croyait qu’on allait en rester là et il éteignit donc la lampe pour dormir tranquillement dos contre moi. J’attendis un moment qu’il fut endormis puis je commençai à caresser ses fesses. Je crachai sur deux doigts puis commençai à les rentrer dans son cul. Je sentis son anus se crisper tandis que mon ami se reveillait en sursaut. Il tenta de se dégager mais je tins bon et mit une main sur sa bouche pour qu’il ne dise rien. Rapidement, je collai ma queue toute dure à l’entrée de son cul et poussa après avoir craché dessus pour lubrifier. Je me mis au-dessus de Pierre pour le maîtriser totalement mais avec la douleur, ce dernier était cloué au sol. Il criait tandis que ma main couvrait le son et je continuais de le défoncer avec force, ma bite se frayant un passage difficile dans les profondeurs de son intimité. Je baisai rapidement sont trou, le sentant tout crispé cela ne rajouta qu’à mon plaisir. A son oreille, je me mis à l’insulter de pute comme il avait fait avec moi. Bientôt, je me sentis venir et je vis la tête dégoûtée de Pierre quand je lâchai tout mon jus contre son cul. Ma semence dégoulina contre ses cuisses puis je continuai un moment d’enfoncer un doigt dans le cul de mon ami, le sperme aidant à faire coulisser, puis je mis le doigt contre les lèvres de Pierre. "T’aimes ça? Hein?" lui dis-je tandis qu’il le prenait sans rechigner. Mon pote était trop choqué pour rien dire. Je voyais son cul musclé et poilu bien écarté, plein de sperme, et cette vision était divine. Le jeune homme finit par se couvrir, choquer et je l’entendis se tourner et se retourner toute la nuit: ce qui était sur c’est qu’il allait avoir mal le lendemain matin! C’est sur cette pensée amusante que je m’endormis donc, berçant mes rêves de beaux muscles poilus excitants.