J’étais à Paris pour loisirs. Et ces pulsions sont revenues.
On m’a parlé de Pigalle. Je n’y étais jamais allée. Donc j’en ai profité…
Shopping en sex-shop. Essayages devant les clients. Puis direction les cabines de projection.
Juste en talons. Quelques vieux. Ils bandaient à peine. Je les ai sucés, puis avalés.
J’étais en manque et non satisfaite…
Je suis rentrée à l’hôtel. Bouillante d’envie. J’ai remarqué au bar le serveur. Un grand black, un peu gras. Je n’aime pas les blacks. Mais sa manière de me regarder…
Filé dans ma chambre, préparé mes orifices…
Passé un top court. Ventre et épaules à l’air. Une mini-jupe plissée noire. Rien en dessous. Des chaussettes collantes grises. Puis mes talons.
Puis suis retournée au bar m’asseoir, de sorte à être face au barman. A droite, trois hommes d’affaires discutaient à une table autour d’un ordinateur.
La cinquantaine. Quelconques.
Le barman est venu prendre ma commande. Une coupe. Je regardais fixement sa braguette. Puis dans ses yeux. Il hésitait à sourire. Puis est reparti préparer la boisson.
Puis me suis tournée vers les businessman. Croisé mes jambes. Ils étaient absorbés. Me suis levée puis dirigée vers eux. Leur ai demandé le journal posé sur leur table. En me le passant, l’un m’a averti que ce journal m’ennuierait. Ce n’était que des finances et la bourse.
Je lui répondais que j’aimais la bourse. Les bourses en général. Avec un sourire discret.
De retour à ma place c’était gagné, ils regardaient à tour de rôle avec insistance. Je faisais semblant de pas le remarquer.
Assise de travers, j’ai décroisé mes jambes. Le temps nécessaire pour qu’ils voient mon sexe lisse.
Puis me suis tournée vers le bar. Et fait en sorte que le barman voit mon sexe, écartant à peine les jambes. Baissé à peine le journal et l’ai regardé.
Le barman est arrivé avec ma coupe. M’a demandé si je voulais autre chose.
Je l’ai regardé fixement et demandé ce que lui voudrait. Gêné, il allait se retirer.
Je l’ai arrêté. Puis demandé si c’était lui qui assurait le room-service.
C’était envisageable. Je luis ai donc demandé s’il pouvait me livrer une bouteille de champagne.
Juste avant sa pause. Puis me suis levée, même pas attendu sa réponse.
10 Minutes plus tard, on tapait à la porte. Le barman. Timide et incrédule.
Il a fermé la porte derrière lui. Je me suis déshabillée, ne gardant que les chaussettes.
Lui ai dit que je voulais qu’il me défonce. Etre sa putain. Sa blanche putain.
Me suis mise à genoux. Sorti sa bite. Sucé. Redressée. Lui ai demandé de me cracher dans la bouche.
Ouvert ma bouche.
Il a vite compris. M’a saisie, doigtée et défoncée de partout.
Il m’a laissée sans forces, en levrette, tremblante sur le lit.
Je lui ai demandé de prendre mon appareil photo dans le tiroir et de faire une photo de moi
Qu’il la garde sur lui. Pour la montrer à qui il voudrait.
Lui ai dit qu’un gars comme lui ne gagnait pas bien sa vie. Et que je voulais etre sa pute tout ce week-end
Qu’il se débrouille comme il voulait. Je resterai dans ma chambre à sa disposition.
Qu’il me loue à qui il voulait et garde l’argent…
Je serai l’esclave de ses "clients". Puis lui montrais le matériel acheté au sexshop : menottes, collier, laisse, etc.
Avant de partir il m’a dit que ça ne tarderait pas. Déjà il commencerait par l’équipe de l’hôtel.
Et que je les attende allongée sur le lit, habillée comme une chienne.
1à minutes après, 2 jeunes arrivaient. Ils m’ont défoncée rapidement. Pus giclé dans ma bouche.
Pas un mot. Le téléphone. Le barman. Il m’envoyait le gérant du soir. Puis le vigile.
Ca lui permettrait d’avoir les mains libres pour la suite de la nuit.
Le gérant était un jeune, malingre et moche. Il a juste voulu que je le vide. Au moment où je lui léchais ses couilles, à genoux, écartée devant lui, il a commencé à se lâcher. A m’insulter de tous les noms. Puis m’a tirée la tête vers le haut et m’a baffée. M’a enfoncé sa bite dans ma bouche, puis baisée violemment la bouche. Pour gicler puissament. S’est rhabillé. Puis parti discrètement.
Presque de suite, c’était le vigile. Un arabe, moche. Lui a été direct. M’a insultée de trainée. M’a fait mettre à quatre pattes. Enfoncé ses doigts dans mon cul à sec. Tourné dedans. Il me faisait lécher ses chaussures. Il m’a levée par les cheveux, poussée à plat ventre sur le lit, m’é écartée les jambes. Avec sa ceinture il m’a liée les bras dans le dos. Et émbroché mon cul. Il était violent et puissant. Pour me tenir en silence il m’enfonceait ses doigts dans ma bouche. Un dernier coup de reims, et il s’est répandu en moi. Détaché les mains. S’est rhabillé puis, me faisant tourner la tête vers lui, m’a traitée de pauvre putain.
Le cul endolori, écoeurée, je me suis à nouveau nettoyée de partout. Trois autres personnes ont suivi, séparemment. Plus doux, mais tous silencieux; Le dernier m’a demandé de le doucher et savonner. Puis sous la douche, ma uriné dessus.
Douchée, remaquillée, et après m’être masturbée, le gérant m’appellait. Je devais attendre devant une chambre. Avec mes menottes, collier etc.
Mais discrète. Rapport aux autres clients. Et je devais prendre des godes si possible.
Preparée. Manteau par dessus. Un garçon d’étage était devant une chambre, avec un plateau repas. Je devais faire le service aux clients dedans. Il a regardé si personne était dans le couloir et m’a pris ma veste. Il la déposerait dans ma chambre.
J’ai tapé. La porte s’est ouverte. Les businessman, énorme sourire. Suis rentrée, poussant le charriot.
Je leur ai fait le service, nue avec mes chaines et menottes aux poignets et chevilles. Ils me pelottaient, me doigtaient. Rigolaient.
Après leur avoir servi le café, ils m’ont fait poser pendant qu’ils prennaient des photos. M’ont enfoncé des godes dans le cul.
Joué à le dilater. Doigter. A me branler. M’ont fait me fister mon cul. Puis enfin après m’avori fait les sucer, assis sur leur canapé, m’ont prise par le cul à la chaîne. Tous se sont vidés dans une assiette.
Ils m’ont attachée les mains dans le dos avec les menottes, puis fait mettre à quatre pattes. Commenté et pris des photos de mon cul ouvert.
Et l’un s’est approché avec la bouteille de champagne qu’ils avaient vidé. Le plus jeune a dit, dans un demi rire, demi inquiétude, qu’il était fou, fallait pas pousser. Et l’homme à la bouteille lui a répondu que le barman lui avait assuré qu’’ils pouvaient disposer de moi comme ils l’entendaient. Et que pour 2000 euros ils n’allaient pas se gener ! Surtout que j’étais déjà bien ouverte… Ils ont ri. Puis l’un a posé ses pieds sur mon dos. J’étais plaquée, cul en l’air.
Le froid de la bouteille… Il m’ l’a enfoncée doucement. Photos. Puis a commencé à forcer. Il m’ouvrait le cul, il me le déchirait presque.. Ils étaient extasiés de voir ça… L’un a dit que ça suffisait. Puis des allers retours dans le cul, avec la bouteille. On m’a mis l’assiette de sperme. Puis je l’ai lappée. El les regardant. Ils prennaient des photos…
Pendant qu’ils appellaient la réception, les autres jouaient à m’enfoncer des doigts dans le cul.
Le groom a tapé à la porte. M’a passé mon manteau. Puis m’a raccompagnée à ma chambre. Reposée queques instants, je regardais mon cul ensuite dans le miroir de la salle de bain. En effet. Béant…
Téléphone. On m’apportait le dîner. Je devais me reposer ensuite. On me demandait si je savais danser. Oui. Donc, vers 1 heure, on passait me chercher. Habillée très court, type gogo-danceuse. Dans une discothèque à proximité.
Prête. Un magrébin est venue me chercher pour me conduire. C’était en effet à cinq minutes. Foule de monde. Plutôt zone, clientèle jeune, banlieue.
Nous sommes rentrés, puis allés dans les bureaux. Le patron, un gros typé gitan, a sifflé. A baissé sa braguette, et claqué des doigts. Assis sur son gros fauteuil, je le pompais, lui léchant ses énormes couilles, pendant qu’il discutait avec l’arabe qui m’avait amenée.
Une fois qu’il s’est vidé dans ma bouche sous les insultes, il m’a dit qu’il était temps d’aller danser sur le podium. De garder mon string. Et de les allumer au maximum.
La salle. je monte sur le podium. Musique. Je danse. Me tords, les allume. Je m’éclate à vrai dire. Puis on me fait signe de descendre.
Pn m’amène au bureau à nouveau. Je m’asseois. J’attends. 20 minutes plus tard, on vient me chercher. Direction une autre salle de la boîte.
Plus petite, podium central. On m’explique que c’est une salle "spéciale". Pour les VIP. Ceux qui payent quoi.
je dois me déshabiller. Aller sur le podium et danser. Idem. Je m’amuse. Des gens entrent. Plein. On annonce au micro que je suis disponible de partout. La voix me demande de me mettre en levrette. De me trémousser. Puis invite l’assemblée à m’observer, me toucher. Si je les intéresse , qu’ils s’adressent au patron pour les modalités.
On me fait descendre. Puis on me dirige vers une grande pièce derrière un rideau. Il y a un grand lit. Des accessoires. J’ai compris. Résignée, excitée mais un brun écourée, effrayée, je m’allonge. Ecarte mes cuisses. Me caresse.
Le rideau s’ouvre. Un gros apparaît. Barbu. Il me regarde. Semble attendre quelque chose. Cliquetis. Un labrador. Il prend la laisse et remercie. Mon arabe de chauffeur s’excuse, mais par rapport aux autres clients qui suivront, il devait faire entrer le chien par uen autre entrée discrète.
J’ai jamais fait ça. La simple idée me terrifie et me dégoute. Il sort sa bite. Me fait signe d’approcher. J’enfourne sa bite dans ma bouche. Ejaculation rapide. Il me fera sucer son chien. La suite est humiliante. Humiliant surtout d’avoir joui avec un chien me labourant mon cul. Et d’avoir joui à nouveau quand il a lâché son sperme.
Il en avait fini. Est parti avec son chien. L’arabe est rentré, m’a indiqué les toilettes et douches en face. Vite me nettoyer. Ils attendaient là dehors…
Prête. Trois jeunes beurs de banlieu. Exclamations vulgaires. On va lui faire son cul à cette salope…
Des hommes se succéderont en moi des heures durant. Tous mes orifices seront défoncés. Surtout mon cul. Ils déverseront leur sperme par flots dans ma bouche. Me bafferont, me fisteront, m’enfonceront des godes énormes.
Puis on raccompagne dans ma chambre. Baisée par l’arabe. Il inondera mon cul. de son sperme avant de partir.
Effondrée de sommeil, je ne me réveille qu’en milieu d’après-midi. J’ai honte et des nausées en y repensant. Mais je mouille.
Téléphone. Je dois être prête pour ce soir…
Mais j’en ai déjà assez écrit…