Marie
Avec le retard que j’ai pris dû à la curiosité de Sylvie, Pierre est déjà parti lorsque je rentre à l’appartement. Je pose mes clés sur la commode de l’entrée et vais vers la cuisine me préparer mon café lorsque quelqu’un sonne à la porte. C’est Antoine, le copain d’enfance de Pierre.
Bonjour, Antoine, qu’est-ce qui t’amène de bon matin ?
Bonjour, Madame, je viens prendre des nouvelles de pierre, nous ne l’avons pas vu aux cours hier, ce n’est pas dans ses habitudes.
Rien de grave, un peu fatigué, mais il est déjà parti, et je ne l’ai pas croisé ce matin.
OK, il a TP à 8 heures; nous sommes décalés; je ne prends les cours qu’à 9 h 30.
Reste prendre un café avec moi, je suis en train de le préparer, installe-toi sur le canapé.
Antoine traîne une réputation de Don Juan derrière lui. Il est grand et athlétique. Aujourd’hui, il est avec un tee-shirt gris très large, il ressemble à ces ados de Floride faisant leur footing sur le front de mer. Les sensations que j’avais dans la voiture en rentrant reviennent en voyant ce jeune adulte, j’ai envie de me faire prendre, j’ai envie de nouveaux plaisirs. Je dépose les deux tasses de café sur la table basse et m’assieds sur le fauteuil en face du canapé en relevant l’arrière de ma jupe pour déposer mes fesses nues sur le coussin. Je vois ses yeux s’agrandir devant cette provocation, je souris, car il n’est pas au bout de ses surprises. Nous discutons de sa famille et de la difficulté d’adaptation pendant cette première année de fac. De temps en temps, j’écarte mes cuisses, ma jupe remonte et laisse apparaître mon sexe qui doit scintiller par l’excitation. Mes seins pointent à travers le tissu.
Je remarque son agitation, ses jambes qui se croisent pour que je ne voie pas la grosseur qui pousse dans son pantalon. D’un bond, il vient me rejoindre assis sur l’accoudoir de mon fauteuil.
Vous me plaisez et depuis longtemps je rêve de faire l’amour avec vous.
Il plonge sa main dans mon tee-shirt par le col en V et pétrit mon sein droit. Je m’abandonne totalement. Il prend mon maillot des deux mains et le descend sur mes avant-bras faisant sortir ma poitrine nue. Je suis prisonnière, mes membres supérieurs bloqués dans une camisole. Antoine enlève son pantalon et son slip et me présente son sexe à ma bouche. Ce n’est pas un sexe, c’est une trompe. Jamais, je n’ai vu ou imaginé un sexe aussi grand. Je ne sais que faire, il balance son engin sur mon visage, il me frotte les joues, les lèvres, je comprends mon manque d’expérience. Gentiment, il n’insiste pas et relève ma jupe sur le haut de mes cuisses que j’écarte en m’avançant sur le bord du fauteuil. J’ai une appréhension en voyant la longueur de ce pénis. Celui-ci se présente à l’entrée de ma caverne inondée, la pénètre, a cette vue, je suis à deux doigts de jouir, mais je veux me retenir pour plus tard.
Je suis étonné de la capacité de mon vagin à s’adapter aux différentes grosseurs et longueurs qui le visitent. Antoine commence les va-et-vient de plus en plus vites et violents, je ressens une douleur au fond de moi, car malgré cette faculté d’adaptation de mon corps, le gland qui tape dans le fond est désagréable. Je me tortille pour essayer de trouver la position la plus confortable, de petits cris sortent de ma bouche, non de plaisir, mais de souffrance. Antoine se méprend de mes réactions et s’active violemment, il enlève mon tee-shirt et me caresse mes seins des deux mains. Mes sens sont complètement brouillés entre douleur et plaisir; moi-même, je ne vois plus la différence. Dans un râle, il jouit et envoie sa semence dans mon intimité. Il s’affale quelques instants sur moi, épuisé.
Vous êtes vraiment super bonne, je vais être en retard à la fac, je pars tout de suite, mais j’espère vous revoir bientôt.
Il se rhabille rapidement et me laisse sur mon fauteuil, cuisses écartées, en sueur. Je regrette de m’être retenue de jouir au début de nos ébats, car maintenant, je suis en manque, mon corps réclame son dû. Cela doit être cela que l’on appelle un « mauvais coup ». J’ai compris que ce n’est pas la longueur qui fait le plaisir. Mes mains sont sur ma poitrine et caressent doucement mes aréoles, et mes doigts s’agitent sur les pointes tendues. C’est la première fois que je me touche. L’une de mes mains descend vers mon sexe torturé et en demande, caresse ma vulve et un doigt entre dans mon vagin. Sans que je maîtrise mes gestes, mon doigt parcourt mon intérieur lorsqu’une brusque décharge me transperce et une jouissance extraordinaire parcourt mon corps. Je reste un instant, ma main sur ma vulve, et mon doigt à l’intérieur, rempli du sperme d’Antoine, je porte le jus à ma bouche, je veux goûter.
Le jus dans ma bouche m’excite et je plonge cette fois deux doigts dans mon intimité, je les agite, les font parcourir ma caverne et un deuxième orgasme me terrasse
Je suis épuisée, je me douche et me couche nue dans mes draps.
Je me réveille en forme, me lève et passe une robe de chambre pour aller me faire un thé dans la cuisine. Je repense à mon attitude de ces derniers jours, Mr Hauteville, Antoine, Pierre. Mon corps me commande, depuis les premiers gestes de Pierre mon organisme cherche le plaisir à chaque instant. Il n’y a rien de mal à cela sauf que je n’ai pas le droit d’entraîner Pierre dans une relation malsaine, mais je n’arrive pas à me contrôler. Pierre rentre à ce moment.
Bonjour mon chéri.
Bonjour maman.
Il m’embrasse sur la bouche, je lui caresse la joue, lui rends le baiser en entrouvrant la bouche et passe ma langue à la rencontre de la sienne et la tourne autour
C’est mal ce que nous faisons, ce n’est pas correct.
Je t’aime maman et tu m’apprends l’amour, l’éducation est le rôle d’une mère.
Mes bonnes résolutions s’envolent
J’apprends beaucoup à tes côtés aussi, mais nous ne devons pas dépasser une certaine décence, mais je suis sans force avec toi et j’ai besoin de ton corps.
Je l’invite à me rejoindre dans ma chambre.
Dans la chambre, je pousse Pierre qui s’est déshabillé, entre la cuisine et la chambre, sur le lit. J’enlève mon peignoir et regarde ce corps avec le sexe déjà en élévation. Je repense à la scène de ce matin avec Antoine et me mets à quatre pattes sur le lit et veux goûter à cette sucette. Je la prends en main et approche mes lèvres, sors la langue et la dépose sur le haut du gland. L’organe rempli de sang est doux, je descends et le prends en bouche. C’est très agréable, mon corps se réveille, mes seins se tendent. La verge me remplit la bouche, je commence un va-et-vient, je veux la prendre entièrement jusqu’aux testicules, elle arrive au fond, et touche ma luette, provoquant un haut de cur, déclenchant une production importante de salive. Ma bouche se transforme en sexe féminin. Les lèvres deviennent les lèvres vaginales, ma bouche, mon vagin, ma salive, ma cyprine…
Jamais je n’aurais imaginé que la dégustation d’un sexe masculin pouvait donner autant de plaisir. Je ressens les réactions, les soubresauts du pénis, ma bouche est pleine, le gland frotte contre mes joues. Un liquide inonde ma gorge pendant que Pierre râle, mes lèvres entourant la verge maintiennent l’étanchéité. Je ne veux pas en perdre une goutte, mais c’est trop; les jets sont violents, j’entrouvre la porte, de la semence descend le long du membre explosé. J’avale le jus avec délice, me retire, et sens à la commissure des lèvres un filet collé sur le bord de la joue, ne voulant rien perdre, je l’attrape d’un doigt et l’aspire.
Le sexe de Pierre, encore tendu, m’appelle, et je viens m’asseoir dessus, celui-ci glisse dans mon vagin sans difficulté tellement je suis trempée. La verge dans mon ventre me rappelle cette même verge dans ma bouche un instant plus tôt. Pierre me malaxe les seins, titille les tétons; le plaisir est au plus haut, je m’arrête, pas tout de suite. Je me retire, installe deux oreillers contre la tête de lit et m’installe sur le dos; à moitié assise; jambes repliées sur la poitrine. Je veux qu’il me pénètre dans cette position et je veux voir son membre aller et venir en moi. Cette vue, et le gland frappant mon intérieur provoquent rapidement une jouissance soudaine. Pierre continue son pilonnage et subitement s’arrête à l’entrée de mon vagin et arrose ma fleur puis doucement rentre au fond de moi pour finir de se répandre. Cette pénétration en pleine jouissance provoque chez moi une seconde extase.
L’heure du départ au travail est arrivée, je me douche avec mon fils et je m’habille rapidement, je mangerais plus tard, à l’hôpital. Je rejoins Sylvie qui est déjà arrivée. La nuit s’est passée calmement, nous avons reçu la visite de Mr Hauteville, sa femme est décédée la journée précédente, il nous a remerciés pour notre dévouement pendant son séjour à l’hôpital et ma remerciée personnellement pour sa dernière nuit avec nous…
C’était notre dernière nocturne avant les quatre jours de repos qui nous attendent
Viens manger chez moi ce midi, nous fêterons ton anniversaire.
OK, je me lève à douze heures et serais chez toi à 13 h.
Je croise Pierre, ce matin, qui finit son café
Je mange chez Sylvie ce midi.
Moi qui pensais que nous pourrions déjeuner tous les deux je suis déçu.
Je pense que je te donne beaucoup de compensation ces derniers temps.
Bonne journée, dit-il en souriant et m’embrassant sur les lèvres et partant pour la fac.
Je me mets au lit, suite à la dernière nuit avant mes jours de repos, je ne dors qu’une demi-journée.
Je me prépare pour aller chez Sylvie, mets une jupe, ces derniers jours sont chauds, et une chemise. Nous aimons nous retrouver en dehors du travail. Sylvie habite un deux-pièces dans un quartier opposé au nôtre dans une petite résidence à son modèle. Immeubles de 2 étages au milieu d’espaces de verdure et de fleurs. La table est mise avec des bougies allumées et une bouteille de champagne ouverte. Je suis surprise, c’est un peu la même mise en scène que lors de notre soirée d’anniversaire avec Pierre. Nous mangeons, buvons et rions comme deux copines de collège. Je n’ai bu qu’un verre de champagne, car je veux, cette fois-ci, garder les idées claires, mais le rire est aussi enivrant que l’alcool.
Nous nous installons côte à côte sur le canapé pour prendre le café.
Je vois que, aujourd’hui aussi, tu n’as pas mis de soutien-gorge, dit Sylvie en regardant le col de ma chemise entrouverte qui laisse deviner ma poitrine.
j’aime, en ce moment, laisser mes seins en liberté. Tu n’es pas complexée par ta petite poitrine ?
Pas du tout; tu ne peux pas savoir combien d’hommes aiment cela. J’en suis très contente en entendant les femmes se plaindre de la lourdeur de leurs seins, de la difficulté de trouver un soutien-gorge à leur taille, du mal de dos. Mais je dois reconnaître que ta poitrine m’attire, je peux la toucher ?
Sans attendre la réponse, elle enlève les premiers boutons de ma chemise et caresse délicatement mes seins. Ses caresses sont totalement différentes des mains d’hommes qui les ont malaxés auparavant. Ses petites mains délicates parcourent les lobes tel le pinceau d’un peintre qui parcourt une toile pour dessiner un nu. Malgré la surprise de cette audace, je la laisse faire, découvrant un nouveau plaisir. Sylvie se tourne vers moi, m’embrasse le coin de la lèvre, descend vers le cou, puis le derrière de l’oreille. A mon tour, je veux toucher cette petite poitrine si intrigante. Je glisse ma main sous son chemisier, ses seins sont pointus et très fermes. Maintenant, sa main caresse ma cuisse en remontant doucement vers mon bas-ventre et soulève ma jupe.
Aujourd’hui, tu portes une culotte ?
Sa main passe dessus, j’ouvre mes jambes, sa main passe à plat sur mon pubis, la dentelle commence à être trempée. Sylvie se lève et, sans rien demander, déboutonne entièrement ma chemise, me l’enlève. Je suis poitrine nue. Elle tire la fermeture éclair sur le côté de ma jupe, je lève légèrement mes fesses pour qu’elle puisse me l’enlever. Ses baisers courent sur mon corps, chacun me fait l’effet d’une flèche qui me pique délicatement; des frissons me parcourent. Sylvie me chevauche, me caresse les cheveux, approche sa bouche de la mienne, nos lèvres se touchent; nos bouches s’ouvrent pour laisser nos langues se rencontrer, tournoyer ensemble.
Maintenant, elle enlève son chemisier, son pantalon et culotte et se présente nue devant moi. Sa peau est douce et laiteuse, ses tétons érigés, marron, devenus gros par l’excitation contrastent sur ses petits seins et sa peau blanche. Elle s’agenouille, me caresse le haut des cuisses en remontant sur les hanches et les seins. Ses baisers vont sur mes tétons tendus, descendent vers le nombril; sa langue s’attarde un peu, puis les baisers reprennent en descendant vers le pubis. D’un mouvement rapide, j’enlève ma culotte pour que Sylvie puisse reprendre son exploration, j’écarte les cuisses, les baisers tournent autour des lèvres qui dégoulinent de cyprine, le plat de sa langue appuie sur les grandes lèvres et remonte au-dessus du clitoris. Ses bisous entrouvrent mon sexe pour découvrir mes petites lèvres qui s’étalent tels des pétales de roses. Sa langue me pénètre, sa lèvre supérieure broute mon bouton, je gémis, je sue, je frissonne.
Sylvie prend, en pleine bouche, mon clito; et un cri déchire l’atmosphère, mon corps se tend, je jouis.
Viens sur mon lit, nous serons mieux.
Une fois arrivée sur le lit, au milieu d’un bisou, elle me glisse à l’oreille
J’espère que j’ai été bonne professeur, l’étudiante doit passer son examen.
Je me mets sur elle et l’embrasse à pleine bouche, glissant ma jambe entre ses cuisses pour frotter son sexe, je sens le goût de ma mouille dans sa bouche. Je remplis son corps de baisers langoureux, en me rappelant sa descente vers mon pubis. Je découvre son abricot complément épilé, je ne m’en étais pas aperçue précédemment, trop prise par mon plaisir. Son sexe est joli encore très jeune, presque vierge. Mes baisers l’ouvrent, il dégouline de mouille, boire ce jus m’excite et je me précipite comme une jeune pucelle. Malgré ma brusquerie, je sens le corps de Sylvie réagir, de mes mains, j’écarte délicatement les lèvres pour que ma langue atteigne son clitoris, je le prends en bouche, le lèche. Sylvie lâche un jet de cyprine en criant et se soulevant. Pour la première fois, j’ai fait jouir une femme.
Nous rions en nous voyant toutes deux, le visage humide de nos sécrétions.
Et maintenant, toutes les deux ensemble !
Elle se dirige vers mon bas-ventre en me mettant le sien à hauteur de mon visage; à ce moment, je comprends. Sylvie commence à me caresser le sexe en faisant des gestes circulaires avec le plat de sa main, sa bouche va à hauteur de mon anus et le bout de la langue caresse le contour de mon aréole. La sensation est extraordinaire, jamais je n’aurais agi de la sorte de ma propre initiative, mais comprenant le plaisir que cela procure, sans hésitation, je m’exécute par symétrie. Je comprends que cette zone est très érogène aussi. Maintenant, ses doigts arrivent à cette place pendant que sa bouche lèche mes lèvres; un doigt pénètre ma virginité, me fouille; sa langue explore mon vagin, Sylvie me fait l’amour des deux coté pendant que j’agis de même. Les doigts reviennent vers le sexe et remplacent la langue pendant que celle-ci s’attarde sur le clito. Nous nous excitons toutes les deux dans le même rythme pour jouir ensemble.
Nous avons terminé nos jeux en nous accouplant l’une à l’autre, sexe contre sexe, frottant nos deux boutons érigés par le plaisir et joui une troisième fois ensemble
Nous sommes épuisées; blottie dans les bras de Sylvie, je lui confesse mon inquiétude pour Pierre sans pouvoir lui dire toute la vérité.
Je m’inquiète pour Pierre, il ne s’intéresse qu’à moi; il ne regarde pas les autres filles.
Tranquillise-toi, je vois comment il me regarde du coin de l’il, les puceaux de cet âge ont peur de la gent féminine, envoie-le-moi, je vais lui faire son éducation. Vous êtes trop fusionnel. En faisant l’amour une première fois avec une mature, il voudra le faire avec tout ce qui bouge et t’oubliera un petit peu. Qu’il vienne demain, j’ai un tableau à accrocher au mur.
Peut être tu as raison, une nouvelle expérience le débloquera, mais soit gentille avec lui, il est jeune.
T’inquiète pas, mère poule, tu retrouveras un homme.
Je pris congé de Sylvie, la tête bouleversée par cette après-midi, décidément, les dîners d’anniversaire au champagne m’offrent des cadeaux originaux cette année…