Épilogue
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A son réveil, le lendemain matin, Paul était seul dans son sac de couchage.
Il n’y avait point de présence de sa mère hormis quelques traces laissées par leur folle nuit.
Malgré toute leur précaution, quelques gouttes de la semence interdite avaient dû couler en dehors de l’intimité de Tante Lise.
Après tout, Paul avait tellement déchargé en quantité dans le vagin de sa mère
Paul effleura son sexe semi-flasque et constata qu’il était enduit de cyprine séchée.
Il essaya de se remémorer les instants de folie d’hier soir mais s’inquiéta de l’absence de sa mère.
Elle avait dû le quitter, depuis quelques heures.
Il se leva et sortit de sa tente.
Dehors le temps était doux, quelques nuages parsemés dans le ciel faisaient un peu d’ombre au soleil.
Il devrait être 11 heures.
Paul vit sa mère en train de nager dans l’eau claire de la piscine familiale.
Elle le vit et semblait un peu gênée.
Paul l’était tout autant.
Il était toujours nu alors que Tante Lise avait son maillot à deux pièces.
Paul s’approcha lentement, une main essayant de cacher son sexe.
— Bonjour Maman. Esquissa le fils.
— Bonjour mon chéri. Bien dormi ? Essaya de sourire Tante Lise, qui ne put s’empêcher de repenser à l’acte irréparable qu’ils avaient commis la veille.
D’ailleurs, elle ne pensait qu’à cela depuis son réveil.
Comment fallait-il faire face désormais à son fils qui était devenu son amant en espace d’une nuit.
Fallait-il en arrêter là et considérer que tout n’était qu’un accident.
Ou fallait-il se laisser emporter par le tourbillon d’une relation condamnable et incestueuse mais hautement excitante et agréable.
Tante Lise n’entendait déjà plus son fils.
Elle sombrait dans sa pensée
Elle fut alertée par la présence de son fils juste derrière elle, qui l’avait rejointe dans la piscine.
Tendrement il entoura ses bras autour de sa muse de la veille.
Il lui susurrait ses "je t’aime" et voulut l’embrasser dans son cou.
Mais Tante Lise esquiva, et l’arrêta dans son élan :
— Non, pas ça mon chéri
Paul ne voulait pas croire ses oreilles.
Il lui reposa la question :
— C’est fini alors ? Je ne suis que l’amant d’un soir maman ?
La voix de Paul était tremblante et chargée de tristesse.
Tante Lise aurait voulu se retourner et prendre son fils dans ses bras pour le consoler.
Mais elle se devait de garder son calme et sa raison.
D’une voix presque inaudible, elle esquissa :
— Pardon mon chéri, mais on ne peut pas continuer ainsi ça me rendra folle et ça te perturbera aussi.
— Je comprends répondit Paul en resserrant de plus fort sa mère dans ses bras.
— Je te demande pardon maman. Est-ce que je suis toujours ton fils adoré ? demanda Paul dont les larmes coulaient à présent depuis son beau visage.
Quelques gouttes chaudes tombèrent sur la nuque de Tante Lise qui fut comme électrisée.
Elle n’osait pas se retourner.
Elle caressa les bras musclés de son enfant dans lesquels elle se sentait si bien et lui répondit :
— Je te pardonne, car c’est aussi de ma faute Oui tu seras toujours mon petit chéri. Enfin si tu veux toujours d’une mère indigne comme moi ?
— Oui maman mais non, tu n’es pas indigne, pas du tout, sanglotait Paul.
Tante Lise versa aussi de chaudes larmes mais restait ainsi, sans jamais oser faire face à son fils.
Elle avait peur de voir son visage d’ange et aussi son corps nu.
Elle savait qu’elle craquerait à coup sûr
—————————————————————————— FIN ————————————————————————————