Je connaissais Aline depuis déjà 6 mois, quand elle voulut me présenter ses parents.
Cela ne me disait rien car à 20 ans je navais aucune intention de me marier, même si Aline est une très belle fille de 18 ans, adorable et que jai dépucelé, je suis en 2èmes années de gestion et je nai encore pas fini de galérer alors ce nest pas le moment de me disperser.
Arriva le jour fatidique de la rencontre, nous arrivions chez Aline à 11 h30, elle me présente sa mère, Ophélie 36 ans belle femme blonde bcbg, vêtue dun tailleur jupe bleu ciel, au-dessus du genou, très classe, des bas clairs qui gainent ses magnifiques jambes et chaussée descarpins de la couleur du tailleur.
Petit détail elle porte un chemisier en soie qui laisse voir par transparence, une magnifique poitrine seins nus, on devine deux seins en pommes, durs comme lacier.
Ophélie est comme Aline très belle de visage, la bouche pulpeuse entrouverte sur des dents à la blancheur immaculée. Coiffée dun chignon qui dévoile une nuque fine est parfaite.
Le père dAline, Vincent 45 ans est un homme brun, grand, type italien, on voit de suite quil doit être très sportif. Il est industriel et possède sa propre usine.
Nous parlons de tout et de rien en buvant lapéritif, de mes études de celles dAline, vient lheure du repas, une soubrette nous sert un magnifique repas très fin, qui fait honneur à la maîtresse de maison, même si comme je le pense ce nest pas elle qui la préparée.
Nous prenons congé il est 16 h.
De retour dans mon studio en ville, Aline me demande ce que je pense de ses parents et me dit que sa mère ma trouvé très sympa, quelle voudrait que lon passe quelques jours chez elle la semaine prochaine car elle sera seule, son père doit partir en voyage.
Jaccepte volontiers car passer quelques jours de vacances à la campagne, ne peu que me faire le plus grand bien. Il faut dire que jadore faire lamour à Aline et pouvoir coucher avec elle tous les jours nest pas coutumier.
Aline est une amante merveilleuse, inventive, qui narrête pas de me surprendre, elle ma avouée quelle était bi et que bien que vierge elle avait eu des amantes et aimait même se retrouver à trois dans le même lit, un jour elle est venue un soir avec une de ses amies et nous avons passé une nuit de folie.
Nous voilà donc le premier jour chez ses parents, Ophélie nous dit que sa sur Amandine viendra aussi passer quelques jours pour se reposer.
Amandine arrive dans laprès midi, 30 ans, copie conforme dOphélie et dAline sauf que celle ci est châtain clair. Je vois tout de suite une grande complicité entre les trois femmes, qui ont lair de samuser comme des folles.
Nous allons à la piscine et quelle nest pas ma surprise de voir les trois femmes se dévêtir entièrement pour prendre un bain de soleil et nager entièrement nues.
Je suis resté pour ma part en maillot, il y a bien 1 h que nous sommes là, quand Amandine demande à Aline daller avec elle chercher des boisons.
Je reste donc seul avec Ophélie, qui est allongée sur le dos dans un transat.
— Vous ne pratiquez pas le naturisme ?
— Non, ce nest pas ma tasse de thé.
— Cela ne vous dérange pas au moins ?
— Non, vous êtes très belles toutes les trois et ce serait mal venu de ma part de men plaindre.
— Merci cest très gentil, voulez vous me passer un peu de crème dans le dos ?
Je lui passe son ambre solaire et oublis les fesses et les cuisses, je commence à trouver que les deux autres filles mettent bien du temps pour aller chercher quelques boissons, voilà bien demi-heure quelles sont parties.
Jen fais la remarque à Ophélie mais elle ne me répond pas. Aline revient un moment plus tard, je vois quelle vient de prendre une douche et que ses yeux brillent comme après lamour, je commence à bien la connaître, elle a ce petit sourire de satisfaction et cet air repus daprès avoir joui. En plus elle revient sans boisson et je lui en fait la remarque.
— Tu es partie presque une heure pour chercher les boissons et tu reviens les mains vides ?
Elle me fixe lair hébété, toute rouge de confusion et balbutie.
— Je, heu ! Jai oubliée, je, jai, nous avons discutées avec ma tante et jai oubliée.
— Ce nest pas commun avoue, il fait chaud, tu pars chercher des boissons, tu restes une heure et tu reviens les mains vides en ayant pris une douche alors quil y a la piscine pour se rafraîchir!
— Excuse-moi, je vais aller en chercher.
— Non, ce nest pas la peine, je vais y aller moi-même, profite du soleil, sinon on ne te reverra plus de laprès midi.
Je pars pour la cuisine ou je trouve la tante dAline assise à la table, elle aussi a les cheveux mouillés de quelquun qui vient de prendre une douche.
— Décidément, vous êtes des gens très propres car il est rare de prendre une douche pour se rafraîchir, alors quil y a une piscine.
Elle est rouge comme une pivoine et détourne le regard.
— Oui, je, cest la fatigue du voyage.
— Vous me prenez pour un imbécile ?
— Non, voyons pourquoi dites-vous cela ?
— Écoutez ! Je connais Aline et je peux vous dire que je sais quelle vient de faire lamour et que vu votre air, vous aussi, alors de deux choses lune ou elle se tape le jardinier ou vous, vous vous lêtes tapée et ça je nadmets pas, pas sans ma permission et vous le lui direz, moi je men vais.
— Jaloux ? Cest très flatteur pour elle, allé le lui dire vous-même. Pour ce que jen ai à fiche que vous partiez ou non !
— Amandine, tu ne parle pas comme cela à mes invités et je lui donne entièrement raison, je trouve très indélicat de ta part et de celle de ma fille, ce que vous venez de faire toutes les deux et je viens de le lui dire. Il me semble que vous auriez pues vous en passer, surtout en sa présence.
— Je mexcuse, je ne sais pas ce quil sait passé, il y avait si longtemps que je ne lavais pas vue.
— Ce nest pas une excuse ni une raison et tu le sais bien, déjà que je napprouve pas cela de ta part, coucher avec ma fille alors que tu sais que son fiancé est la et moi aussi, tu nas aucune commune mesure.
— Je ne suis le fiancé de personne et Aline est libre mais je napprécie pas ces manières, le fait quelle le fasse avec qui elle veut mimporte peu mais quelle me trompe, ça je ne ladmets pas, vous le lui diriez, moi je pars.
— On a eu tort OK ! Ce nest pas une raison pour la quitter, elle vous aime et va être très malheureuse.
— Elle aurait due y penser avant, vous ne pensez pas ?
— Cest ma faute, pas la sienne, cest moi qui lai entraînée ici, elle ne voulait pas et voulait quon le fasse tous les trois mais je lui ai dit que si elle voulait mavoir dans son lit avec vous, elle devait le faire seule avec moi en premier, je la connais, elle ne résiste pas longtemps à une langue de femme.
— Ceci, nexcuse pas cela, elle maurait demandé, je nen aurais fait aucun cas mais comme ça non et je sais très bien quelle le savait.
Je montais dans la chambre et commençais à faire mon sac, Aline vint me rejoindre, elle pleurait.
— Jai eu tort ! Ne part pas sil te plait, je ne le ferais plus, je te le promets mais ne part pas.
— Tu viens de me tromper ouvertement, avec ta tante en plus et tu me demande de ne pas partir mais tu me prends pour qui ? Un imbécile qui va te permettre de faire nimporte quoi, que tu peux me ridiculiser devant ta mère, encore heureux quil ny ait pas eu ton père, je ne saurais plus ou me mettre.
— Sil y avait eu mon père, cela naurait pas eu lieu, je voulais quelle vienne le faire avec nous deux mais elle a insisté, il y a longtemps quon est amantes et je nai pas vu le mal. Pardonne moi et accepte quelle vienne le faire avec nous, je nai pas voulu te rendre ridicule, je nai pas pensée à cela voilà tout, comme tu sais que je suis bi, je nai pas pensée que je te trompais mais tu as raison jaurais du te demander ou te le dire avant car je savais, quelle serait ici et quelle voudrait me faire lamour.
— Je ne veux pas coucher avec toi et ta tante cest comme si je te demandais de coucher avec moi et ma sur, avec ta tante ce nest pas un inceste mais quand même, il y a des limites à tout, je ne suis ni pudibond ni contre un peu de piment dans un couple mais je naccepte pas la tromperie, tu voudrais le faire avec un autre homme je le comprendrais et te laisserais faire mais pas si tu me trompe, on cest tout dit adieu Aline.
— Je taime ! Ne part pas, pardonne-moi, je ne le ferais plus avec elle ni avec qui que ce soit si tu veux, mais ne part pas. Je vais devenir folle si tu pars par ma faute, comment me faire pardonner, je me suis excusée devant ma mère, si tu veux, je dirais à ma tante que cest fini entre nous, je ferais ce que tu voudras, pardonne-moi mon amour ne me laisse pas seule ! Reste au moins ce soir, ne part pas sur un coup de tête.
— Que je reste ce soir, je vais avoir lair de quoi devant ta mère et ta tante, elles doivent bien rigoler, ma copine me trompe le premier jour des vacances, en voilà une fête, dans trois jours tu couche avec toute ta famille et japplaudis.
— Je ne couche avec personne dautre, et ma mère ma passée un savon, alors si tu reste elle ne dira rien et te prendra pour un mec intelligent, elle ma même donné une gifle et ma tante est en train de passer un mauvais quart dheure, reste cette nuit et je me ferais pardonner.
— Je reste mais cest bien parce que je taime.
Ce soir la, la soirée fut maussade, Ophélie nosait pas me regarder, Aline nen menait pas large, et Amandine était toute penaude. Nous ne parlions presque pas et lambiance lourde commençait à peser.
— Bon ! Cest oublié, on ne va pas gâcher toutes nos vacances pour ça, finissons la soirée et amusons-nous.
— On met de la musique et on danse alors. Dit Aline
— Rentrons au salon, ce sera mieux. Dit la mère dAline.
Lincident était oublié et tous les quatre passions une bonne soirée mais Aline et Amandine se tenait éloignée une de lautre et la seule qui dansait avec Amandine était Ophélie et moi avec Aline ou Ophélie. Je compris que ce nétait pas lambiance idéale pour oublier.
Jinvitais donc Amandine à danser, elle était contre moi et dansait langoureusement. Elle me chuchota à loreille.
— tu me pardonne mon erreur, jaimerais vous rejoindre ce soir !
— je te pardonne oui, si tu ne las pas fait intentionnellement, pour ce qui est de nous rejoindre, je ne sais pas, tu en as vraiment envie ?
— Oui, jaime ma nièce et jaime lui faire lamour et je sais quelle taime alors oui je veux.
— Fait lui lamour la sur le divan alors, invite la à danser et moi jinvite ta sur et on fait lamour tous les quatre !
— Je suis daccord mais je ne sais pas si ma sur va vouloir.
— Danse avec Aline et foutez-vous à poil en vous caressant et moi je me charge dOphélie.
— Tu crois quAline vas vouloir ?
— Dis-lui que cest moi qui le demande et elle voudra.
Amandine invita Aline et moi Ophélie, je savais que les deux filles ne seraient pas longues à échanger des baisers et des caresses et quil fallait que je sois rapide avec Ophélie.
Jentrepris de la serrer contre moi et mis ma bouche contre sa joue, je caressais ses fesses et son dos, elle me laissait faire et même se plaquait contre moi, sa jambe entre les miennes.
Nos bouches se trouvèrent seule et nos langues saffolaient dans une danse de passion.
Une main sous sa jupe légère et je trouvais immédiatement son abricot rasé et déjà tout mouillé.
— Fait moi lamour, ça les punira cest deux salopes, elles mont fait mouiller cet après midi de les savoir en train de se gouiner, jaurais aimée que tu me fasse lamour quand tu ma passé la crème solaire et nai pas osée te le demander.
Sa robe passa par-dessus ses épaules et elle se trouva nue, à genoux, mon sexe dans sa bouche, les deux autres filles à même le sol en 69 se mangeaient, Aline me souriait me montrant la fente rasée de sa tante et y plongeant deux doigts, elle avait son pouce dans son anus et la masturbait allégrement.
Amandine poussait dénormes soupirs et jouissait des doigts de sa nièce, mon sexe entra dans la fente dOphélie, elle eut un petit cri de surprise quand elle me sentit toucher le fond de sa vulve et jouit presque aussitôt, je la prenais avec lenteur et en profondeur pour la faire crier son plaisir, Aline embrassait sa mère à pleine bouche et lui pelotait les seins, Amandine avait la bouche sur le sexe de sa nièce, le cul en lair, je sortais de la vulve de sa sur pour menfoncer en elle dun seul coup de pieu, c’est en elle que je déversais mon flots de foutre après lavoir faite jouir plusieurs fois.
Je repris Ophélie car je navais toujours pas débandé de voir ces trois femmes faire lamour ensemble, elle était en levrette et jentrais deux doigts dans son anus, que je dilatais et lubrifiais de sa mouille abondante.
Elle eut un soupir quand je mintroduisis dans son anus et bougea son cul pour venir au devant de mon pieu, elle aimait la sodomie cette salope.
Les trois femmes en levrette, je passais dun cul dans lautre et les enculais à fond toutes les trois. Après avoir joui dans le cul dOphélie et un moment de repos, jallais prendre une douche et laissais les femmes, qui en rond se mangeaient la moule.
Je ne restais pas longtemps seul sous la douche cest Amandine qui vint, on se lavait mutuellement et jen profitais pour me faire tailler une bonne pipe, avent de la prendre debout contre le mur et de lui labourer sa chatte à grands coups de reins.
Quand jallais me coucher épuisé, je retrouvais Aline et sa mère dans notre lit, elles mattendaient, je mendormis presque immédiatement et ce nest quau matin quOphélie me réveilla, pour faire lamour, par une fellation des plus experte.
Je la pris longuement à coté de sa fille encore endormie, nous baisions en silence jouissant un de lautre, bouche contre bouche, yeux dans les yeux, quand elle jouit je me déversais en elle, dans un soupir.
Amandine vint nous rejoindre et cest elle qui réveilla sa nièce en lui mangeant sa petite chatte, pour ensuite prendre mon pieu et le lui introduire, pendant quelle faisait lamour à sa sur.
Nous ne nous levions que vers midi, après avoir copieusement fait lamour, jétais épuisé de prendre les trois femmes à tours de rôle.
Laprès midi je la passais calmement en bord de piscine à dormir et me baigner, les trois femmes se caressaient ou saimaient mais me laissaient tranquille.
Ce nest que vers le soir quAline vint me faire un câlin et voulut faire lamour, il est vrai que cest elle qui en avait eue le moins.
Elle me suça longuement et sempala sur mon sexe pour se donner seule le plaisir attendu, prenant soin de ne pas me faire jouir, pour en profiter le plus longtemps possible.
La suite bientôt
Merci des encouragements.