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Agnès, 16 ans et pute des profs – Chapitre 2

Agnès, 16 ans et pute des profs - Chapitre 2



Quand Agnès sortit du bureau, elle avait la mâchoire parcourue de crampes, elle avait passée plus d’une heure à le sucer sauvagement jusqu’à ce qu’il se décide à éjaculer, ne lui accordant pas la moindre attention, lui lançant juste un "à la semaine prochaine, pute" après qu’elle se fut rhabillée.

Le reste de la semaine se passa sans soucis, elle obtenue un 20/20 en maths, sans même avoir écrit un mot sur sa copie. Même avec leur accord, elle pensa que le prof de maths avait fait un peu fort, puis elle se souvenue qu’elle était à sa disposition ce weekend et frémit en se demandant ce qu’il lui avait préparé en contrepartie de sa note.

Son prof de maths était un homme brun avec une calvitie, la cinquantaine, assez costaud.

Il avait prit l’habitude de passer sa main dans la raie des fesses d’Agnès, dans les couloirs du lycée, à la pause, ou même en cours, à chaque fois que l’occasion se présentait, soulevant sa minijupe, sans que personnes autour d’eux ne s’en aperçoivent. Elle avait finie par apprécier ce geste pervers et ne disait rien.

Le vendredi soir, à la fin du dernier cours de maths de la semaine, il l’interpella en sortant en lui disant qu’il souhaitait lui dire un mot, il attendit que tous les élèves sortent de la salle puis ferma la porte.

— A partir de maintenant, t’es à moi pour tout le weekend Agnès, ça fais 2 mois que j’attend mon tour, tu vas morfler. Dit-il, sourire au lèvres en se tournant vers son élève. Tu vas prévenir tes parents que tu ne rentreras pas chez toi, que tu passe le weekend avec tes amies.

— Mais je vais dormir où?

— J’ai une petite maison de campagne totalement isolée à 200km d’ici, en plein milieu d’une forêt, on sera bien tranquille tous les deux.

— Bon ok, je commence à comprendre pourquoi j’ai eu 20/20 à ce devoir.

L’homme sesclaffa :

— Avec ce que je t’ai préparé, c’est la moindre des choses.

Après qu’Agnès eu prévenue ses parents, qui ne se doutèrent de rien et qui lui souhaitèrent un bon weekend, ils sortirent ensemble quelques minutes plus tard et se dirigèrent vers le parking du lycée, La voiture du prof était un gros 4×4 gris aux vitres teintées, si bien que l’on ne distinguait même pas l’intérieur.

— J’y pense maintenant, s’exclama t-elle, je n’ai pas pris ma valise, je n’ai aucuns vêtements de rechange!

— T’inquiète pas, tu n’auras besoin d’aucuns vêtements, monte à l’avant.

Avec un peu d’appréhension, elle sexécuta.

Il la regarda quelques instant avec des yeux pervers puis démarra la voiture et ils prirent la route.

— A partir de maintenant, tu m’appelleras "Maître", et tu feras absolument tout ce que je t’ordonnerai sans te poser de questions, tu es mon esclave pour trois jours. Tu as bien compris?

— Oui Maître, dit-elle avec un sourire, la situation commençait à l’exciter.

— Bien, tu es une chienne obéissante.

Quand ils arrivèrent sur l’autoroute, il recula son siège, défit la braguette de son pantalon et sortit son engin, déjà bien tendu.

— Conduire m’ennuie, tu vas me sucer jusqu’à ce qu’on arrive.

Agnès sexécuta immédiatement, pompant le dard s’offrant à elle avec envie.

— Votre queue est trop bonne Monsieur!

Il lui donna une fessée qui lui fit pousser un petit cri.

— Tu m’appelle Maître! Compris?

— Oui maître, pardon maître!

— Je vais t’éduquer moi, tu vas voir! dit il, saisissant la jeune fille par les cheveux, maintenant son énorme dard dans sa gorge.

Deux heures et trois éjaculations plus tard, ils arrivèrent enfin à destination, ils avaient roulés plus de 20 minutes pour atteindre la fin de la route dans la forêt et en avaient marchés dix de plus dans l’obscurité avant de voir enfin la maison. Agnès réalisa qu’ils n’avaient croisés personne sur le chemin, et il n’y avait pas une maison aux alentours. La maison de campagne de son professeur était bien, comme il lui avait annoncé, totalement isolée.

Agnès avait été tellement occupée avec le manche de son professeur pendant leur voyage, qu’elle ne savait même pas de quelle forêt il s’agissait, elle essaya de se géolocalisée avec le GPS incorporé à son portable, mais celui-ci affichait obstinément "Pas de signal."

— Inutile, dit avec amusement l’homme la voyant avec son portable, il n’y a pas de réseau, on est même pas relié à l’électricité ici, on a un générateur marchant au fuel. Et il n’y a pas âme qui vive à plus d’un kilomètre, on est juste toi et moi…

La bâtisse était en pierre sur un seul étage, plutôt petite, avec un grand jardin possédant un potager et une balançoire.

— Je viens ici les weekends, quand je veux me ressourcer, loin de la civilisation.

Agnès frissonna.

— J’ai un peu froid dans cette tenue, et j’ai salis mes vêtements sur le chemin. On peut aller à lintérieur, Maître?

Le professeur acquiesça. L’intérieur de la bâtisse était chaleureux avec un salon assez vaste, possédant une cheminée, un grand canapé et un fauteuil disposés sur un tapis en fourrure occupant la majorité de la pièce, une petite cuisine, une chambre, une salle de bain. La dernière pièce était celle de la chaufferie et du générateur.

— Mets toi à poil et donne moi tes vêtements, tu les récupéreras dimanche soir quand on partira, tu as interdiction de porter quoi que ce soit pour le weekend. Je vais mettre en route la chaudière et le générateur, on prendra ensuite un bain et on dînera, avant de se coucher. Un weekend chargé nous attend.

Agnès sexécuta, dévoilant son corps de jeune esclave de 16 ans à peine.

— T’as vraiment un corps parfait, chienne.

— Merci maître, répondit-elle rougissante.

Il rangea les vêtements de l’adolescente dans un placard fermant à clef puis, après être passé par la chaufferie allumer les machines, revint dans le salon où l’adolescente l’attendait bien sagement totalement nue.

— vas te faire un lavement, tu trouveras tout ce que tu auras besoin dans la salle de bain, et fais couler un bain, je vais allumer un feu dans la cheminée.

Après avoir obéis aux ordres, elle appela son professeur qui l’a rejoignit dans la salle de bain, il s’avança vers elle et lui enfonça un doigt dans les fesses, le ressortit et le sentit. Il eut l’air satisfait.

— ça va, ton anus est propre.

Il se déshabilla et simmergea dans la grande baignoire la queue déjà bien dur, Agnès le rejoint aussitôt.

Ils restèrent une bonne heure dans le bain, le professeur laissant son élève tantôt s’empaler sur son membre, tantôt lenlacer amoureusement et le caresser, profitant tous deux de la chaleur de l’eau.

Une fois secs, ils rejoignirent le salon et l’homme passa un collier au cou de la lycéenne.

— Tu le garderas le temps de ton séjour ici, tu as faim?

— Oui maître.

Il alla dans la cuisine et revint avec un plat de poulet.

— Ce soir tu te nourrira uniquement de ma semence, dit il sourire aux lèvres en s’installant confortablement dans le fauteuil, le dîner est servi, ajouta t-il désignant son membre, tu as une heure pour t’alimenter.

— Merci maître!

Après qu’ils se furent restaurés, lui dégustant son plat de poulet confortablement assis dans son fauteuil, elle, le suçant avec vigueur, calée entre les jambes de son maître, mettant tout son talent à l’oeuvre pour récupérer le précieux liquide, ils rejoignirent la chambre. Après que le professeur eu sodomisé la jeune fille pendant une bonne demi-heure, ils s’endormirent, exténués.

Agnès se réveilla au matin. Ils étaient dans la même positon qu’ils s’étaient endormis, enlacés en cuillères, elle sentait le pénis de l’homme contre ses fesses. Elle se trémoussa quelques minutes contre lui, jusqu’à ce qu’elle sente le membre de son maître reprendre de la vigueur, puis le tourna délicatement sur le dos sans le réveiller et commença à le sucer tendrement. Après plusieurs minutes, le professeur sortit de son sommeil en douceur, l’air satisfait.

— C’est vraiment le pied, se réveiller en se faisant sucer par une petite chienne de seize ans.

— Bonjour maître, dit elle avec un sourire, je savais que vous apprécieriez, j’aime vous servir…

Il sourit.

— Pas trop mal au cul avec ce que je t’ai mis hier soir? demanda t-il en caressant les fesses délicates de la jeune fille.

— Non pas du tout, j’adore quand vous m’enculez maître… Répondit-elle, donnant un coup de langue sur son gland qu’elle sentit frémir.

Il la laissa s’occuper de sa queue quelques instants encore puis se leva.

— Ne soit pas trop gourmande, dit il avec un clin dil, allez suis-moi on va se mettre quelque chose dans le ventre avant de commencer les choses sérieuses.

Après avoir pris un copieux petit déjeuner, ils se douchèrent ensemble, l’homme en profita pour prendre brièvement Agnès en levrette, tout en la savonnant. Puis il fit un lavement à son élève, lui enfonçant un petit tuyau de douche dans l’anus et laissant couler l’eau tiède dans la jeune fille.

— Tu aime ça, sentir le liquide t’envahir? demanda t’il tout en lui caressant sa chatte parfaitement lisse.

— C’est assez bizarre comme sensation, mais c’est agréable!

L’homme augmenta le débit de l’eau. Une dizaine de secondes plus tard sentant son ventre se gonfler elle s’écria:

— Je n’en peux plus maître, je vais exploser!

— Encore un peu… Voilà! On dirait que t’es enceinte! sesclaffa t’il en retirant le tuyau

— Maîîître… Je tiens plus!

— C’est bon vas te vider dans la cuvette des toilettes.

Elle sortit tant bien que mal de la douche et saffala dessus, vidant son rectum dans un cri de soulagement.

— Tu te sens comment?

— totalement vidée, maître!

Une fois tout deux secs, il claqua les fesses de la jeune fille, qui poussa un petit cri très sexy, et lui ordonna de passer devant pour aller au salon. Avec un sourire, celle ci se déhancha sensuellement devant lui, lui laissant tout le plaisir de contempler son petit cul parfait. A peine arrivés au salon, il la plaquait face au sol.

— Petite pute, tu demande qu’à te faire baiser pas vrai? Demanda t-il en la pénétrant brutalement.

Il donnait de puissants coups de reins, la faisant crier de douleur et de plaisir, lui pétrissant la poitrine. Elle sentait le souffle rauque de son maître, comme rendu fou par la vue qu’elle lui avait offert, son membre la pénétrant inlassablement avec toujours plus de brutalité. Il la souleva ensuite et la colla contre le mur, la tenant par les cuisses et la défonçant sauvagement, Agnès hurlait maintenant de plaisir en plein orgasme, le suppliant de continuer, de la baiser encore plus fort. Infatigable, l’homme la jeta sans ménagement sur laccoudoir du canapé et, la saisissant par son collier, décida d’explorer le rectum fraîchement nettoyé de la lycéenne. Après quelques minutes de sodomie, il la tourna et lui enfonçant son dard dans la bouche, se libéra dans sa gorge. La quantité de sperme que son maître déversa était telle qu’elle crue s’étouffer, il resta plusieurs secondes ainsi, à jouir dans sa bouche, puis, repris ses esprits, caressant les cheveux de son esclave. Elle, le regardait avec ses grand yeux, totalement soumise.

— Putain j’ai les couilles complètement vidées. Souffla t-il avec satisfaction.

Il attacha une laisse au collier de la jeune fille, et la tira hors de la maison.

— Qu’allons nous faire maintenant maître? demanda la lycéenne avec curiosité.

— Tu vas bien voir, répondit il avec amusement.

Il amena la jeune fille au milieu du jardin, vers un grand arbre.

— Attend moi là. Dit il à son esclave, lui tournant le dos et repartant vers la maison

"Qu’est ce qu’il peut bien me préparer? Y a pas moyen qu’il me baise encore, il s’est totalement vidé y a même pas cinq minutes!" pensa t-elle. Elle observa alors la forêt environnant la maison, les feuilles des arbres empêchaient les rayons du soleil de traverser, il était impossible de discerner quoi que ce soit.

Les minutes s’écoulaient et un certain malaise la tenait, elle se sentait observée, mais elle chassa cette idée, c’était impossible, il n’y avait personne dans le coin. Elle fut tout de même soulagée de voir son maître revenir. Celui ci portait un sac.

Sans un mot, il sortit deux piquets qu’il planta écartés d’un mètre l’un de l’autre devant l’arbre à l’aide d’un marteau, puis il sortit un ensemble de corde et ordonna à Agnès de lui donner ses mains, qu’il attacha fermement au pied de l’arbre, il attacha ensuite les chevilles de son élèves aux piquets, pour finir il lui passa un bandeau sur les yeux. Dans cette position, elle ne pouvait ni bouger, ni voir, face au tronc de l’arbre les mains attachés, les jambes écartées les genoux posés au sol et les fesses levées.

Elle sentit son maître se placer derrière elle et sortir quelque chose de sa poche, puis il lui écrivit quelque chose sur ses fesses.

Agnès lui demanda ce qu’il écrivait.

— J’ai écris " vide couilles". J’ai parlé de toi à des amis, je leur ai proposé de venir aujourd’hui ici si ils voulaient baisés gratuitement une petite lycéenne, ils avaient l’air assez intéressés! sesclaffa t-il. D’ailleurs, je crois qu’ils sont déjà arrivés… Hey les gars! Vous pouvez venir, elle est prête! Cria t-il en se tournant vers la forêt.

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