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Agnès, secrétaire dévouée – Chapitre 2

Agnès, secrétaire dévouée - Chapitre 2



— Le mari jaloux –

— aaaah, ça fait du bien ! Merci Agnès.

— Mais de rien, cest toujours un plaisir, me répondit-elle en se relevant…

Elle lécha le sperme qui avait coulé sur sa main, puis referma son tailleur.

Cela faisait maintenant un peu plus de 3 mois qu’Agnès avait pris son poste de secrétaire, et il fallait bien avouer qu’elle mettait tout son coeur à l’ouvrage.

Toujours très bien habillée, maquillée à la perfection, elle était d’un point strictement professionnel une secrétaire particulièrement efficace.

De plus, elle se prêtait volontiers au jeu de la femme-objet. Je pouvais tout lui demander, elle s’exécutait immédiatement. Le plus étonnant, était que malgré plusieurs séances de débauche, on continuait à se vouvoyer, cela rajoutait un coté encore plus pervers à notre relation.

J’avais vraiment trouvé la perle rare.

— Dites-moi, je dois passer quelques jours a Marseille pour rencontrer des fournisseurs et quelques clients dans 3 semaines, accepteriez-vous de m’accompagner ?

— oui, pourquoi pas … je dois en parler avec mon mari. On doit s’organiser pour la garde des enfants, mais je pense que ce sera possible

— très bien, je vous laisse organiser tout ça

— d’accord… hum… Pour l’hôtel, je prends combien de chambres ? Une ou deux ?

— une chambre double bien sûr. Autant en profiter, non ?

— très bien, ce sera fait comme vous voulez.

Elle tourna les talons, et regagna son bureau et moi je me replongeais dans mes dossiers.

De retour de ma pause déjeuné, avec un client particulièrement pénible, j’entendis Agnès élever la voix au téléphone :

— Écoute, c est ce que tu voulais, non ? Tu m’as emmerdée avec tes histoires d’amant pendant des années ! Et bien maintenant, voilà c’est fait, j’ai un amant et c’est mon patron ! Et je vais partir une semaine avec lui et oui ! il va me baiser toute la semaine !

— mais quest ce que tu croyais ? Que ce serait une fois de temps en temps ? Je l’ai encore sucé ce matin même et j’adore ça !

Je lui fis un petit signe pour lui demander ce qui se passait. Elle mit sa main sur le micro sans vraiment le cacher :

— mon mari me fait une scène pour la semaine à Marseille…

— il a changé davis au sujet de notre arrangement ?

— non, oui, enfin je ne sais pas…

— (dans le téléphone), mais oui, je sais que tu m’entends… oui, il est là à côté de moi… Comment ça "qu’est qu’il fait "?

C’est alors qu’il me vint une idée tordue. Je passais derrière le bureau d’Agnès, et commençais à lui masser les épaules, puis j’ouvris sa veste et posais mes mains sur sa poitrine.

— bon, écoute puisque tu veux savoir, là il est en train de me caresser les seins.

Je déboutonnais son chemisier, et continuais mes caresses sur ses seins.

— Ooooh TU M’EMMERDE VOILA !! TU VEUX SAVOIR COMMENT IL ME BAISE ? ET BIEN, ÉCOUTE !

Elle mit le téléphone sur haut-parleur et le posa sur le bureau.

Je lui retirais son soutien- gorge, et lui malaxais les seins à pleines mains…

(lui au téléphone ) – allo ? Allo, Agnès ?

Je parlais suffisamment fort pour qu’il puisse m’entendre :

— levez -vous, et appuyez-vous sur le bureau.

Elle s’exécuta immédiatement, et se positionna juste au-dessus du combiné.

Je relevais sa jupe, lui retirais son string, et commençais un bon cunnilingus en règle. Elle commençait à gémir doucement et semblait vraiment apprécier la situation. Je profitais de la position pour jouer avec son petit trou. Depuis le temps qu’elle travaillait pour moi, je ne l’avais encore jamais sodomisée, mais ce jour-là je décidais qu’elle y aurait droit !

Je déboutonnais mon pantalon, déjà tendu à l’extrême, et la pénétrait lentement. Je commençais par de long et lent va et viens dans sa chatte si accueillante.

— (lui toujours au téléphone) ne me dit pas que tu es en train de faire baiser par ton patron ?

— huuum siiiiii, , oh ce que c est boooon…

La coquine en rajoutait un maximum côté gémissement, décrivant tout ce que je lui faisais avec des mots très crus. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à torturer son mari de la sorte.

Quant à moi, je restais hypnotisé par son petit trou.

Je crachais donc sur son anus et y enfonçais un, puis deux doigts. Je fis aller et venir mes doigts quelques instants, puis, et posais mon gland sur son petit trou. Elle poussa un petit cri lorsque je poussais pour la sodomiser.

— oh la vache ! il m’encule ! tu entends ? Il me l’a mise dans le cul ! Aaaah putain que c’est bon !

Une fois bien enfoncé dans ce si joli cul, je commençais à la sodomiser, d’abord lentement, puis j’accélérais un peu la cadence.

Agnès criait de plus en plus fort au-dessus du téléphone. Je n’entendais plus son mari, mais je m’en moquais, je ne pensais qu’a profiter de ma belle secrétaire.

Elle glissa du bureau et se retrouva à quatre pattes sur le sol, je la repris sans ménagement, lui attrapais les cheveux à pleine main et la tirait en arrière l’obligeant à se cambrer encore plus. Je donnais de vrais coups de boutoir dans son cul, la faisant hurler à chaque fois puis je me vidais en elle en grognant.

Elle se releva, s’approcha du téléphone :

— encore là ?

Oui, je suis encore là (une pause) tu as aimé te faire enculer ?

Elle me regarda avec un air de défi :

— j’ai adoré !

— J’espère bien, parce que ce soir je te défonce moi aussi !

Et il raccrocha.

Nous étions tous les deux un peu surpris par sa réaction… mais elle se mit à rire :

— tout compte fait, il l’a plutôt bien pris ! Mais je crois que la négociation risque d’être rude pour Marseille…

— je crois aussi.

Le téléphone sonna de nouveau. Elle décrocha, à moitié nue, les cheveux en bataille,  la jupe troussée, du sperme coulant le long de ses bas.

— bureau de monsieur xxx, j’écoute ? … Oui, je vous le passe…

Elle me tendit le téléphone :

— Le client de ce midi, il a quelques questions.

— Passez-le dans mon bureau et, vous pourrez partir plus tôt ce soir si vous le souhaitez, je crois que vous aurez besoin de temps pour préparer les négociations.

— en effet…

Le lendemain matin elle arriva un peu en retard et les yeux cernés. Elle m’apporta mon café, et passa "sous le bureau". Elle eut un peu de mal à s’agenouiller devant moi.

— Alors, la nuit fut courte à ce que je vois

— (dégrafant mon pantalon) longue plutôt…

— la crise de jalousie est passée ?

— passée et re passée… qu’est-ce que j’ai mal au cul ! Enfin ! ce n’est pas bien grave, l’important c’est qu’il est d’accord pour le séjour à Marseille…

Sur ces paroles, elle prit mon sexe en bouche en laissant échapper un petit ’hummm’ de satisfaction et commença sa pipe matinale.

Une vraie perle, vous ai-je dit.

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