De retour chez nous, la vie repris son train-train habituel.
J’étais à mon bureau en train de travailler sur un dossier. Agnès, comme à son habitude, est sous le bureau en train de s’occuper de moi.
Tout à coup, le téléphone sonne. Agnès n’étant pas en position de répondre, je décrochais à sa place:
— oui j’écoute ?
— Bonjour, c’est mr Paoli. Je vous appelle au sujet de la commande que vous m’avez passé à Marseille …
— Ah oui, y aurait il un problème ?
— et bien en fait, pour être tout à fait franc j’aurais aimé en rediscuter avec vous et votre charmante assistante …
— oui, je vois ce que vous voulez dire, mais je ne suis pas sur qu elle soit disponible
— c est dommage, je pensais qu’on pourrait approfondir notre relation commerciale
— j’entends bien … écoutez, je vois avec elle si elle peut se libérer et je vous rappelle. On fait comme ça ?
— c’est d accord. A bientôt j espère.
Je reposais le téléphone, Agnès me regarda avec un air dubitatif …
— c’était Paoli … il aimerait "approfondir" notre relation commerciale …
— ah, je vois … et qu en dites vous ?
— et bien c’est à vous de voir ma chère
— bon je fini ça et on en discute
Sur ces paroles elle me branla énergiquement pour redonner de la vigueur à mon membre puis repris sa fellation. Je fini par éjaculer dans sa bouche et elle avala tout mon jus. Elle se releva :
— par approfondir je suppose qu’il veut parler de mon cul ?
— oh oui, et plus si affinités
— et bien il n’y a pas d affinités, alors il faudra qu’il s en contente …
— dois je comprendre que vous êtes d’accord ?
— de toutes façons il ne va pas nous lâcher tant qu’il n’aura pas eut ce qu’il veut
— bon, vous êtes sure ? je le rappelle pour fixer un rendez vous ?
— non, ça ira, c est moi qui le rappelle
Elle se rendit à son bureau, et composa le numéro.
— mr Paoli ? bonjour c’est Agnes M.
— …
— oui, je me doute bien que vous vous souvenez de moi
— …
— bien sur on pourrait approfondir cela, mais il faut que je prépare un peu le dossier avant. Que diriez de Jeudi à 14h dans nos locaux ?
— …
— Trés bien alors à Jeudi !
Elle me regarda avec un petit air satisfait :
— avec ce que je lui prépare à ce gros porcs soit il nous donne tout gratuit soit il fait un arrêt cardiaque !
— houla ? à ce point ?
— oui, il ne va pas être déçu du déplacement et vous non plus.
Deux jours passèrent jusqu’au rendez vous fatidique. Agnès ne m’avait toujours pas dit ce qu’elle comptais faire. Elle s’eclipsa dans ma salle de bain 1 heure avant le rendez- vous et en ressortie transformée. Vétue d’une robe moulante avec un décolleté affolant, sans soutient gorge évidement, et fendue jusqu’en haut de hanche. J’en restais bouche-bée. Elle s ’approcha doucement de moi :
— ça c est la première étape, pour le mettre en condition
— vous êtes superbe.
Je glissais une main sous sa robe et la remontait juqu’à ses fesses, pour constater qu’elle n’avait pas mis de culotte non plus.
— hum, si ça ne tenais qu’a moi, je vous prendrais direct sur le bureau !
— tout à l’heure très cher. Vous ne serez pas déçu …
Puis elle alla préparer la salle de réunion, avec les dossiers, les factures et tout ce qui allait bien.
Le gros Paoli arriva à l’heure dite. Pour une fois il était ponctuel celui là. Je le conduisit jusqu’à la salle de réunion ou Agnes nous attendait déjà. Elle le salua de façons très professionnelle, presque froide. Cela le décontenança complètement. J’en profitais pour ouvrir le premier dossier, et commençais la réunion de travail. Lui ne savait pas comment réagir, il pensais venir simplement tirer un coup, et le voilà embarqué dans des négociations commerciales. Notre petit manège dura près de 2 heures, chaque fois qu’on le sentait près à abandonner toute idée graveleuse Agnès faisait une petite allusion, une moue évocatrice ou prenait une pose lui laissant deviner ses seins. Lorsqu’il n’y plus rien a en tirer et que tout les contrat furent signés. Agnès se tourna ver lui :
— bien et on parlait en profondeur …
il changeât de couleur :
– avec plaisir !
Elle lui désigna un grand fauteuil :
— installez vous ici
Elle sortit deux bandeaux de soie de son sac à main et lui attacha les poignets au fauteuil. Elle posa sa main sur son genou et remonta vers la bosse qui déformait son pantalon. Puis elle mis un peu de musique, et commença un lap dance devant notre invité. Elle baissa sa robe, faisant jaillir ses 2 globes, elle se caressa les seins doucement , puis s ’approcha de son visage et commença à l effleurer avec ses tétons. Lui essayait de les lécher chaque fois que l’un semblait a sa portée.
Elle descendit ses mains, déboutonna le pantalon, et sortit les sexe tendu. Elle le branla un petit peu, puis se pencha et emboucha le gland. Elle le suça doucement pendant quelques minutes, puis se releva et retira sa robe et repris sa danse. Elle était maintenant nue sur ses talons aiguilles … C est alors que j aperçu LE détail. Cette coquine avait un rose-bud dans le cul !
Au bout de quelques minutes, elle se tourna et se pencha le cul tendu vers notre invité, il lâcha un "la salooope" bien vulgaire lorsqu’il aperçu le bijou. Elle me fit un petit clin d oeil, retira le rose-bud, suça un de ses doigt et se l’enfonça dans le cul. Elle le fit aller et venir un petit peu , puis remis la main dans son sac pour en sortir un petit gode. Elle le suça à son tour avant de se le mettre dans l’anus.
Elle se baisa le cul ainsi un moment, avant de retourner sucer le type toujours attaché à son fauteuil. Puis elle lui enfila un préservatif, se releva, lui tournant le dos, et s’assit sur lui en dirigeant bien son sexe sur son petit trou. Elle montait et redescendait doucement, ondulait du bassin, puis de plus en plus vite. Elle poussait des gémissement à faire bander un moine. Et lui n en croyait pas ses yeux, ni sa queue d’ailleurs.
Il se mit a pousser des gémissement lui aussi:
— Ah, salope, tu vas me jouir … ah la salope , la salope, je vais te remplir le cul ah , ah, ah , aaaaaaannnnh !
Et il se vida dans son cul. Enfin dans le préservatif. Elle se retira, attrapa sa robe et sortie de la pièce avec une démarche de star, sans se retourner.
Le gros était toujours attaché à son fauteuil, je défis un lien, le laissant se débrouiller avec l autre. C’est à ce moment qu’il s’aperçut que la webcam était branché.
— euh c est filmé ?
— oui, c est pour nos archives personnelles si j’ose dire. Et puis le mari d’Agnès aime bien regarder sa femme se faire baiser. Sans regret ?
— euh …non aucun, ça ma couté cher mais elle en vaut la peine ! Quelle salope !
Je lui offris un café et le reconduisit à la porte. Dès qu’il fut parti je me précipitais dans mon bureau pour me jeter sur mon assistante.
Elle était là. Elle m’attendais sur le canapé. Nue – avec ses talons aiguilles- les cuisses bien écartée. D’une main elle faisait aller et venir doucement le gode dans son cul, de l autre elle se caressait doucement le clitoris.
— bien, et si vous veniez m’offrir ma prime maintenant ?
— une prime de combien ?
— 3 !
— 3 ?
— oui, je veux vous voir jouir dans mes 3 trous !
J’éclatais de rire :
— c’est vous la patronne !
Et je plongeais ma tête entre ses cuisses pour lui dévorer la chatte … avant de lui offrir sa triple prime !