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Ah! les clientes… surtout les difficiles… – Chapitre 2

Ah! les clientes... surtout les difficiles... - Chapitre 2



JOYEUX ANNIVERSAIRE VAL?RIE

    Je dis alors à Valérie qu?étant donné son anniversaire, je me devais de la servir jusqu?au bout. Alors elle se recula et je me suis assis tout à côté d?elle de façon à ce que je puisse ainsi la gaver des bonnes choses qui se trouvaient encore dans son assiette. Au premier essai, un filon au bout de ma fourchette, je lui ai tendrement fait le tour des lèvres, la laissant y toucher du bout de la langue. Elle me joua un tour en s?avançant rapidement et l?engloutis au fond de sa bouche avec un sourire vainqueur. Comme deuxième bouchée, je vis une petite pieuvre qui n?attendait que d?être déguster par cette bouche avide et délicieuse. J?ai eu alors l?idée qu?il vaudrait mieux lui servir sans fourchette, la faire manger au bouche à bouche quoi. ?tant donné que cette petite bestiole était encore gorgée d?encre, je lui dis qu?il valait mieux lui retirer sa blouse afin de ne pas la salir car je prévoyais quelques éclaboussures possibles. Elle me fît un sourire et approuva sans mot dire. Je la déboutonna tout doucement, un à un les boutons glissèrent sous mes doigts, effleurant à chaque mouvement le tissu fin et tout ce qui se trouvait en dessous. Elle semblait vraiment apprécier, si je me fis à l?état assez chair de poule de sa chair et l?orientation de ses mamelons durcis de plaisir. Je lui ai retiré tout doucement sa blouse en laissant traîner le tissu sur le bout de ses seins pour les exciter encore plus.

    Ainsi le haut de son corps mis à nu, j?ai pris la pieuvre entre mes lèvres et me suis rapprocher de sa bouche en lui disant que celle-là, nous devrions la savourer ensemble. Elle entrouvrit à peine les lèvres pour bien sentir les miennes s?y poser et ma langue s?introduire tout doucement à l?intérieur de sa bouche, allant à la rencontre de sa langue qui ne demandait pas mieux que d?entrer en contact avec la mienne. Après avoir transférer la pieuvre dans sa bouche, je la sentis croquer dans le mollusque bien tendre. Avec un petit rire, elle transféra rapidement toute l?encre de sa bouche à la mienne. Je sentis alors un petit filet de ce liquide noir me couler au coin de la bouche et probablement lui couler sur le sein qui se trouvait juste au-dessous. Me reculant afin d?observer les dégâts, je vis qu?elle avait un petit sourire en coin, découvrant par le fait même ses dents qui, quelques secondes plus tôt, étaient toujours blanches. J’ai alors compris que ses intentions, en mordant dans la pieuvre, n?étaient que de m?en teindre la langue et les dents. Ah bon! Lui dis-je d?un sourire vengeur.

    Je quittais sa bouche pour descendre directement à ces seins qui pointaient de plus belle, une belle petite coulisse noire en plein centre. J?y ai posé mes lèvres et fait tremper les mamelons un à un afin qu?ils prennent bien la couleur noir-bleu que j?avais en bonne quantité dans la bouche. Puis, je revins à ses lèvres afin de les embrasser tendrement et mélanger tout ce liquide entre nos deux bouches avides de désirs.

    Annie s?apercevant de la teinte qu?avaient pris les mamelons de sa copine ne pus s?empêcher de rire et de lui faire remarquer, en enlevant elle-même son chemisier, que ses mamelons étaient maintenant de la même couleur que les siens. Elle rirent toutes deux et je pus constater qu?elle avait dit vrai, mon regard passant d?une poitrine à l?autre. Je dis alors à Annie que je devais finir de nourrir notre fêté et que je prendrais tout aussi bien soin d?elle par la suite.

    Me laissant glisser sous la table, j?eus la surprise de voir, qu?en plus d?avoir enlever son soutien-gorge à la salle de bain, elle avait aussi enlevé son slip et que sa chatte dégoulinait tellement ce petit jeu l?avait excité. Alors j?écartais bien ces cuisses si délicate et glissa tout doucement ma langue entre ses lèvres. Quel parfum et quelle saveur s?en dégageaient! Savourer un tel nectar était un plaisir merveilleux. Elle avait les chairs tendres et la vulve tout aussi délicate que le reste de son corps. Son clitoris était déjà gonflé au premier coup de langue et il ne demandait qu?à être doucement sucer et croquer tout à la fois. Elle gémissait à chaque coup de langue et frémissait au contact de mes dents sur son clitoris. Tout cela m?encourageait à continuer encore et encore afin de me venger de ce qu?elle m?avait fait subir au beau milieu de mon restaurant, la faire jouir jusqu?à ce qu?elle me demande pardon…

    Je sentis tout à coup un pied se glisser, par l?arrière, entre mes cuisses, me souvenant ainsi que j?avais laissé Annie au plat pour quelques instants. Elle commença un doux mouvement, me compressant délicatement les testicules sur la base du pénis, provoquant, dans la minute même, une de ces érections que l?on n’a pas tous les jours. À cette vue, elle descendit derrière moi, me défit, sans m?en demander la permission, la ceinture, baissa le pantalon et le slip et se mit à astiquer cette queue qu?elle avait remise en forme en moins de deux. Après quelques va-et-vient, elle s?étendit sur le dos et pris le fruit de son travail entre ses lèvres. Elle me suçait tout aussi merveilleusement que sa copine quelques instant auparavant.

    Après ce détournement de mon attention, je me remis à me délecter, de plus en plus avidement, de la chatte de Valérie qui, en passant, me fondait dans la bouche. Après maints gémissements elle me dit : Allez, mets-la-moi, je te veux au fonds de moi, je veux te sentir en moi, allez, baises-moi jusqu?à ce que je n?en puisse plus de venir.

    Annie avait alors ses lèvres de mon gland en feu. Je puis alors me relever et me placer directement devant Valérie. J?ai alors approché ma bite de sa vulve toute juteuse de son état et des coups de langues que j?y avais déposé. Avant d?y entrer, je l?ai alors chatouillé de mon gland, touchant ainsi chaque centimètre de son contour. Elle gémissait, couinait en me disant d?entrer en elle. Un peu impatiente de la suite, elle me prit par les épaules et me tira vers elle d?un coup.

    Je n?eus pas le temps de réaliser ce qui se passait que j?étais bien enfourné dans cette belle chatte brûlante qui voulait de l?homme. Alors d?un mouvement lent, j?explorais l?intérieur de cette femme en chaleur. Entrant et sortant tout doucement afin de lui faire bien sentir que j?étais en elle et que je n?en sortirais pas sans l?avoir épuiser et fait jouir jusqu?à ce qu?elle n?en puisse plus.

    Ne pouvant plus de rester passive, Annie alla alors se placer à côté d?elle. Elle commença à l?embrasser à pleine bouche, partageant ainsi les orages de plaisirs et sensations fortes créées par les mouvements de l?homme en elle. Elle lui triturait en même temps un des mamelons, le tirant pour l’allonger, le tournant entre ses doigts. Elle avait tellement de plaisir que ses auréoles étaient tout simplement devenues mamelons, bleu-noirs bien sûr, résultat de la séance de teinture des minutes précédentes. J?en pris alors un entre mes lèvres. Quelques minutes plus tard, le contact de ma bouche toute chaude sur son mamelon durci de plaisir, additionné aux doigts d?Annie qui tiraient sur l?autre, de cette langue profondément ancrée au fond de sa gorge, de ma queue qui lui fourrageait la chatte à un rythme d?enfer, elle ne pus se retenir. Elle nous cria son plaisir dans un long gémissement et m?éjacula tellement de cyprine sur les genoux que j?eus l?impression d?être tombé à genoux au fond d?une piscine. Annie et moi nous regardions, tout surpris de la quantité de ce liquide de plaisir expurgé par cette toute petite femme. Nous étions tous deux, souriant du plaisir que nous avions eu à participer à cette corvée qui nous semblait quand même être du travail bien fait. Cette Valérie n?oublierait probablement jamais cette dernière soirée de sa vingtaine. Valérie avait la gorge sèche et me demanda un peu de vin. Je pris moi-même le reste de sa coupe et le lui transféra dans un long baiser, tendre et langoureux. Elle me communiqua ainsi combien elle avait jouis et toute la satisfaction qu?elle avait de ce que nous lui avions fait vivre dans ces derniers instants. Ce baiser n?étant même pas terminé, Annie se souvenant que je n?étais pas venu en même temps que Valérie, repris ma queue dans sa main. Après avoir détaché son regard de la mare de jus que sa copine avait laissé sur le plancher, elle se pencha rapidement pour me la goûter, en disant : Tu viens de lui faire un beau cadeau d?anniversaire. Cette pensée semblait la transporter au coin le plus reculé d?un de ses fantasmes le plus présent en ce moment. Après quelques lichettes, laissant ma queue quelques secondes, elle lançant un petit: WOW ?a a du goût cette queue là, faudrait bien que je me la fasse moi aussi.

    Mais Valérie, encore un peu dans les vaps, avait quand même entendu cette phrase. Elle lui dit alors: Oui, tu vas te la faire, mais pas où tu penses ma belle petite chattone.

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