Voilà, j’ai baisé ma sur. Je l’ai dépucelée et me suis moi-même dépucelé. C’était juste d’enfer!
Évidement, je compte bien repasser par ce trou là, mais plus tard.
J’ai 16 ans et je suis en apprentissage. Je fais 3 semaines de boulot dans une boulangerie et une semaine de cours dans un lycée spécial. Dans ce lycée je sors plus ou moins avec une meuf. Plus ou moins parce qu’on ne se fréquente que lors des cours. Bref. On se roule des pelles, on se tripote, mais ça ne va jamais plus loin que ça et j’avoue que de lui mettre ma queue dans le trou ne serait pas de refus.
J’ai tenté ma chance un soir après les cours. Je l’ai coincée dans un coin du lycée et j’ai commencé à la toucher. Les seins, le cul, sous la jupe et au moment ou je veux dériver sur son vagin, elle me repousse gentiment en me disant non. Quelle frustration! Bien sur je n’ai pas baissé les bras.
Vendredi, dernier jour, encore un échec, elle me traite même d’obsédé. Ce qui n’est pas faux. Ma meuf se tire, je la regarde partir avec son bus et j’ai mal aux couilles. Je me viderai avec ma sur!
— Hey, Gab…
Je reconnus immédiatement la voix de Sophie. Une jolie rousse aux yeux noisette. Un sourire d’ange et un corps de diablesse. Je me suis retourné vers elle, les mains foutues en poche.
— Hey. Tu es pas encore partie?
— Ma mère est coincée, elle ne peut pas venir me chercher avant 17h30.
Il était 16h15. J’incline un peu le visage, grimace un peu façon de dire que c’est moche pour elle. J’allais lui proposer de venir se poser avec moi au McDo juste à côté, boire un soda en attendant, mais elle reprend la parole.
— Je veux pas te déranger, hein. Si tu veux rentrer, rentre !
— Non, non. Justement je pensais que…
— Elle est nulle ta meuf, non? Même pas elle veut coucher avec toi…
Je reste muet, hausse légèrement un sourcil tandis qu’elle vient contre moi, posant ses mains sur le haut de mon torse et reprendre.
— Tu pensais à quoi, Gabriel? Susurre-t-elle tout bas, presque contre mes lèvres.
Quelle putain d’aubaine! J’ai les couilles pleines et j’ai une belle rousse qui se colle à moi! Je ne vais pas jouer l’innocent en faisant genre j’ai rien compris, non! Je glisse mes mains sur ses hanches, la love contre moi et répond à mon tour.
— Qu’on serait tranquille derrière le lycée.
Elle s’est mise à sourire et glissa sa main dans la mienne. Tout deux, nous nous sommes dirigés derrière le bâtiment, puis je l’ai mise contre le mur. Collé à elle, elle remonta une cuisse contre ma taille et je l’ai embrassée. Les mains sur mon dos, elle les a passées sous ma chemise, griffa mon dos avec douceur, puis se glissa jusqu’à mes fesses.
— Ça restera entre nous? Me dit-elle, se montrant légèrement soucieuse. Sans doute pour sa réputation.
— T’en fais pas. Dis-je. Après tout… Je tenais tout de même un peu à ma copine. Vraiment très peu…
Je passe mes mains sous sa jupe, remonte jusqu’à ses fesses pour attraper son string et le glisser jusqu’aux genoux. Là, elle me repousse en arrière et se met à rire. Ça y est, je me suis fait avoir?
Elle me fixe en se débarrassant de son string et glisse le tissu entre ses doigts, tandis que je mordais ma lèvre tant elle m’excitait. Elle ouvre sa chemise, juste assez pour que je puisse avoir une vue sur sa poitrine. Petite, mais terriblement jolie. Puis elle s’approche de moi, les mains sur mes épaules pour, à mon tour me coller contre le mur. Je me sentais .. Totalement .. Excité! Elle tire la ceinture, ouvre ma braguette et se met à genoux en face de moi. Elle va me sucer?! Oh merde, ma première pipe!
— Tu as l’air nerveux Gab…
— Non, pressé… Je me suis jamais fait sucer.
— Ooh… Intéressant.
Et elle appliqua sa langue sur mon gland décalotté, lèche, tourne autour du capuchon puis chatouille le frein. Dieu que c’est bon. Ma bite palpite contre sa langue et je pousse un soupir de plaisir.
— Ça a l’air de te plaire…
— Ouais, c’est bon… Continue.
— On dit quoi?
Elle rigole légèrement et je ne sais pas ce qu il m’a pris mais, je n’ai pas su me retenir.
— Ta gueule et suce ma queue!
Elle paraissait choquée au début et moi-même me rendant compte de cela, je me suis senti mal… Au moment ou j’ai voulu m’excuser, elle s’exécuta. Attrapant ma queue entre ses lèvres, elle me pompa vigoureusement. Je sentais sa salive noyer mon chibre, couler sur mes couilles.
— Oh, putain… Oh c’est bon! Mmh, t’es bonne! Suce moi bien!
Je la vis lever le regard sur moi. Elle avait dans les yeux, une lueur de perversité qui me plaisait bien. Ma main sur la nuque, l’autre sur l’épaule. Elle coulissait sa bouche le long de ma queue et moi j’en perdait la tête tant c’était bon. Trop bon.
Encore novice, je n’ai pu me retenir bien longtemps et avant même que je ne puisse la prévenir, je giclais dans sa bouche.
— Mmh pute…! Bordel de… Oh, la pute!
Les yeux grands ouverts de surprise. Elle sentait comme un haut le cur à la première giclée, mais elle avala tout le foutre que ma bite lui crachait et je continuait à râler. Lorsqu’elle se retira enfin, elle essuya sa bouche et se redressa devant moi.
— Mh, désolé pour les insultes… C’est sorti tout seul…
— C’est pas pour ça que tu devrais t’excuser… Mais parce que moi je me retrouve la chatte en feu.
J’ai du mal à croire ce que je viens d’entendre! Comment elle cause!! Je souris, prend ma bite en main et commence à me branler.
— Donne moi quelques minutes, ma belle, et je m’occupe de toi…