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Aire d'autoroute – Chapitre 1

Aire d'autoroute - Chapitre 1



Nous étions depuis de longues heures sur la route des vacances, ma chérie et moi.

Nous commencions à être assez fatigués, dailleurs, elle dormait tranquillement sur son siège, à côté de moi.

Je la regardais dormir depuis un bon moment, elle est si belle quand elle dort.

En dormant elle avait glissé un peu sur le siège et sa petite jupe déjà bien courte, ne cachait plus grand-chose de ses trésors humides.

En effet, je lavais convaincue de ne rien mettre comme dessous pendant le voyage et si possible pendant toutes nos vacances.

Nous étions sur lautoroute, au sud de Paris où nous avions réservé un hôtel pour une semaine à la capitale, que jespérais très coquine.

Je tendis doucement la main vers son ventre dénudé que les phares éclairaient de temps en temps.

Dun doigt, jécartais doucement les lèvres.

Le siège étant en position couchette, je nétais aucunement gêné dans mes manuvres, et je remontais bien haut la jupette pour mieux la contempler.

Jallumais le plafonnier en position lecture, c’est-à-dire le rayon de lumière situé de son côté, pour nêtre pas gêné dans ma conduite, et je le dirigeais directement sur sa belle petite chatte.

Je déboutonnais le plus délicatement possible deux boutons de plus à son chemisier, déjà pas mal ouvert, et le tableau était parfait.

« La belle endormie »

Je repris mes attouchements sur sa chatte, mes doigts trouvèrent rapidement une humidité suspecte qui commençait à suinter, je létalais et men servis pour faire glisser mes doigts dans cet antre de plaisir.

La salope ne dormait plus, elle faisait semblant.

OK. Tu veux jouer ! On va jouer !

Je doublais un camion en ralentissant en arrivant au niveau de la cabine, le chauffeur jeta un rapide coup dil, envisagea rapidement la situation et continua den profiter autant que sa conduite le lui permettait, mais ce nétait évidemment pas possible de rouler comme ça trop longtemps, jen étais bien conscient, aussi je doublais le camion, sans toutefois le « semer », et à la première aire de repos, je mis le clignotant bien à lavance et mengageais suivi aussitôt de notre complice intéressé par la suite du spectacle.

Le parking était quasi désert et je me garais dans un endroit le plus à lécart possible afin de ne pas attirer trop lattention sur nous.

Quand le véhicule simmobilisa, ma femme bougea un peu, ses jambes sécartèrent encore, mais elle décida de continuer à jouer la dormeuse.

Parfait, le camionneur arrivait juste à notre hauteur, il marchait prudemment, le plafonnier étant resté allumé il vit rapidement que la situation navait pas changé et reprit de lassurance et vint se planter devant la portière de ma femme collant son visage à la vitre pour la mater en toute impunité.

Il nétait pas très beau, un peu bedonnant, mal rasé, assez petit, de petits yeux vicieux rivés sur ma belle.

Mes doigts glissaient avec aisance entre les lèvres gonflées et brillantes je les écartais à lintérieur de son ventre pour bien lexposer au voyeur, lui montrer comme elle pouvait souvrir pour recevoir sa queue.

De mon autre main, je faisais rouler ses tétons lun après lautre, malaxais ses seins tout durs pour lui montrer quils étaient bien sensibles et que les pointes appréciaient le traitement.

Elle avait de plus en plus de mal à cacher quelle ne dormait pas, le plaisir se voyait sur tout son corps, il réagissait, vibrait de partout, ses cuisses sécartaient, sa respiration se faisait plus rapide, sa bouche souvrait, de temps en temps elle se mordait les lèvres, de petits gémissements sortaient de sa gorge.

Le camionneur pouvait voir nettement quelle aimait ça et quelle en voulait.

Il avait sorti sa queue, elle nétait pas bien grosse, plutôt fine même, mais dure, tendue comme un ressort, et surtout longue, très longue, recourbée vers le haut et prolongée dun gland décalotté et qui faisait penser à un champignon tant il paraissait disproportionné par rapport à la taille de la bite qui le portait.

Tout en la caressant, je lui murmurais quelle était belle offerte dans la nuit comme ça, et que ça mexcitait quelle se laisse montrer devant un inconnu.

Elle me demanda :

_Est-ce quil est seul ?

_Oui, pour le moment

_De quoi il à lair ?

_Dun gros cochon vicieux bien excité

_Il est jeune ?

_Non, ni jeune ni beau, mais bien monté, je pense que tu devrais aimer

_Salaud, quest-ce que tu me fais faire ? Tu veux me faire faire la pute ?

_Pourquoi pas ? La salope en tout cas oui ! Si tu as envie !

_ Avec ce que tu mas fait jaurais envie de nimporte quelle bite et tu le sais bien, salaud !

_Regarde-le maintenant, montre lui que tu es consentante

Elle me regarda avec ses beaux yeux éperdus de plaisir, tourna la tête lentement vers le type et le fixa dans les yeux sans fuir son regard de bête en rut ses yeux descendirent jusquà son sexe quil lui exhibait fièrement.

Elle se retourna vers moi :

_Cest vrai quil est moche

    Je crois que ça mexcite encore plus

Jentrouvris la vitre de son côté, pour que le type puisse entendre notre conversation

_Par contre tu as raison, je crois que je vais me régaler si tu le laisse me prendre

    Dis tu voudras bien quil me la mette ?

_Tu nas qua assumer, si tu veux quil te baise, demande le lui !

_ Salaud, ça texcite de me voir avoir envie dune queue, nimporte laquelle ?

_Oui ça mexcite, mais ce nest pas nimporte laquelle, avoue quelle te plaît bien celle là et quelle te fait envie ? Regarde là comme elle est belle.

Le type, voyant la vitre souvrir en profita pour passer son membre dans lhabitacle.

Jaimais son regard alors quelle contemplait la chose qui allait la faire jouir, un regard denvie irrépressible, ses yeux nétaient que tendresse pour cette épée de chair.

Jaime lire cette tendresse envers des sexes étrangers dans ces yeux que jadore.

Sa petite main se tendit presque timidement, se saisit du membre tendu, lenserra, en éprouvant la rigidité, coulissa jusquau gros bout brillant, le pouce vint cueillir la goute qui perlait au bout, létala sur le gland gonflé.

Dans un gémissement, le type se tendit en avant, se collant à la portière et faisant entrer toute la longueur de son sexe dans la voiture.

Cétait presque incroyable ! Il était aussi long que lavant bras de ma chérie! Elle le tira vers le bas et approcha sa petite bouche du gland démesuré, elle essaya en vain de lintroduire dans sa bouche, forçant sur ses lèvres sans succès, puis se résolut à le lécher.

Elle faisait courir sa langue par-dessous, là où cest le plus sensible, sur le frein, ses deux mains tenaient la hampe vigoureusement.

Le type gémissait de plaisir son sexe coulait doucement, de belles goutes se pré-sperme sortaient, translucides, aussitôt lapées par ma petite chienne amoureuse de ce chibre tendu vers elle et dont elle espérait tant de plaisir !

Une de ses mains remonta vers les couilles gonflées elle les malaxa tendrement, les grattant parfois doucement du bout des ongles.

Soudain elle lâcha le membre qui, comme un ressort se détendit et alla frapper le plafond de la voiture y déposant une marque humide.

Elle ouvrit la portière, sortit et se dirigea vers une table à pique-nique (nique la avec ta pique !) en tenant le bonhomme par la queue comme on tiendrait son chien en laisse, autant dire quil ne protestait pas et suivait tout en essayant de ne pas sentraver dans ses « brailles » qui glissaient le long de ses cuisses. Elle sallongea sur la table et lui ordonna :

-Maintenant baises moi, plante la moi au fond, jen ai trop envie, je veux la sentir entrer au fond de mon ventre, je veux que tu me bourres comme une pute, ce soir je suis ta pute, profites-en !

Le gars ne se le fit pas dire deux fois, il saisit son chibre et le pointa entre les lèvres gluantes de ma femme, elle sécartait bien pour laider, je regardais incrédule ce gros gland posé sur cette chatte aimée, je vis les lèvres sécarteler à nen plus finir, il savourait son plaisir le bougre et prenait son temps ! Le gland était juste dans la partie étroite et elle gémissait comme une folle.

-Oh putain quil est gros, quest-ce que je le sens ! Jadore ça, vas y rentre le maintenant, je veux le sentir rentrer à lintérieur.

Les lèvres se refermèrent sur lexcroissance de chair qui continuait sa progression dans le ventre de ma femme qui fixait son baiseur dans les yeux.

-Ouiiiiiiiiiiii cest bon, je te sens bien Cest gros dans moi, ça fait du bien Jaime ta queue, jaime que tu me baises.

-Aaaaaaaaaaaaahhhhhh tu es au fond, tu me plantes, cest trop fort mais continues, je ne sens pas tes couille, tu peux rentrer encore, exploses moi la chatte, rentres la toute en moi, je veux en profiter à fond, laboures moi, je te veux, oooooohhhhhhhhhhhhhh ooooooooooouuiiiiiiii !

Devant mes yeux ébahis, la longue tige raide entrait de plus en plus profondément dans ma chérie, la faisant hurler de bonheur, jusquà ce que ses couilles viennent en contact avec les fesses de mon amour, alors, il resta planté tout au fond, savourant sa victoire, et elle, papillon cloué sur cette table.

-Putain que cest bon ! Tu me baises bien ! Quest-ce que jaime ta bite, jaime la sentir au fond de moi ! Jamais une queue nest allée aussi loin.

-Je veux te sentir te vider au fond de moi, donne moi tout ton foutre, gicle ta semence dans mon utérus, remplis moi de sperme, je veux sentir mon ventre gonfler sous des flots de foutre

Le type, stigmatisé par les paroles salaces de ma chérie se démenait de toutes ses forces, il la pistonnait violemment et elle en redemandait toujours plus.

-Sale pute, tu te fais tringler devant ton mari par nimporte qui, tu es vraiment une chienne, je vais te faire voir moi ce que cest que de sen prendre plein la chatte, y a un mois que jai pas baisé, jai les couilles pleines, tu en veux, tu vas en avoir Oh putain ça y est je viens Han !

Il se planta dun grand coup au fond du ventre de ma bien aimée, et dans une ultime convulsion, déversa toute sa semence en elle, tout au fond delle. Il gicla de longs jets de sperme chaud, une abondance quelle sentit lenvahir, quelle prit plaisir à accueillir en elle, elle le tirait à elle de ses bras et ses jambes pour mieux se souder à lui et se faire remplir.

Ils restaient collés lun à lautre dans un état proche de la perte de conscience, dû à un orgasme si fort, quil les avait anéantis. Elle le serrait dans ses bras, éperdue de gratitude pour cet homme quelle naurait même pas regardé si elle lavait croisé dans la rue, mais qui lui avait donné tellement de bonheur quelle avait du mal à sen séparer.

Il sentait son pieu encore dur planté tout au fond du ventre de cette belle femme, il lembrassait, il fouillait sa bouche avec sa langue comme il avait fouillé son ventre avec son sexe démesuré.

Il y avait longtemps quil navait pas joui comme ça.

Dommage quil y ait peu de chance quil ne la revoie jamais !

Elle sortit peu à peu de sa douce torpeur, elle me vit, je lui souriais, heureux de la voir comblée et heureuse, elle se sentit envahie par un flot damour pour cet homme qui laimait tant quil était capable de lui laisser prendre autant de plaisir dans les bras dun autre et davoir un regard si clair quelle ny pouvait déceler aucune trace de jalousie ou de déception.

Sans un regard pour son baiseur, elle se releva, tituba vers moi et se jeta dans mes bras.

-Merci mon amour pour ce plaisir que tu mas permis de prendre, cétait si bon !

-Jai vu ça ! Tu sais que ce que jaime par-dessus tout cest de te voir heureuse, et jai adoré te voir jouir aussi fort sous ses coups de bite.

-Cest vrai quelle était bonne et quil ma fait du bien. Jaime tant me sentir remplie par une queue, tu le sais. Je taime, mon chéri, je suis bien avec toi, tu maides si bien à rechercher mon plaisir librement ! Merci !

Je la conduisis à la voiture, jouvris sa portière et laidais à sasseoir sur son siège, puis je repris moi aussi ma place et nous reprîmes la route.

Elle posa tendrement sa tête contre mon épaule,

-Huuuuuuuuummmm quest-ce quil ma remplie avec son foutre, cest vrai quil en avait des litres le salaud ! Mets ta main mon amour regardes comme je suis encore toute ouverte et coulante

Je glissais mes doigts sur sa chatte, entre ses belles cuisses quelle tenait bien écartées, mes doigts glissèrent entre des lèvres gonflées et largement ouvertes, et surtout gluantes de foutre.

Le sperme du camionneur avait été si abondant, que, malgré le fait quil le lui ait envoyé tout au fond de son con, il en sortait une belle quantité.

Elle gémit et sécarta encore davantage

– Tu sais pas ce que jaimerais ?……

-Dis-moi

-.Jaimerais que tu me lèches que tu lèches son jus dans ma moule Excuse-moi de te dire ça, cest dégueulasse.

-Non, pas du tout, si ça te fait envie, je vais marrêter à la prochaine occasion et je vais te boire.

-Ça texciterait de me lécher et de sentir le gout dun autre dans moi ?

-Oui bien-sûr ! Boire ton jus et son sperme mélangés. Touches, je bande rien que dy penser !

Je continuais de conduire en trempant mes doigts dans sa chatte gonflée et ouverte.

La prochaine aire était très grande, il y avait une route interdite aux poids lourds, qui partait dans les bois.

Je my engageais.

Peu déclairage, quelques voitures, des hommes qui allaient dune voiture à lautre, qui sagglutinaient parfois autour de certaines voitures dont lintérieur semblait éclairé, mais où lon ne pouvait rien apercevoir justement à cause de leur présence.

Je me garais dans un coin sous les arbres.

Je descendis du véhicule, en fis le tour, et vins ouvrir sa portière, elle se tourna vers moi, écarta les cuisses, impudique.

-Viens me lécher, viens boire son jus dans moi.

Dans la voiture garée juste un peu plus loin, ça semblait animé !

Il y avait un attroupement autour du véhicule et on pouvait maintenant distinguer un homme qui semblait de par sa position introduire son sexe par la vitre qui devait être ouverte, comme lavait fait le camionneur tout à lheure avec nous.

Je me mis en devoir de nettoyer la chatte ruisselante de ma femme tandis quelle ne quittait pas des yeux ce qui se passait dans le véhicule tout proche

Si cette histoire vous inspire, vous pouvez m’écrire en m’envoyant la suite que vous aurez imaginée…

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