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Alain, ancien professeur – Chapitre 19

Alain, ancien professeur - Chapitre 19



La maison semble vide à leur retour.

— Où est Manon ? demande Isabelle.

— Comment veux-tu que je le sache ? rétorque son mari. Elle nous a dit quelle est allée chez un copain. Je ne sais pas lequel et toi non plus. Elle est grande et na pas besoin de chaperon.

Ils rejoignent les chambres pour se changer. Des bruits, des gémissements plutôt les alertent dans le couloir.

— Hé, hé ! sécrie Christophe en posant loreille contre le vantail, cette petite dévergondée se paye du bon temps.

— Et alors ? Quel mal y a-t-il ? Serais-tu jaloux ?

Isabelle tente de lentraîner. Il résiste et pose la main sur la clenche dans lintention dentrer.

— Veux-tu les laisser tranquille !

— Je veux faire connaissance avec celui qui baise ma fille !

— Nas-tu pas honte ?

— Pas du tout ! affirme-il en ouvrant la porte.

Il reste sur le seuil. Malgré ses dénégations précédentes, Isabelle curieuse le rejoint. Sur le lit un couple nu sen donne à cur joie. Manon maintient prisonnier contre elle un garçon de son âge environ dont les coups de rein attestent la détermination. Alain reconnaît Lucas.

— Qui cest celui-là ? murmure Christophe.

— Je ne sais pas, déclare Isabelle sur le même ton.

— Euh Je crois que cest un des élèves à qui je donnais des leçons avec Manon.

— Eh ben ! Je ne te connaissais pas ce talent de proxénète, se moque Christophe.

— Eh ! Oh ! Je ny suis pour rien pour la rencontre daujourdhui !

Le couple qui na pas remarqué leur présence continue sa gymnastique ponctuée de gémissements. Tout à coup, Manon ouvre les yeux et les aperçoit. Loin de sémouvoir, elle sourit au trio qui les contemple. Prévoyant une réaction de son cavalier, elle noue les bras et les jambes autour de son corps.

— Bonsoir Papa !

— Bonsoir ma fille !

— Oh !

Terminés les gémissements ! Le pauvre Lucas veut se libérer mais coincée par la jeune fille, peut à peine bouger. Christophe sassied sur le lit et flatte le postérieur du garçon.

— Comme ça on profite de labsence des parents pour samuser.

— Lucas a bien voulu partager ma solitude.

— Ah ! Il sappelle Lucas ! Enchanté mon garçon ! Moi je suis Christophe. La dame qui nous regarde de la porte, cest Isabelle mon épouse et le monsieur qui laccompagne sappelle Alain. Je crois que vous le connaissez. Je vous en prie, faites comme si nous nétions pas là, continuez à vous amuser.

Le pauvre garçon en est bien incapable. Il est au trente sixième dessous. Sa verge débandée ne reste dans le vagin de Manon que parce que la jeune fille le maintient serré contre elle.

— Allons, allons, ne soyez pas si timide !

Christophe caresse les fesses. Lindex se promène sur la raie et senfonce progressivement.

— Aah ! Gémit le garçon.

— Oui, Papa, continue ! s’exclame Manon qui sent la queue gonfler.

Le doigt atteint lanus. Il tourne autour et sintroduit de deux centimètres.

— Aah !

— Oui ! Cest ça ! Gémit Manon qui essaye de remuer le bassin autour du manchon qui se développe dans son vagin.

-Ah ! Cest ainsi, déclare Christophe en jouant de lindex dune main et quittant son pantalon de lautre, il aime ça, une grosseur dans le cul ! Ah ! On simagine pouvoir impunément baiser ma fille ! Cest mal me connaître mon garçon. On va lui en donner de la grosseur !

— Mmeeuhh ! Gémit Lucas qui, sa virilité restaurée, recommence à donner de timides coups de reins.

— Oui, Papa ! Cest ça ! Continue !

— Je men voudrais de vous empêcher de terminer ce que vous avez commencé, mais jai droit à une compensation.

Lindex senfonce complètement. Christophe, sans cesser de pistonner, monte à quatre pattes sur le lit. Il se met en position entre les jambes du garçon quil sépare des genoux. Lucas voudrait résister, au moins ne se rendre quaprès un combat darrière garde pour ménager sa fierté, mais le doigt qui vrille lui en ôte les moyens. Il ne peut que serrer les fesses pour manifester sa réprobation, coinçant lindex.

— Quest-ce que cest que ces manières ? On se révolte ? Veux-tu bien écarter les fesses ! Aide-moi Manon !

— Oui Papa !

Elle lâche le torse, certaine que Lucas ne va pas fuir maintenant et tire sur les globes fessiers.

— Aah !

Le garçon, écartelé, accepte linéluctable et puise dans sa défaite un surcroît de plaisir. Christophe enduit sa verge de salive et la présente devant le trou apparent. Par petits coups de rein il introduit le gland. Le plus dur est fait. Sa victime ne peut plus séchapper. Reste à la faire jouir, ce serait un échec si elle ne prenait pas son pied en même temps que Manon et lui.

— Aah ! On peut y aller, vous êtes prêts ?

— Oui Papa !

Lucas ne dit plus rien mais les ondulations de son bassin qui accompagnent la pénétration, parlent pour lui. Christophe recule. La hampe de son sexe sort peu à peu des fesses. Il stoppe avant que le gland franchisse le sphincter.

— Ça va là dessous ?

— Mmmmh !

— Bon, je continue.

Il attire Lucas par les hanches. La queue pénètre à nouveau pendant que le sexe du garçon glisse dans le vagin de Manon. Quand son ventre touche les fesses, Christophe donne un coup de rein qui soulève Manon par ricochet.

— Aaah !

Christophe recommence la manuvre. Isabelle sappuie au chambranle, Alain derrière elle.

— On dirait que cela lui plaît, murmure-t-elle. Cétait pareil pendant les leçons ?

Il sourit. Inutile de nier. La jeune femme lui indique par cette réflexion quelle est au courant de la manière dont les révisions de math se terminaient.

— Oui, il apprécie le rôle dhomme sandwich.

— Il te ressemble nest-ce pas ?

— Euh Peut-être mais moi, je ne peux pas faire autrement.

Il soulève le tissu léger de la robe et caresse les cuisses remonte vers le bas ventre. Quelle chance quelle nait pas remis de culotte !

— Je tassure que si jen étais capable, je te ferais lamour, là, sur place pendant queux samusent, mais mon sexe me trahit.

— Je ne ten veux pas Caresse-moi ! Ouiii ! murmure-t-elle quand deux doigts ouvrent les lèvres du sexe pour se poser sur le clitoris.

Sur le lit, Lucas sen donne à cur joie. Terminée la timidité. La présence de cette grosseur douce dans son cul décuple son énergie. Christophe na plus besoin de bouger. Cest le garçon qui en avançant et reculant fait tout le travail tant sur la queue qui le perfore que dans le sexe de Manon. La jeune fille est aux anges. Que létreinte avant lirruption de ses parents était morne en comparaison du déferlement de jouissance actuel. Vive son père qui sait si bien enculer !

— Aaaah !

Les vannes du plaisir souvrent brutalement, elle tressaille gémit, se débat presque sous les coups de rein de son cavalier. Cela narrête ni Lucas, ni Christophe qui poursuivent leur chevauchée. Le frottement continu dans son vagin déclenche chez la jeune fille une nouvelle montée de plaisir.

— Aaammhh !

Elle griffe les épaules de son partenaire anesthésié par lintense satisfaction de la sentir se pâmer dans ses bras. Dopé par ce sentiment, Lucas sent la jouissance envahir son bas ventre. Cen est presque douloureux. Il accélère, seul moyen quil trouve pour atténuer la torture ce qui a pour effet de lamplifier. Il en tremble. Ses frissons se communiquent à Christophe et à Manon qui se mettent à leur tour à mêler leurs gémissements aux plaintes de Lucas. Enfin le plaisir libérateur éclate chez le garçon.

— Aaaaahhh !

Les jets de spermes déclenchent un ultime spasme chez Manon.

— Ouiiiii !

Le relâchement des muscles du sphincter libère la queue de Christophe et la montée de la sève.

— Mmmmh !

— Aaah ! Murmure en écho Isabelle que les doigts habiles dAlain font jouir.

Elle se maintient à lencadrement de la porte pour ne pas sécrouler sur le sol. Alain, le seul à tenir debout, va chercher des lavettes humides dans la salle de bain et les distribue à la ronde.

— Je suis heureux davoir fait ta connaissance, mon garçon, déclare Christophe. Je tautorise à revenir autant de fois que tu le désires. Montre-lui ta salle de bain, Manon et nettoyez-vous. Rendez-vous dans un quart dheure pour lapéritif.

— Je ne voudrais pas vous importuner, sexcuse Lucas.

— Pas du tout. As-tu des projets dans limmédiat ? Non ? Eh bien tu es cordialement invité à nous tenir compagnie. Ah ! Joubliais, prête-lui un peignoir que nous soyons tous à laise pour le repas.

Il se retourne vers Isabelle.

— Tu viens chérie, je crois que nous devons prendre un bain nous aussi.

Il sort de la pièce accompagné par le regard de Lucas un peu abasourdi par ce qui vient darriver

Christophe, très en forme, anime le repas en menant une controverse acharnée avec Isabelle soutenue par Manon, sur le plaisir sexuel. Alain un peu largué au début, réalise que le couple samuse à choquer Lucas effaré de voir de tels sujets intimes discutés en présence détrangers. Il rougit et ne sait où disparaître quand Christophe lapostrophe pour lui demander son avis.

— Nest-ce pas que tu es daccord avec moi ? Les femmes ont besoin des hommes pour jouir pleinement.

— Cest faux, intervient Isabelle. Elles nont pas besoin de vos queues et savent se passer de vous.

— Cette blague !

— Ils nous mettraient au défit ? Quen penses-tu ma chérie ? demande-t-elle à sa fille. On leur montre ?

— Je voudrais bien voir ça ! Complète Christophe.

Alain étouffe un rire nerveux. Les habitants de la maison sont parvenus à leurs fins, une séance de caresses entre Isabelle et Manon prélude à de futures réjouissances. Ont-ils préparé leur dispute ou lidée leur est-elle venue au cours de la discussion ? Quimporte.

Isabelle emmène par la main sa fille dans le salon. Alain ouvre de grands yeux en les voyant recouvrir la table basse de coussins. Cest là, sur cette couche improvisée que les deux femmes vont Vont quoi ? Saimer ? Se caresser ? Seules ? Non, Christophe interviendra, fera intervenir Lucas. Il sinstalle sur un fauteuil, bien décidé à jouir du spectacle quel quil soit, il promet !

Christophe entraîne Lucas, totalement dépassé sur un canapé. Au milieu du salon Isabelle enlace tendrement sa fille. Elle embrasse ses cheveux.

— Attendez !

Christophe se lève et choisi un CD quil insère dans le lecteur. Une musique douce emplit lair.

— Vous pouvez continuer, dit-il en rejoignant sa place.

Isabelle lui sourit. Elle écarte le déshabillé de Manon sur les épaules et lembrasse dans le cou. La jeune fille limite. Les deux femmes sembrassent puis se séparent. Les tissus soyeux glissent à terre dévoilant les corps bien proportionnés de la mère et de la fille. Leurs mains frôlent la peau enveloppent les hanches les flancs, remontent vers la poitrine, caressent les fesses. Leurs bouches se rapprochent. Alain sourit à la vue des deux petits bouts de langue rose qui frétillent à la rencontre lun de lautre. Il jette un coup dil sur ses voisins. Lucas est fasciné et semble ne pas se rendre compte que Christophe écarte les pans de son peignoir et pose la main sur la cuisse, haut, à la limite de laine.

Isabelle étend Manon sur la table basse. Elle attire sa mère qui se couche sur elle. Elles reprennent leurs baisers les cuisses imbriquées. Les sexes se frottent, les mains papillonnent. La main de Christophe atteint la verge du garçon quelle sort de dessous le tissu. Lucas ne quitte pas des yeux le couple sur la table basse comme si la caresse infligée ne le concernaient pas.

Les deux femmes changent de position. Isabelle sallonge sur les coussins, les fesses justes au bord de la table, les pieds au sol. Manon grimpe à son tour sur la couche improvisée. Elle sagenouille, le bassin au-dessus de la figure dIsabelle, les bras sous les cuisses de sa mère. Chacune lèche le sexe qui leur fait face. Christophe a mis sa verge dans la main de Lucas. Les deux hommes se caressent lentement. Alain, entraîné par lexemple, triture son pénis souple.

Manon lève la figure.

— Amène ta queue ! Oui ! Toi, Lucas ! Montre-moi ta belle bite !

Il faut que Christophe le pousse pour quil se lève en abandonnant son peignoir.

— Oui, viens ici ! Approche Laisse-moi lembrasser.

Manon aspire le gland que lui présente le garçon. Elle dégage une main et empoigne la verge.

— Tu es un bon garçon ! Elle est dure à souhait.

Elle alterne les sucettes avec les frottements du gland sur la vulve écarlate de sa mère. Lucas, tout à son plaisir ne réalise pas ce que Manon projette. De lautre coté, Christophe présente son dard entre les fesses de sa fille quIsabelle écarte pour lui. Elle samuse au passage à lécher la hampe qui trouve son chemin vers louverture du vagin.

— Oui, prends-moi ! crie Manon quand elle sent le sexe la pénétrer.

En même temps elle place le gland de Lucas. Le garçon encouragé par linvitation quil imagine pour lui, donne un coup de rein et senfonce dans le sexe dIsabelle. Les quatre protagonistes exhalent ensembles un soupir de satisfaction qui fait sourire Alain. Le tableau est original. Chaque homme peut suivre dans les yeux qui le regardent la progression du plaisir dispensé par lautre, chaque femme voit la queue entrer et sortir dun orifice qui nest pas le sien.

Lucas et Christophe coordonnent leurs mouvements. Le concert de gémissements samplifie. Alain tout dun coup ressent lenvie de participer. Ah sil pouvait utiliser sa queue ! Enculer Lucas qui aime comme lui être pris en sandwich, ou même Christophe Malheureusement il nen est pas question. Lengin quil manipule tout en admirant les prouesses de ses amis, ne le permet pas. La tige reste désespérément molle malgré la jouissance qui monte et léclair de plaisir qui le coupe en deux. Il na plus rien à faire ici. Il essuie avec un soupir sa main poisseuse à la robe de chambre et se lève pour shabiller.

Ses affaires emballées, il jette un coup dil au salon. La situation est inchangée. Les deux hommes besognent à coup de rein leurs partenaires lune sur lautre. Sans bruit, il séclipse. En refermant la porte, il perçoit la montée des gémissements qui précède la fin de la séance. Il se dépêche de monter dans sa voiture et de démarrer ne tenant pas à justifier son départ. Ils sauront se consoler entre eux.

Sur le chemin du retour, il revoit en image les journées passées chez Christophe, Isabelle et Manon. Quel week-end ! Même au temps lointains où il était fier de ses performances sexuelles, il navait pas fait autant lamour. Quel dommage, oui quel dommage que Marie ne lui ait pas révélé sa liaison avec Christophe. Il nose imaginer lorgie de sexe à laquelle ils se seraient livrés. Sûr quil se serait payé Christophe. Non, admet-il après réflexion. En ces temps là, il ne pensait pas aux fesses des hommes comme réceptacle possible à sa queue. Ce nest venu que récemment. Une conséquence de ses problèmes dérection Une de plus

A suivre

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