Évelyne se prépare soigneusement. Elle se baigne, se parfume, choisit comme sous-vêtement, un string à dentelle noire, pas de soutien-gorge. Elle hésite, doit-elle mettre une jupe ou une robe? Elle décide de mettre une jupe plissée, très évasée, courte, noire. Pour le haut, elle opte pour un chemisier bordeaux. Elle le boutonne jusqu’à la naissance des seins. Évelyne se regarde dans la glace. Elle met ses mocassins à talon fin. Voilà, elle est prête. Son portable sonne, Marie-France ne peut pas venir tout de suite, en empêchement de dernière minute. Évelyne décide d’y aller seule.
Elle sent l’excitation monter au fur et mesure qu’elle s’approche. Albert l’attend, elle en est sure. Elle a peur de le décevoir, d’oublier tout ce que Claire lui a montré. Albert est là, en train de boire. Il est assis, son dos s’appuyant sur la pile du pont, côté fleuve Il la regarde, elle n’ose pas s’approcher.
— Tu es toute seule? Dommage, peut-être que ta copine ne s’est pas entraînée
— Elle va essayer de venir tout à l’heure
— Alors la bourge, montre-moi ce que tu sais faire
Évelyne s’approche, se met à genoux, se penche pour déboutonner le pantalon. L’odeur est forte mais cela la gêne moins. Elle pense qu’elle commence à s’habituer. Elle associe cette odeur à l’excitation. Elle a du mal à sortir la bite d’Albert. Il bande, enfin , elle y arrive. Elle pense à ce que lui a dit Claire, commencer doucement, la caresser avec la main tout en suçant le gland. Elle s’applique. Albert relève la jupe et caresse les fesses d’Évelyne. Évelyne s’enhardit, elle sent Albert réagir à ses caresses buccales.
— Tu as fait des progrès la bourge. Tu n’es pas la reine des suceuses, mais tu t’es améliorée.
Il donne une grande claque sur les fesses d’Évelyne. Elle sursaute mais continue à le sucer.Albert claque de nouveau ses fesses. Il a de grandes mains, de vrais battoirs. Les claques sont sonores. Albert tire sur les cheveux d’Évelyne pour qu’elle arrête de le sucer. Il lui enlève son string et la prend en levrette. Évelyne remue son cul. Albert ressort et présente sa queue devant l’anus, il force et l’encule. Évelyne pousse un petit cri mais l’excitation prend le dessus. Alors, qu’Albert la bourrine, les doigts d’ Évelyne cherchent sa chatte et elle se branle pendant qu’Albert l’encule. Elle voit une forme s’approcher mais ne distingue pas bien. Elle jouit alors qu’Albert continue à la besogner. Albert se retire sans avoir joui. Évelyne se sent frustrée, elle a envie de sentir le liquide chaud en elle.
— Mais c’est l’autre salope de bourge qui est là. Sais-tu sucer la belle bite d’Albert ? As tu fait autant de progrès que l’autre salope?
Marie-France ne dit rien, se contente de se mettre à genoux devant Albert et commence à la sucer. Elle s’applique comme quand on a bien appris sa leçon, passe par toutes les étapes, a des haut-le-cur quand elle essaye d’aller plus loin. Évelyne émerge doucement de sa jouissance et regarde Marie-France faire. Elle voit la bite d’Albert s’enfoncer dans la bouche de Marie-France, il ne lui manque pas grand-chose pour l’avoir complètement en bouche. Enfin, Albert se vide. Marie-France essaye d’avaler mais n’y arrive pas entièrement et un peu de sperme coule à la commissure des lèvres. Évelyne s’approche et lèche le sperme. C’est la première fois que les deux femmes goûtent du sperme.
— Pas trop mal, les bourges.
Elles se relèvent pour partir. Albert se lève et retient Marie-France par le bras.
— Baisses ton pantalon, tu ne crois pas que tu vas partir sans que je profite de tes trous. Les salopes de bourge comme vous ont trois trous et ses trois trous doivent être remplis très régulièrement.
Marie-France a enlevé son pantalon, appuyé ses mains sur le pilier, tendu sa croupe. Albert bande de nouveau et baise Marie-France. Elle sent les coups de boutoir. Albert sort sa queue de cette chatte très accueillante et la présente devant l’anus de Marie-France. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas été enculée. Albert l’encule sans ménagement, ce n’est pas le style du bonhomme. La queue d’Albert défonce Marie-France. Il ressort pour rentrer dans la chatte baveuse, il la lime, Marie-France sent la jouissance arrivait. Elle jouit en gueulant encore plus fort que la dernière fois. Pendant tout le temps que Marie-France se fait sauter, Évelyne regarde avec envie. Elle a envie qu’Albert la prenne, l’insulte, elle a envie de sentir la queue d’Albert en elle. Pourtant, elle a déjà joui, mais d’avoir goûté lécher le sperme, de voir Albert besogner son amie l’a excitée. Elle s’approche du couple et se met à coté de Marie-France, jupe relevée, croupe tendue. Albert ne se fait pas prier . Marie-France n’a pas encore fini de jouir qu’il enfile Évelyne. Il la prend durement, il traite de pute, de salope, de chienne en rut. Il lui claque les fesses, il l’encule, revient dans sa chatte. Enfin, il se vide en elle au moment où Évelyne jouit. Marie-France est assise par terre et se remet doucement de la jouissance qu’elle a éprouvée. Elle n’aurait jamais pensé qu’une telle jouissance pouvait exister. Évelyne la rejoint, les yeux dans le vague. Albert se rhabille, regarde la bouteille que Marie-France lui a emmenée, la débouche et prend une grande rasade.
— Çà donne soif de baiser des bourges.
Il éclate de rire.
— Vous ne comptez pas dormir ici. Il n’y a pas de place et Albert dort seul.
Elles se lèvent difficilement. Marie-France remonte son pantalon, Évelyne baisse sa jupe et laisse son string sur place. Elles repartent toutes les deux. A ce moment Albert leur crie. La prochaine fois, ramenez votre copine, je suis sur qu’elle est bonne. Elles entendent d’autres voix qui disent à Albert de fermer sa grande gueule
Elles rentrent doucement, traversant le quai. Elles croisent des couples d’amoureux, des jeunes. Elles ne font pas trop attention à eux.
— Il nous baise vraiment bien, dit Marie-France
— Oui, c’est peu de le dire. Je suis exténuée. Il faut que je continue à m’entraîner à sucer. Je veux prendre sa bite entièrement dans ma bouche.
— J’ai essayé, mais elle est longue, je n’y arrive pas.
— Oui, j’ai vu mais tu en es proche, Marie-France.
— Nous sommes quand même de belles salopes
Les femmes se mettant à rire décident d’aller boire un verre dans un bar sur un bateau.
C’est un bar un peu intimiste, une ambiance douce faite pour ceux qui veulent passer une soirée au calme. Elles se mettent dans un endroit reculé, commandent un cocktail. Évelyne a la jupe un peu remontée mais ne s’en préoccupe pas. Elles discutent de leur soirée. La discussion émoustille Évelyne. Elle le dit à Marie-France, celle-ci passe une main sur la cuisse d’Évelyne et répond qu’elle aussi est excitée. Elles mettent cela sur tout le manque qu’elles ont eu depuis qu’elles sont jeunes et regrettent de n’avoir pas connu Albert plus tôt. Quatre personnes s’installent pas très loin d’elles. Elles parlent un peu fort et Évelyne et Marie-France entendent la conversation. Une dame dit
— Alors, cette vidéo, cela donne quoi,
— Elle n’est pas mal, répond un homme, on voit bien le mec et les nanas
— Je ne le crois toujours pas, deux nanas entrain de se faire baiser par un SDF
— C’est le SDF qui a dû être étonné. Il faut être cinglé pour faire cela
— Ou être en manque
— Et tu vas en faire quoi de cette vidéo ?
— Je ne sais pas
— Moi, dit une autre femme, je voudrais bien la voir
Le deuxième homme ajoute
— On ne sait jamais, cela peut donner des idées. Ils avaient vraiment l’air de prendre leur pied tous les trois
— Oui, dit la première femme, si cela se trouve on les connaît? Les as tu reconnus toi?
— Non, pas du tout
Évelyne et Marie-France se font toutes petites mais écoutent attentivement la conservation. Elles décident de partir sans se faire remarquer. Une fois dehors, elles se dépêchent et finissent par éclater de rire.
— S’ils avaient su que nous étions juste à côté , dit Évelyne
— Je crois que j’aurais aimé, rien que pour voir leurs têtes, répond Marie-France
— Tu sais, je n’ai jamais été aussi bien, aussi gaie, aussi heureuse, Marie-France. Et, cela fait du bien
— Je te propose d’être une bande de salopes, je suis certaine que Claire sera partante.
— Humm, c’est vraiment tentant