Allongé sur mon lit depuis un long moment, je ne fais que penser à ce que nous venons de partager. Il suffit que je ferme les yeux, pour que la vision de la mignonne petite chatte rose de Candice me revienne à l’esprit. Tout comme le capuchon de son clitoris, ses seins appétissants… Je ne cesse de me tourner dans un sens ou dans l’autre. Mon sexe alternant repos et érections…
Tout en frappant deux coups brefs à la porte, ma soeur jumelle entre dans ma chambre. Elle me ramène ma lotion. Si, pour ma part, j’ai substitué la serviette de bain pour un boxer, Candice est toujours en peignoir. Elle se rapproche de mon lit, et me demande si elle peut s’y installer, à mes côtés. Comme je l’ai déjà fait un million de fois, je me décale pour lui laisser de la place.
Dès qu’elle est allongée à côté de moi, elle me saisit la main. Je connais bien cette manie: quand elle est inquiète ou tendue, ma jumelle attrape ma main et se met à jouer avec, comme si c’était son anti-stress.
"Alex…"
"Oui?"
"C’était maladroit de ma part, non?"
"Tu veux parler de quoi au juste?"
"Tout à l’heure, quand j’ai touché ta bite avec mon pied!"
Je rigole et attire Candice vers moi pour l’embrasser sur le front.
"Mais non, ne t’inquiète pas, il n’y a pas de mal à ça."
"Ça m’a soulagé de voir qu’il n’y avait pas que moi qui étais excitée."
"C’est vrai que je l’étais énormément."
"Tu sais, t’es le premier garçon à qui je me suis montrée."
"J’en suis flatté. Même si c’était pour une raison presque médicale."
"Et tu bandes encore depuis tout à l’heure?"
"Euh oui. Par moment ça se calme, mais ça finit toujours par revenir."
Candice marque un long moment de silence, tout en continuant de triturer mes doigts. Bien que ma soeur ait l’habitude de venir dans mes bras, pour discuter et trouver du réconfort, et parfois parler de sexe, je perçois qu’aujourd’hui tout est devenu différent.
"Tu sais, Pauline m’a souvent raconté qu’elle aimait te faire bander…"
"Ah… Elle te racontait ce genre de chose?"
"Oui. En réalité, elle me racontait quasiment tout. Tu ne m’en veux pas, hein?"
"Mais bien sur que non. Même si c’est un peu bizarre, je ne t’en veux pas. J’avoue que je trouve ça excitant de savoir que ma soeur et mon ex parlaient de ma bite entre elles."
"Moi j’adorai ça… Une fois, elle m’a raconté qu’elle s’était débrouillée pour que tu bandes pendant tout un film au cinéma. Tu t’en rappelles?"
Bien évidemment que je me souviens de ce jour. Dès que les lumières de la salle se sont éteintes, Pauline avait déboutonné mon pantalon et s’était mise à me masturber, tout en prenant soin de ne pas me faire éjaculer. Elle me caressait, puis quand elle jugeait que j’étais bien dur, elle arrêtait, tout en gardant ma queue dans la main.Et lorsque mon érection faiblissait, elle recommençait ses mouvements de poignet. Je peux vous dire qu’à la fin du film, je n’avais qu’une envie: m’isoler avec elle et la prendre sans plus attendre!
"Oh oui je me souviens… Et surtout je me rappelle qu’à peine sortis du ciné, elle a reçu un appel de sa mère qui avait besoin qu’elle rentre immédiatement. Et donc, elle m’a laissé en plan, excité comme un fou!"
Candice éclate de rire.
"Oh pauvre petit frère chéri! Et du coup, comment tu as fait?"
"Je suis rentré à la maison et avec un paquet de kleenex et la main que tu tiens actuellement, je me suis soulagé tout seul."
Surprise, ma soeur fixe ma main qui se trouve entre les siennes, et sans que je m’attende à cela, elle dépose un baiser délicat dans ma paume.
"Tu te masturbes toujours avec cette main?"
La question est plutôt directe. Décidément, cette conversation prend une drôle de tournure. Mais je me laisse porter par le flot des événements.
"Oui oui. C’est toujours avec la même main. Et toi? Tu dois bien te caresser aussi?"
"Bien sur. Quand je joue avec mon clito, c’est toujours avec la main gauche. Mais quand je caresse mes seins, ou que je glisse des doigts en moi, j’utilise les deux mains."
"Et avec les garçons?"
"Comment ça?"
"Et bien qu’as tu fait avec tes copains? Après tout Pauline t’as fait partager beaucoup de nos expériences, mais moi je ne sais pas grand chose sur ce que tu as vraiment fait. J’aimerai beaucoup savoir."
"Tu sais, comme je te l’ai dit tout à l’heure, je n’ai jamais montré mon sexe à personne, ni même le laisser toucher. J’ai juste fait des trucs avec Arnaud."
"Des trucs? Comme quoi?"
"Je l’ai pris dans ma main et dans ma bouche…" me confie-t-elle d’une petite voix. "Mais ce n’est arrivé que trois ou quatre fois. C’est tout. Et lui ne m’a rien fait. Je te le jure."
Parler de sexe aussi ouvertement avec ma soeur jumelle, après ce qu’il s’est passé plus tôt dans la journée, m’excite terriblement. Mon sexe a repris sa taille maximum. Et sous mon boxer, mon érection est clairement visible. Ce qui n’échappe pas à Candice. Tout en discutant, nous changeons de position. Allongés sur le côté, nous nous faisons face. Elle n’a qu’à baisser les yeux pour voir la forme de ma bite sous le tissus du boxer. Elle finit par me demander:
"Alex… s’il te plait, J’aimerai la voir."
Cette demande ne me surprend guère, tant cela semble découler logiquement de tout ce que nous vivons depuis ce matin. Je reconnais qu’au fond de moi j’espérais même qu’elle me le demande.
Je ne lui répond pas. J’avance simplement mon visage contre le sien. J’effleure ses lèvres avec les miennes. Une fois. Deux fois… La main de Candice vient se placer derrière ma nuque. Au troisième contact, nos lèvres s’écartent et nos langues se rejoignent. Ce baiser se prolonge. Pour notre grande satisfaction à tous les deux.
Lorsque je me redresse pour me placer à côté du lit, mon coeur bat la chamade. Il tape si fort dans ma poitrine que j’ai la sensation qu’il va s’en échapper.
Debout devant le lit, je baisse mon boxer. Mon sexe, tendu comme jamais, se dresse vers le haut, comme pour remercier les dieux d’être enfin libéré et d’avoir son rôle à jouer. Candice se positionne sur le bord du lit pour être au plus près de moi. Je la laisse examiner mon sexe autant qu’elle le désire. Je ne pense pas être particulièrement exhibitionniste, mais là, jadmets que je prend un réel plaisir de permettre à ma soeur jumelle de me regarder en érection.
Sans rien dire, elle l’enveloppe de sa main douce et chaude. Mon sexe coulisse plusieurs fois dans sa main avant qu’elle n’approche le visage, et que mon gland ne disparaisse entre ses lèvres.
J’ai l’impression de rêver: ma soeur jumelle est en train de me sucer!!! Je n’en reviens pas. J’ai peur de ne pas pouvoir me retenir trop longtemps, tant la situation m’excite. Avec de charmants petits grognements, elle fait coulisser ma queue dans sa bouche. Par moment, elle la fait entrer du gland jusqu’à la base. Je la contemple pendant que sa tête va d’avant en arrière, et qu’elle recouvre ma tige de salive. Lorsque ses yeux rencontrent enfin les miens, elle m’adresse un clin d’oeil complice. J’ai l’impression que tout mon corps est sous tension.
Quand elle fait sortir ma bite de sa bouche, c’est pour pouvoir la parcourir avec la langue. Sa main droite se pose délicatement sur mes testicules, tandis que la gauche complète l’action de sa bouche. Pour une fille qui prétend n’avoir sucé que trois ou quatre fois avant aujourd’hui, je la trouve sacrément douée. Bien plus que mes ex. Lorsque l’extrémité de sa langue titille mon gland et son orifice, je suis transporté dans un monde de plaisir.
Je lui caresse la joue, les cheveux. Ma main passe sur son cou, descend entre son peignoir et son dos. Je vais jouir. C’est trop bon. Depuis ce matin, je suis en état d’excitation permanente. Je ne peux me retenir plus longtemps. Par respect pour ma soeur je la préviens:
"Candice… Je vais jouir…"
"Jouis dans ma bouche, s’il te plait. je veux savoir ce que ça fait."
Aussitôt mon sexe disparait de nouveau dans la bouche de ma jumelle. Je vois bien qu’elle met tout son coeur. Cela me plaît. Cela me touche. Elle accélère. Je suis aux portes du Paradis. Et lorsqu’elle palpe une nouvelle fois mes couilles, je suis emporté par un orgasme extraordinaire. Le plaisir est si fort que mes jambes fléchissent.
Mon sperme jaillit dans la bouche de ma soeur, qui s’efforce de l’avaler au fur et à mesure qu’il s’écoule. Elle laisse échapper quelques petits « Hmmmm »
Candice poursuit sa délicieuse caresse buccale jusqu’à ce que la dernière goutte de ma semence soit extraite.
Quand elle a fini, elle retire ma bite de sa bouche, et s’essuie les lèvres sur la manche de son peignoir. Avec son visage enfantin, elle a l’air d’une petite fille qui vient de terminer un dessert qu’elle a adoré.
"C’était génial!"
C’est la seule chose que je trouve à dire en m’agenouillant devant elle.
"Moi aussi, j’ai adoré. Mais attends ce n’est pas fini…"
Candice ouvre son peignoir et le retire. Nous sommes à peu près dans la même position que lorsque je l’ai soigné. Elle est assise sur le bord du lit, moi sur le sol, juste devant elle. Mais à présent elle est nue. Totalement nue. Je parcours son corps du regard. Vraiment, je ne comprendrai jamais pourquoi elle complexe. Certes, elle n’est pas mince. Mais elle est loin d’être grosse non plus. Son corps est parfaitement proportionné. Elle me plaît. Terriblement. Je la désire. Oui, je la désire plus que tout.
Ses jambes sont encore serrées l’une contre l’autre, mais pour le moment je me régale de pouvoir admirer ses seins. Ces deux merveilleux globes de chair ronds, ornés de mamelons roses, aux tétons pointant vers le haut.
"T’as fini de regarder?"
Ma soeur me regarde avec un petit sourire moqueur. Bien qu’elle soit vierge, et moi expérimenté, j’ai l’impression qu’à cet instant les rôles sont inversés, et que je suis le plus déstabilisé des deux.
Je m’approche enfin d’elle. Je pose mes lèvres sur son sein gauche, et je palpe le droit. Avec gourmandise, j’entreprends de la sucer, la lécher, l’embrasser. Je me détecte de la fermeté de sa poitrine. Je me réjouis de ses soupirs.
Mon sexe s’éveille à nouveau.
Après avoir permis à nouveau à nos langues de s’entrelacer, le temps d’un baiser fougueux, je fais descendre ma bouche le long de son corps. Candice s’est allongée sur le dos, et ses jambes se sont écartées. Une nouvelle fois je suis en tête à tête avec sa vulve. Sur ses lèvres intimes, déjà bien humide, je peux constater que sa blessure a diminué. J’avance mon visage, et je fais courir ma langue sur son sillon rose. Ma soeur se cambre.
"Hummm… Continue!"
Oh oui je vais continuer! Pas question de m’arrêter en si bon chemin. Ma jumelle s’est légèrement redressée. Elle me regarde lui manger son joli petit abricot. Je veux lui donner tout le plaisir dont je suis capable. Je repense à tout ce que j’ai appris à faire avec mes anciennes partenaires et je m’applique à donner le meilleur à ma soeurette. Elle a d’ailleurs l’air de bien apprécier. Basculant parfois la tête en arrière, ouvrant la bouche pour chercher de l’air.
"Ooooh que c’est bon… C’est bon…"
Après quelques minutes de jeux de langue, son corps se tend. Ses mains agrippent la couette.
Elle jouit pour la première fois sous ma langue. Je pourrai la laisser savourer son orgasme, mais je préfère continuer à la lécher amoureusement. D’ailleurs elle n’a guère l’intention de me laisser m’éloigner de sa vulve. Ainsi, alors que je cherche à lui embrasser l’intérieur des cuisses, elle déplace son bassin pour replacer son sexe dans la trajectoire de ma bouche. Elle place également ses mains sur mon crâne, aussi bien pour éviter que je dévie, que pour accentuer la pression de ma bouche sur son intimité.
Mes lèvres virevoltent de bas en haut sur ses petites lèvres. Ma langue effleure son clitoris – auquel je réserve un traitement plus savoureux dans un moment. Je m’introduis dans sa chatte. Je butine ce fruit d’amour. J’en récolte le nectar, dont le parfum trouble intensément mes sens. Candice mouille abondamment, pour ma plus grande satisfaction. Son sexe est parfaitement lubrifié. Par instant, je recule ma bouche de quelques millimètres, et délicatement je souffle sur ses lèvres intimes, sur son clitoris, sur son anus serré… D’un souffle léger, pour attiser le feu qui lui consume les entrailles. Je sais que cela faisait beaucoup d’effet à Pauline. Je découvre que ma soeur n’est pas en reste. Elle n’est plus que soupirs et gémissements. Mes lèvres, ma langue, puis mes doigts sont autant de possibilités pour lui faire l’amour et lui donner du plaisir. Je veux que cette première fois lui laisse un souvenir impérissable.
Je replonge ma langue le plus profondément possible dans son entrejambe. Puis son clitoris devient mon centre d’intérêt numéro un. Du bout de la langue, je le caresse, je tourbillonne autour avant de la lécher plus intensément. Il ne faut que quelques caresses pour que les hanches de Candice s’associent à mon effort. Je la sent proche d’un nouvel orgasme. Je lui glisse alors mon index et mon majeur dans son vagin. Tout en lui suçant son bouton, je commence à la doigter. Ma soeur se cambre de plus en plus. Elle malaxe ses seins merveilleux. Les gémissements laissent place à des petits "Aah" qui me motivent encore plus, si besoin est. Mon bas de visage est maculé de cyprine.
Un coup d’oeil me permet de voir sa tête dodeliner de droite à gauche. Ses yeux sont fermés. Sa main droite sur un sein, la gauche sur ma tête. D’ailleurs sa pression sur mon crâne augmente, son bassin se plaque encore plus fort…
Elle jouit dans un râle qui se mêle à un rire nerveux. Cela dure quelques secondes. Un moment de plaisir intense pour ma désirable jumelle.
Son corps se relâche, et j’en profite pour m’allonger contre son corps. Elle saisit l’occasion pour m’embrasser avec passion.
"Wouah! C’était… J’avais jamais imaginé que ça puisse être aussi bon!" me confie-t-elle.
"J’avais tellement envie de te donner du plaisir…"
"Hummm c’est très réussi."
"Tu veux qu’on arrête là?"
"Non… non… continuons! J’ai trop envie de toi."
Je me place au dessus de Candice, qui écarte les jambes pour rendre la position plus confortable. Durant nos baisers tendres et nos éteintes, je sent mon gland se couvrir de cyprine à chaque contact avec son minou.
Je me redresse un peu pour attraper ma queue. Je caresse son clito quelques instants avec mon gland. Je le place devant son vagin, puis je plonge mon regard dans celui de Candice. Nous ne nous parlons pas, mais je perçois son émotion dans son regard. Je l’embrasse encore. Lentement, je pousse jusqu’à ce que l’extrémité de mon sexe disparaisse entre les parois humides de son vagin. Ma jumelle grogne doucement. Je fais entrer et sortir ma bite. À chaque coup de rein, je m’introduis un peu plus profondément.
Je perçois le franchissement de son hymen, son corps qui se crispe, ses yeux qui brillent. J’accélère mes va-et-viens. Le plaisir remplace la gène. Ma soeur finit par s’abandonner totalement aux douces sensations de l’amour physique.
Coup par coup, poussée par poussée, j’enfonce ma queue jusqu’à la garde dans son vagin étroit et abondamment lubrifié. Je n’avais jamais pensé qu’une fille puisse mouiller autant.
Je veux profiter du spectacle de son corps, je veux voir ma bite entrer en elle et ressortir, luisante de son jus. Je change donc de position, mais je reste bien face à elle pour la contempler. Ma soeur jumelle est si belle lorsque ses seins sont gonflés de désir, quand sa peau se couvre d’une mince pellicule de sueur, quand son visage rosit de plaisir.
"Hmm… Hmm … Han…"
Son halètement et ses gémissements sont autant d’encouragements. À présent, chaque poussée de ma queue dans son fourreau est ponctuée d’un petit cri de plaisir. Ses mains se promènent sur mon torse, mes épaules; agrippent mes hanches.
"Tu es trop belle!"
"Oh continue… continue… Je t’aime petit frère."
Entre deux assauts passionnés, je fais sortir mon sexe pour le réintroduire. De plus en plus fort.
Je me met à genoux, puis je soulève le bassin de ma Candice. Seules ses épaules et sa tête sont en contact avec le lit. Je la prend avec force. Ses seins rebondissent follement au rythme de mes coups de rein. Son visage affiche un masque d’extase totale. Ma soeur me regarde droit dans les yeux, mais je ne sais pas si elle me voit vraiment.
Je pilonne sa jolie petite chatte. Je lui fais l’amour avec une passion dont j’ignorais l’existence. Elle accompagne mon étreinte en titillant fougueusement son clitoris.
Lorsqu’elle entoure ma taille de ses jambes, que son dos s’arque, et que ses muscles se contractent, elle cesse de respirer et laisse échapper une longue vocalise, quasi bestiale.
Puisque ma soeur a joui, je peux me libérer à mon tour. Je sais qu’elle prend la pilule, je n’ai donc aucune crainte à avoir lorsque mon sperme gicle en elle. Mon plaisir est intense. J’ai l’impression que tout ce qui me reste d’énergie, s’écoule avec ma semence.
Allongés dans les bras l’un de l’autre, nous prenons le temps de récupérer. Je me sent heureux et détendu comme jamais. Candice est la première à parler:
"Je ne sais pas si ce qu’on vient de faire est très moral, mais putain qu’est ce que c’était bon!"
J’éclate de rire. Un rire aussitôt étouffé par les baisers de ma soeur. Je me laisse faire avec plaisir, et quand elle est rassasiée, j’approche ma bouche de son oreille, et dans un murmure je lui dis:
"J’espère que les prochaines fois seront aussi belles…"
Le bonheur de ma jumelle se lit dans ses yeux.
"C’est vrai? Tu veux bien qu’on le refasse?"
"Aussi souvent que tu voudras, ma chérie."
"Alors promet moi que nous le ferons tous les jours de notre vie. Quoiqu’il arrive!"
"Je te le promet."