Dans l’émotion du moment, Alice ouvre sa bouche, fixant son Maître. Elle reçoit ce sperme tel le plus précieux joyau. Elle se délecte de ce foutre qui coule dans sa gorge. Paul est, cette fois, plus convaincu que jamais, Alice sera sa soumise.
Dans la cuisine, un peu plus tard, Alice dévore sa gamelle de boulettes pour chien. Sans ne jamais s’aider de ses mains, elle présente une gamelle propre à son Maître en la tenant entre ses dents. Il peut vérifier la propreté. Pendant qu’il termine son steak, il ordonne qu’elle lui suce ses orteils. Plus soumise que jamais, Alice se fait un devoir jouissif d’obéir. Elle donne même le meilleur de son être. Orteil après orteil, elle finit par prendre l’ensemble de la pointe du pied dans sa bouche. Elle se garde bien à ce que ses dents touchent le Maître. Pour elle, ce serait commettre l’impensable, l’impardonnable. Plus que satisfait, Paul l’arrête, dépose sa vaisselle sur l’évier. Ordre est donné à Alice de la faire. Pendant qu’elle lave les couverts utilisés par Paul. Ce dernier vient d’enfiler un gant de latex à sa main droite. Largement couverte d’un bon lubrifiant, il penche Alice et commence à lui enfoncer cette main dans son anus.
Alice n’oppose aucune résistance, elle sait déjà qu’elle va jouir. Très vite, la main s’évanouit dans ce cul. Il referme son poing, le fait aller d’avant en arrière, le faisant aussi tourner. Alice se cramponne à l’évier, ce qui lui arrive est plus fort que tout ce qu’elle a déjà vécu. Elle mouille, Paul voit cette cyprine couler en abondance sur l’intérieur des cuisses d’Alice. Sans gant, la main gauche s’enfonce lentement dans le vagin. Paul prend plaisir à offrir cette récompense à Alice. Alice est au bord de l’extase, son souffle est saccadé, court et puissant à la fois. Elle se saisit de cette spatule en bois, s’en frappe violemment ses seins à plusieurs reprises avant de hurler longuement son plaisir qui la terrasse. Paul fait des efforts monstres pour obliger Alice à rester debout. Il continue à pourfendre l’anus et le vagin de sa soumise avec ses mains. Alice jouit encore et peu après, encore une fois.
Il retire ses mains, il a tout juste le temps d’attraper Alice qui s’effondre, vidée de toute énergie. Il l’emporte et la dépose dans son lit. Il la borde, l’embrasse pour mieux la laisser se reposer.
Dans un coin de la cuisine, Paul remplit ses cahiers. Il note tout, jamais aucun détail n’est oublié. Il se rend compte que le programme qu’il avait établi est déjà à son terme. Même qu’il s’aperçoit qu’il a été au-delà de son programme. Il regarde en direction de la chambre, il voit la main d’Alice pendre du lit. Il va voir, elle dort profondément, il sourit et revient penser à une suite. Il se souvient alors, il voulait qu’elle connaisse les moindres recoins de ce lieu. Il décide que pour la fin du stage, Alice sera aveuglée par un bandeau.
Quand Alice se réveille, elle trouve un mot et un bandeau. Le mot indique comment mettre le bandeau et, précision utile, elle a interdiction de le retirer sous aucun prétexte. Assise sur le bord du lit, elle place le bandeau sur ses yeux, s’assure qu’elle ne peut rien voir d’autre que la nuit. Debout, elle se guide au bruit de la respiration de son Maître. Près de Paul, ce dernier s’assure qu’elle ne peut rien voir. Satisfait, il lui ordonne de rejoindre le donjon et de l’attendre. Comptant ses pas, Alice s’y rend sans aucune difficulté. Debout en son centre, elle patiente, ses mains dans le dos.
Paul arrive, dispose une bonne vingtaine de punaises sur la plaque métallique du fauteuil inquisition. Il y branche un appareil en vérifiant que ce dernier est bien éteint.
Alice, va t’asseoir sur la chaise, le dos et les reins bien contre le dossier. Avant de t’asseoir, tu mettras tes mains sur ta tête.
Alice s’exécute sans discuter. Les mains sur les accoudoirs, elle appuie bien son dos contre le dossier, ensuite, elle place ses mains sur sa tête et s’assoit presque brutalement. Elle esquisse à peine une vilaine grimace quand les pointes pénètrent sa chair. Paul la regarde, satisfait du comportement de sa soumise.
Près d’elle, il sangle ses avant-bras, ses poignets aux accoudoirs. Il fait de même avec les mollets et les chevilles. Dans sa main, il allume l’appareil et se recule un peu, afin d’avoir une complète vision d’Alice.
Bien, maintenant, je vais te poser des questions. Elles n’ont pour réponse que oui ou non. Seule ta tête devra me répondre. J’exige que tu réfléchisses bien avant de me répondre. C’est clair ?
Alice agite positivement sa tête.
Bien, première question. Aimes-tu me servir ?
La réponse est directe, sans appel, c’est un oui bien marqué de la tête.
M’aimes-tu ?
Même réponse et sans prendre le temps de la réflexion.
Veux-tu me servir pour toujours ?
C’est encore un oui sans appel. Plus Paul pose ses questions, plus il s’aperçoit qu’Alice est prête à tout pour lui être le plus agréable possible. Il règle son appareil, Alice se prend de petites décharges dans le corps. C’est à peine si elle remue sur la chaise. C’est à peine si elle esquisse une grimace. C’est à peine si elle pousse un soupir. Paul continue de la questionner.
Attention, cette question est une demande particulière. Je ne veux t’obliger à rien. Alors, écoute bien ! Me permets-tu de te faire porter des anneaux aux endroits que je jugerais bons ?
Là encore, Alice répond par l’affirmative. Il pousse le courant électrique un peu plus. Alice n’est pas continuellement électrocutée, c’est tout par moments. Paul sait bien manipuler cet appareil.
Question suivante. Me permets-tu de faire apposer ma marque sur ton corps, à l’endroit que je choisirais et de la manière qu’il me plaira ? Attention, si je te marque, cela sera de manière définitive, que ce soit au fer rouge ou le tatouage.
Alice répond encore de manière affirmative. Elle ne prend pas ce temps que lui accorde son Maître. Pour Paul, cette femme vaut plus que toutes les soumises et soumis qu’il connaît et entreprend.
Avant dernière question, cela fait plus d’un an qu’on se connaît. Cela fait trois mois que tu veux connaître les affres de la soumission, est-ce que cela te plaît ?
Alice n’a aucune autre réponse que l’affirmative. Paul augmente encore la puissance. Cette fois, surprise plus qu’autre chose, Alice laisse échapper un petit cri.
Maintenant, ma toute dernière question. Comme je viens de te le dire, cela fait même plus qu’un an qu’on se connaît, toi et moi. Cela fait trois mois que je connais tes envies, tes fantasmes. Veux-tu être ma salope, ma chienne, ma soumise, mon esclave et enfin, ma femme, ne plus exister que pour moi, perdre toute liberté non autorisée ?
Là, Alice n’agite pas la tête. En même temps qu’une onde électrique envahit son corps, elle hurle un oui si fort que Paul est déboussolé l’espace d’un instant. Il arrête immédiatement le courant. Il délivre les jambes d’Alice, soulève son bassin et retire la plaque de métal et les punaises. Assise, elle sent ses jambes soulevées, posées sur ses mains. Puis, ce qu’elle sent est merveilleux, elle n’a pas les mots pour décrire ce que cette langue lui procure à tout son corps. Paul s’est agenouillé et la lèche de sa langue. Il va-et-vient entre l’anus et le sexe d’Alice. D’une main, il parvient même à caresser les seins de sa soumise. De l’autre, il défait les dernières sangles. Il la couche sur le sol, lèche ce corps, enfonce son sexe dans celui d’Alice qui n’en demandait pas tant. Très vite, elle jouit une première fois. Couchée sur le côté, elle sent ce pénis l’envahir. Dans un râle de bonheur, elle hurle une fois de plus tout l’amour qu’elle porte à son Maître.
D’une main, il dépose un tout petit martinet de poche dans le creux de la main d’Alice. Cette dernière, prise des soubresauts d’un orgasme, se flagelle et jouit peu après quelques coups. Elle ne s’arrête pas pour autant. Maintenant enculée, elle continue de se flageller ses seins, son pubis avec des coups méchants. Les lanières mordent parfois cruellement le corps d’Alice. Un nouvel orgasme s’empare de son corps, le foutre de son Maître coule dans son cul par jets successifs. Paul reste couché contre Alice, retenant sa main.
Dis-moi, ma petite salope. Si je venais à te donner à d’autres ou en spectacle durant lequel, tu te punirais, comment voudrais-tu leur être présentée ?
Nue, les yeux bandés si je dois être baisée par d’autres. Vêtue d’une robe légère que je déchirerais si je devais me punir devant vos amis. Il n’est plus rien que vous ne puissiez me demander sans que je ne n’ose vous le refuser. Tout vous est permis, Maître Paul. Désormais, et vous le savez mieux que personne, je suis entièrement votre jouet, même pour passer vos nerfs sur moi.
Paul n’a pas de mot face à cette réponse aussi déterminée. Il se retire du cul d’Alice. Elle se retourne, s’empare de cette bite bien maculée et la lèche, la suce, relevant sa croupe. Puis, dans un sursaut de bonheur, Paul exige d’Alice qu’elle quitte son travail, son appartement. Il va plus loin encore, il exige qu’elle vende tout ce qui lui appartient sauf ce qui pourrait servir à la punir. Elle accepte toutes les exigences, ajoutant même qu’elle va faire don de ses vêtements à une uvre caritative une fois démunie de tout le reste. Alice donne même une date qui se situe dans le mois suivant.
Paul attache une laisse à sa soumise. Il l’oblige à le suivre à quatre pattes. Elle découvre qu’ils vont sortir au grand jour. À peine la porte d’entrée ouverte, elle sent déjà la chaleur du soleil sur son corps. Suivant son Maître, elle sent l’herbe d’un gazon bien entretenu sous ses mains. Maintenant, elle sent l’ombre d’un grand arbre sur son dos.
Désormais, c’est ici que tu viendras faire tes besoins. Que cela soit uriner ou déféquer, tu le feras ici. Si je dois laver la soumise, cela se passera dans la salle de bain, pour la chienne, ici. Il ne te reste qu’une dernière épreuve à passer, tu vas la passer ici, ne bouge pas !
Il accroche la laisse à l’arbre et s’éloigne. Quand il revient, Alice devine que son Maître n’est pas seul. Un souffle envahit ses fesses, une langue longue et mouillée parcourt son sillon.
C’est Mickey, mon chien, il va te baiser. Si tu ne veux pas, pose ton cul sur le sol, il comprendra et retournera dans sa cage.
Alice ne bronche pas. Paul peut lire cette appréhension sur ce visage alors que le chien continue à renifler ce corps soumis. Puis, il se met à lécher l’entrejambe d’Alice qui ressent vite les bienfaits de cette langue en son corps tout entier. Quand le chien grimpe de ses pattes avant sur le dos d’Alice, elle a un petit frisson qui s’étale sur tout son corps. Le chien cherche à la pénétrer. Alice, d’une main, guide le sexe du chien dans le sien. Très vite, le chien va-et-vient avec de puissants coups de reins. Alice est submergée par une onde de plaisir qui la dévaste au moment où le molosse jouit en elle. Le chien arrête de s’agiter, il lèche le dos et la nuque d’Alice.
Alice, t’es pire que je ne me l’imaginais.
Si Monsieur le désire, qu’il fasse de moi sa catin, la pire qui soit.
J’aviserai en temps utile.
Le chien se dégage d’Alice. Épuisée par cette journée, ces nombreux orgasmes, elle se couche sur le sol. Le chien vient s’allonger près d’elle, léchant ses seins. Paul ne laisse guère de repos à Alice.
Debout, Mickey, et toi, suce-le.
Maître !!!
Un coup de cravache sur la croupe d’Alice la ramène à son état d’esclave. Paul guide la main d’Alice sur les testicules du chien. Alors qu’elle commence à masser les couilles du chien, elle approche lentement sa bouche du sexe de Mickey. Un sentiment de dégoût s’empare alors d’elle. Elle le combat de tout son corps. Le Maître a ordonné, elle doit obéir. Sa langue lèche ce sexe qui sort lentement de sa cachette. Mickey a sorti sa langue, il halète déjà. Puis, Alice suce ce sexe, le dégoût disparaît vite. Entre ses fesses, elle sent le pénis de son Maître presser sur ses sphincters. Elle cambre son dos pour lui offrir une meilleure prise. Cette bite s’enfonce en son fondement. Paul jubile, il a fait de cette femme, de cette novice, sa chienne en plus de son esclave dévouée corps et âme. Quand Mickey jouit, elle retourne la tête vers son Maître et lui montre qu’elle avale. Le chien se couche, se lèche ses parties. Alice recommence, le chien se laisse faire. Le chien s’épuise vite.
Paul le renvoie à sa niche.
Dans la maison, Paul envoie Alice se doucher, il ne lui donne aucune autre instruction. Sous la douche, Alice en profite pour se souvenir de ce temps pas si lointain encore où elle n’était qu’une jouvencelle, sa rencontre avec Paul, leurs très longues et interminables discussions, sa première vidéo SM, ses plaisirs solitaires et enfin, cette demande qu’elle ne regrette pas. Paul l’entend jouir longuement, il sourit en se souvenant comment tout ça a commencé. Quand elle arrive, elle serre son poing, ne laissant que son auriculaire relevé. Paul comprend qu’elle demande la parole et la lui accorde.
Maître, si j’ai joui, c’est parce que je me suis souvenue de qui j’étais avant notre première rencontre et ce que je suis devenue depuis. Sachez que je n’ai aucun regret et encore moins celui de vous aimer de tout mon cur, de toute mon âme et de tout mon corps. Maître, faites de moi ce que bon vous semble sans ne plus jamais me demander mon avis. Après tout, je ne suis que votre salope et votre esclave.
J’ai décidé de mettre fin à ton stage. Demain, je t’emmène chez mon tatoueur. Il te posera des anneaux et te marquera de mon empreinte.
Merci, Monsieur, je vous en suis très reconnaissante.
Dans la nuit qui s’installe, il l’emporte dans sa chambre, la baise encore avant de se blottir contre elle et de la couvrir de baisers.
À suivre si ça plaît.