Allongée sur le dos cette petite femelle de Géraldine sentait un souffle chaud lui donner des frissons au creux des cuisses…
Venue pour boire un café chez son ami Germain, il y a quelque temps, elle n’avait pas voulu, ou su aller, jusqu’au bout de la satisfaction de sa sexualité de petite salope.
La séance avait pourtant bien commencé, avec roulage de pelle et paluchage en règle…Elle s’était vite retrouvée en train de masturber une queue assez longue, mais moins grosse que celle de son amant habituel, puis dépoitraillée et soufflante elle avait sentie des mains lui descendre son jean, lui ôter le string qu’elle avait enfilé pour l’occasion et sa chatte avait été investie par une bouche venue se poser dessus pour commencer à bien la sucer, lui tirer le clito pour le faire gonfler…elle était dans un état second et pensait en même temps à cette autre bouche qui la faisait jouir et mouiller comme une petite baiseuse.
Sa tête ne se libérait pas encore bien pour qu’elle accepte de se conduire en salope qui va se faire sauter, pour jouir du sexe d’un autre, tout en pensant à un salaud qui viendrait ensuite lui bourrer le ventre en lui enfonçant sa grosse bite dans la chatte.
Le temps faisant son travail elle envisageait mieux la suite des évènements pour aujourd’hui, d’autant qu’elle savait que son amant était d’accord pour qu’elle assouvisse sa sexualité, qui devenait exigeante, impérieuse, depuis qu’il lui avait libéré la chatte, la bouche, les seins…Elle devenait de plus en plus demandeuse de sexe et les mecs le sentaient bien, puisqu’elle se faisait brancher assez souvent par des types qui lui proposaient carrément de la sauter…c’était nouveau pour elle et ça lui mettait assez souvent le feu au ventre, avec l’envie de sentir une bite venir s’enfoncer dans ses chairs pour la faire gueuler de plaisir.
Germain avait commencé par lui palucher les seins en la complimentant sur leur taille et sur ses pointes, qui étaient maintenant presque toujours en érection ; puis il avait ouvert son jean et sorti un membre imposant qu’elle avait prit d’une main, pour commencer à le branler, pendant que de l’autre elle ouvrait ses vêtements pour ne pas perdre du temps et surtout ne pas avoir envie de reculer…la queue vibrait doucement, en suintant, et Germain se laissait faire tout en suçant les pointes des nichons de Géraldine qui sentait progressivement son ventre devenir lourd. Il avait descendu une main à l’intérieur du string et avait saisi le clitoris pour commencer un léger gamahuchage qui la fit frissonner, en lui donnant envie que ces doigts là aillent plus loin.
Ses vêtements à terre elle s’était laissée aller sur un canapé et Germain se mettant à genoux avait commencé à sucer les lèvres de son sexe qui maintenant coulait pour de bon. Les cuisses écartées elle ne se reconnaissait plus, elle, la petite Géraldine, qui, il y a un an ne suçait personne et branlait encore moins…là elle était prête à se faire saillir pour le rut, la baise…elle allait jouir…elle le savait, elle le sentait, même s’il lui restait encore un peu de conscience de son époque d’avant.
Maintenant elle gémissait, en regardant cette tête entre ses cuisses, qui allait et venait en la faisant gémir. Germain s’étonna de la pilosité soyeuse de cette chatte bien bombée, qui était un fait rare aujourd’hui, mais elle lui dit que son amant aimait ça et que donc il fallait qu’il fasse avec. Ce qu’il s’empressa d’accepter, trop content d’être entre les cuisses de cette belle petite salope qui se faisait reluire en parfaite femelle qui assume ses envies de sexe.
Replongeant, il enfouit son visage entre les lèvres trempées de cette vulve et se mit à mordiller le clitoris qui était devenu gros et saillant ; Géraldine était sur un nuage, sa gêne du début faisait place à une sourde excitation bien salace, bien salope, qui la mettait dans un état bizarre…elle jouissait maintenant. Doucement le plaisir montait de ses reins pour lui exciter les nichons, elle se sentait salope, pute, en pensant à JP, à qui elle avait dit à quelle heure elle irait voir son collègue. Il devait se branler en ce moment, tout en gardant dans ses couilles du foutre lourd et gras qui viendrait lui tapisser les muqueuses quand il la reprendrait pour la refaire sienne.
Remontant doucement Germain venait de se positionner, la queue devant la chatte coulante et trempée de Géraldine qui n’en pouvait plus d’envie. Rapidement il avait enfilé un préservatif… Il fallait qu’il lui mette son membre dans le ventre, qu’il l’ouvre en s’introduisant dans cette gaine chaude avide de baise…elle en mourait d’envie. Jouir, elle sentait qu’elle allait jouir avec cette queutasse, elle devinait qu’elle allait sentir sa tête exploser au moment où le gland allait lui investir le ventre. Une nouvelle bite se préparait à la pénétrer…nouvelle sensation, nouveau plaisir de femelle qui passe d’une queue à l’autre, sans complexe, sans gêne ni honte, maintenant qu’elle sait qu’elle n’est salope que quand elle baise. Après elle redevient mademoiselle…Mais pour l’instant, mademoiselle est écartelée sous un mec qui vient de poser le bout de sa verge sur sa motte et commence à pousser… : – Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salaud, c’est bon, pousse doucement que je le sente bien rentrer, bien s’enfoncer dans mon ventre…ouiiiiiiiii, ooooooh, vas yyyyyyyyyyyyyyyy, vas yyyyyyyyyyyyyyyy, lààààààààààààà, aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh, ça y est, tu es au fond, pousse, pousse, encore, plus loin, plus loiiiiiiiiiiiiiiin……oh que je suis salope, oh ouiiiiiiiiii que c’est bon…je prends une autre queue et en plus je jouis….je suis salope, j’aime ça, j’aime la baise…j’aime me faire rentrer dedans…Ouiiiiiiiiiiii, oooooooooh que c’est salaud. Oui c’est salaud de se faire prendre, comme une adultérine femelle, alors que je ne suis pas mariée. Mais c’est la même situation, j’ai un amant qui me prend comme un sauvage et qui sait que, en ce moment je suis en train de jouir sous la bite d’un autre…c’est salaud et lubrique comme tout comme sensation…je n’aurais jamais imaginé que ça me fasse jouir autant.
D’un coup, Germain s’était reculé, pour de nouveau s’enfoncer dans cette chatte trempée et coulante ; sa bite glissait et glissait pour venir buter au fond de cette matrice qui semblait l’aspirer, puis ressortait dans un mouvement de piston…ses mains avaient cramponné les hanches rondes et sensuelles de la belle salope, qui maintenant gémissait en continu, laissant filer sa jouissance en se mettant, elle aussi, à donner des coups de reins de plus en plus violents qui étonnèrent son partenaire. Il devait penser que la petite Géraldine était encore la demoiselle d’avant…oui… sauf qu’elle avait fait du chemin et que maintenant elle se prenait de la queue, bien salope, bien grosse, bien juteuse et qu’elle allait même à l’hôtel se faire sauter…s’il savait, qu’en plus, elle avait un copain électrique…alors là…
Soufflant comme un phoque le Germain limait à se faire péter les artères, amplifiant ses coups de bite pour bien écraser la motte de Géraldine qui recommençait à gémiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiii gémiiiiiiiiiiiiiiiiir que c’est bon la baise, que c’est bon la bite, que ça fait jouiiiiiiiiiiiiir…en râlant elle se recula pour faire sortir cette queue de son ventre et se mit en levrette à fin d’inciter Germain à venir la posséder par derrière…en un seul coup tant elle était trempée, coulante, la queue venait de l’embrocher à nouveau lui faisant pousser un vrai cri de bonheur…putain que c’était bon !!! Dans cette position la bite lui rentrait encore plus au fond, les couilles lui tapaient sur les cuisses et avec ses mains Germain lui pognait les nibards dont les pointes durcissaient encore plus, au point de presque lui faire mal.
Puis, la prenant bien aux hanches il se mit à pistonner comme un malade, défonçant cette croupe de baiseuse qui en voulait davantage, lui serrant la croupe, puis avec une main écartant ses fesses pour commencer à lui travailler l’anus. A cette caresse Géraldine ne pu plus se retenir et se mit à crier son bonheur, sentant sa respiration lui manquer…son ventre était plein, son cul était en train de se dilater, ses fesses se faisait pilonner…elle jouissait, jouissait, jouissait, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, je jouiiiiis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, âââââââââââââââahhhhhhhhhhh.
Elle venait de s’effondrer sur le canapé entrainant son baiseur dans sa chute…surprit il ne pu se retenir davantage laissant un orgasme ravageur lui vider les couilles, le faisant crier dans les oreilles de la salope qui reprenait doucement ses esprits…Géraldine était fière d’elle. Elle avait épuisé un mec, s’était faite prendre comme une reine, avait jouiiiiii, jouiiiiiii, jouiiiiiiiii et encore et encore. Elle sentait dans son ventre les dernières vibrations de la queue de Germain qui finissait de se vider dans le préservatif…il soufflait comme un malade…repus de stupre, épaté, étonné par la performance de Géraldine…laquelle lui disait : ? bon, maintenant faut que j’y aille, car j’en ai un qui m’attend à la maison pour me faire ma fête…et crois moi, je vais encore m’en prendre une bonne, grosse, raide, pleine de jus et là je vais me faire remplir, remplir, remplir…je vais le vider ce salaud crapuleux, en lui racontant comment je me suis envoyée en l’air avec la queue d’un autre, comment je me suis faite défoncer, comment j’ai jouis et comment je recommencerai à la première occasion.