Mon amie aime bien quand nous faisons l’amour que je la prenne avec mon gode double. J’aime bien cette sensation de la dominer, alors que j’en profite autant qu’elle. Elle jouit avec la bite de devant que je lui mets là où elle aime : dans le vagin. Moi aussi j’en profite avec la partie réservée à l’utilisatrice dans le même trou. C’est remarquable l’effet que je lui fais.
Après avoir épuisés les 69, nous finissons toujours avec ce gode que j’aime bien. Si par hasard joublie, elle sait me le rappeler. Pour elle c’est comme un digestif : il le lui faut à la fin du repas.
Pour le lui mettre, je le serre contre moi avec une sangle, Je fixe le double gode dont une partie est réservée à l’amante, plus long que l’autre qui m’est destiné. Je commence par le lui mettre juste à l’entrée de l’endroit choisi par elle. La plus part du temps elle aime bien la sodomie. C’est elle qui enduit son rectum de cyprine. Presque toujours elle en profite pour se caresser un peu. Elle sait que j’aime la voir se branler, elle en profite, comme moi de la regarder. Quand elle est bien en levrette, elle me donne ses fesses que je caresse comme celles d’un enfant. Bien sur ma main dévie souvent vers son petit trou (pas si petit que ça depuis le temps que je l’encule) Je le lui branle un peu en faisant aller et venir d’abord un doigt puis plusieurs. Quand souvent :
Mets moi la au cul.
Tu as le temps.
Non ça presse.
Ça presse autant pour elle que pour moi, sauf que je sais me retenir. J’installe lembout qui m’est destiné en le mettant juste dans mes lèvres devant mon con. Quand je viens devant son cul, je force à peine pour l’enculer : en même temps je me baise aussi.
Entre ses mouvements et les miens, nous atteignons vite le nirvana. Je fais partie des femmes qui continuent à baiser même pendant la jouissance. Elle non, si je continue ma sodomie, elle se plaint un peu.
Après lorgasme nous sommes en fin de course ; la baise qui dure souvent depuis plus de 3 heures nous a épuisées. Nous nous retrouvons sur le dos, cote à cote, seules nos langues marchent encore dans la bouche de l’autre.
C’était bon, non ,
Drôlement, j’aime quand tu m’encules.
J’aime aussi te le faire, puisque moi je jouis du con.
Il faut dire que je suis une femme mariée, bien mariée à un homme très sensuel avec qui je baise au moins un fois par jour. Quelques fois il est absent. J’en profite pour vivre nue dans la maison, somme nous vivons tous les jours. J’en profite pour me branler souvent. Je me sers ainsi souvent du gode personnel que mon époux m’a offert pour la Saint Valentin.
Une fois j’ouvre la porte à une voisine, sans me souvenir de ma nudité. Elle me regarde étonnée, surtout quand je la fais entrer. Elle regarde ma foufoune rasée et mes seins. Ce n’est qu’à ce moment là que je prend conscience de ma nudité. Je lui demande de m’excuser pour aller vêtir au moins un peignoir.
Ce serait dommage, vous êtes charmante ainsi.
Dans ce cas, je reste comme je suis, à condition que vous soyez aussi nue que moi ; je vous envie depuis que je vous ai vu la première fois.
Vous voulez dire que vous aimeriez me baiser ?
Oui.
Je ne pouvais pas faire autrement que lui dire la vérité: même mon mari le savait.
C’est en fin d’après midi que nous nous sommes embrassées pour la première fois. J’ai encore le goût de sa salive dans mes souvenirs. Bien plus tard nous nous sommes retrouvées en 69 : position préférée des filles entre elles. Elle n’en était pas à sa première fille, comme moi. Nous avons baisé formidablement bien pour la première fois. Les suivantes ont eu lieu plusieurs jours après. Depuis il est rare que nous évitions de nous aimer longuement, sauf aujourd’hui où profitant encore de l’absence de mon mari je peux prendre mon temps. J’ai acheté ce gode particulier la quatrième fois que nous nous faisions l’amour. Nous l’avons aimé aussitôt.
Un soir, j’ai dit à mon mari que je faisait souvent l’amour avec la voisine. Il s’en doutait un peu. Nous avons baisé plus que les autre fois : je ne compte même pas les orgasmes qu’il ma donné et le nombre de fois qu’il a éjaculé. Quand je lui ai montré le gode, il a voulu voir comme ça marchait. Je me suis arnachée, j’ai entré ma partie dans mon ventre : je restais avec l’autre partie dehors. Je lui ai proposé de l’enculer, que ma maîtresse aimait bien cette façon de faire : comme moi de le lui faire.
Sans rien dire il s’est mis en levrette en disant simplement :
Encules moi.
Tu la veux profond ?
Comme je te fais.
Donc à fond.
J’ai bien mouillé son anus : il bandais encore fortement.
Tu te branles ou je le fais,
Branles moi, toi.
Je dois tout faire ici !
J’ai mis le bout du gode juste sur son cul. Avec ses mains il écartait ses fesses. J’avais enfin le dessus sur lui, c’était à moi de jouer au mâle, j’étais la directrice de son plaisir. J’ignorais quel effet il pouvait avoir avec cette bite au cul.
D’un coup sec j’ai entré le gode en me baissant à la fois. Aussitôt j’ai pris sa queue dans ma main pour le masturber. Je faisait avec ma main la même cadence qu’avait la bite dans son cul. Je l’entendais gémir, comme une fille pendant la durer de la sodomie. J’arrêtais même de le branler, seul la bite dans son fondement allait et venait.
Sans que je m’y attendre d’un seul coup j’ai sentais qu’il jouissait. Rien que de sentir cette réaction normale j’en jouissais aussi. Je mes suis écroulée sur lui, la bite encore dans son ventre. Il avait déchargé sur le drap. Je ne sais pourquoi il s’est mit à lécher son sperme, alors que normalement c’était à moi de le faire. Il y a longtemps que j’aurai pu l’enculer avec mon gode « normal » : il ne me l’avais jamais demandé.
Je sais maintenant que la sodomie est à double effet ; j’aime quand il m’encule, il aime que je le lui fasse. Tant mieux, nous devenons aussi libertins l’un que l’autre : certainement que je lui prêterais mon amante.