Attention cette histoire est une pure fiction. Les faits et les personnages, ainsi que leurs noms, ci-dessous ont tous été inventés de même que certaines situations au demeurant surréalistes correspondant à des fantasmes populaires.
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Bonjour, moi cest Lisa Zwarosky. Quand je vois doù je viens, ce que je suis devenu et surtout ce que jai fait pour y arriver . Et bien je nai pas honte. Jai pris ma petite revanche sur la vie et je dis merde à ceux que ça dérange.
Tout dabord il faut placer le contexte. Issue dun milieu modeste, dorigine polonaise, pour une raison que jignore encore aujourdhui, mon père sest barré de la maison jétais gamine. Déjà ça commence mal. Ensuite ma mère, 2 ans plus tard, dépourvue de ressources, a perdu ma garde et jai été confié à la DDASS. Encore une bonne nouvelle. Ce qui fait que je me suis retrouvé Ballottée de famille daccueil en famille daccueil.
Au niveau garçon quand jai perdu ma virginité, le mec ma fait le coup du magicien : « on baise et tu disparais ». Ceux qui ont suivi nont pas été mieux car ils me jetaient comme un vieux kleenex. Bref, Rémi sans famille au féminin, cétait moi.
Scolairement jétais juste moyenne, limite médiocre. Je passais chaque classe de justesse même si jai redoublée plusieurs fois. Au lycée, javais une amie, Jessica, aussi brillante que moi à lécole (autant dire aussi médiocre toutes les 2). Quand je suis rentrée en seconde, elle avait été désignée pour être une sorte de marraine pour moi. Vu ma situation, le proviseur avait jugé que ce serait une bonne chose étant donné quelle sen sortait en étant dans une situation similaire à la mienne. On avait sympathisé et elle mavait raconté son parcours qui était aussi chaotique que le mien. Elle mavait coaché pour ne plus me faire manipuler par qui que ce soit et mavait donné de lassurance. Certains diraient que jétais devenue une vraie garce. Moi je dirais une femme indépendante qui sait ce quelle veut.
Constamment je la voyais obtenir presque tout ce quelle voulait. Elle navait peur de rien. Je savais quelle avait ses "petites affaires" louches au sein même du lycée mais je ne voulais pas y participer. Pour me faire de largent de poche je faisais des baby-sitting. Ça ne faisait pas grand-chose mais cétait déjà ça. Pour ne pas être inquiétée je savais qu’elle était liée avec des pions et avait même passé un accord avec le proviseur.Lequel me direz-vous ? Et bien cest simple. Elle le suçait une fois par semaine dans son bureau pour être tranquille. Ce vieux briscard avait bien compris lavantage quil pouvait en tirer.
Utiliser mon cul pour me faire de largent javoue y avoir pensé mais je ne voulais pas le faire comme ça et surtout pas avec le proviseur. Cest lors dun baby-sitting que jai fini par sauter le pas. Je gardais un petit garçon de 5 ans, chez lui et tout allait bien. Quand les parents sont revenus dune soirée, après mavoir payé, le père me proposa de me raccompagner chez moi. Cest durant le trajet quil sarrêta dans un petit chemin.
— Pourquoi on sarrête ?
— Pour mieux faire connaissance dis-moi, combien tu prendrais pour coucher avec moi ? me demanda-t-il en caressant ma cuisse.
— Pardon ?
— Tu mas bien entendu. Combien tu veux pour coucher avec moi.
— Je ne fais pas ça.
— Bah voyons. Tu serais bien la 1ère. Tiens je te file 100
— Jai dit non.
— 150
— Vous êtes sourd ?
— Je te propose 200 et on fait ça ici et maintenant.
Lidée de me faire du pognon aussi facilement était tentante dautant quil me chatouillait le nez avec les billets quil tenait dans sa main. Je devais peser le pour et le contre.Déjà j’étais presque majeure (je sais c’est la honte en 2e, merci à mes redoublements). Mon sens moral ayant pas mal baissé au contact de Jessica et nétant plus une oie blanche depuis plusieurs année ça ne me dérangeais pas tant que ça finalement. Et puis, à y réfléchir je ne risquais pas grand-chose sil se protégeait. Sil me balançait jen ferais de même auprès de sa femme.
— Ok pour 200 mais avec préservatif.
— Pour 200 tu pourrais au moins sucer sans capote ? je suis marié tu risques rien.
— Bon ok mais pour le reste cest couvert et je navale pas.
— Ok bah cest parti.
Après mavoir donné les billets, De sa main, il entraîna ma bouche sur son sexe quil avait déjà sorti. Jalternais les va et viens et léchage de gland. Je le sentais soupirer des « ah oui cest bon » ou encore « va z y continu ». Au bout de quelques minutes, il ma relevé, ma touché la poitrine et ma aidé à me déshabiller. Après avoir abaissé son siège il m’a fait venir sur lui pour que je mempale sur son manche. Avec ses mains il m’a fait aller et venir sur lui tout en me galochant de temps à autre jusquà éjaculation. Alors que je me remettais de cette petite séance surprise, lui se reculotta et remis sa voiture en état pour me ramener.
Sans le vouloir je venais de trouver un bon moyen darrondir mes fins de mois. Bien sur il fallait rester vigilante et ne pas provoquer ouvertement la chose. Au bout de quelques semaines, javais quelques familles clientes régulières dont les papas saccordaient un petit extra avec moi. Mais aussi dautre disons plus conventionnelle. En général pour aguicher le papa je mettais un chemisier avec un décolleté plongeant et je bombais le torse pour mettre en avant ma poitrine. Si il est réceptif tant mieux, si il sait contrôler ses hormones tant pis. Comme client, (oui je dis client car cest comme de la prostitution volontaire quon ladmette ou non) javais de tout car ça allait du quarantenaire athlétique et cheveux grisonnant au trentenaire bedonnant, joufflu et chauve. Et parfois ils me payaient juste pour se faire sucer. Du moment quils me payaient, je nétais pas regardante sur leur exigences.
Jai fait ça durant mes années de seconde et première. A la fin de mon année de 1ère, Jai passé avec difficulté lépreuve de français du BAC. Quelques jours plus tard, cétait au tour de Jessica de passer les autres épreuves du BAC. Je savais quelle était aussi paumée que moi mais elle ne sen faisait pas plus que ça. Après avoir toutes les 2 passé nos épreuves, on sest retrouvée devant un verre pour en discuter. Elle se considérait un peu comme ma grande sur et voulait me prodiguer ses derniers conseils aux cas ou elle obtenait son diplôme.
— Alors, le français, ça cest passé comment ?
— Pas évident. Jai choisi la facilité. Jai pris résumé et discussion, la dissertation jai rien capté au sujet et le commentaire de texte je choisis jamais cest trop dur.
— Et loral ?
— Bah je me suis un peu planté jai confondu certains textes.
— Et lexaminateur ? tas pas essayé de le charmer ?
— Euh non ce nest pas dangereux ça ?
— Bah faut pas se faire choper et faire ça avec un mec célibataire, sans alliance. Moi par exemple lannée dernière pour le français je ne me suis pas gêné.
— Comment tas fait ?
— Bah déjà faut être la dernière de la journée. Sinon le candidat suivant va tout voir lors de sa préparation.
— Logique
— Et durant ta préparation, et même lépreuve, tu essais de laguicher en comprimant ta poitrine comme ça, tu fais des va et viens avec ton stylo dans ta bouche, enfin bref je te laisse trouver toute seule. Et puis après, suivant s il est réceptif ou non, faut trouver un moyen damener la chose. Moi par exemple je lui avais fait du pied.
— Et ça marche vraiment ?
— Il ma mis 15. Mais cest un peu la roulette russe. Jai eu du bol car le mien était un petit jeune qui débutait, sans expérience donc un peu de notre âge. Faut savoir juger le mec. Mais toi déjà tu as plus de chance que moi.
— Comment ça ?
— Tu tappelles Zwarosky. Avec ton nom « Z » « W » tu seras surement dernière de la journée.
— Ah ouais ! mais je ne sais pas si je tenterais le coup.
— Faut avoir laudace. Et puis faut se méfier. y a des examinateurs qui semblent être intéressés et puis en fait ils te donnent rendez vous l’année prochaine parce qu’ils t’ont recalé.
— Donc il faut plus analyser le langage du corps plutôt que les paroles. Sinon, toi, comment cétait ?
— La philo, jai rien capté, les maths ça passait, et les autres je ne sais pas. Et pour les oraux je pouvais rien tenter car je suis tombé sur presque que des femmes et le seul mec, jétais en milieu daprès-midi.
— Ok bah jespère que tu as réussi
— Moi aussi. Bon je vais y aller
— Ok a plus.
Je savais déjà quelle se tapait le proviseur mais je ne savais pas quelle tentait sa chance avec les examinateurs du BAC. Moi je ne sais pas si jaurai eu le cran de le faire. Je gagne du pognon avec mes petits extras et ça me conviens car mon objectif ce nest pas le sexe mais plutôt gagner du pognon et men sortir. Et si pour réussir il faut donner de ma personne, je my résoudrais.
La rentrée de septembre, cétait la dernière année avant le BAC. Cétait aussi la dernière année ou je serais obligé de subir mon foyer daccueil. Jessica étant partie vers dautres horizons avec son BAC en poche, je me retrouvais seule. Toutefois je comptais bien appliquer ses conseils à la lettre. Avec mes petits extras de baby-sitting, je métais constitué un bon petit pécule que javais placé et que je comptais bien faire grossir et fructifier. Il fallait aussi que je mattaque à mon dossier de bourse. Compte tenu de mes capacités scolaires javais envisagé une formation de secrétaire après le BAC.
Au moment de Noël, les formalités administratives étant faites, Il fallait que je mette un bon coup de collier sur les études. A la fin de lannée cest le BAC et ce nest pas avec un 2ème et 3eme trimestre aussi désastreux que le 1er que jy arriverai. Pour maider javais quand même acquis le soutient de 2 profs qui me donnait des cours « particuliers » : le prof de math et danglais. Pour le prof de math, javais pu négocier après quil mait contacté pour du baby-sitting. Autant vous dire que la négociation sest déroulée sur la banquette arrière de sa voiture. Quand au prof danglais, comme je lui plaisais, Il ma proposé des cours de langue gratuits en échange de la possibilité de pouvoir utiliser la sienne Pour quoi faire, je vous laisse deviner. Je savais que ce nétait pas ça qui me donnerait mon BAC mais si ça pouvait me permettre de progresser suffisamment pour lavoir ou encore minimiser la casse, cétait déjà ça.
Le prof de maths était un homme denvirons 35 ans, assez athlétique et plutôt bien foutu. Ses cours particuliers nallaient pas forcément être si désagréables. Tout le contraire du prof danglais. Un gros porc adipeux, un poil vicieux, dune cinquantaine dannée, connu pour reluquer les jambes des lycéennes. Mais bon si jétais obligé de le subir pour avoir mon BAC, Cest un sacrifice que jétais prête à faire. Jusquau BAC ma vie était rythmée entre mes séances de baby-sitting, que ce soit avec les enfants ou leurs pères, et mes cours particuliers. Même si je devais refréner les ardeurs du prof danglais un peu trop libidineux à mon gout, ça allait. Au moins, il assurait sa part du marché et je progressais dans les 2 matières.
Le moment du BAC étaient arrivées, Les épreuves écrites étaient chiantes au possible et pas forcement évidentes. Pour langlais et les math ça allait. Merci à mes 2 amants. La philo, jai rien capté alors jai appris toutes les citations et je les ai toutes balancées même si cétait hors de propos. Les maths mont indirectement aidé pour la physique, et pour la biologie disons quon est tombé sur un sujet intéressant : La reproduction des mammifères. Avec ce que javais fait récemment je my connaissais un peu.
Après les écrits cétait les oraux. Avec ce que javais fait cette année pour améliorer mes résultats, je nétais plus aussi timorée quand à la possibilité de séduire un des examinateurs pour obtenir une bonne note.
1èr oral, lespagnol. En entrant dans la salle, je constate que lexaminateur . est une femme. Le genre vieille chouette de 60 piges à laire sévère. OK donc cest foutu pour celle là. Je passe mon épreuve, pas trop rassurée du résultât.
3 jours plus tard, lhistoire géographie. Je constate que, comme pour lautre oral, je suis la dernière à passer. Jentre et là je constate que cest un homme. 30, 35 ans. Il est habillé dun costume noir, chemise blanche. La 1ère chose que jai constaté cest sa forte corpulence. Il me faisait penser au chroniqueur de lémission de foot diffusée le dimanche en début de soirée sur une chaine cryptée. Ce même chroniqueur connu autant pour ses critiques assassines que pour son surpoids. En mapprochant de lui pour quil me donne mon sujet, je constate quil ne porte pas dalliance. 1er bon point. En me tendant mon sujet et en levant les yeux vers moi, je vis quil était mal à laise et ses yeux sétaient fixés un très court moment sur ma poitrine. Il faut dire que javais mis un chemisier au décolleté plongeant, juste au cas où. 2ème bon point, il semblait être réceptif à mes « arguments ». Jallais alors massoir dans la salle en ondulant légèrement des fesses.
Durant la présentation de lautre candidat, je voyais lexaminateur me regarder furtivement. Alors que je préparais mon sujet, je suçais lembout de mon stylo en lui faisant faire des va et viens dans ma bouche. Au moment où je regardais l’examinateur, je vis son regard se détourner de moi. Il rougissait à vu dil. Je constatais aussi, de loin, quun début dérection dans son pantalon le gênait tellement quil ouvrait et serrait les jambes à intervalle réguliers pour essayer de calmer cette chaleur sur son entrejambe. Il était mal à laise et je comptais bien en profiter.
Bientôt ce fut à moi de passer lépreuve. Je me suis assise devant lui avec un sourire charmeur. Et je commençais à faire mon exposé. A la fin il me posa des questions en bégayant légèrement. Voyant la fin approché, jai décidé de passer à lattaque.
— Excusez-moi monsieur mais vous ne vous sentez pas bien ? vous faites une allergie ? Vous êtes tout rouge.
— N.non non je vais bien merci.
— Non parce que et là je fis semblant de faire tomber mon stylo.
En me baissant pour le ramasser sous la table, je voyais sa bosse au niveau de son entrejambe qui avait vraiment gonflée. Cest là que jai décidé de rentrer dans le lard en commençant par lui faire du pied.
— Cest moi qui vous fais de leffet comme ça ?
— De quel effet vous parlez ?
— Ne faites pas linnocent jai vu votre érection sous la table. Vous bandez comme un âne. Ça ne doit pas être facile de marcher avec ça. Vous allez vous faire remarquer. Si vous voulez je peux vous aider.
— Comment ça ? Que voulez vous dire ?
— Un échange de service. Je fais quelque chose pour vous et vous faites quelque chose pour moi.
— Ah .. Et que voudriez-vous ?
— Je pense quun petit 15 serait pas mal.
— Je ne sais pas ce que vous me demandez cest interdit.
— Peut-être mais vous en avez envie autant que moi visiblement.
Je lui pris la main pour me caresser la joue et là, troublé, je le vis ravaler sa salive et réajuster sa cravate. Il était abasourdi de ma proposition et ne savait plus où se mettre. Il était à 2 doigts de craquer ça se voyait. Il était comme un puceau à son 1er rendez vous galant ne sachant pas trop comment réagir.
— Je ne sais pas. Je ne veux pas avoir dennui.
— Voila ce que je vous propose : vous réfléchissez à ce que vous voulez de moi et je vous dégonfle cette bosse disgracieuse.
Cest à ce moment là que je me suis glissé sous la table. Je lui aie déboutonné son pantalon. Il ne réagissait pas alors jai continué en défaisant la fermeture éclaire de sa braguette. Toujours rien, il ne me repoussait pas. Jen ai alors déduis quil était daccord. Au moins pour une petite pipe. Jai alors sorti sa queue, il était dans la fourchette basse de la moyenne nationale au niveau taille mais ça allait le faire. Il fallait juste que je soulève dune main son ventre proéminent pour accéder à son engin. Cest après les premiers coups de langue que je vis ses mains soutenir son ventre. Je navais plus à le faire et ça confirmait son désir de se faire sucer. Cest là quil me fit une proposition. Le vouvoiement avait laissé place au tutoiement.
— Ok je te mets 15 si tu promets davaler. Je ne veux aucune trace.
— Cest daccord.
— Jai une autre proposition si tu veux.
— Laquelle ?
— Je te mets 18 si tu accepte de passer la nuit avec moi. Jai jusquà demain pour poster mes notes définitives. Je loge à lhôtel et je repars chez moi demain. Ça te laissera toute la nuit pour me montrer tes talents et me convaincre.
— Marché conclus.
Il avait bien compris quil pouvait avoir plus quune simple pipe et moi je ne rechignais pas sur quelques points supplémentaires. Vu mon niveau scolaire tout était bon à prendre. Je me remis à ce que javais commencé et peu de temps après je sentais sa respiration haletante saccélérer. Puis dans un soupire rauque de plaisir, je lai senti se déverser dans ma bouche. Comme convenu, jai tout avalé et nettoyé son engin avec ma langue.
Après avoir réajusté nos tenues. Nous nous sommes séparés. Il mavait donné ladresse de lhôtel et son nom. Il avait prévu de memmener dîner au restaurant avant de soccuper de moi dans sa chambre. A 19h jarrive à la réception pour mannoncer.
— Bonjour pouvez vous mindiquer la chambre de monsieur Tréault, je
— Oui, vous devez être son épouse ? Il nous a prévenu de votre arrivé. Il est à la chambre 215.
— Merci.
Jétais un peu décontenancée. Elle mavait appelé son épouse ? Avais-je bien entendu ? Quoi quil en soit jallais avoir ma réponse. Jétais devant sa porte. Je frappe et je le vois en train de se préparer. Du coup je lui demande pourquoi lhôtesse ma appelé « son épouse ». Il me répondit que cétait pour justifier ma présence dans sa chambre cette nuit mais quil espérait bien que je devienne son épouse rien que pour cette nuit. Je lui devais bien ça et puis il nétait pas méchant je pouvais lui offrir ce petit plaisir.
Après un bon dîner au restaurant, quil a réglé en bon gentleman, nous nous sommes dirigés vers son hôtel. Pour donner le change au près de la réception je lui roule une galoche à lentrée et lui maccompagne à la chambre en me mettant la main au fesses. A peine la porte de la chambre refermée je le sens derrière moi ses bras enserrant ma taille et lui membrassant dans le cou. Je me retourne et là il me fit une révélation qui ne me surprit pas tant que ça finalement.
— Avant de continuer, il faut que je te dise .Voila… Je nai jamais . Enfin tu vois quoi
Il venait de mannoncer quil était encore puceau à 35 ans. Quand je disais quil était comme un puceau à son 1er rendez-vous javais tapé dans le mille. Pas facile à avouer effectivement. En même temps jaurais dû men douter. Déjà avec un physique comme le sien ce nest pas facile de se lever une fille. Et puis sa réaction et son impression de malaise lors de mon épreuve du BAC, il donnait limpression de ne pas connaitre et dêtre complètement perdu. Mon 18 je le voulais et lui avait vu en moi loccasion de passer un cap dans sa vie. Mine de rien cétait courageux et touchant de sa part.
— Ne tinquiète pas et laisse moi faire.
Cest alors que je le pousse allongé sur le lit. Jenlève mon chemisier, ensuite ma jupe, puis mes sous vêtements sous ses yeux. Jétais nue devant ce gros puceau qui avait presque le double de mon âge, et de mon poids aussi. Autant faire de sa 1ère fois un bon moment, il nen sera que plus satisfait et me donnera mon 18. Jai donc sorti le grand jeu avec un numéro délève soumise au désir de son prof. Etant donné là où on en était autant envoyer la sauce.
— Si je suis gentille avec vous monsieur le professeur, vous me donnerez une bonne note ?
Ayant compris où je voulais en venir il se prit au jeu. Un sourire malicieux apparaissait sur son visage.
— Si tu fais plaisir à ton gentil professeur je serais très généreux.
— Et que voulez vous que je fasse monsieur.
— Surprend moi, cest à toi de me convaincre. Mais attention je veux quon utilise ça. Dit-il en sortant une boite de préservatif de sa poche (surement acheté au distributeur de la pharmacie en face, juste après lépreuve du BAC).
Alors je me mis à le chevaucher, assise au niveau de la ceinture. Son regard ne se détachait pas de ma poitrine. Je savais quil nattendait quune chose : y mettre les mains. Et cest exactement ce quil a fait quand jai guidé ses mains jusquà lobjet de son désir. Il mempoignait mes 2 globes avec gourmandise et ne semblait pas vouloir les lâcher. Je commençais alors à défaire son nud de cravate, puis sa chemise, bouton après bouton de haut en bas. Puis après lui avoir caressé la bedaine, Je me suis reculé, le faisant lâcher prise, pour moccuper de son pantalon. Il savait quil allait avoir droit à une 2eme fellation. Une fois le pantalon baissé et le caleçon aussi, je me suis positionné sur lui, mon entrejambe sur son visage, mon visage sur sa queue pour ce que je supposais être son 1er 69.
Alors que je lui pompais le dard, pas trop fort pour ne pas le faire partir trop tôt, je sentais ses coups de langues hésitants et maladroits. En même temps, il découvrait mais il sen sortait honorablement. Quand je me suis sentis suffisamment humide, jai repris ma position sur son bas ventre, déroulé une capote sur son gland et me suis fait pénétré en masseyant dessus. Ses mains reprirent leur places sur ma poitrine et alors que je commençais à onduler du bassin je le voyais murmuré ses mots « ça y est, enfin ». Il était touchant.
Je continuais mes va et viens quand il me demanda darrêter. Que ce passe til ? Jai fait quelque chose de mal ? Rien de tout ça il voulait juste prendre la direction des opérations, et accessoirement se débarrasser du reste de ses vêtements. Du coup je me suis retrouvé allongée sur le dos et lui sur moi me recouvrant de toute sa masse. Et quand je dis masse cétait de circonstance. Il pesait son poids le cochon. Je sentais sa respiration quand il me limait, sa tête sur mon épaule. Il y prenait plaisir (valait mieux, je ne métais pas donné tant de mal pour le décevoir). Il sarrêta pour me relever et me prendre en levrette. Là cétait déjà plus agréable. Je nai senti son poids que lorsquil a reposé son surplus de graisse abdominale sur mes fesses avant de reprendre sa besogne. Il y allait avec entrain. Reprenant le jeu du prof et de lélève soumise, il me demanda une nouvelle fantaisie.
— Mademoiselle, vous êtes très gentille, mais pas assez.
— Que faut-il faire pour que vous soyez satisfait ?
— Et bien vous avez un autre petit trou et jaimerai bien lessayer.
— Je vous laisse faire ce que vous voulez mais ne me soyez pas violent cest tout ce que je vous demande.
Il se retira et se présenta devant ma rondelle. Il eut un peu de mal à rentrer. Il faut dire que sa tige était comme lui : grasse et épaisse. Une fois entré, il commença à me limer le derrière en laissant échapper un « cest encore meilleur par là ». Il continua jusquà ce qui jouisse dans mon derrière. Il parti jeter le préservatif à la poubelle et revint me rejoindre. Il me regardait avec les yeux pleins détoile, réalisant à peine ce quil venait de se passer.
— Alors heureux davoir sauté le pas ?
— Oui ça fait tout drôle. Jai limpression de changer de vie.
— Jimagine. Je ne veux pas être terre-à-terre mais
— Tu veux parler de ta note ?
— Oui
— On va régler ça de suite.
Il prend son ordinateur portable et se connecte en wifi sur un des sites sécurisés du rectorat. Après sêtre identifié il tombe sur la liste des notes à rentrer de la journée. Il rentre celle quil avait déjà et arrive sur la dernière ligne correspondant à mon nom.
— Donc on avait dit combien ? 18 cest ça ?
— Oui cest ça.
Sur la case me correspondant je le vois taper « 1 » puis il me regarda, me souris et tape « 9 » et clic sur le bouton « valider ». On avait dit 18 et il mavait mis 19. Jétais ravie et surprise.
— Tu le mérites. Tas été géniale.
— Merci cest gentil.
— Cest moi qui te remercie. Grace à toi je suis VRAIMENT un homme.
— Tu mas touché et je me suis dit quavec ta proposition je te le devais et puis je suis sur que cétait aussi agréable pour toi que pour moi. Bon moi je suis crevée.
— Oui moi aussi. Aller dodo.
On sest endormi nus dans le lit recouvert dun simple drap. Lui allongé sur le dos et moi blottie contre lui, ma tête sur son épaule. Le lendemain après une bonne douche on est descendu et une fois à sa voiture, il me regarda un peu ému.
— Je suppose quon ne va pas se revoir ?
— Non désolé. Si jai fait ça cest pour la note. Je ne te lai pas caché. Et puis physiquement tes pas mon type (je nallais pas lui dire quil était moche). Mais rassure- toi. Tu trouveras surement quelquun. Il y a des femmes qui aiment les nounours.
— Merci, je mattendais un peu à cette réponse. Bon aller je te souhaite bonne chance à toi pour la suite et encore une fois merci pour cette nuit.
— Au revoir.
On sest séparé amicalement sans se rappeler ni garder contact.
15 jours plus tard cétait les résultats du BAC. Comme tous les candidats jétais nerveuse. Avais-je fait tout ce quil fallait pour lavoir du 1er coup ? Je nen savais rien mais si je passais au rattrapage je doutais de pouvoir réussir. Jai eu du mal à accéder aux listings. Il y avait tellement de monde quon se serait dit au 1er jour des soldes. Quand jy arrive je scrute les noms jusquà voir en bas dune des dernières pages : « Lisa Zwarosky : reçu(E) ».
Jétais folle de joie. Javais toujours trouvé ridicule ces effusions de joie tous les ans à la TV. Mais là, je comprenais cette euphorie que ressentent les élèves de terminale en fin dannée. Cest à ce moment que je senti une main sur mon épaule. Cétait ma copine Jessica. Après avoir récupéré mon bulletin de note au bureau, on est parti boire un verre au bar den face. Après les banalités, elle me questionna sur mes notes car elle était intriguée surtout pour le 19. Elle était hallucinée de ce que javais fait pour y arriver mais en même temps elle était fière que je sois devenu indépendante et plus forte que je létais à notre rencontre. On sest séparée après quelques verres en se promettant de se revoir plus tard.
Pour moi, ce nétait pas fini. Ma vie détudiante allait commencer. Javais été admise pour ma formation de secrétaire de direction. Javais obtenu une bourse de la région. Il me fallait trouver un logement si possible pas cher. En attendant je continuais les baby-sittings au maximum car une fois étudiante, jaurai déménagé et perdu ma « clientèle ». Il me fallait aussi trouver un petit boulot car la bourse détude cest déjà bien mais ça ne fait pas tout. Après tout mon but restait le même : tout mettre en uvre pour réussir et gagner de largent pour améliorer ma condition.