Je suis professeur de dessin aux beaux-arts de Toulouse et je prends la plume aujourd’hui pour vous raconter une histoire inattendue qui m’est arrivée la semaine dernière. Inattendue en tous cas pour moi qui suis si prude habituellement, mais peut-être pas pour vous !
Tout a commencé lundi dernier. La soirée était fraiche mais encore ensoleillée et je rentrais dans l’amphi où nous devions animer un cours du soir de dessin pour les adultes. Nous c’est Ambre et moi. Il y a une trentaine d’élève le lundi soir, ce qui est beaucoup pour un seul professeur. C’est pourquoi nous avons décidé, avec Ambre, d’animer ce cours à deux.
Ambre est une jeune femme de 27 ans, petite, brune et aux yeux bleus. Elle est tellement mignonne j’’avoue que j’ai craqué sur elle dès la première fois que je l’ai vue, mais il ne s’est rien passé pour la simple et bonne raison qu’elle est déjà en couple, et même fiancée à un con, selon moi. Nous sommes rapidement devenus amis et j’ai compris assez vite que dans tous les cas je n’aurais jamais ma chance avec elle : Ambre a décidé de réserver sa première fois pour sa nuit de noce… et je n’ai pas du tout l’intention de me marier à seulement 31 ans.
En ce lundi nous étions d’ailleurs à une semaine de son mariage, qui avait lieu le week-end suivant l’histoire que je vais vous raconter.
J’ai beaucoup de mal à comprendre comment une fille comme elle a pu tomber amoureuse d’un mec comme Sylvain, son fiancé. Il est froid, borné, sûr de lui et riche. Bref, tout ce que je déteste, mais vous aurez compris que je ne suis pas objectif.
Je rentrais donc dans l’amphi, comme à mon habitude un quart d’heure avant le début pour donner mes consignes à la personne qui servirait de modèle aux étudiants. Ambre était déjà là, seule sur l’estrade au milieu des bancs encore vides.
– « Bonjour Eric ! »
– « Bonjour Ambre, tu vas bien ? » J’enlevais mon écharpe et commençait à déboutonner mon manteau. « Le modèle n’est pas encore arrivé ? »
– « Elle ne viendra pas. Elle est malade »
– « Oups, ça ne va pas être simple de trouver un nouveau modèle. Tu as appelé le secrétariat ? »
– « Oui » répondit Ambre, « C’est le deuxième modèle absent aujourd’hui. Ils ont trouvé de justesse une solution pour le premier, mais ils ne peuvent plus rien faire pour nous ».
– « Bon, c’est ton tour alors ! »
– « Non, on tire au sort, comme prévu »
Ce genre de cas se présente parfois lorsque l’on fait des cours de dessin. S’il n’y a qu’un seul professeur, la seule solution consiste à demander si un des étudiants est d’accord pour poser nu devant les autres. Sinon le cours est reporté.
Mais comme nous sommes tous les deux professeurs, le plus simple, dans ce cas, est que l’un de nous deux le fasse. Le cas s’était déjà présenté une fois, il y a quelques mois, et nous avions tiré au sort : j’avais été désigné, ce qui ne m’avait pas dérangé car c’est quelque chose que j’avais beaucoup fait dans ma jeunesse, quand j’étais sans le sou.
– « C’est ton tour, la dernière fois c’est moi qui l’ai fait ! »
– « Pile ou face ? » me demanda-t-elle en sortant une pièce de son sac.
– « Pile » répondis-je résigné
– « OK, pile » la pièce vola dans les airs et retomba sur sa main.
J’avoue qu’à ce moment mon cur battait la chamade. Je suis habitué à voir des modèles nus et, comme je l’ai déjà dit, je l’ai moi-même fait des dizaines de fois. Il n’y a rien de sexuel là-dedans, c’est juste de l’art. Cependant je dois avouer que l’idée qu’Ambre se mette nue ce soir, devant nous, ne me laissait pas indifférent même si j’aurais préféré que ce soit juste pour moi, dans une chambre d’hôtel. Mais avec son mariage qui approchait, il ne fallait pas rêver.
Ambre avait recouvert avec sa main gauche la pièce qui était retombée sur sa main droite. Elle la souleva doucement pour regarder le résultat et je la vis rosir.
– « Pile dit-elle, c’est toi qui as gagné. Tu choisis qui ? »
– « Bien essayé » répondis-je « mais c’est ton tour ».
Pendant que les premiers élèves rentraient dans l’amphi, elle descendit dans la petite loge aménagée sur le côté de l’amphi pour se changer et passer un peignoir. De mon côté je commençais à préparer le cours, en sortant l’urne qui servait à tirer au sort les sujets de dessin de la soirée.
Les participants s’installèrent en cercle, autour de l’estrade et je pris la parole. Les jeunes sont dissipés, mais les adultes qui viennent aux cours du soir sont encore pires ! Je dois à chaque fois donner de la voix pour ramener le calme et faire taire les bavards qui gênent l’arrivée du calme, nécessaire au dessin.
– Messieurs Dames, s’il vous plait. Je vais être seul à animer le cours ce soir, alors aidez-moi et faites moins de bruit S’il vous plait Merci
– Ambre n’est pas là ce soir ? demanda une jeune femme au premier rang.
– Si. C’est le modèle qui est absent. Afin de maintenir le cours, c’est Ambre qui va poser pour nous.
Le silence se fit immédiatement. J’en fus moi-même troublé et mis quelques secondes à retrouver le cours de mes idées.
– « Le premier sujet de la soirée va être » je tournais ma main dans l’urne et en sortis un petit bout de papier. « Le dos ».
Ambre venait d’arriver sur l’estrade. Elle me sourit. Je lui fis un clin d’il complice pour lui dire que j’étais avec elle, et je montais dans les rangs pour commencer à regarder le travail des élèves.
Du coin de l’il de je la regardais. Elle me tournait le dos. Elle prit une chaise, la posa au milieu de l’estrade, ouvrit son peignoir et s’installa à califourchon dessus.
Elle avait gardé sa petite culotte mais je n’osais pas la reprendre devant tout le monde. J’en profitais néanmoins pour regarder son corps magnifique. Encore plus beau que tout ce que j’aurais pu rêver.
Les étudiants en face d’elle semblaient comme hypnotisés. Ils avaient pu voir sa poitrine, contrairement à moi et semblaient avoir aimé le spectacle.
Pendant les vingt minutes suivantes, elle changea de posture une quinzaine de fois, en se débrouillant à chaque fois pour garder ses mains devant sa poitrine. Je finis par descendre sur l’estrade pour lui glisser : « Tu ne joues pas le jeu ! ».
– « Pour dessiner le dos, c’est largement suffisant me répondit-elle ». Je la vis rosir à nouveau, ce qui augmenta mon trouble. Très bien me dis-je. Tu veux jouer aux plus malines, alors nous allons être deux à jouer.
Je remontais dans un coin de l’amphi, pris un petit papier et griffonnais un mot dessus. Je descendis ensuite vers mon bureau en annonçant : « Allez, nous allons changer de thème ». Je plongeais alors ma main dans l’urne et en ressorti le petit papier que je venais d’écrire et que j’avais caché à la vue des autres. Je le dépliai et le lu à haute voix, faisant mine de découvrir le thème. « L’érotisme » annonçais-je.
Ambre releva la tête vers moi et me fis signe de venir.
– « Prends en un autre s’il te plait, je ne suis pas à l’aise »
– « Ambre, c’est de l’art ! personne ne te regarde autrement que comme un modèle. Et nous n’avons pas encore fait ce thème cette année. »
– « S’il te plait »
– « Dois-je te rappeler que pour moi tu avais pioché les fesses’ et que tu en as rigolé pendant trois semaines ? C’est le hasard et ne te prends pas la tête. Nous ne sommes là que pour dessiner. »
– « OK, ok, mais je garde ma culote »
– « A une condition : c’est moi qui dicte les poses ! »
– « D’accord si je garde ma culotte. »
– « Ok pour moi. »
– « Mets-toi debout, les mains dans les cheveux. Je veux que ton visage donne l’impression que tu as du plaisir »
Ambre me regarda, mi timide mi amusée et pris la pose, dévoilant ses seins pour la première fois. Mon dieu qu’ils étaient beaux. Ronds, fermes avec de petites aréoles roses. A cet instant j’aurais tout donné pour pouvoir les toucher mais je fis mine de ne rien voir et repartis vers mes étudiants.
Je remarquais que deux ou trois d’entre eux semblaient avoir la mâchoire sur le pupitre tellement la vue de leur prof de dessin presque nue les affolait.
– « Allonge toi par terre et pose tes mains sur ta poitrine » lui dis-je au bout de trois minutes. Elle s’exécuta en pliant les jambes et les tournant sur le côté de son corps.
– « Mets toi maintenant sur le dos et écarte les jambes s’il te plait ». Elle exécuta.
Je remarquais que deux ou trois smartphones avaient été sortis et je ne tardais pas à surprendre un des élèves en train de faire discrètement des photos. Quand il vit que je l’avais surpris il bafouilla une excuse. Je ne le laissais pas terminé et lui répondis : « c’est normal de faire des photos pour travailler ensuite chez soi. Pas de problème, vas-y. » Ses voisins m’ayant entendu ne se firent pas prier.
– « l’érotisme ça se pratique à deux, commençais-je. Y a-t-il un ou une volontaire pour rejoindre le modèle sur scène ? »
A peine avais-je terminé qu’un homme d’une trentaine d’année, plutôt grand, se levait et descendait sur l’estrade. « Merci lui dis-je, déshabille toi s’il te plait ».
Il était super bien baraqué et son tatouage sur le bras gauche lui donnait un petit air de voyou. Ses yeux brillaient de malice : il s’emblait s’amuser de la situation.
Je jetais un coup d’il à Ambre pour la première fois depuis que j’avais donné mon ordre. Elle me regardait intensément, les sourcils légèrement froncés. Elle semblait se demander ce que je voulais faire.
Le jeune homme se déshabilla entièrement et s’approcha d’elle. D’un seul coup je la vis me faire un petit sourire, un air de défi sur le visage. Elle tourna les talons et je crus qu’elle allait partir, mais elle s’approcha de Marc (c’est ainsi que s’appelait l’autre modèle), se mit derrière lui et se colla dans son dos, mettant ses bras autour de sa taille. Je compris qu’elle n’écouterait plus mes ordres et décidais de la laisser faire.
Au bout de deux à trois minutes, c’est lui qui bougea. Il inversa les situations : posant ses mains sur ses hanches, placé derrière elle, il fit mine d’embrasser son cou. Elle bascula la tête en arrière comme si elle prenait beaucoup de plaisir. Sa poitrine était gonflée et offerte à nos regards. Superbe.
Je ne sais pas si je rêvais, mais j’avais l’impression que sa poitrine avait vraiment gonflé depuis l’arrivée de Marc et que ces tétons avaient durci. Pourtant il ne faisait pas froid
Il remonta ensuite ses mains et les posa sur ses seins, les cachant à notre regard. Là encore elle conserva une pose suggestive. Elle semblait en fait s’amuser.
Je continuais à passer d’étudiant en étudiant et à commenter les dessins, mais j’avais de plus en plus de mal à rester concentré et à détacher mon regard de ce qui se passait sur scène. J’aurais donné beaucoup pour être à sa place
Marc descendit ensuite sa main sur son ventre et commença à la glisser dans la culotte d’Ambre. Celle-ci ne se laissa pas faire et, lui prenant la main, la sortit et la reposa tranquillement sur sa culotte. Il n’empêche, une étape avait été franchie et je ne pouvais plus détourner mes yeux du spectacle qui se déroulait sur scène. Je ne sais pas si c’est moi qui fantasmais, mais j’avais nettement l’impression que sa main ondulait lentement sur le sexe d’Ambre. Et elle se laissait faire.
Marc la souleva ensuite comme un plume et l’allongea par terre. Il glissa sa tête entre ses jambes et posa un baiser sur sa cuisse, juste à la limite de sa culotte. Elle posa une main sur sa tête et l’autre sur sa poitrine.
J’étais fou de désir et je n’étais pas le seul. La moitié des élèves prenait des photos et semblaient ne pas en croire leurs yeux. Si ça avait été un modèle classique, je pense que l’effet n’aurait pas été le même que celui de voir leur professeur, qu’ils connaissaient depuis un an, dans cette posture avec Marc. L’électricité dans l’air était palpable.
Je descendis vers l’estrade. Marc se relevait et je vis clairement, entre les jambes d’Ambre, la preuve qu’elle ne faisait pas que subir. Elle prenait du plaisir à jouer à ce jeu et avait commencé à mouiller sa culotte.
Elle dut me surprendre car je la vis mettre ses mains pour cacher à mon regard la preuve de son désir.
Mais Marc ne la laissa pas faire. Il l’attira vers lui, et l’embrassa fougueusement sur la bouche. Je la vis mettre ses mains sur son visage et lui rendre son baiser. Je n’en pouvais plus, mais je n’osais pas bouger, de peur de rompre le charme du moment.
Marc la souleva de nouveau. Elle semblait ne peser que quelques grammes dans ses mains. Il la posa sur le bureau et d’un seul geste enleva sa culotte. J’entraperçus, l’espace de quelques millisecondes, son sexe complètement épilé avant que Marc ne pose sa bouche dessus et commence à l’embrasser. Il n’était plus question de poses statiques : devant nous, chose incroyable il y a encore une heure, Marc était en train de donner du plaisir à Ambre avec la langue et ça marchait plutôt bien car je l’entendais haleter.
Dans l’amphi, plus personne ne dessinait. Une dizaine de personnes avait quitté le cours, mais les autres regardaient, prenaient des photos ou même filmaient la scène qui se déroulait devant leurs yeux.
N’y tenant plus, je descendis sur scène et m’approchais d’eux. Ambre haletait de plaisir, les yeux mi-clos. Quand je fus à hauteur de son visage, je posais ma main sur sa joue et plongeait mon regard dans le sien. Voir son plaisir m’excitait plus que tout ce que j’avais pu ressentir auparavant. Pendant que Marc, avec sa langue, la faisait monter très haut, je commençais à lui caresser la joue.
Sans quitter son regard, ma main commença à descendre dans son cou et sur ses épaules. Je vis son regard s’embraser lorsque j’arrivais sur ses seins. Dieu comme ils étaient doux et fermes. Et ses tétons si durs. Je les pinçais légèrement, ce qui provoqua immédiatement chez elle un petit cri de plaisir. Voyant qu’elle aimait ce que je lui faisais, je caressais ses seins de plus en plus forts, jusqu’à ce que je sente son plaisir devenir insoutenable. Je lisais dans son regard tout ce qu’elle ressentait. Et elle en voulait plus.
Je lâchais son regard quelques instants et fis signe à Marc de me laisser la place. Il se releva et, frustré, mis son sexe en érection dans les mains de Ambre.
Je fis le tour du bureau et arrivais entre les jambes d’Ambre. Quelle merveille. Son sexe, ouvert et humide était splendide. Je regardais de nouveau Ambre dans les yeux et posais ma main sur son pubis imberbe. Elle tressaillit. Lentement, avec l’index, je commençais à jouer avec son clitoris. Son regard semblait me supplier d’aller plus loin, mais je préférais aller lentement.
J’étais parfaitement conscient que les élèves qui étaient restés, autour de nous, s’étaient divisés en deux groupes : un premier groupe avait commencé à faire comme nous. Pris dans l’atmosphère du moment, garçons et filles étaient en train de faire l’amour.
Un deuxième groupe, plus timide sans doute, se contentait de regarder ou de filmer la scène. Cela m’excitait encore plus.
Le sexe d’Ambre était complètement trempé. Gardant mon regard rivé dans le sien, j’introduisis mon index et mon majeur dans son ventre. Elle se cambra de plaisir. Elle était douce et mouillée mon dieu, j’en rêve encore. Mes yeux rivés dans les siens, je voyais son regard devenir de plus en plus absent au fur et à mesure que mes doigts faisaient des allers et retours.
Je lui écartais les jambes encore plus et commençait, avec mon autre main, à lui caresser le clitoris. Son plaisir montant m’excitait comme un fou. J’admirais son sexe glabre ouvert et n’avais plus qu’une idée en tête : la pénétrer. Mais je voulais aller lentement, pour la faire monter doucement au septième ciel. Je me doutais que nous n’étions pas prêts de recommencer. Je ne sais pas ce qui l’avait poussé à se laisser aller comme ça, mais je craignais que cela ne se reproduise pas de sitôt.
Je descendis donc ma bouche jusque son sexe et commençais par passer ma langue doucement sur son clitoris, tout en gardant mes doigts bien en elle. L’effet fut fulgurant : elle se cambra d’un coup et eut son premier orgasme.
J’y allais alors plus franchement et engouffrait son sexe dans ma bouche. Elle recommença à gémir.
Voyant cela, Marc lui mit son sexe dans la bouche. Elle commença par le lécher puis elle se tourna, se mit à quatre pattes et m’offrit sa croupe.
Je cru d’abord qu’elle voulait que nous fassions l’amour. Mais non : fidèle à son souhait de se réserver pour sa nuit de noce, elle me fit comprendre que je ne devais pas m’y essayer.
Je me lançais alors dans un truc que je n’avais jamais osé faire tandis qu’avec ma main droite je caressais son sexe, je décidais, avec ma main gauche, de lui caresser l’anus. Elle sembla se contracter, mais après quelques instant, je la sentis se détendre à nouveau et écarter les fesses, m’offrant une vue inoubliable sur son anatomie. Vue que j’immortalisais immédiatement en sortant mon téléphone et en prenant une photo. Je voulais garder un souvenir de ce moment pour être certain que je n’avais pas rêvé et pour me le rappeler plus tard.
Marc avait maintenant introduit son sexe complètement dans sa bouche et semblait proche de l’instant final. C’est le moment que je choisis pour lui introduire mon index dans l’anus. Elle semblait apprécier à tel point que je me demandais si c’était sa première fois. Quand je la sentis prête, je sortis mon sexe et la pénétrait d’un coup. Mon dieu que ce moment était divin ! Je n’avais pas encore réussi à parvenir complètement à mes fins, mais je n’avais jamais été autant excité de ma vie. Je gardais une main entre ses jambes, lui caressant le sexe, pendant que je faisais des allers retours entre ses fesses. Elle ne tarda pas à jouir une deuxième fois ce qui eut pour effet immédiat de provoquer l’orgasme de Marc.
J’avoue que je sentais que je ne tarderais plus longtemps
Marc s’étant pour l’instant éloigné, un deuxième élève s’approcha et commença à lui caresser les seins. Elle était tellement excitée qu’elle commençait déjà à remonter dans les tours. Ce qui me fit jouir à mon tour.
Je ne sais pas comment nous en étions arrivés là. Elle qui semblait si pudique ! D’un côté je m’en voulais un peu car j’étais responsable pour une large part de ce qui nous arrivait une semaine avant son mariage. D’un autre, même si j’aurais préféré l’avoir rien que pour moi, la situation était follement excitante et j’avais encore envie d’en profiter un peu.
Je m’écartais un petit peu pour reprendre des forces en profitant du spectacle.
Car elle n’en avait pas fini ! Marc revint vers elle et s’allongea sur le dos, sur le bureau. Il la fit s’allonger sur lui et la sodomisa ainsi, nous offrant une nouvelle vue imprenable sur son sexe ouvert. Un deuxième élève, celui qui s’occupait de ses seins, s’approcha de son entre jambe avec la ferme intention de lui faire l’amour en même temps. Elle lui fit signe de s’éloigner. Je m’approchais de lui pour lui expliquer la situation et il fit le tour du bureau pour mettre son sexe en érection dans sa bouche. Ce qu’elle accepta bien volontiers. Une autre femme, Sophie, qui avait tout entendu et qui venait de faire l’amour avec un beau brun, décida de s’occuper d’Ambre à sa façon : elle prit une bouteille de soda en verre qu’elle venait de finir et l’introduisit dans le vagin de Ambre. Tout en la bougeant elle commença à lui lécher les seins.
Imaginez la situation : Ambre était devant moi, ouverte, en train de se faire sodomiser par Marc, tandis qu’une jolie brune activait une bouteille de soda dans son vagin en lui léchant les seins et tandis qu’un troisième élève lui avait mis son sexe dans la bouche. Je me demandais jusqu’où nous emmènerait la situation et je décidais, une nouvelle fois, d’immortaliser ce moment en faisant une petite vidéo.
Ambre ne tarda pas à jouir de nouveau. Mais cette fois-ci elle décida que notre petit jeu avait assez duré et elle se releva. Je la regardais, nostalgique, une dernière fois nue, pendant qu’elle enfilait son peignoir.
Une dernière fois ? J’avais bien l’intention de retenter ma chance, mais ça, c’est pour une autre fois.
A suivre