Il était 4h du matin lorsque nous ne nous retrouvâmes plus qu’à trois, sirotant une dernière coupe de champagne. Les invités étaient couchés, les mariés étaient partis un peu plus tôt sans se faire remarquer et il ne restait plus que Marc, le beau-père d’Ambre (qui s’appelait Alain et qui se révélait être un sérieux fêtard) et puis moi.
Nous avions une conversation d’ivrognes en fin de soirée, lorsque je sentis sous mes doigts, dans ma poche, la culotte d’Ambre. Je me demandais comment elle avait pu expliquer cela à son nouvel époux ! Je la sortais de ma poche et la montrait à mes compagnons en leur expliquant qu’en tant que témoin j’avais exigé de la mariée qu’elle me donne sa culotte. Mes compères m’écoutèrent en rigolant et Alain me regarda étrangement. Mais il ne dit rien.
La culotte passait de mains en mains. Alain s’en saisit à son tour et la plaça sous son nez avant de prendre une longue inspiration.
— « Si vous saviez depuis combien de temps ça ne m’est pas arrivé ! A 54 ans la vie est cruelle vous savez ! »
Tout le monde éclata de rire. Et c’est à ce moment-là que je vis Ambre arriver parmi nous. Je fis les gros yeux à Alain qui lui tournait le dos. Il comprit qu’il se passait quelque chose et glissa la culotte dans sa poche avant de se retourner.
— Que fais-tu là ? Tu n’es pas avec ton mari pour la nuit de noce ?
— Il n’est pas en état nous répondit-elle. Il ronfle. Moi qui attendais ce moment depuis des années.
Je la vis s’approcher du bar et se servir une coupe de champagne. Elle était vêtue d’une simple nuisette par-dessus laquelle elle avait enfilé une robe de chambre assez courte. Je la trouvais fragile et terriblement désirable. Et vu le regard de Marc, je n’étais pas le seul.
Je glissais ma main dans la poche et, me disant que je n’avais rien à perdre, activais la commande du sex toy que je lui avais rendu et je la vis légèrement frémir. Ses intentions étaient de me passer un message et, même si j’ignorais exactement ce qu’elle attendait de moi, j’étais bien décidé de profiter de la situation.
Les autres n’avaient rien remarqué, évidemment. Je profitais qu’elle était au bar pour glisser à l’oreille d’Alain :
— Vous aimeriez plus que sa petite culotte ?
Il me regarda en fronçant les sourcils, mais ne dit rien. Je me dirigeais vers le bar et glissais à l’oreille d’Ambre :
— Tu te débrouilles comme tu veux, mais tu as dix minutes pour te faire caresser les seins par ton beau-père.
Elle me regarda avec le même air de défi que l’autre jour dans l’amphithéâtre.
— Sinon quoi ?
— Sinon je demande à Marc de nous parler de l’autre jour
Elle rosit un peu, regarda les deux autres hommes en train de boire et me fit un sourire. Sans rien ajouter, elle se dirigea vers eux et s’assit sur les genoux d’Alain. Celui-ci, troublé, me regarda, l’air interrogateur.
Je rejoignais le groupe et sortit de ma poche la petite télécommande. Les autres invités la regardèrent, se demandant ce que c’était. Puis je tournais le bouton d’un cran et là tout le monde la vit avoir un mouvement de hanche, en même temps qu’un léger bourdonnement se faisait entendre.
Elle ouvrit son peignoir, qu’elle fit tomber, se retrouvant en nuisette et petite culote sur les genoux de son beau-père. Je montais l’intensité du sex toy d’un nouveau cran et la vis onduler des hanches. Son beau-père semblait gêné et en même temps excité par le décolleté qu’il avait sous les yeux. Elle lui murmura quelque chose à l’oreille et nous le vîmes passer ses mains sous sa nuisette et lui caresser la poitrine.
Le beau-père semblait ne plus y tenir ! Il souleva davantage la nuisette et l’enleva. Elle se tourna et lui offrit complètement sa poitrine qu’il prit dans sa bouche et qu’il aspira avidement. Le sex toy devait lui procurer beaucoup de plaisir car elle se cambrait plus que nécessaire et nous profitions de la vue qui nous était offerte sur sa culotte. C’est le moment que je choisis pour intervenir.
— C’est bien, tu as réalisé ton premier défi. Maintenant, je veux qu’Alain puisse te caresser. Enlève ta culotte !
Elle se redressa face à nous et j’en profitais une nouvelle fois pour admirer son corps splendide. Sans rien dire, elle enleva sa culotte et me fixa dans les yeux.
— Enlève maintenant les boules de geishas et mets-toi debout à côté de ton beau-père. Je veux qu’il puisse te caresser.
Elle s’exécuta : elle tira sur la petite ficelle qui pendait entre ses jambes, posa le sex toy sur une table et se mit devant Alain, les jambes légèrement écartées. Dans cette position, Alain et elle étaient face à nous.
Alain posa sa main sur sa cuisse et remonta lentement, ce qui lui procura des frissons. Il sembla hésiter un instant, mais sa main arriva doucement sur son sexe qu’il commença à caresser.
Ambre se cambra légèrement, offrant un spectacle à son beau-père qu’il n’était pas près d’oublier. Quant à nous, nous regardions avec avidité la main d’Alain caresser son sexe, puis légèrement écarter ses lèvres pour titiller son clitoris. Elle respirait de plus en plus fort, offrant sa croupe au regard excité d’Alain qui prenait confiance en lui.
C’est le moment que choisit le cuisinier pour débarquer dans la salle en disant :
— C’est bon, j’ai terminé. Je vais
Voyant la mariée nue, les jambes écartées avec les mains de son beau-père qui la caressait, il s’interrompit, surpris.
Ambre se redressa et se cacha le sexe et la poitrine avec ses mains. Cette pudeur étrange me fit sourire. C’est le moment que je choisis pour intervenir.
— Vous allez pouvoir y aller, mais avant vous pouvez demander une chose à Ambre. Une seule chose sauf lui faire l’amour. Exigez, elle fera.
Le chef s’approcha de nous, un sourire aux lèvres. Ambre était toute rouge. Il sortit son sexe et lui dit : « je veux que tu me fasses jouir avec la bouche alors ».
— Fais-le, crus-je utile d’ajouter. Et à quatre pattes.
Ambre s’exécuta. A peine eut-elle pris son sexe dans la bouche qu’il gonfla et quelle commença à l’aspirer. Je regardais le corps d’Ambre en en faisant le tour, terriblement excité. Ses seins pendaient vers le sol et ses tétons tous rose étaient devenus durs. Son sexe était humide et brillant. Nous n’avions tous plus qu’une seule idée en tête : lui faire perdre son pucelage. Mais avant nous avions bien l’intention de nous amuser encore.
Le cuisinier jouit rapidement dans sa bouche. Je vis dans ses yeux qu’il en voulait plus.
C’est Marc qui le premier s’activa. Il prit Ambre dans ses bras et, comme la dernière fois, l’allongea sur une des tables qui nous entourait. Il lui écarta les jambes et commença à lui happer le sexe avec la bouche. J’adorais regarder Ambre prendre du plaisir. Son sexe épilé était magnifique et Marc devait être expert en cunilingus, car Ambre semblait au septième ciel. Lentement il écarta ses cuisses davantage et introduisit dans son sexe offert son index et son majeur. Au bout de quelques secondes de ce traitement il se tourna vers nous et dit simplement : « Messieurs, elle est prête».
— La question, dis-je tout à fait sérieusement, est de savoir qui va la dépuceler.
— Je propose de tirer au hasard dit Marc.
— Je vous laisse faire, dit Alain. J’aurais trop mauvais conscience
Compte-tenu de ce que nous venions de faire, je trouvais sa mauvaise conscience mal placée, mais je me gardais bien de le dire. D’autant qu’en disant cela il s’était approché de la place libre laissée par Marc et qu’il débutait un petit mouvement de rotation avec son index sur le clitoris de Ambre qui ne tarda pas à la faire repartir dans les tours. Je la regardais se caresser les seins pendant que son beau-père lui donnait du plaisir lorsque Marc me dit :
— On choisit à la courte paille. Vas-y !
Je tirai en premier et je gagnais. Le plus beau jour de ma vie !
Le temps du tirage au sort et Ambre avait commencé à faire une fellation à son beau-père. Elle s’activait avec application et il semblait apprécier énormément. Je la laissais finir et observait, non sans m’en étonner, qu’il jouissait dans sa bouche. Il n’était pas pudique pour tout beau-papa
Lorsqu’ils eurent fini, je m’approchais d’Ambre, qui comprit à mon regard ce qui allait se passer. Je la fixais dans les yeux et elle me murmura : « Oui ».
Elle s’allongea de nouveau sur la table et m’offrit son sexe. Je le pris d’abord dans ma bouche pour faire monter son plaisir. J’aspirais son clitoris, ses lèvres et m’arrêtais juste avant son orgasme. Quand je sentis qu’elle était prête, je me redressais et sortis mon sexe en érection. Son regard était rivé dans le mien et j’y lu toute l’envie qu’elle avait que je lui fasse l’amour au plus vite. Je décidais de la faire languir et frottait doucement mon sexe contre le sien. Son plaisir grandissait avec le mien et je la sentais au bord de l’orgasme.
Je la pénétrais tout doucement. Aucun doute, elle était bien vierge et je sentis qu’elle avait eu un petit peu mal. Je m’arrêtais mais elle referma ses jambes autour de mon bassin pour m’inciter à reprendre. Je n’en pouvais plus et la pénétrais à fond. Elle jouit instantanément, ce qui provoqua aussi mon orgasme.
— Encore ! me dit elle.
— Désolé Ambre, il me faut 5 minutes.
— Alain ! Fit-elle se tournant vers son beau-père. Il ne se fit pas prier. Il s’approcha d’elle, la fit se retourner et la pénétra en levrette tout en lui caressant les seins. Marc qui n’en pouvait plus s’approcha d’elle et lui mit son sexe dans la bouche. Elle prenait son pied et nous étions tous les quatre très excités.
Au moment où Alain venait de jouir à nouveau dans le ventre de sa belle-fille, notre quatrième compère, le cuisinier, s’approcha d’Ambre en disant : « A mon tour ! Je suis le dernier, mais je vais te faire hurler. Marc, avec moi, j’ai envie de lui faire une double pénétration ».
Il s’allongea sur le dos et allongea Ambre contre lui pour la pénétrer par derrière et la sodomiser. Il la pénétra d’un coup et je crus qu’il lui avait fait mal. Je compris vite qu’elle adorait ça, au contraire. Ambre étant de face, il lui écarta les jambes tout en continuant ses va et viens pour faire de la place à Marc, qui la pénétra à son tour. Alain se mit derrière elle et lui caressa les seins. La scène était incroyablement excitante. Je sortis de nouveau mon smartphone et entrepris de faire une petite vidéo pour immortaliser le moment : Ambre, ma Ambre était en train de faire l’amour avec trois hommes devant moi. Et elle prenait un pied terrible.
Marc et le cuisiner jouirent tous les deux en même temps et se reculèrent, m’offrant un spectacle qui m’excita de nouveau terriblement : Alain, situé au niveau de sa tête, continuait à lui caresser ses seins. Sous le plaisir qu’elle ressentait, ils étaient ronds, fermes et ses tétons semblaient durs comme du béton. Ses cuisses, encore légèrement écartées me laissaient une vue magnifique sur son sexe humide. Son regard se planta dans le mien et je pus voir tout le plaisir qu’elle ressentait. Son beau-père devait être expert dans l’art de caresser ses seins, car elle semblait à chaque instant sur le point de jouir.
C’est le moment que choisit Anne pour apparaître à l’entrée du salon. Anne était la témoin de Sylvain, sa meilleure amie. Alain et Ambre ne la remarquèrent pas.
Je restais immobile, ne sachant que faire, conscient que chaque seconde qui passait risquait de nous rapprocher d’une catastrophe, mais incapable de trouver une solution pour nous sortir de là. Ou plutôt pour sortir Ambre de là
Anne resta quelques moments interdites, semblant se demander si elle rêvait, puis elle se racla la gorge et tout le monde sursauta. Je la vis faire un petit rictus qui ne présageait rien de bon.
Physiquement Anne était le contraire d’Ambre. Grande, blonde, les yeux noisette, un peu rondouillette sans être grosse. Elle était vêtue d’un jean et d’un tee-shirt qui cachait mal sa poitrine bien ronde. Elle avait un petit minois qui lui donnait beaucoup de charme, mais je ne l’avais jamais trouvée sympathique. Sans doute son amitié avec Sylvain y était-elle pour quelque chose.
Alain se recula immédiatement et Ambre se redressa en cachant ses seins et son sexe avec ses mains. Elle cherchait du regard ses vêtements.
— Si tu tiens à ton mariage, ne bouge pas ! dit Anne de façon très autoritaire.
Elle semblait réfléchir à ce qu’elle allait faire ou dire. Alain ne bougeait plus, ni Ambre. Marc et notre nouvel ami, le cuisinier avaient quant à eux l’air de s’amuser et d’attendre l’épilogue de cette histoire, tout en se demandant comment ils pourraient encore en tirer profit.
Personnellement je n’avais pas grand-chose à perdre non plus, mais je n’avais pas voulu causer du tort à Ambre. Et je me rendais compte que nous avions fait une connerie qui pourrait lui coûter son mariage.
Le temps s’étirait, quand Anne sembla se décider à se rapprocher d’Ambre.
— Qui c’est lui ? demanda-t-elle en désignant le cuisinier.
— C’est la personne qui a préparé le dîner répondis-je.
— Je vois fit Anne. Donc le soir de ton mariage, je te surprends avec ton beau-père qui te caresse les seins et trois hommes en train de regarder ton entrecuisse. J’imagine qu’ils ont
— Je te jure qu’il ne s’est rien passé d’autre, fit Alain dans une tentative désespérée.
— Tais-toi lui répondit Anne d’un ton sec.
Ambre était toujours assise sur le bord de la table, une main sur ses seins et une main sur son sexe. Elle regardait par terre et était toute rouge. De honte probablement.
— Alors à mon tour de m’amuser Tu tiens à ton mariage ?
Ambre ne broncha pas.
— Je suppose que ça veut dire oui. Alors allonge-toi de nouveau.
Comme Ambre ne bougeait pas, Anne répéta :
— Allonge-toi j’ai dit !
Ambre obtempéra.
— Alain : prenez lui les bras et tenez les en arrière, au-dessus de sa tête. Eric, Marc, tenez lui les jambes. Je veux que vous lui écartiez les cuisses au maximum. Je veux profiter du spectacle à mon tour.
Indécis je regardais en direction d’Ambre. Je croisais son regard et ce que j’y vis me troubla. J’eus l’impression qu’elle n’était pas si perdue que ça et que le jeu pouvait lui plaire.
Nous nous approchâmes donc tous les trois et exécutèrent les instructions d’Anne.
— Ecartez les cuisses davantage, je ne vois rien.
Anne se retourna et prit, sur une des tables derrière nous, une petite bouteille d’huile d’olive. Elle s’approcha de nous, ouvrit la bouteille et laissa couler un filet sur le pubis d’Ambre.
Elle reboucha lentement la bouteille, la reposa, et posa sa main sur le sexe d’Ambre. Le cuisiner, qui était resté un peu à l’écart, ne ratait rien de la scène. Ambre frissonna de tout son corps.
Lentement, avec sa main, Anne commença à étaler l’huile sur son sexe d’abord puis, lentement, entre ses fesses.
— Ecartez lui les jambes encore plus je vous ai dit voilà comme ca. Bascule le bassin un peu que je vois ton anus aussi.
Sa main explorait maintenant toute l’intimité d’Ambre. Elle lui caressait le clitoris, descendait le long de ses lèvres jusqu’à son petit trou mignon puis remontait. Lentement Ambre recommençait à respirer de plus en plus fort. Il était manifeste qu’elle prenait son pied.
Anne commença à introduire un doigt de sa main droite dans le sexe d’Ambre tandis que sa main gauche, qui semblait tout aussi experte, caressait son clitoris. Puis soudain elle retira ses doigts de son sexe et les introduisis d’un seul coup dans son anus. Ambre sursauta et commença à gémir de plaisir. Soumise plusieurs fois de suite à ce traitement, il devint vite clair pour tous qu’elle n’allait pas tarder à jouir.
Je dois avouer que j’étais de nouveau très excité. Mon sexe était à l’étroit dans mon pantalon. Mes trois autres compères semblaient d’ailleurs dans le même état que moi. J’en étais là de mes réflexions lorsqu’Ambre eu un nouvel orgasme.
Anne arrêta ses caresses et sembla écarter les lèvres du sexe d’Ambre, pensive, comme pour mieux l’admirer.
— Ne bougez pas, nous assena-t-elle.
Elle se recula, la tête inclinée, fixant le sexe d’Ambre, semblant vouloir mémoriser ce qu’elle voyait. Je compris trop tard ce qui allait se passer : subitement elle sortit son téléphone et prit une photo d’Ambre, le sexe grand ouvert, avec son beau-père debout derrière elle qui lui tenait les mains.
— Il me manquait une preuve. Avec ça je suis sûr que tu vas faire tout ce que je veux et pendant un moment, crois-moi.
Je me sentais stupide. Guidés par notre unique plaisir, nous n’avions pas anticipé ce qui allait se passer. On dit que le sexe rend idiot, mais dans notre cas que je pouvais qu’approuver.
Anne se rapprocha de nous de nouveau. Elle semblait hypnotisée par Ambre. Elle se pencha de nouveau, posa sa main gauche sur le ventre d’Ambre et, d’un seul coup, introduisis l’index de sa main droite dans l’anus d’Ambre. Cette dernière sursauta, ce qui eut pour effet de lui relever encore plus le bassin. Anne se pencha et engouffra le sexe d’Ambre dans sa bouche. Elle aspirait son clitoris, ses lèvres, léchait goulument son sexe, tandis que sa main gauche faisait des va-et-vient entre ses fesses.
Après quelques secondes de ce traitement, Anne releva la tête et nous dit, l’air moqueur :
— Vous n’allez faire que regarder ?
Cette remarque nous fit sortir de notre torpeur. Le top départ était donné. Je lâchais la jambe d’Ambre, qui resta en place de toute façon car depuis bien longtemps maintenant Ambre s’était offerte à Anne.
Alain avait déjà recommencé à caresser les seins d’Ambre. Marc fit le tour de la table et plaça son sexe dans la main gauche d’Ambre qui commença à le masturber. Notre cher cuisinier, qui devait avoir eu son compte pour l’instant, filmait la scène avec son téléphone.
Et moi je me demandais si cette remarque avait pour objet Ambre ou si
A tout hasard, je m’approchais d’Anne. Son tee-shirt était sorti de son jean et, comme elle était penchée sur Ambre, baillait un peu. Je glissais ma main dessous et la posais sur son ventre. Anne ne broncha pas. Elle continua à fouiller le sexe d’Ambre avec la bouche.
Mis en confiance par sa réaction, je me plaçais derrière elle et l’enlaçait en glissant mon autre main sur son ventre tiède. Puis lentement je commençais à remonter.
Je sentis des frissons sous mes mains, qu’elle ne chassait toujours pas. Enhardi par son attitude, je remontais doucement jusqu’à arriver à la base de ses seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Sans doute s’était-elle levée pour boire un peu d’eau et n’avait-elle pas pris le temps de s’habiller.
Ses seins semblaient ronds et fermes. Je montais doucement, savourant le plaisir de la découverte. Comme mes mains montaient sous son tee-shirt, mon bassin se rapprocha du sien et je la sentis nettement se cambrer. Mo sexe, durcit par le plaisir que je ressentais commença à se frotter sur son entrejambe à travers son jean.
Mes mains continuèrent leur exploration. Je saisis d’abord la base de ses seins que je pétris doucement. Ils me semblaient énormes !
Tandis qu’avec sa langue elle fouillait l’intimité d’Ambre, je la vis nettement expirer, comme prise par une bouffée de plaisir.
Mes mains reprirent leur ascension et arrivèrent sur ses tétons. Mon dieu Je sentis les aréoles durcir et ses tétons pointer. Je les saisis entre les pouces et l’index et commençait à les pincer tout doucement. Son mouvement de hanche s’accentua.
Je gardais ma main gauche sur son sein et descendis ma main droite vers son jean. Je glissais, sans plus de préambules, ma main dans son pantalon et, comme prévu, découvris qu’elle n’avait pas de culote non plus. Son sexe était lisse et complètement trempé. Rapidement je trouvai son petit bouton entre ses lèvres commençai à le titiller. Elle semblait au bord de l’explosion. Je dois dire qu’à ce moment de la soirée, Ambre était complètement sortie de ma tête. Alors même que son sexe était à quelques centimètres de moi, en train de se faire dévorer par celle-là même que je caressais.
Sans perdre plus de temps, je dégrafais le Jean d’Anne et le fis glisser par terre. Elle souleva les pieds et l’envoya valser. Comme je trouvais la situation très excitante et que j’avais envie de faire durer ce moment, je pris une chaise et m’assis derrière Anne, qui était penchée sur Ambre. Je glissais une main entre ses cuisses pour lui écarter les jambes. Et là, dans cette position, assis derrière elle qui se cambrait pour m’offrir son intimité, je pris son sexe dans ma bouche et glissais ma langue sur son clitoris. Son corps se tendit d’un coup et je crus qu’elle allait avoir un orgasme.
J’étais comme fou. J’avais passé mes deux bras entre ses jambes ce qui lui empêchait de les resserrer. Mes mains malaxaient ses seins et ma langue fouillait à toute vitesse son intimité. Je passais de son clitoris à ses lèvres, j’introduisais le bout de ma langue dans son intimité et même, à plusieurs reprises, je lui léchais son anus. Elle semblait adorer ça
Enfin, n’y tenant plus, je me redressais et la pénétrais d’un coup. Je sentais mon plaisir monter tellement vite que je doutais pouvoir tenir longtemps.
D’une main je lui caressais les seins, toujours son son tee-shirt et de l’autre je lui caressais le sexe.
Je ne saurais pas dire qui jouit le premier, mais tout s’enchaina très vite. Anne se tendit soudain comme un arc et poussa un long gémissement de plaisir. Ambre enchaina et jouit une énième fois. Marc, qui avait toujours son sexe dans la main d’Ambre éjacula sur son ventre. Et moi je fus pris d’un violent orgasme qui me laissa sans force.
Cette nuit était décidemment pleine de surprises