Prologue.
Il s’appelait Malik et il m’a fait connaître des plaisirs insoupçonnés jusqu’alors. D’anciens voisins avec lesquels nous entretenions de merveilleux rapports (platoniques), possèdent un akita mâle qui, à l’époque, était âgé de 5 ans. Un magnifique chien de grande prestance, le style de bête qui ne vous encourage pas à entrer sans la présence de ses maîtres.
Malgré cela, il n’a jamais montré d’agressivité envers nous et franchissait souvent la clôture séparant nos jardins (je regrette un peu l’ancienne maison où nous habitions, j’aimais à me faire bronzer dans le jardin en été pendant que mon chéri s’occupait du BBQ).
Chaque année, quand ils partaient en vacances, ils plaçaient Malik en pension. Le pauvre, on voyait bien qu’il n’aimait pas ça, car le jour J, il rechignait à monter dans la voiture.
Après en avoir parlé ensemble, mon homme et moi avons proposé de garder Malik pendant le séjour en Grèce de ses maîtres.
Le 31 juillet 2015, Malik est donc venu chez nous pour une période de 2 semaines. Panier, jouets, nourriture, tout son nécessaire l’accompagnait.
La première nuit, il a beaucoup pleuré, même s’il nous connaissait, je crois que son "chez lui" lui manquait. Mon mari est donc descendu dormir dans le canapé afin qu’il ne soit pas seul. Effectivement, ses plaintes ont cessé et le reste de la nuit a été calme.
Le lendemain matin, mon homme n’était pas de très bonne humeur, il avait mal dormi et me tirait un peu la tête comme si j’en étais responsable.
Après discussion, nous avons donc décidé que la nuit suivante, nous prendrions Malik avec nous dans la chambre en espérant que cela se passe mieux.
Le soir, au moment d’aller nous coucher, nous avons pris le panier et l’avons déposé au pied du lit. Malik s’y est directement couché et nous avons pu nous endormir paisiblement.
Paisiblement, oui. Longtemps, non.
Vers 01h30 du matin, j’ai ressenti quelque chose d’étrange sur ma cuisse, j’ai ouvert les yeux et ai vu Malik couché sur notre lit et qui me léchait !
Je l’ai chassé et lui ai indiqué son panier qu’il a réintégré. Moins de 5 minutes plus tard, Malik a encore grimpé sur le lit. Bien qu’il prenait une place énorme, je n’ai pas eu le courage de le chasser à nouveau. Je me suis recroquevillée et collée en chien de fusil contre mon mari.
Et c’est à cet instant que Malik est venu placer sa truffe entre mes cuisses et que sa langue est venue déguster mon entrejambes.
Le souci est que je dors presque toujours nue, surtout à cette période de l’année. Rien ne faisait donc écran et il ne se gênait pas pour satisfaire son désir. Mon premier réflexe fut de me raidir, puis j’ai essayé de repousser sa tête, mais rien n’y faisait et il a une force incroyable. J’ai voulu éveiller mon homme pour qu’il m’aide, mais j’ai eu peur qu’il râle à nouveau. Et pour être totalement honnête, je commençais même à apprécier les coups de langue canins.
Doucement, en faisant attention de ne pas réveiller mon chéri, j’ai soulevé une jambe afin de donner plus d’accès à la truffe de Malik.
Même si sa langue se promenait surtout entre mes fesses, il lui arrivait d’aller jusqu’à ma chatte. Au début, j’ai trouvé ça agréable, mais rapidement le côté agréable s’est transformé en grand plaisir. Sans m’en rendre compte, j’ai poussé quelques soupirs, soupirs qui furent accompagnés de gémissements qui eurent pour effet de réveiller mon homme !
Je ne l’ai pas senti se décoller de moi, pas plus que je n’ai réalisé qu’il nous regardait Malik et moi.
C’est quand il m’a parlé que j’ai ouvert les yeux et me suis rendu compte qu’il jouait au voyeur.
Je crois que j’ai eu la même réaction qu’un enfant prit la main dans la boîte de bonbons, car il s’est mis à rire.
Je vois que vous vous amusez bien tous les 2, vous auriez pu m’inviter à votre petite sauterie.
Bêtement, je lui ai répondu que c’est le chien qui était venu, que je n’avais rien provoqué.
Malik nous regardait tour à tour, pire c’est qu’il avait un air innocent.
Il lèche bien ? me demanda-t-il.
Oui, mais il a l’air de préférer mon cul à ma chatte.
Alors mon homme m’a fait coucher sur le dos et m’a bien écartée, Malik a très vite compris et il est venu me pratiquer un sublime cunnilingus.
Malheureusement, je n’avais pas encore eu d’orgasme que déjà Malik a cessé toutes activités et est retourné se coucher dans son panier.
J’ai regardé mon mari avec ce petit air implorant qu’il connaît bien, il est venu remplacer Malik et a continué le cunni interrompu jusqu’à ce que je jouisse en lui offrant une bonne dose de cyprine.
Nous avons discuté une bonne partie du reste de la nuit, nous demandant si nos ex-voisins utilisent Malik pour pimenter leurs nuits. Question à laquelle la seule réponse ne peut être que positive au vu de ce que je venais de vivre.
Durant les jours suivants, Malik a bien payé sa pension chez nous, il ne fut pas le plus grand des amants, car ses pénétrations s’avérèrent fort brèves, mais sa langue m’a très souvent donné du bonheur, à n’importe quelle heure et n’importe où. Le canapé, à terre, sur le lit, matin ou après-midi et même le soir, je n’avais qu’à mettre mes fesses ou ma chatte à sa hauteur et il s’exécutait.
J’ai fortement aimé à le sucer également, il suffisait de le faire se coucher sur le côté et presque automatiquement il entrait en érection.
Je n’ai eu droit très souvent à son sperme, mais quand il éjaculait, ses jets saccadés duraient un temps assez long.
Quand nos ex-voisins sont revenus de vacances, et ont récupéré Malik, parmi leurs questions, ils demandèrent si Malik s’était bien comporté.
Lorsque j’ai répondu que oui et qu’il avait été très coquin, ils se sont regardés d’une façon qui me laisse à croire qu’ils m’ont bien comprise.
Nous n’en avons jamais parlé avec eux, mais bizarrement, ils nous ont demandé à plusieurs reprises de garder Malik pour une nuit.
Je suis certaine qu’ils savaient que nous nous amusions de la même façon que certainement eux le faisaient avec Malik.
Mais le sujet est très délicat, nous n’étions pas assez intimes pour l’aborder.