Le premier chapitre est soft, mais les choses sérieuses arrivent au second chapitre !
Je m’appelle Alexandre, j’ai 17 ans et j’étais en première. 1 mètre 86, brun, les yeux verts, et un corps plutôt musclé par la pratique intensive de la natation. En effet, je fais partie du CREPS d’Antibes. C’est d’ailleurs dans cette ville que s’est déroulée cette histoire.
Comme dit plus haut, je suis en classe de première scientifique. Nous sommes 39 dont la moitié sont des filles. Et pourtant, une seule attire mon regard depuis le début de l’année scolaire. Elle s’appelle Caroline, elle a 18 ans, blonde au yeux bleus et, contrairement aux préjugés, d’une intelligence remarquable. Toutes ces qualités étaient sublimées par une superbe poitrine, 85D à vue dil, et d’une paire de fesses qui faisait se retourner tous les hommes dans la rue. Je fantasmais, comme jamais je n’avais fantasmé sur une femme. Pas seulement pour son physique incroyable mais bien parce qu’elle représentait, pour moi, larchétype de la femme parfaite !
Au fur et a mesure du temps nous nous sommes rapprochés, pour finalement devenir amis. Et oui, je sais Mais, malgré les apparences, je suis quelqu’un de plutôt timide. Les vacances de Pâques arrivèrent à grands pas. Et c’est là que je reçus un appel de Caroline :
Alex ? C’est Caro.
Oui, tu vas bien ?
Pas vraiment, faut qu’on parle.
Ok passe à la maison si tu veux, mes parents sont partis bosser, personne ne nous entendra.
Merci, j’arrive. A tout de suite.
Une vingtaine de minutes plus tard, je l’entendis frapper à la porte. J’allai lui ouvrir, la fit entrer :
Tu veux boire quelque chose ?
Non.
Ok, viens, on monte.
Nous montâmes dans ma chambre, et elle explosa en pleurs dans mes bras. Je la serrai donc contre moi.
Qu’est ce qui se passe ?
C’est Quentin, il m’a quittée
Quentin était un mec de terminale. Un vrai con. Cela faisait un mois et demi qu’ils étaient ensemble.
Oh Caro
On venait de le faire Cétait samedi à une soirée, jétais bourrée et
Je ne savais pas quoi lui répondre ! J’étais tiraillé entre la joie qu’elle ne soit plus avec lui et la tristesse qui la rendait à ce point malheureuse. Elle continua :
Pourquoi ? Pourquoi est-ce que je tombe toujours amoureuse de cons, d’enfoirés, qui ne pense qu’à me baiser et à se casser ensuite ! Je ne suis donc bonne qu’à ça ?
Je t’interdis de dire ça !
Alors donne-moi une réponse !
Peutêtre parce que ces mecs-là ont une force de caractère, un tempérament, qui leur permettent d’aller vers des filles comme toi plus facilement Beaucoup n’osent pas le faire, et ce sont peutêtre ceux-là qui sont véritablement amoureux de toi !
Merci, Alex. Merci
Y a pas de quoi, c’est normal.
Toujours enlacés, assis sur le lit, elle me regarda puis elle approcha lentement son visage du mien et finit par m’embrasser. Au fond de moi, j’exultais ! Je lui rendis son baiser. Il fut passionné, langoureux. Elle finit par se détacher de moi, me regarda dans les yeux et me poussa de telle sorte que je me retrouvai allongé sur le lit. Elle enleva son haut, puis son soutien-gorge, afin que je puisse découvrir son incroyable poitrine
La suite, si vous aimez !
