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Amélie, petite femelle – Chapitre 1

Amélie, petite femelle - Chapitre 1



J’en avais assez de ces soirées chez François et Valérie.

Après mon divorce il y a 2 ans, la première année avait été assez catastrophique sur le plan social. Je restais chez moi, incapable de rencontrer qui que ce soit, y compris mes meilleurs amis. Je finissais même par refuser les invitations chez mes parents où je retrouvais mes 3 frères et surs avec leurs conjoints et leurs enfants.

Bref, je m’enterrais et ma vie devenait un enfer duquel je ne me voyais pas sortir.

Et puis, il y a environ une année, arrivé à la cinquantaine, je me suis dit qu’il était hors de question de sombrer et j’ai commencé à sortir de mon trou.

Au début, les soirées de François et Valérie m’amusaient, m’intéressaient. J’y faisait quelques rencontres de personnes agréables et je reprenais une vie sexuelle oubliée depuis plus de 12 mois.

Mais leur idée de me « caser » à nouveau commençait à me peser.

Je me rendais donc à ce dîner sans entrain particulier.

Nous étions huit. Deux couples, alibis, et quatre célibataires. Agathe, grande brune assez gauche, hôtesse de l’air de son état. Une fille qui parlait beaucoup mais ne convainquait personne. Et Amélie, jolie petite brunette de 36 ans qui était installée en face de moi. Comme toutes les discussions entre gens qui ne se connaissaient pas, nous parlâmes du temps, de la pollution, de la politique, des vacances… Bref, de sujets bien anodins. Incontestablement, Amélie s’intéressait à ce que je disais et son discours me plaisait beaucoup. Bref, pour une fois, ce dîner était, pour moi, réussi.

Elle était nantaise et à Paris pour une quinzaine de jours. Son hôtel était sur ma route pour rentrer à la maison et c’est bien naturellement que je lui proposai de la déposer. Nous quittâmes donc le dîner et fîmes la route ensemble.

La conversation continua dans la voiture et je remarquai notre convergence de point de vue sur bien des sujets divers, que je ne lui déplaisais pas et qu’elle ne me déplaisait pas non plus.

En conséquence, à mon âge, garé sur un emplacement de livraison à 50 mètres de l’hôtel, je me retrouvai à lui rouler une pelle mémorable en malaxant ses petits seins à travers son corsage tandis qu’elle frottait mon pantalon.

— Tu veux monter ? Me dit-elle.

— Tu as un grand lit ? Répondis-je.

Des gamins vous dis-je.

Elle se décolla de ma bouche et se réajusta. Nous sortîmes de la voiture, passâmes la porte de l’hôtel et devant le portier et montâmes dans la chambre.

A peine refermé la porte, elle me plaqua contre le mur et vint se coller contre moi. Elle remonta sa jambe droite et sa jupe glissa vers le haut. Je prenais sa bouche, sa langue avec avidité, elle faisait de même. Dans ma situation collé au mur, elle avait la maîtrise de la situation. Cela ne pouvait pas durer. Je la saisissais par les fesses, la soulevai et vint la plaquer sur le mur opposé. Je m’écartai d’elle et commençai à déboutonner son chemisier. Elle faisait de même de ma chemise. Je découvrais un soutient-gorge en dentelle blanc qui ne résista pas longtemps. M’apparurent 2 petits seins fiers et fort mignons qui se tendaient vers moi. De petites aréoles claires n’attendaient que ma bouche et mes mains. De son coté, elle retira ma chemise, s’agenouilla, descendit mon pantalon et mon caleçon et d’un seul coup avala ma bite que n’attendait que ça.

J’adore les femmes qui agissent ainsi, prenant les choses en main, ou, dans son cas, en bouche. Je sentais mon sexe qui se baladait dans sa bouche. Elle l’enroulait de sa langue, jouait avec lui, l’aspirant, le tétant, soufflait dessus pour le faire ressortir et l’aspirant tel un spaghetti pour le reprendre.

Ce travail produisit bien entendu rapidement son effet et quelques instants plus tard, j’étais armé d’un braquemart de belle taille qu’elle suçait maintenant goulûment. Je prenais sa tête de mes mains et débutai mes mouvement de va et vient. Sa tête bloquée derrière par le mur ne pouvait éviter mes assauts que je faisais plus vigoureux maintenant.

Je me retirai d’elle, la pris par dessous les épaules et la remontai. A mon tour, je finissais de la déshabiller, lui ôtant sa jupe et son tanga tandis qu’elle se débarrassait de ses chaussures. Nous reprîmes nos baisers fougueux collés l’un à l’autre. A nouveau, je la saisi au dessous des fesses. Je la soulevai et la portai sur le lit ou nous serions à l’aise pour nos ébats. Je me mis devant elle. Elle écarta ses cuisses de manière obscène.

— Baise moi, prends moi, j’en peux plus . Ca fait 6 mois que je me suis pas fait tirer, il me faut une bite.

Je posai mon gland sur sa vulve, cherchai son entrée, la trouvai et m’enfonçai d’un seul coup dans son antre brûlante. Elle dégoulinait de jus de femelle et mon vit faisait des plop plop tandis que je lui labourai le ventre. Elle se tordait sous mes coups que je rendais de plus en plus rapides. Elle me regardai et ses yeux dardaient vers moi des éclairs de plaisir. Elle attrapa de sa main gauche son sein droit auquel elle appliqua un vigoureux malaxage, jouant avec ses globes, massant ses aréoles et tirant fortement ses tétons qui s’érigeaient à vue d’il

De son autre main, elle s’administrait une masturbation clitoridienne d’anthologie, massant son bouton avec force, appuyant dessus, tournant autour. Elle se décapuchonnait, faisant sortir son bouton maintenant turgescent.

— Tu es trempée Amélie, je sens ma queue gonflée dans ton ventre.

— Oui, je te sens bien aussi, vas-y, bourre moi, putain, défonce moi la chatte.

— Tourne toi salope, je vais te mettre en levrette, j’adore avoir une petite chienne à ma disposition.

— Tu aimes çà hein Xavier dit-elle en se retournant et se cambrant Tu aimes voir une fille dans cette position hein ? Tu aimes les petites chiennes ?

— Tu vas voir Amélie.

Elle était à 4 pattes devant moi, attendant bien sagement que je la monte. Son entrée luisait de cyprine et je m’introduisis d’une seule pénétration, reprenant mes coups de boutoir de plus en plus rapides. Elle bougeait admirablement sous moi, imprimant à son bassin des mouvements de va-et-vient synchronisés sur les miens qui décuplaient notre plaisir.

Dans cette position m’apparaissait sa petite rondelle sombre qui, tel un petit il, me regardait, semblant m’appeler.

Je posais mes mains sur son dos, lui indiquant que je souhaitai qu’elle s’allongea. Elle posa d’abord la tête sur le lit, puis déroula son ventre, son bassin en ses jambes. Je pesai de tout mon poids sur elle.

— Attends Amélie, j’ai très envie, je vais t’enculer.

— S’il te plaît, on ne m’a jamais fait ça, tu vas me faire mal.

Je ne répondis rien, sorti de son ventre et posai mon gland sur son anus resserré. La première tentative d’intromission fût un échec. Elle était serrée au possible. Je me soulevai un peu, posai mes mains sur ses fesses, les écartai, reposai mon gland et poussai d’un seul coup. L’anus céda, Amélie poussa un long râle de douleur tandis que mon sexe, coulissant maintenant tout seul, pénétrait son étroit fourreau. Je l’embrochai jusqu’à la garde et commençai à lui ramoner le cul.

Elle couinait sous moi, mais commençait à se dodeliner. Je sentais que, petit à petit, la douleur se transformait en plaisir. Elle passa sa main sous son ventre et la dirigea vers son entrejambe. Je savais qu’elle était en train de se masturber.

— Tu vois, tu aimes petite chienne.

— Oui, c’est bon, je la sens bien.

— Tu es très étroite. Je sais que rien n’est jamais passé par là.

— Non, rien, jamais.

— Maintenant, je vais te ramoner pour bien te faire le cul salope. Remets toi à 4 pattes.

Je me retirai d’elle. Je sentis encore une petite appréhension de sa part quand mon gland passa l’anus. Elle se remit à 4 pattes et, cette fois, s’écarta les fesses. L’anneau palpitant me rendait fou. A nouveau je me posai dessus et le pénétrai d’un coup.

Ce mouvement associé à sa masturbation déclencha chez elle un orgasme qui la fit vibrer de tout son long. Je la laissai se reposer quelques instants, puis, je m’accrochai à ses hanches et nous recommençâmes notre ballet.

Elle faisait maintenant jouer son rectum pour modifier la pression qui s’appliquait à mon sexe. De mon coté, jaccélérai et ralentissais mon mouvement, faisais bouger mon bassin pour occuper toutes ses entrailles. Elle appréciait et me le faisait maintenant savoir par ses petits cris, ses petits couinements.

Ce travail fini par produire son effet et je répandis au fond de son cul mon foutre blanc.

Je restai ainsi quelques instants, soufflant et reprenant ma respiration.

Je me dégageai d’elle. Elle se retourna et me regarda.

— Accroupie toi lui ordonnais-je.

Ce qu’elle fit.

— Pousse doucement et regarde ce que je t’ai mis.

Elle m’obéit.

— Goûte !

Elle fit descendre sa main doucement vers son anus et récupéra un peu de mon sperme. Elle la remonta et la passa sous son nez pour humer l’odeur de foutre, puis, elle la porta à sa bouche. Elle suça son doigt. Le goût lui plut et elle retourna fouiller son cul. Elle me regardait langoureusement.

— C’est bon Xavier, c’est fort, c’est si bon.

Je me redressai et m’approchai d’elle. Mon vit maintenant flasque pendait devant elle. Elle s’approcha elle aussi, vient le renifler, sorti sa petite langue et du bout vint le toucher. Elle leva les yeux vers moi, interrogateurs. Je lui fit comprendre que je n’attendais que ça. Elle ouvrit alors la bouche et m’engloba à nouveau, lavant ma queue de toutes ces traces…

— Elle est bonne Xavier. Elle a bon goût.

Quand elle eu fini, nous allongeâmes côte à côte. Elle vint dans mes bras et nous nous endormîmes, repus par cette expérience.

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