A la suite de notre séance de baise, nous nous étions revus Amélie et moi durant les quinze jours de sa présence à Paris. Sur le plan sexuel, nous nous entendions de mieux en mieux. Nous nous rencontrions régulièrement soit à son hôtel, soit chez moi et si les murs avaient pu parler, ils en auraient raconté de bien bonnes.
Son coté soumise transparaissait de plus en plus et une relation D/s se mettait doucement en place.
Après son retour à Nantes, notre relation pris un tour, évidemment, différent. Il n’était pas, pour le moment, question d’un rapprochement. Elle vivait à Nantes, moi à Paris.
Nous conversions donc à l’aide de tous les moyens que la technologie met à notre disposition. Smartphone, téléphone, ordinateur, chat, Skype…
Un jour, alors que nous chattions sur nos sujets de prédilection, je tombais sur un site zoophile. Les explications que j’y trouvais et les photos que je voyais excitaient mon instinct de mâle.
Devais-je en parler à Amélie ? Comment réagirait-elle ? Le mieux était de lui montrer. Elle me dirait bien ce qu’elle en pensait. Je lui envoyais donc les liens vers le site et l’interrogeais. Sa réaction fût étrange, mélange de peur et d’excitation.
— Tu veux je fasse ça ? Me dit-elle. Que je me fasse monter par un chien ? C’est quand même très humiliant.
— Je ne veux rien. Je suis tombé sur ce site et je te fais part de mes découvertes. Je souhaite juste que tu y réfléchisses. Si ça te fait peur ou si ça te répugne, n’en parlons plus.
Nous continuâmes alors notre chat en parlant d’autres choses.
C’est Amélie qui revint sur le sujet 2 ou 3 jours plus tard. Cet qui n’était pour le moment qu’un fantasme semblait la titiller et s’insinuer plus profondément dans son esprit. Elle me révéla qu’elle avait fait pas mal de recherches sur le sujet, s’inscrivant sur des forums, posant des questions, cherchant films et photos.
— Tu penses que tu pourrais m’organiser une… séance ? Me demanda-t-elle lors d’un coup de fil durant lequel nous parlâmes beaucoup de cette nouvelle expérience.
— Je vais essayer. Je ne connais personne dans ce milieu et, pour avoir fait quelques recherches aussi, je sais qu’il ne servirait à rien que j’achète un chien. Il faut le former avant de le faire monter une femme et je ne saurai vraiment pas par quel bout prendre la chose… Si je peux m’exprimer ainsi.
Elle rit à ce jeu de mots. J’adore son rire. C’est une fille pleine de charme, menue et très mignonne. La paradoxe de la conversation ressortait. Nous devisions comme si de rien n’était et, pourtant, Amélie était en train d’envisager de se faire monter par un chien. Les sites zoophiles que j’avais parcourus semblaient tous dire que tout cela était normal, la situation était quand même bizarre.
Je poussais donc plus loin mes investigations.
Je retournai sur ce forum, m’inscrivais et commençai à discuter avec différents membres. Il me fallut plusieurs jours pour trouver une personne que me semblait digne de confiance.
Il habitait dans le nord de Paris. Je lui expliquai en gros la situation et nous convînmes d’un rendez-vous pour discuter des modalités.
Georges était un type d’une quarantaine d’années, sympathique et enjoué. Il état blond et plutôt grand. Il possédait un rottweiler qui était éduqué de longue date. Sa copine, avec laquelle, me dit-il, il se gardait bien de vivre, se faisait monter 3 à 4 fois par semaine. Cela lui laissait le temps de « louer » les services de Sherrif, son chien.
Nous décidâmes donc la chose suivante. Je viendrai un samedi chez lui avec Amélie. Ni dans mon esprit, ni dans celui de Georges, nous ne souhaitions forcer une personne qui n’aurait pas envie de faire quelque chose. Amélie aurait donc quoi qu’il arrive le dernier mot, et ce jusqu’au dernier moment.
En revanche, Georges souhaitait bien entendu prélever son dû et, à moins qu’Amélie ne nous le dise au moment de la présentation (et si c’était le cas, nous partirions immédiatement), il souhaitait que je la lui prête.
Je fis part des conditions à Amélie. Elle les accepta.
15 jours plus tard, elle prenait donc le train dans la soirée de vendredi et vint chez moi. Après une nuit des plus torrides (plus encore que les précédentes, était-ce l’idée de cette saillie qui nous rendaient ainsi ?), nous prenions la voiture pour nous rendre du coté de Creil dans le nord de Paris.
— Hello Georges, voici Amélie, ma soumise.
— Bonjour Monsieur, répondit-elle.
— Amélie, les termes du contrat sont limpides, si tu souhaites partir, c’est maintenant qu’il faut le dire. Après, il est clair qu’au moins Georges te possédera.
Elle regarda Georges, me regarda, mis ses mains dans son dos et baissa la tête en signe de soumission.
— J’accepte. Georges, quoi qu’il arrive, je serai vôtre et probablement je serai aussi la chienne de Sherrif.
— Bon, tout va bien alors, dis-je
— Entrons, répliqua Georges.
Sherrif nous fît une grande fête en passant le seuil de la porte.
— Vas coucher, lui intima Georges.
Il obtempéra immédiatement.
— Quelle persuasion ! Fis-je
— C’est obligatoire avec des chiens comme ça. Il faut être capable de les arrêter d’une seule parole. C’est un alpha, mais très bien dressé. Et pas uniquement à baiser des filles…
Georges prît Sherrif par le collier et l’amena dans une pièce contiguë.
— Bien, je vous propose que nous commencions Dis Georges – Amélie, tu souhaites être excitée ? Vous voulez commencer tous les deux avec Xavier ? Ou avec moi ?
— Elle va commencer avec moi si tu veux bien. Mais tu peux bien sûr regarder et tu viendras participer rapidement. Amélie, déshabille toi.
Je faisais de même et Georges se mit aussi à l’aise, ne gardant que son caleçon.
Amélie nous apparut, dans le plus simple appareil. Elle était une belle brune d’1m63. Sa peau était blanche et ses petits seins tenaient fermement en place malgré la pesanteur.
La pièce était bien aménagée et, au sol, se trouvaient des tapis moelleux qui sauraient nous accueillir. Amélie, bien formée maintenant, se mit à 4 pattes sur le tapis, posa la tête sur le sol et écarta les fesses de ses mains.
— Maître, si vous le souhaitez, je suis à vous.
Je me plaçais donc derrière elle. La situation l’avait excitée au plus haut point et elle dégoulinait de cyprine. Je m’introduisit dans son ventre avec aisance et facilité. Je commençai à la baiser et tirai d’elle quelques petits couinements de plaisir. Georges vint se placer à sa tête en ôtant son caleçon. Sa bite était déjà ferme et vigoureuse.
— Relève-toi ! Ordonnais-je.
Amélie se remit sur ses pattes avant. Elle ouvrit la bouche et prit Georges.
J’adore ce tableau d’une petite femelle à 4 pattes, embrochée par devant et par derrière. Nous nous regardâmes avec Georges afin de synchroniser nos mouvements pour lui donner le plus de plaisir possible et la rendre encore plus dégoulinante de mouille.
— Je te conseille de ne pas décharger dans son ventre maintenant – me dit Georges Le mieux, si tu veux mon avis, c’est de venir dans sa bouche pendant que Sherrif la monte si possible. Sinon, tu pourras la re-monter après, soit dans son ventre si tu le souhaites, soit dans son cul si tu ne souhaites pas te mélanger à la semence de Sherrif.
Je me dégageai donc d’Amélie et Georges fît de même.
Georges s’agenouilla devant Amélie.
— Nous y allons maintenant ? J’appelle Sherrif ? Tu souhaites faire ce pour quoi tu es venue ? Pas de contrainte ? C’est ton choix ?
Je venais au coté de Georges pour regarder la soumise qui allait, ou non, sauter le pas et devenir une chienne.
— Oui Maître, oui Monsieur. Je le veux. C’est ma décision de me faire monter par Sherrif maintenant. Ma matrice de femelle brûle d’accueillir son sexe.
— Bien… Pose la tête sur le sol maintenant, cambre toi bien en levant les fesses ordonna Georges à Amélie Tu vois – me dit-il – c’est la meilleure position pour une intromission canine. Sa taille fait qu’elle est à la bonne hauteur pour Sherrif. Ses pattes arrières vont pouvoir toucher le sol et il pourra rester verrouillé plus simplement. Nous verrons si la chose est possible, mais je souhaite qu’elle sa fasse aussi knoter afin de parfaire sa formation.
— C’est toi le pro répondis-je. Je te fais confiance.
Georges se leva et alla chercher Sherrif dans la pièce à coté.
Je caressai le dos d’Amélie, passai mes mains sur ses fesses et sur son con qui luisait de jus, continuai vers le ventre par son entrejambe. Je venais aussi palper ses seins qui reposaient sur la tapis, écrasés par son poids.
— C’est le dernier moment pour renoncer Amélie. Si tu souhaites qu’on arrête, c’est maintenant. Quand Georges va rentrer avec Sherrif, je pense que le chien va agir très vite. Plus de rétractation possible.
— Oui Maître. Je sais que je vais devenir une chienne, je sais que je ne pourrai plus jamais oublier que j’aurai servi de vide couille à un Rottweiler.
Georges poussa la porte. Le chien, habitué semble t il à la chose compris ce que l’on attendait de lui. La pièce, j’imagine, devait sentir le sexe pour un odorat aussi développé que le sien. Il vint derrière Amélie et commença à laper sa vulve.
A la première léchouille, Amélie poussa un long soupir…
— Hum… sa langue est rappeuse… C’est bon… il me lèche les fesses aussi…
— Tu dégoulines de jus de femelle dit Georges Tu en as plein les fesses. Il adore ça. Il va te nettoyer à fond avant de te monter.
Sherrif continuait. Sa longue langue passait sur toute les parties mouillées de cyprine, cuisses, vulve, fesses.
Amélie se dodelinait lentement, son bassin commençant à bouger d’avant en arrière. Elle cherchait la copulation. Georges remarqua la chose et se remit à la tête d’Amélie.
— Allez, vient bon chien… Allez Sherrif, allez fit-il en l’attirant vers lui.
Sherrif ne se fit pas prier. Il passa au dessus d’Amélie et vient coller ses pattes arrières contre les cuisses de la soumise.
Son sexe rouge, long et duquel perlaient quelques gouttes chercha un instant l’entrée de celle qui dans quelques secondes allait pour la première fois de sa vie s’accoupler à un chien. Sherrif trouva l’entrée… Et s’y introduisit. Amélie poussa un long râle. Le chien commença à la bourriner à toute vitesse. Ses pattes arrière bougeaient sans cesse et l’on voyait bien qu’il cherchait la meilleure position pour emplir la femelle qui se trouvait sous lui. Il la trouva, ralentit ses mouvements et se bloqua sur sa chienne.
— Je… c’est… on dirait qu’il y a quelque chose qui grossit… C’est quoi ? C’est quoi ? Cria Amélie.
Georges pris sa main pour la calmer.
— C’est normal Amélie. C’est son bulbe. C’est une excroissance qui gonfle quand il copule et qui lui permet de se bloquer dans sa femelle. Vous êtes maintenant verrouillés. Il ne faut surtout pas essayer de te dégager, c’est très gros et tu pourrais te faire mal. Il va éjaculer sans arrêt maintenant et le bulbe va bloquer sa semence qui ne pourra pas ressortir. Tu vas sentir que ton vagin se remplit.
Georges fit le tour de la soumise et vint se placer derrière. Il souleva la queue de Sherrif et m’appela.
— Regarde, tu vois, le sexe est au fond d’elle et tu vois la base du bulbe ici, entre ses lèvres. Elle est complètement remplie par Sherrif maintenant. Tu vois les contractions de l’anus du chien. A chaque fois, un jet de foutre s’ajoute aux précédents.
— Oui, je sens… un liquide chaud… Mais ça grossit encore… Il va me déchirer.
— Non, ne t’en fais pas… Il a atteint sa taille max.
Sherrif se mit à bouger… Je ne comprenais pas ce qu’il désirait faire.
— Il veut juste changer de position… Je vais l’aider.
Georges passa les pattes avant par dessus Amélie, puis la patte arrière gauche en le faisant tourner vers la droite. Le bulbe tournait dans les chairs d’Amélie, déclenchant chez elles des vagues de plaisir. Une vague fût plus forte que les autres et elle poussa un long râle. Elle jouissait. La femelle, non contente de s’accoupler à Sherrif venait aussi d’en tirer un plaisir divin.
Les 2 se retrouvèrent cul à cul, la queue de Sherrif battant les flancs de la chienne.
— Redresse toi maintenant ordonna Georges – Xavier, puis-je passer le premier ?
— Oui, bien sûr répondis-je
Georges tira une petite chaise recouverte d’un coussin qui avait juste la bonne hauteur. Il se plaça devant Amélie et fourra sa queue dans sa bouche.
Les mouvements étaient arrêtés au niveau du bassin mais reprenaient du coté de la tête. Georges ramonait la bouche d’Amélie qui couinait comme une petite femelle. Il ne fallut pas longtemps au propriétaire de Sherrif pour libérer une belle quantité de semence nacrée et chaude.
— Laisse la dégouliner doucement de ta bouche. Sherrif adore.
Ce que George commanda, elle le fit. Et elle commença à baver un long filet de foutre.
— Avale le reste commandais-je
Puis je m’installai aussi sur la chaise. Elle me prit en bouche et débuta une fellation comme jamais elle ne m’en avait prodigué. Je vint aussi rapidement que Georges et lui ordonna la même chose. Le long filet de foutre sortait de sa bouche et dégoulinait par terre. Je le pris de ma main et l’étalai sur son visage. Sherrif allait se régaler.
De son coté, il commençai à tirer sur son nud pour sortir de l’antre qu’il avait investie. Le bulbe était encore gros et quand il tirait dessus, Amélie était obligé de suivre. Et puis, tout à coup, la vulve céda. Le braquemart de Sherrif sorti du ventre de sa conquête dans un énorme « plop » Amélie dégoulinait de la semence canine. Le liquide blanc sortait à grand trait de son ventre… Elle se recroquevilla dans la position ftale et se mit à trembler. Un second orgasme la parcourait.
— Allonge toi lui intima Georges Sherrif va venir te lécher
Bien dressé, le chien fît ce que son Maître avait annoncé, il lapa le corps de celle qu’il venait de monter, de ses cuisses dégoulinantes à son visage collant.
— Ouf, quelle partie fis-je en épongeant la sueur sur mon front.
— Tu l’as dit répondit Georges C’est une bien belle petit chienne dont tu viens d’hériter… J’ai déjà dépucelé, zoophilement parlant, pas mal de filles, mais je dois dire que celle là s’est laissée monter comme un vrai animal.
Amélie se leva, je lui ordonnai de se rhabiller sans se laver. Elle monta dans la voiture, non sans avoir embrassé Sherrif sur sa truffe… Baisé auquel il répondit par un petit coup de langue. Du sperme restait encore un peu sur ses joues.
— Salut Georges, merci beaucoup pour cette initiation. Je te suis reconnaissant d’avoir fait de cette femme une vraie femelle.
— Pas de problème Xavier. Revenez quand vous voulez. On pourra peut-être même essayer à 4 avec ma copine ?
— Ca peut peut-être se faire. Je te rappelle rapidement.
Nous partîmes de chez lui à l’heure du déjeuner…
J’avais faim. Amélie aussi. Je décidai que nous irions au restaurant sans repasser par la maison. Elle allait donc sortir dans l’état dans lequel elle était. Je m’en délectai d’avance.