Marc appuie sur les épaules de la jeune femme. Il accompagne son geste par la parole : « Mets toi à genoux maintenant, ma puce ». Se mettre à genou ! Mon dieu, non ! Mais si, elle va sagenouiller. Cest écrit. Ses jambes plient. Comment lutter contre la volonté inflexible de Marc ? Il est plus fort qu’elle. Voici que ses genoux touchent le bac de douche froid et son visage se retrouve à hauteur des deux membres dressés. Elle est aux pieds des deux hommes. Rabaissée à en être terriblement excitante, à en être profondément troublée. Elle ne sappartient plus. Raphaël grogne dimpatience. Il tient son engin adipeux dans sa main et sans cesser de le branler, il le rapproche toujours plus de la bouche de la jeune femme. Lodeur aigre et rance qui sen dégage rend ce sexe dautant moins appétissant. Dans une grimace de dégoût, elle détourne la tête. Elle sait qu’elle ne fait que retarder léchéance. De toute façon, elle est cernée et en esquivant la queue de Raphaël, sa bouche se retrouve juste en face de celle de Marc. Alors ce dernier lui caresse tendrement le visage et sadressant à Raphaël : « Elle veut dabord commencer par la mienne. On va lui apprendre ». Le gland pousse contre ses lèvres, la deuxième main de Marc se pose sur sa joue, les doigts larges encadrent son visage, le soulève légèrement. Alors, elle lève les yeux, elle a envie de pleurer. Elle a tellement honte. Mais le regard de Marc, nest pas agressif, ni méprisant, au contraire, son sourire ne peut être plus encourageant. Elle na quà laisser faire Entrouvrir les lèvres Accueillir la turgescence dans sa bouche. Et se laisser guider par la voix de lhomme : « Laaaa ma puce. Cest bien. Ouiii. Épouses bien la queue avec tes lèvres. Comme çaaaa. Doucement sur le gland, voila, cest la partie la plus sensible. Doucement et aevc la langue comme je tai appris. Aspire maintenant plus fort à mesure que tu enfiles la tige. Fais un mouvement de va-et-vient avec ta jolie bouche Tu vois, ouiii. Alterne la pression ma puce, doucement sur le gland et plus fort à mesure que tu entres plus profondément la queue en bouche. Détends toi, je ne vais pas te la mettre trop profond. Làà Juste comme ça. Ouii. Cest toi qui contrôles ma toute belle, cest toi qui donnes le plaisir. Voila Humm, cest bon Amélie. Ta bouche est bonne. ÔOhh, tu sens comme ma queue est dure ? Ouiii, tu es bonne, tu sais !!! ». Quelle étrange impression. Ce membre qui lui remplit la bouche. Cette sensation animale, bestiale même, dutiliser ainsi son orifice buccal comme un vagin, davoir une conscience, une connaissance, aussi intense, aussi intime, du plaisir quelle délivre au mâle. Si seulement ce nétait pas aussi obscène de faire ça Si seulement lautre porc navait pas les yeux fixés sur la scène. Si seulement elle ne sexhibait pas ainsi Si seulement elle nallait pas devoir ensuite faire pareil avec ce porc. Elle lentendait souffler, grogner, marmonner des insanités Et ce sexe qui coulisse dans sa bouche avec tellement daisance, pourtant il est si gros, si puissant Raphaël qui manifeste de plus en plus son impatience. Marc qui extirpe doucement son engin. Un peu de salive séchappe en même temps des lèvres dAmélie. Nest ce dégradant ? Sale ? Ne doit-elle pas essuyer sa bouche. Elle avance sa main. Marc devance le geste de la jeune femme, en lui caressant encore plus tendrement le visage. Sa voix est si encourageante, apaisante : « Chutte ma puce, tu es si belle. Tu es merveilleuse, tu sais ». Alors elle laisse retomber ses bras le long du corps. Elle déglutie la salive qui sest accumulée dans sa bouche. Et « Ouvres salope ! ». Elle sursaute ! La voix de Raphaël et surtout sa masse qui a envahi tout lespace. Ses mains rugueuses se saisissent de son visage. Sa queue force les lèvres de la jeune femme. L’ordre se fait de plus en plus impérieux : « Allez ouvres salope ! Mais ouvres putain ! ». Alors elle ouvre la bouche. Elle regarde inquiète Marc pour quil laide, la soutienne, la protège. Dun mouvement de tête, il lencourage. Lautre prend possession sans ménagement de son palais. Il éructe : « Chienne, ohh la chiennneee ». Très vite, il tente denfoncer profondément sa bite. Elle a un haut le coeur ! Elle a peur de sétouffer. Marc intervient subtilement. Sadressant à Raphaël : « Elle a quand même de sacrés beaux nichons la salope. Regardes comme elle a les tétons qui pointent ». Et joignant le geste à la parole, Marc pose sa main sur le sein droit de la jeune femme et se met à le masser à pleine poigne. Le leurre fonctionne et Raphaël relâche la pression sur la tête dAmélie et se saisit de lautre sein. Marc saisit alors la main dAmélie pour quelle la pose sur lengin de Raphaël. Elle ne comprend pas tout de suite pourquoi il agit ainsi, mais elle sait quelle doit lui faire confiance. Marc dit alors à loreille de la jeune femme « Prend sa queue dans la main. Branles le tout en le suçant. Tiens la par la racine Comme ça. Tu comprends ? ». Oui ! Amélie comprend quainsi elle empêche Raphaël de senfoncer trop profondément dans sa gorge. Alors elle synchronise la succion délicate du bout de la queue et le mouvement de branle plus énergique du reste de la hampe. Et le plus vite sera le mieux. Sa bouche devient plus avide, ses doigts plus vicieux. Et leffet ne se fait pas attendre. Raphaël râle : « Ohh elle va me faire venir laaaa Chienneeee Plus vite, plus vite ». Elle accélère. Elle va la faire cracher. Ça gonfle Le porc trésaille Elle sort précipitamment la queue de sa bouche. Marc la guide. « Branles le fort, narrêtes pas ». Elle enserre et accentue encore le mouvement de va-et-vient Elle presse bien à la racine et fait monter la jute vers le gland Et Ça gicle Un jet gluant atterrit sur sa joue. Elle a un mouvement de répulsion et relâche la pression sur lengin. Mais Marc autoritaire lui intime lordre de finir le travail : « Continues à branler ! Surtout narrêtes pas ! Allez vide le !!! » Alors malgré sa répugnance, elle poursuit le mouvement de branle de la queue giclante. La jute coule sur ses doigts. Elle a limpression de traire la queue qui glisse dans létau poisseux de sperme de sa main. Encore un spasme, un autre. La pine diminue déjà de volume, devient plus molle. Elle ne lâche plus des yeux Marc, attendant les directives. Il lui fait un signe satisfait. Elle peut lâcher lengin. Ouf ! Raphaël est vidé. Il saffale contre le mur de la douche. Mais ce nest pas fini. Elle le sait. Il reste Marc à soulager. Il bande comme un taureau. Il attend. Elle doit le faire. Elle doit le soulager. Delle même, Amélie se saisit de la pine impressionnante, la fait dabord coulisser lentement entre ses doigts, doucement, puis avec un peu plus dénergie et à mesure quelle affirme sa prise sur la racine, elle approche ses lèvres du gland, le gobe, le suçote, le suce, sembouche à la bite. Et elle suce et elle branle et elle branle et elle suce avec application le braquemard du mâle en rut. A mesure que lorgasme monte en lui, il crispe de plus en plus ses mains sur la tête de la jeune femme. Il la prévient : « Je vais bientôt jouir, ma chérie ». Elle a un mouvement de recul. Il réaffirme sa prise : « Laisses moi jouir dans ta bouche ». Elle le regarde inquiète. Il sait la rassurer, lui dire les mots quelle a besoin dentendre : « Fais-moi confiance. Montres-moi comme tu maimes. Ta bouche est si bonne tu sais. Ohh ça vient. Vas-yyyyy Montres moi comme tu maimes Ouiiiiiiii ». Une première giclée fuse et atterrit, comme une glaire, dans sa gorge. Surprise, elle desserre lemprise de ses lèvres, mais, elle na pas le droit de le décevoir, alors immédiatement elle se ressaisit et poursuit le mouvement de branle avec la main, sans vraiment dérober sa bouche. La pine crache sur sa langue puis ses lèvres et, Marc finit de jouir et les dernières gouttes sécoulent du méat sur les doigts dAmélie. Elle en a plein la bouche. Le goût est gras, écoeurant. Alors elle crache, mais pas assez loin et le sperme échoue sur sa cuisse. Un filet de bave et de foutre pend de ses lèvres. Elle crache encore, moins fort, alors ça dégouline sur son menton, son cou. Pendant ce temps, elle continue de masser la bite à qui perd de sa vigueur. Elle nose pas regarder Marc. Elle doit être absolument ignoble à voir.