Sidonie, seize ans à peine, jeune fille blonde aux yeux bleus, très mignonne, elle est au lycée un peu en avance pour son age, elle passe son bac cette année et le réussi avec mention.
Elle vient davoir ses résultats mais nest pas heureuse, elle en a reçu dautres, qui cela ne sont pas très bon, je dirais même très mauvais, ce sont des résultats de laboratoire, elle na plus ses règles depuis trois mois et a fait une analyse.
Elle porte seule ce lourd secret depuis tout ce temps mais là, il va falloir le dire, annoncer cette catastrophe à sa mère, son père va le savoir, comment faire, comment le dire ?
Que faire, ne rien dire et se faire avorter ? Un médecin acceptera-t-il de lavorter sans ses parents ?
Son père et sa mère son catholique pratiquant, jamais ils naccepteront cela.
Comment en est-elle arrivé là ?
Elle connaît Camille depuis le cm1, il y a un an ils ont commencé à sortir ensemble, il y a trois mois, ils sont allés à une soirée, Camille la raccompagné, ils ont fait lamour pour la première fois, ils se sont dépucelé ensemble, ils nont fait lamour quune fois, ce nétait pas prévu, ils navaient pas de protection.
Elle vient de téléphoner à Camille, il doit savoir aussi, peut être aura-t-il une solution, elle lui a demandé de passer la voir quil fallait quelle lui parle.
Le jeune homme est là, abasourdi pas la nouvelle, non il na pas de solution.
Quelle solution voulez-vous que trouve un gamin de seize ans, qui na fait quune fois lamour avec sa copine, quand elle lui annonce que la seule fois ou ils ont fait lamour, il lui a fait un bébé ? Aucune !
— Je vais taider Sidonie, je ne sais pas comment faire mais je vais taider !
— Il faut que je le dise à ma mère Camille, je ne peux pas le cacher indéfiniment !
— Je viens avec toi, je ne te laisse pas seule, si on prend une engueulade ce sera moins grave à deux, on nest pas majeur, il faut le dire mais pour le bébé cest toi qui décide, si tu le garde ou non !
— Tu ferais quoi toi Camille, jai peur, tu te rends compte, si je le garde ma vie est fichue, je ne pourrais pas continuer mes études, je voulais être vétérinaire, je serais caissière dans un super marché !
— Je taiderais si tu le garde, promis, tu sais ce que cest, une fille ou un garçon ?
— Non je ne sais pas cest trop tôt idiot, pourquoi tu veux savoir ?
— Pour le prénom tien !
— Jen ai rien a fiche du prénom moi, Mikel !
— Quoi Mikel ?
— Si cest un garçon Mikel !
— Audrey si cest une fille !
— Daccord !
— Alors tu le gardes ?
— Viens, on va parler à maman, je te dirais après !
Mikel et Audrey viennent de sortir de cours, ils ont seize ans ce soir, ils passeront leur bac en fin dannée, ils languissent de rentrer, ils passeront voir Sidonie au cabinet vétérinaire, avant de rentrer à la maison.
Ce soir, en principe Camille passera, il passe toujours pour leurs anniversaires, il est médecin en ville, il passe de temps en temps quand il a le temps, il vient voir Sidonie et les jumeaux.
Il na pas beaucoup aidé Sidonie, depuis quils sont nés prématurés à sept mois, ils ont passé leur enfance, partagés entre les grands-parents maternels et les grands-parents paternel.
Deux familles adorables chez qui ils aiment passer leurs vacances ou les fins de semaine.
Sidonie et Camille ne se sont pas mariés, ils ont fait leur route chacun de leur coté, il est marié à une infirmière quil a connue quand il était interne et Sidonie est toujours célibataire.
Elle a vécu deux ans avec un homme mais il naimait pas les jumeaux, ils étaient petits et bruyants et il na pas supporté, depuis Sidonie vit seule avec ses enfants.
Ils sont dans la chambre de Mikel, ils jouent à un jeu sur play, encore une fois cest lui qui gagne.
— Mikel tu es horrible, tu pourrais me laisser gagné de temps en temps, je ne jouerais plus contre toi !
— Je naime pas perdre, puis tu nas quà jouer mieux enfin !
— Je joue mal moi, attends, tu vas voir si je joue mal !
Audrey saute sur son frère, assis sur la moquette et se roule par terre avec lui, lui fait des chatouilles, il finit par prendre le dessus et lui chatouille les côtes, elle se tourne, pour lui échapper, la main prend un sein, elle revient sur lui et sassoit sur son ventre.
Ce quelle sent sous ses fesses, lui prouve que son frère nest pas indifférent à son corps et à cette mini bagarre, un simulacre détreintes.
Elle est en jupe, remontée sur ses cuisses, il doit avoir une vue imprenable sur sa petite culotte, et doit voir quelle est humide, le fait de frotter sa jeune intimité sur la bosse qui est dans le pantalon la fait mouiller.
Il ne bouge plus, la regarde dans les yeux.
— Arête Audrey !
— Quoi ?
— Tu le sais bien, tu te caresses sur ma verge, ta culotte est toute mouillée !
Elle ne répond pas se penche vers lui et pose sa bouche sur celle de son frère, force le passage de la langue, il répond au baisé, caresse les seins en pomme, elle continu ses vas et vient sur la verge qui tend le tissu du pantalon, Mikel est déjà monté comme un homme, pour un garçon de son age cest assez exceptionnel même.
Le tee shirt de la jeune fille est passé par-dessus sa tête, elle est torse nu sur Mikel, il caresse des deux mains les seins qui durcissent sous ses mains.
Elle dégrafe la jupe, fait glisser la culotte le long de ses jambes musclées et bien galbées, la voilà nue sur son frère, sa main cherche à défaire le pantalon.
— Arrête Audrey tu vas trop loin :
— Laisse toi faire, je taime, cest moi qui te viole, je ne pourrais rien dire, je suis sur toi, je taime!
Le pantalon glisse la verge est dans sa main, grosse, le gland encore dans le prépuce il est comme elle, puceau.
Ce quelle tient dans sa main lui semble énorme, la verge de vingt centimètres et cinq de diamètre est énorme, elle a déjà vu Mikel nu mais pas en érection et là sa surprise est grande.
Même si elle sait quelle va avoir mal, sa main dirige la hampe dans son abricot, elle écarte du gland ses lèvres intimes et sassoit sur la verge, un petit cri de douleur des deux amants quand lhymen et le prépuce se déchirent, voilà la verge au fond du petit vagin dAudrey.
Elle attend un moment, la bouche collée sur celle de son frère, la douleur sestompe, elle monte et descend le long de cette tige de chair qui est en elle. Faisant monter dans son ventre des frissons de plaisirs.
— Audrey il ne faut pas que je jouisse dans ton ventre mon amour !
— Joui mon chéri, je prends la pilule pour ça depuis deux mois, jattendais notre anniversaire, cest un beau cadeau non ?
— Le plus beau du monde Audrey !
— Dis-moi quand tu vas jouir, je veux jouir avec toi !
— Changeons alors, passe dessous, ce sera mieux !
Audrey est sur le dos, elle remonte ses jambes sur ses seins, Mikel enfonce son pieu encore maculé de son sang et du sang de sa sur dans la vulve gonflée de plaisir qui lui est offerte.
Depuis quil est à nouveau en elle, elle jouit, lorgasme est monté de son ventre lui procurant des frissons dans la colonne vertébrale, a envahit son corps entier pour finir dans un délire de plaisir quelle ne soupçonnait pas possible.
— Jouis avec moi mon amour je jouiesssssssssssss !
Le vit enfle encore en elle, il sent la semence monter dans le conduit, il explose au fond du ventre, tapisse les muqueuses de son sperme, elle a encore joui, perdant quelques instant le sens du temps, elle est montée si haut quil lui faut un moment pour voir quil est encore en elle, dur, nayant pas cessé ses vas et vient.
Il la prend encore longtemps, veut jusquau bout profité du moment et de lextase.
Bien sur ils auraient du fermer la porte, bien sur faire moins de bruits et surtout ne pas faire lamour ensemble mais ce qui est fait est fait.
Quand Camille entre dans la chambre, ils sont allongés et sembrassent, tous deux nus, les jambes dAudrey encore ouvertes, sa jeune vulve laissant échapper, le mélange de cyprine de sperme et de sang des jeunes gens.
Camille nen croit pas ses yeux, sa fille et son fils viennent de faire lamour, toutes les images de sa vie passent dans sa tête.
— Mais vous êtes dingue, que vous a-t-il pris, enfin Mikel, ta propre sur, tu te rends compte ?
— Il ny est pour rien, cest moi qui voulais !
Elle dit ça tout en enfilant une culotte en vitesse et son haut pour cacher sa nudité, Mikel à passé son pantalon.
— Je deviens fou, mes enfants font lamour ensemble, le frère et la sur !
— Tu aurais mieux aimé que je face ça avec le voisin et que je fasse comme toi et maman ? Moi au moins je prends la pilule, jai seize ans et cest mon pucelage, jen fait ce que jen veux !
— Audrey je suis ton père, tu me parles sur un autre ton, vous êtes en tort et encore tu cris, cest le monde à lenvers !
— Il ny a pas mort dhomme, juste deux pucelage dans la nature !
— Je vais en parler à votre mère et on décidera ce quil y a lieu de faire mais si ce nest que moi vous allez tous les deux en pension !
— Essaye ça et tu auras des surprises papa, puisque cest comme ça, je parts ce soir chez papi Jean, on verra si tu la ramèneras autant, tu te souviens quand il voulait te casser la tête, il na toujours pas changé davis je te signale, même seize ans après, je le dirais moi-même à maman il ny a pas de problème !
— Audrey, tu pousses le bouchon trop loin, fais attention à ce que tu dis!
— Audrey a raison, tu nas jamais aidé maman, nous tu ne ten es jamais bien occupé, tu nas jamais voulu lépouser et ce nest pas les quelques cadeaux danniversaires et ton fric qui nous ont élevés mais lamour de maman, alors ne vient pas vouloir régenter nos vies !
— Je nai pas épousé Sidonie car on a vite vu quon était trop jeune, puis la vie nous a séparé, javais mes études elle les siennes, vous navez jamais manqué de rien !
— Grâce à papi Jean qui payait tout et nous a élevés avec mamie Odette, pas à toi !
— Je suis votre père, vous êtes mineur cest à moi de prendre les décisions !
— Quand je ten laisserais le droit Camille, tu nes rien que leur géniteur, rien dautre, tu ne le mérite pas, tu mas laissé tomber et eux aussi, alors ne viens pas faire la pluie et le beau temps ici, qui a-t-il ici pourquoi ces cris ?
Sidonie vient dentrer dans la chambre, elle regarde sa fille et son fils, elle en culotte, juste un haut et lui en jeans torse nu.
— Tes chers enfants viennent de faire lamour ensemble figure-toi, ma chère Sidonie, voilà comment tu les as élevés !
— Ho ! Vous avez.. ?
Elle vient de sasseoir sur le lit, frappé de stupeur, ses deux bébés, ce nest pas possible, Audrey avec son frère, non impossible, elle va se réveiller.
— Quand ?
— Cest tout ce que tu trouve à dire ? Quand ? là il y a dix minutes tien, sur la moquette !
— Je ne sais pas quoi dire, qui a-t-il à dire en plus, cest fait, il faut comprendre pourquoi et en parler mais pas crier, ça ne sert à rien, tu veux nous laisser tous les trois sil te plait, va boire un verre au salon, ça te calmera Camille !
Ils sont seuls, la mère et les jumeaux, elle ne sait pas par ou commencer, il faut quelle sache pourquoi et quelle trouve une solution à un problème aussi grave mais dans le calme.
— Comment cela sest-il passé, pas les détails, je sais comment on fait, le pourquoi !
— Jaime Mikel maman, pas comme mon frère, vraiment comme une femme, je voulais quil soit le premier et je voulais que ce soit ce soir, pour notre anniversaire, notre cadeau à nous, jai provoqué une bagarre de chatouille et voilà !
— Ça a lavantage dêtre honnête, si ce nest pas clair dans mon esprit ! Tu aimes ta sur Mikel, comme elle taime ou cest juste que tu voulais faire lamour avec elle ?
— Je ne voulais rien moi, je ne voulais pas mais oui bien sur que je laime et bien sur que je voulais lui faire lamour, elle ma allumé mais je nai pas dis non, on est fautif à deux et cest le plus beau cadeau de ma vie quelle vient de me faire !
— Vous avez pris des précautions ?
— Je prends la pilule depuis deux mois maman, je voulais vraiment que ça arrive !
— Bien ma puce, tu es grande ! Vous pensez bien que cela ne peut pas durer, quil ne faut pas le refaire ?
— Maman, je prends la pilule, pourquoi ne pas le refaire et le plus souvent possible, cétait trop bon !
— Passe-moi les détails Audrey, vous ne pouvez pas coucher ensemble enfin, un frère et une sur ce nest pas possible voyons !
— La preuve que cest possible puisquon la fait et moi je veux recommencer avec Mikel, chaque fois quil voudra !
— Ce nest pas possible, je vais réfléchir, je ne veux pas tenter le diable, si je vous laisse seul vous allez recommencer, Audrey, tu partiras quelques jours chez ton père ce soir et pas de discutions, le temps que je trouve une solution, à tête reposée !
— Si tu fais ça je men irais, je fuguerais et ne reviendrais plus chez toi, je ferais la pute et je dirais à tout le monde que je suis ta fille !
— Audrey, je ne veux plus que vous couchiez ensemble cest clair, que dois-je faire, vous prendre tous les deux dans mon lit pour pouvoir dormir tranquilles et vous surveiller !
— Nous ficher la paix! Tu y as pensé comme solution à ton problème ?
— Il nen est pas question !
— Alors je dormirais avec toi si tu veux mais je ne veux pas être séparée de Mikel, on na jamais été séparés depuis quon est nés, je vais en mourir !
— Bon daccord, tu dormiras avec moi alors, Mikel dans sa chambre, il ne devrait pas y avoir de problème ! Dans la journée au Lycée vous serez sage mais quand vous rentrerez le soir ?
— Si on te promet de ne pas le faire, tu acceptes de nous faire confiance?
— Oui mais si je découvre que vous me trompez, tu iras vivre chez ton père !
— Daccord !
— Mon avis à moi ça vous intéresse ?
— Pardon mon chéri, que voudrais-tu dire ?
— Que je vais me barrer dici avec ma sur chez papi Jean et mamie Odette!
— On en reparlera dans quelques jours mon chéri, on essaye comme ça quelques jours et on verra ok, je ne veux plus que cela se reproduise cest tout !
— Notre avis à nous tes égal, ?
— Pour cela oui, ce nest pas sain de faire lamour entre membre de la même famille !
— On ne veut pas faire des enfants, juste saimer !
— Je sais ma chérie mais ce nest pas possible non plus !
La discussion continua un moment chacun restant sur ses positions, la décision fut prise quAudrey coucherait dans le lit de sa mère, pour être tranquille la nuit et que le jour les jumeaux respecteraient leur promesse.
La première soirée se passa bien pour Sidonie et Audrey, toutes deux couchées dans le lit en nuisette, elles discutaient de tout, sauf du problème et de Mikel, le second soir après la douche Audrey vint se coucher prés de Sidonie.
— Maman, jai mal, je sais quil est malheureux, je le sens, laisse moi aller avec lui, le consoler, on ne fera rien !
— Non Audrey, je ne peux accepter ça !
— Maman je laime, jai mal au ventre, jai envi de lui tu comprends ?
— Je comprends Audrey soulage toi seule, va dans la salle de bain et caresse toi si tu veux mais fiche-moi la paix !
— Je nai pas envi de me caresser mais de sa verge dans mon ventre, jen suis malade tu ne comprends pas ?
— Oui je comprends, mais cest impossible, pas entre frère et sur !
Audrey finie par sendormir, Sidonie était malheureuse pour sa fille mais ne voulais céder, ce serait la porte ouverte à tous les débordements et cela allait à lencontre de son éducation stricte.
A deux heures du matin Sidonie fut réveillée par un mouvement du lit, elle ouvrait les yeux pour voir Audrey se lever et marcher dans la chambre sur la pointe de ses petits pieds.
— Audrey, viens te coucher ma puce !
— Je veux le voir maman !
— Non, viens ici ma puce, viens faire un câlin, tu es malheureuse, moi aussi!
Audrey se recouche, elle pleure, sa mère la prend dans ses bras pour la consoler, les larmes coulent.
Elle caresse le dos de sa fille, la jeune fille a les seins contre les siens, la main dAudrey caresse le dos de Sidonie.
Sidonie fait de légers bisous sur le visage de sa fille, la main est dans le creux des reins, la caresse va sur les fesses, elle est émue, la bouche est dans le cou.
Une main caresse un sein, la main dAudrey est sur le ventre, les doigts passent dans la toison.
— Maman jai trop envi, je ne tien plus !
Sidonie sait ce que veut sa fille, faire lamour, être caressée, jouir, comme elle qui na plus dhomme depuis des années.
Le plaisir la chaleur dAudrey contre elle, les caresses de sa fille sur ses seins et son pubis, sa bouche cherche lautre bouche, sa langue cherche lautre langue, ses doigts cherchent la motte entre les cuisses, écartent les lèvres et sintroduisent dans la chaleur de lintimité.
La suite bientôt
Barbebleue.