Je suis prête à aller à la patinoire. Cest mon copain qui ma convertie. Mes débuts étaient difficiles : jétais plus souvent sur mes fesses que sur les patins. Si jai continué, cest grâce à lui qui mencourageait. Jattends son arrivée devant chez moi, les patins à la main. Mais quest-ce quil fait pour être ainsi en retard ?
Sa voiture enfin sarrête devant moi. Surprise, je vois quil nest pas là. Cest sa sur que je connais bien qui va memmener. Cest dommage : normalement, après un peu de patinage, nous avons lhabitude daller dans sa chambre pour nous reposer à notre manière ; un câlin ne se refuse pas, surtout venant de lui et de son gros sexe. Enfin, il me semble quil est gros : cest mon premier que je vois de près. Il me fait du bien quand il entre dans mon puits ou mes fesses.
Enfin, sa sur Cathy ne mest pas inconnue. Cest la première que jai rencontrée au collège il y a déjà des années. Elle ma présenté son frère qui a jeté le grappin sur moi.
Une bise sur les joues et nous partons.
Mon frère ne peut pas venir aujourdhui : il est malade avec de la fièvre. Ne ten fais pas, le programme nest pas changé.
Oui, mais il va me manquer le principal.
Je sais ce que vous faites ; je le remplacerai aussi pour ça.
Quoi ? Tu veux me branler ?
Te faire lamour, depuis le temps que jen crève denvie.
Mais je nai jamais fait ça avec une autre fille !
Je tapprendrai, même si je dois te violer pour ça.
Me violer tu es folle !
Oui, folle de ton corps, de tes seins, de ta chatte, de ton cul. Je te veux entre mes bras, nos bouches liées par les langues.
Cathy ne se doute pas quelle mexcite en me parlant ainsi. Elle fait partie de mes fantasmes quand je me masturbe. Finalement, je ne risque rien avec elle, sinon sa langue dans ma chatte. Et alors, son frère me met bien sa langue au même endroit !
Je me rends compte quelle a bien prémédité son coup : elle arrête la voiture devant un hôtel à une étoile connu pour les rendez-vous galants. Ce ne doit pas être sa première fois dans létablissement.
Nous nous retrouvons dans une chambre un peu « passe partout » sans âme. Je me pose des questions : je nai pas encore dit oui. Je nai pas dit non, non plus. Cathy sapproche de moi. Je la laisse faire sans réagir. Je me sens une âme de bûche. Je reste immobile devant ses avances. Je pourrais réagir un peu
Elle pose ses lèvres sur ma bouche. Je me laisse faire, surtout quand elle force un peu pour entrer sa langue. Finalement, son baiser est agréable. Je la laisse faire pour goûter son arrière- goût de banane. Elle me tient par le menton, passe lautre main derrière ma tête comme pour mobliger à rester contre elle. Je reste les bras ballants : je ne veux pas participer, sauf que je sens mon bas-ventre protester à sa façon. Jai envie de jouir.
La voilà serrée contre mon corps de la même façon que fait son frère. Je sens bien tous les détails de son corps, surtout les seins ; pour le reste, il manque le principal : une bite. Je sens maintenant une main de Cathy contre mes fesses. Elle les caresse à travers le jeans. Lautre main vient aussi au même endroit. Je suis surprise de sentir que mes deux bras lentourent aussi. Je vais la laisser faire. Je sens quune main passe par-dessus la ceinture du pantalon pour arriver facilement sur ma culotte.
Je commence à être trempée. Si elle sen aperçoit, je suis bonne pour une masturbation avec une gouine. Dans mon crâne, tout tourne : je me vois couchée sous elle avec sa tête là où il ne faut pas.
Cathy cesse ses fouilles dans mon jeans ; elle vient sur ma poitrine. Jai les seins qui gonflent ainsi que les tétons. En passant sous le t-shirt, elle arrive bien sûr à ce quelle voulait. Elle dégage les deux nichons pour les avoir nus sous sa main. Si sa bouche a abandonné provisoirement la mienne, elle vient sur mes paupières. Il faut dire que mes yeux sont attirants avec leur couleur mordorée.
Elle me retire ce que je porte pour mieux enlever le soutien-gorge. Jai un peu honte de montrer ma poitrine qui pourtant est bien faite. Elle continue mon déshabillage : je suis nue en un rien de temps. Elle peut faire de moi ce quelle veut. Ses lèvres sont toujours sur mes seins, pendant quune main vient fouiller ma chatte. Elle commence à bien me caresser, mieux que son frère. Malgré moi, je tends mn bas-ventre vers sa main. Cest bon.
Je prends linitiative suivante en défaisant sa ceinture pour faire descendre son jeans, qui tombe en même temps que son string. Je regarde sa chatte : elle est bizarre, ainsi rasée. Quand à mon tour je touche sa chatte, elle écarte les cuisses en se donnant à moi. Je trouve son abricot bien humide. Elle a réellement envie de moi.
Il ne lui reste presque rien sur le dos ; elle lenlève en vitesse. Elle me fait coucher sur le lit ; elle my fait tomber, plutôt. Je peux la voir nue elle aussi. Elle est bien faite, plus que moi, il me semble.
Je suis sur le lit, les jambes pendantes. Elle sassied à mes côtés, passe sa main entre mes cuisses. Elle monte très lentement. Maintenant, jai envie ; pourquoi ne vient-elle pas plus vite ? Je sens que ma cyprine coule entre mes fesses. Jai maintenant envie quelle me masturbe.
Enfin elle arrive sur ma chatte. Ma moule est prête depuis un bon moment. Cest sa main entière qui est sur moi. Elle tient tout mon sexe dans sa paume. Elle ne me branle pas : elle caresse tout dun seul mouvement. Ce nest rien, ce quelle fait, et pourtant je suis sur le point de jouir. Elle appuie complètement sa main ; je suis en transes. Jamais je nai senti un tel bonheur dans mon ventre. Je ne demande rien : je suis muette depuis le début de notre relation aventureuse, interdite par la communauté des hommes et des femmes, qui pourtant envient ce genre de satisfactions.
Elle arrête tout pour me branler « normalement ». Deux de ses doigts sont sur mon clitoris. Elle a dû suivre des cours spéciaux de masturbation. Je me tortille de plaisirs précurseurs sous ses caresses particulièrement efficaces. Je ne peux retenir mes soupirs daise. Assise comme elle lest, je ne peux que lui caresser le dos et le haut des fesses. Et enfin, je pars dans un énorme orgasme : le premier que jai dune autre fille.
Elle vient sur moi, peser comme si elle était un homme. Je supporte allègrement son poids, même si elle écrase un peu ma poitrine. Ses lèvres sont encore sur ma bouche. Japprécie sa salive qui se répand sur ma langue. Elle remet encore sa main sur ma chatte. Elle me branle encore une fois. Mais je peux me venger : je cherche et trouve dans son con le bouton. Elle ouvre ses jambes pour que je lui donne ce plaisir que jai apprécié.
Ce qui métonne, cest la rapidité de son orgasme. Je ne me souviens pas quelle mait branlée autrement mieux que moi. Jentre aussi deux doigts dans son puits. Là, elle me laisse faire. Jai lhabitude de le faire sur moi quand je jouis seule.
Maintenant, les à-côtés sont terminés : elle menjambe, me donne son sexe sur la bouche, pour prendre le mien pareillement. Je ne savais pas sucer une fille : cest plus facile que ce que je croyais. Plus facile quavec une bite dans la bouche. Sauf que je naurai pas de sperme giclant dans la bouche. Jaurai son jus à la place. Il nest pas mauvais ; je men régale.
Je ne pensais jamais quun 69 entre filles soit si bon. Elle a passé ses bras autour de mes cuisses, entourant bien mon bas-ventre. Cathy me fait une chose formidable quand elle entre deux doigts dans mon anus. Elle me sodomise avec sa main. Ca ne vaut pas la bite de son frère au même endroit. Avec lui, je suis ou sucée ou enculée : pas les deux à la fois.
Jimite tout ce quelle me fait. Jarrive à coordonner mes mouvements avec les siens. Nous arrivons à jouir ensemble.
Je suis totalement hors jeu. Je lui demande une pose.
Enfin, nous parlons un peu :
Tu ne voulais pas avant, et maintenant tu deviens la reine des salopes.
Je ne savais pas ce que cétait.
Nous recommencerons quand tu le voudras.
Que dira ton frère ?
Si nous le faisons devant lui, il voudra participer. Je ne veux pas de mon frère dans mon sexe. Nous nous tairons, tout simplement.
Tu accepterais de venir chez moi passer la nuit ?
Que diraient tes parents ?
Si tu viens pour étudier, ils croiront que nous bûchons.
Et nous baiserons dans ta chambre
Pas forcément : sils partent, nous baiserons devant un film porno, avec des filles qui baisent.
Et mon frère ?
Quand il sera guéri, jirai le voir pour baiser. Jaime assez sa bite.
Traîtresse !