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Amour sadique prologue – Chapitre 1

Amour sadique prologue - Chapitre 1



J’étais un jeune homme on ne peu plus ordinaire et classique virulent qu’en il fallait défendre corps et âme des causes qui me tenaient particulièrement à cur, mais très stupide quand il fallait parler d’amour ou quand la féminité angélique d’une muse éveillé en moi les troubles atypiques de la gente masculine. Quand une fille venait à me plaire suffisamment j’avais pour habitude de l’ignorer ou de la placer face a son inexorable ignorance contrastent avec mon apparente érudition, de quoi me convaincre de ma supériorité et de l’inutilité de ses basses créatures. Quand vous vous retrouvez à dix huit ans dans une classe peuplé de jeune demoiselle en fleur vous avez alors, avec ce comportement, vite fais de passer pour un gougeât sans cur misogyne et prétentieux, mes premières heures dans cette classe furent donc particulièrement difficile mais grâce à mes quelques capacités j’avais vite fait de me rendre aux yeux de ses demoiselles indispensables, je n’hésitais pas à alterner pic et caresse si bien qu’elles finirent par shabituer à mon caractère de cochon . Certaines d’entre elle au vue de mes manières avaient émie lhypothèse de mon homosexualité, quoi que ce fait soit faux je laissais courir le bruit qui me protégeait des questions indiscrètes qu’elles auraient pu formuler concernant ma vie sentimentale.

Cette situation me convenait parfaitement et je pense, en replongeant dans mes souvenirs, que cette période de ma vie était particulièrement heureuse. Malheureusement l’homme ne peu réussir dans son entreprise quand celle-ci consiste à vivre pleinement des tranches de vies simples de celle qui vous font passer tout les besoins d’un homme pour de bas instincts bestiaux qu’on satisfait rapidement et avec culpabilité dans une masturbation frénétique en se remémorant un bout de dentelle perçut brièvement dans un cour de sport pour ne pas perdre de temps. Tous était parfait dans le meilleur des mondes jusqu’au jour fatidique ou celle qui allait devenir mon héroïne, celle qui allait changer à tout jamais ma personnalité qui allait me pousser au sadisme et à la perversion de la pire espèce fit son apparition. Elle n’avait rien d’un démons bien au contraire, une petite blonde de presque dix huit ans victime de la cruauté des autres filles. Petite un peu ronde pour les critères de notre époque, pourtant ses 70 kilos pour sons mètre 66 ne fessait que lui donner des formes bien appétissante un jolie fessier rond, une poitrine généreuse un bon 85 D à vue dil, une peau d’un blanc angélique des yeux d’un bleu claire comme j’en est rarement vue dans mon existence mais surtout un visage aux mimiques qui vous font fondre, un ange. Quand mes yeux se posèrent sur elle la première fois je fus si époustouflé si éblouie que plus rien d’autre au monde n’avais d’importance, ni les cours ni les engagement humanitaire qui me donnait cette formidable impression d’utilité dans un monde au demeurant si superficiel. Elle avait était muté dans notre classe ne pouvant plus supporter les brimades et les humiliations quotidienne de ses bourreaux. Très vite elle fut de nouveau la cible du mépris et de la haine farouche des autres filles, à cette époque je ne comprenais guère ce type de comportement. Je savais qu’en volant à son secours je risquais de perdre au sein de la classe le respect si durement gagné mais à vrai dire je m’en fiché au plus haut point au contraire cette situation me plaisais énormément et me rendais encore plus fous de désir car j’avais le plus excitant des rôles celui du virile sauveur. Mais effort furent rapidement payant car non seulement les autres filles finirent à défaut de la respecter par tolérer sa présence mais elle se rapprocha de façon évidente de moi et je devin pour elle un ami de celui sur le quel on peut toujours compter, je me rapprochais donc d’elle plus rapidement que je ne l’avais espéré. Je remarquais rapidement chez elle une chose étonnante à l’arrivé des beaux jours alors que les autres fille arborais des débardeurs plutôt échancré elle continué à rester emmitoufler sous des vêtements amples ne laissant guère de place à l’imagination, elle avait en elle ce côté très pudique et chaste qui lui donnait un je ne sait quoi d’inaccessible ce qui avait le dons daccroître encore un peu plus mon désire.

Un jour de printemps magnifique nous prenions la décision de déjeuner à l’extérieur du réfectoire dans l’enceinte de l’établissement sur un petit coin de pelouse à l’écart, moment des plus savoureux, elle parlait beaucoup et je ne l’écouté guère trop absorbé par sa beauté sublimé par les rayons du soleil. Alors que le déjeuné touché à sa fin je fut pris dans un formidable élan qui me poussa à poser mes lèvres humide et palpitante sur les siennes, je reçut alors pour toute réponse de ce baisé volé qu’une belle claque. Surpris je ne pouvais que reculer, je fus d’autant plus choqué de voir se si beau visage aussi rouge et furibond, je n’avais jamais vue dans d’aussi beau yeux une pareille colère, elle ce leva me dit qu’elle ne voulait plus rien avoir à faire avec moi et partit. Je resté donc la assis bêtement sur la pelouse les larmes aux yeux tel un enfant pris en faute. Après quelque minute d’égarement je repris mes esprit, si cette garce venait à tout déballer à la classe j’étais perdu moi celui dont on venté le panache rejeté par ce résidus dont on se moquais ouvertement pour quoi passerais-je, il fallait donc que je réagisse et que trouve un moyen de me venger avant de finir par voir tout mes efforts d’intégrations réduit à néant. Je pris donc les devant allant voire qu’elle que une de ses jeunes mégères tyrannique dont j’avais réussit non sans difficulté à me faire des alliées leur proposant une version de l’histoire serte fausse mais dont elles n’avaient aucune raisons de ne pas croire. Dans cette histoire j’avais en bon prince prêté de ma personne pour ne pas la laisser à son ennui par simple charité d’âme sur ce cette folle m’avais embrassées et voyant que je la repoussais énergiquement elle me gifla et se mit à m’insulter. Les filles fortement choqué par cette histoire dont j’avais su me faire un fort bon conteur décidèrent à lunanimité qu’il fallait remettre cette petite garce à sa place. Elles étaient très imaginatif quand il fallait imaginer des châtiments l’une d’elle eu une idée qui me mit rapidement en joie une humiliation dans les règles de l’art une occasion pour moi de réaliser ce fantasme qui mobsède tant voire cette ange dans le plus simple appareil. La décision fut rapidement prise le jour et la date furent fixé.

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