Je savais que mon frère et mes cousines se levaient tard, vers 11h, je me suis donc levé plus tôt pour pouvoir rejoindre Claudia. Je descend les escaliers et je la voie dans la cuisine, elle ne m’a pas entendu descendre et j’en profite pour me présenter derrière elle, je la prend par la taille et dépose un baiser dans son cou. Elle a un léger sursaut et se retourne, je l’embrasse tendrement et je commence a lui toucher les fesses. Je lui demande :
— Tu as bien dormi ?
— Pas tellement.
— Pourquoi ?
— Parce que je n’ai pas arreter de penser a toi, a ce que tu m’as fait cette nuit, je n’avais jamais connu quelque chose d’aussi intense.
— N’exagère pas, ton mari devait te satisfaire mieux que je ne l’ai fait, après tout tu es resté avec lui pendant 20 ans.
— Je t’assure que je n’avais eu un orgasme comme ça, je sentais mon corps frémir de plus en plus a chaque seconde que tu passais en moi.
— Tu ne peux pas savoir a quel point je te désire Claudia.
— Je te désire aussi, plus que tout…
Et sur ces mots, elle plonge sa main dans mon boxer et sort ma bite, elle ne perd pas une seconde de plus et commence a lécher mon membre sur toute sa longueur. Mon érection ne se fit pas attendre, elle commence alors une fellation comme je n’en avais jamais connu. Je voyais ma tante comme une femme réservée et un peu coincée, je ne l’imaginais pas du tout comme ça, c’était une véritable experte, sa langue parcourais mon gland avec tellement de dextérité que je dus la stopper pour ne pas jouir dans sa bouche. A ma demande, elle stoppe cette fellation divine et se retourne, remonte sa nuisette, et elle attrape ma queue et la dirige a l’entrée de sa chatte, elle s’empale sur mon membre et commence a imposer le mouvement. Elle est appuyée sur un meuble de la cuisine et se satisfait elle même sur mon sexe. Je sens la jouissance arriver et j’en informe Claudia, elle se retire et recommence a sucer ma bite. Je la préviens que je vais éjaculer d’une seconde à l’autre, mais elle continue de me prodiguer un traitement de rêve, comme je lui avais dit, je lâche de longs jets de sperme au fond de sa gorge. Ça n’a pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle se délecte de ce que je viens de lui donner. Quelques instants après avoir terminé notre affaire, j’entend du bruit dans l’escalier, ce sont mes cousines et mon frère qui se sont levés.
Mes parents viennent nous chercher sur les coups de 2h de l’après midi. A peine repartis de chez ma tante, je sens mon portable vibrer dans la poche de mon pantalon, je me doute que c’est Claudia mais je ne regarde pas tout de suite, car ça pourrait paraître suspect de recevoir un message pile au moment où l’on quitte la maison ; et puis je n’ai pas envie de prendre le risque que mon frère voit le message. Durant tout le trajet, je ne pense qu’a une seule chose : lire le message de Claudia. Arrivé à la maison, je vais directement dans ma chambre pour pouvoir lire ce que Claudia m’a envoyé. J’ouvre le message et je lis :
"Je regrette vraiment que tu ais été obligé de partir si vite, j’aurais voulu échanger un dernier baiser avec toi avant que tu partes, j’ai vraiment hâte de te revoir bien que ce soit vraiment compliqué. Il faut que tu me dises vite quand est ce que tu es disponible, pour qu’on s’arrange quelques moments pour nous deux. Tu m’offres une seconde jeunesse et du bonheur à n’en plus savoir quoi faire, je t’aime et j’espère que c’est réciproque. J’en espère beaucoup, de cette relation naissante, même si je sais pertinemment que ça ne durera pas éternellement ; j’espère que nous allons en profiter au maximum.
— C’est vrai que notre histoire ne durera pas mais pour l’instant je t’aime et j’ai envie de profiter à fond de cette relation naissante.
— Sinon je suis en vacances pour deux semaines, là, avant ma période de partiels, et la deuxieme semaine mes parents s’en vont en vacances avec mon frère et donc je vais avoir la maison pour moi tout seul ainsi que la voiture.
— C’est bien que tu sois tout seul, mais je ne pourrai pas venir chez toi, car je travaille jusqu’aux vacances d’été, et puis je ne peux pas laisser les filles seules a la maison. Tu pourras venir passer une ou deux nuits à la maison, mais en cachette bien sûr.
— D’accord ça me va, tant que je peux passer du temps à tes cotés, tout me va.
— Mercredi je ne travaille pas, donc tu pourras passer et on pourra faire une grâce matinée ensemble.
— C’est une super idée, j’ai tellement hâte de te retrouver !
— Je te dirai à quelle heure tu pourras venir.
— D’accord, je vais me coucher là, je t’aime Claudia.
— Bonne nuit mon chéri, je t’aime aussi.
Pendant la semaine de vacances avec mes parents à la maison, il ne s’est rien passé de spécial, j’ai surtout révisé pour mes partiels. Mes parents sont partis le dimanche dans l’après midi, mais je ne pouvais pas voir ma tante, je devais attendre mercredi pour la retrouver. En attendant mercredi j’ai échangé des sms avec elle pour tuer le temps.
On est mercredi, Claudia m’envoie un message en me disant de venir vers minuit, car mes cousines vont se coucher vers 23h. A 23h30 je prends ma voiture et me mets en route. J’arrive à l’heure convenue, je remarque que j’ai reçu un message de Claudia qui me dit de venir toquer à sa fenêtre, ce que je fais sans attendre une seconde de plus ; elle ouvre la fenêtre et je grimpe pour accéder à sa chambre. Elle porte une chemise de nuit qui, je ne vais pas mentir, n’est pas à mon goût, mais j’aurai vite fait voler cette chemise de nuit à travers la pièce ; mais malgré cette tenue, elle est magnifiquement belle et je ne manque pas de le lui dire. Je ne perds pas de temps et je la prends dans mes bras, je l’embrasse et je passe ma main sous sa chemise, ses fesses sont tellement douces. Elle commence a prendre les initiatives, elle me pousse sur son lit et défait mon jean, puis elle enlève mon boxer pour avoir accès a mon sexe qu’elle suce à pleine bouche, elle ne s’y attarde pas longtemps et à peine mon sexe était-il dressé qu’elle soulève sa chemise de nuit et vient sasseoir sur ma bite ; c’est tellement bon, sa chatte est tellement serrée que je ne tiens pas longtemps à ce traitement, j’éjacule au fond de son vagin, lui arrachant un dernier râle de plaisir. Elle se retire et vient se blottir contre moi, le sommeil vient presque immédiatement.
Le lendemain on se lève vers 10h, toujours blottis l’un contre l’autre, mais je ne peux pas profiter de cet instant puisque je ne dois pas croiser mes cousines ; je dois donc partir de chez Claudia au plus vite. Je m’habille en vitesse et j’embrasse ma tante pour lui dire au revoir, et au moment de quitter la maison elle me passe un double des clefs de la maison puis elle me dit :
— Tout à l’heure passe à la maison vers 15h, je veux que tu regardes dans mon tiroir a lingerie et que tu gardes ce qui te plait et que tu jettes ce que tu n’aimes pas.
— Mais pourquoi tu veux que je fasse ça ?
— J’ai envie de renouveler mes sous-vêtement parce que je veux te plaire.
— D’accord si tu veux, mais il n’y aura personne à cette heure là ?
— Non c’est bon jemmène tes cousines en ville pour faire les magasins, je veux également renouveler ma garde robe, je vois bien que mes tenues ne te plaisent pas trop, je veux donc être sexy et bien habillée pour toi.
— Je suis sûr que tu vas me plaire encore plus avec de nouveaux vêtements.
— Bon allez, sauve toi mon chéri. Je t’aime.
— Je t’aime aussi Claudia.
Je rentre donc chez moi prendre une douche et me changer. A 15h je me dirige a nouveau vers la maison de ma tante. J’entre chez elle et je fais ce qu’elle m’as demandé, je vide son tiroir a lingerie et je fais le tri entre ce qui me plaît et ce qui ne me plaît pas. Il y a sensiblement plus de lingerie dans le tas qui va être jeté, j’ai gardé quelques strings assez affriolant et les soutien-gorges qui leurs sont associés. Après avoir fait cela, je rentre chez moi.
Je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de revoir Claudia pendant tout le mois de mai, nous avons échangé des messages mais sa présence me manque. Début juin je reçois un message de Claudia qui allais changer le quotidien de notre relation.
