(Suite à quelques remarques, je change la catégorie du récit mais je retournerai bientôt à la catégorie de départ. Je précise également que cette histoire est une fiction : seule ma tante est réelle ; je me suis inventé des cousines pour le bien futur de l’histoire).
Je m’attendais à lire un message un peu banal, comme ceux qu’elle m’envoyait tous les jours ; mais son message était le suivant :
Bonjour, mon amour ; il faut que je sache ce que tu fais pendant le mois de juillet.
Euh… rien, je crois.
Tant mieux ! Ce sera les vacances d’été, alors on aura tout le temps de se voir (ma tante est prof des écoles). Tes cousines vont être avec leur père pendant deux semaines : on aura tout ce temps rien que pour nous deux.
Ça va être super. Mais qu’est-ce qu’on va faire ? On ne va pas faire que rester chez toi pendant toute une semaine, non ?
Non : j’ai une meilleure idée. Que dirais-tu d’aller pendant une semaine au Cap d’Agde ? (mes grands-parents habitent au Cap d’Agde, où ils possèdent également un deuxième appartement, un deux pièces, où toute la famille se succède pendant les vacances).
Tu es sérieuse ? Ce serait merveilleux !
Oui Mais il va falloir bien préparer tout ça.
Mais comment va-t- faire pour mes grands-parents ? On ne peut pas dire que l’on va à l’appartement tous les deux.
Non, en effet. C’est pour ça que, officiellement, il n’y aura que moi à l’appart ; il suffit seulement que tu ne croises pas tes grands-parents.
Et ça ne va pas paraître bizarre que tu ailles au Cap d’Agde toute seule ? Et comment je vais faire pour expliquer à mes parents que je ne serai pas là pendant une semaine ?
Non, c’est bon ; personne ne fera attention à ça. Et puis, pour tes parents, tu n’as qu’à inventer une histoire de vacances entre copains.
D’accord, ça me paraît faisable. Et on partirait quand ?
La première semaine de juillet, ça te va ?
Oui, parfait.
Presquimmédiatement après cette conversation je parlai de cette fausse semaine de vacances avec mes parents ; ils ne m’ont pas posé plus de question que ça. Tout ce quils voulaient, cest que je les appelle de temps en temps. J’en ai immédiatement parlé à Claudia. Il ne me restait plus qu’à attendre la date de notre départ. Pendant le mois de juin, il ne s’est pas passé grand-chose : j’étais déjà en vacances alors que ma tante travaillait encore. On na pas eu l’occasion de se voir, mais l’idée de passer une semaine avec Claudia m’aidait à attendre. On était la veille du départ et, pendant que je faisais ma valise, je reçus un SMS de Claudia qui m’informait de l’heure et du lieu de notre rendez-vous. Elle avait fixé ce rendez-vous devant un supermarché, à 9h du matin.
Le jour du départ je me rendis au point de rendez-vous ; Claudia était déjà là. Elle m’attendait près de sa voiture, mais je ne l’avais pas reconnue immédiatement : elle avait beaucoup changé depuis la dernière fois que nous nous étions vus. Je savais qu’elle parlait de renouveler sa garde-robe ; mais, apparemment, elle avait carrément fait un relooking. Elle portait un jupe plissée, un haut très décolleté et des escarpins avec des talons d’au moins 10 centimètres ; elle était très bien maquillée avec un très joli fard à paupières et un rouge à lèvres des plus délicieux. Elle était tellement sexy et désirable que je ne me suis pas privé de l’embrasser fougueusement. Nous n’avons pas attendu avant de monter en voiture car nous avions beaucoup de route devant nous, environ dix heures. Au bout de dix minutes, jai débuté la conversation :
Tu m’avais parlé de renouveler ta garde-robe, mais pas d’un relooking.
Ça ne te plaît pas ?
Si, bien sûr : tu es tellement belle comme ça, ta beauté est enfin mise en valeur.
Merci, c’est gentil ; et encore, tu n’as pas tout vu…
Comment ça ?
Tu verras bien quand on sera arrivé.
Tu me mets l’eau à la bouche, là…
Après quelques heures de trajet, je n’en pouvais plus d’attendre d’être arrivés au Cap d’Agde pour découvrir ce qu’elle me cachait. Je posai ma main sur sa cuisse.
Mais qu’est ce que tu fais ?
J’ai envie de découvrir mon petit cadeau.
Mais je voulais que tu attendes qu’on soit arrivé.
Oui, mais je suis comme un enfant qui a envie d’ouvrir ses cadeaux avant Noël !
D’accord, tu peux ; mais doucement, parce que je suis quand même en train de conduire. Alors, c’est un peu dangereux.
Je commençai à remonter ma main jusqu’à découvrir un tout nouveau sous-vêtement : cétait un superbe string noir et rouge en dentelle, et ça changeait des culottes et strings en coton qu’elle avait.
Il est vraiment sexy, ce string !
Et encore, ce n’est qu’un début : j’ai bien mieux dans la valise qui est dans le coffre
Je la titillai un peu pour voir sa réaction. Je commençai à la branler à travers ce string ; elle aimait ça et commençait à gémir sous le traitement que je lui imposais. Mais je ne nallai pas plus loin : je voulais en garder pour la soirée ; c’était juste un échauffement. Après quatre heures de route, on a décidé de s’arrêter sur une aire d’autoroute pour que je prenne le volant ; une pause pour manger et prendre un café, et on est reparti. Je conduisais depuis une heure sur l’autoroute quand elle enleva ses chaussures et posa un pied sur le tableau de bord devant elle, ce qui offrait un superbe accès à son intimité. Elle inséra un doigt, puis deux, dans sa chatte et commença à se masturber. Elle continua pendant cinq minutes avant de jouir.
Bah, alors Je pensais que tu pourrais attendre qu’on soit arrivé pour ça !
Désolée, mais j’en avais trop envie, et puis je serai trop fatiguée en arrivant.
OK, d’accord, c’est pas grave ; et puis, de toute façon, on a une semaine devant nous pour ça.
J’eus à peine le temps de finir ma phrase lorsque Claudia remarqua la bosse dans mon jean ; elle le déboutonna et sortit mon sexe de mon caleçon, puis commença à me branler de sa main gauche en me fixant du regard.
Arrête, tu vois bien que je conduis : ça peut être dangereux !
Allez, détends-toi un peu
Elle continua de me branler de plus en plus vigoureusement, puis elle détacha sa ceinture et vint positionner sa tête au-dessus de ma bite ; elle avala mon membre et joua avec sa langue autour de mon gland. J’essayais de me concentrer sur la route, mais ce que Claudia me faisait me perturbait trop. Je décidai de m’arrêter sur une autre aire d’autoroute, et me garai à l’écart des autres voitures. Je coupai le contact, serrai le frein à main et laissai le plaisir de cette fellation m’envahir. Cependant, je lui demandai d’arrêter et, passant sur la banquette arrière de la voiture, je lui demandai de venir sur moi pour profiter de ce plaisir mutuel. Elle prit appui sur les appuis-tête des sièges avant et se positionna au-dessus de mon sexe. J’écartai son string et insérai ma bite dans sa chatte. Je la pris par les hanches et commençai un intense mouvement de va-et-vient ; désirant arriver vite à destination, je ne ralentis pas le mouvement, l’accélérant même par moments. Ne retenant pas ma jouissance, j’éjaculai en elle. Je me retirai et vis le sperme couler le long de sa jambe ; j’attrapai un mouchoir et essuyai la semence qui dégoulinait sur sa peau douce. Elle n’avait pas bougé depuis que je métais retiré, reprenant son souffle, comme à bout de forces. Elle commença à lâcher ses appuis ; je l’attrapai par les hanches pour qu’elle ne tombe pas et je la fis s’asseoir sur mes genoux. Je l’embrassai dans le cou et sur la joue.
Il nous reste à peu près cinq heures de route ; tu n’as qu’à dormir un peu pour te reposer : je vois bien tu n’as plus beaucoup de forces.
D’accord.
Elle me rendit mon baiser et essaya tant bien que mal de retourner sur le siège passager. Je repris pour ma part la place de conducteur et redémarrai en direction de notre destination. Je roulais depuis à peine cinq minutes que Claudia dormait déjà. Le trajet arriva à son terme. Je réveillai Claudia pour lui demander la route de l’appartement, que je ne connaissais pas. Finalement on arriva à la résidence dans laquelle se trouve l’appartement vers 19h 30 ; on prit les valises dans le coffre et on monta prendre possession du lieu où nous pourrions vivre comme un vrai couple pendant une semaine.
À peine arrivée, Claudia dut aller rendre visite à mes grands-parents pour montrer qu’elle était bien arrivée ; ils nhabitent quà quelques minutes à pied de l’appartement.
Quelques minutes après son départ, je commençai à préparer à manger pour son retour. Lorsquelle revint, elle neut plus qu’à mettre les pieds sous la table.
Tu t’es bien reposée dans la voiture ?
Oui ; j’ai dormi depuis l’aire d’autoroute jusqu’à notre arrivée.
On ne va pas se coucher trop tard, pour être en forme demain.
Oui, c’est une bonne idée.
Le repas fini je mis les assiettes et les couverts dans le lave-vaisselle, et j’allumai la télé pour regarder une émission avant d’aller au lit. Vers 23h, nous décidâmes de nous coucher. Pendant que je dépliais le clic-clac du salon qui allait nous servir de lit, Claudia alla se démaquiller dans la salle de bain. Je fermai le store et m’allongeai sur le lit en attendant que Claudia vienne me rejoindre. Jattendais depuis bientôt cinq minutes lorsque Claudia m’appela. Je me retournai et là, je restai sans voix, à la fixer : elle se présentait, dans l’encadrement de la porte du salon, dans une nuisette noire, transparente, qui laissait voir la moindre partie de son corps, nu sous sa nuisette. C’est là que je m’aperçus de quelque chose.
Mais… tu t’es rasée ?
Épilée, c’est le mot : je suis passée chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale. Je me suis dit que ça allait te plaire. Tu aimes ?
Ah ça, oui !
À la vue de ma tante entièrement épilée, j’eus un regain de libido : à peine fut-elle allongée sur le lit que je lui sautai dessus. Pas de temps pour les préliminaires : je soulevai sa nuisette et la pénétrai d’un coup. Elle n’avait pas l’air d’être contre cette partie de jambes en l’air que je lui proposais ; elle me demanda même d’accélérer le rythme. Elle me serra la taille avec ses cuisses pour que je reste en elle, mais je saisis ses jambes pour les passer toutes deux à ma droite : cette position m’excite énormément et je profitai de la position pour l’embrasser et pour lécher ses seins. Je la pilonnai de plus en plus fort et la jouissance ne se fit pas attendre ; j’expulsai tout le sperme qu’il me restait, arrachant à Claudia un dernier cri de plaisir. Épuisé, je me plaçai à côté de ma tante ; elle et moi, nous nous endormîmes presque immédiatement.
Le séjour entre amoureux avec ma tante s’annonçait sous les meilleurs auspices…