Je sortais de mes cours du soir quand je la croisai. Elle portait un manteau bleu et une grosse écharpe grise. Je mis quelques secondes à me rendre compte que c’était bien elle ; elle n’avait presque pas changé, mais je ne m’attendais pas à la revoir.
Nous étions dans la même classe au collège, nous étions assez proches pendant un ou deux ans avant de perdre contact en partant suivre nos études respectives. J’étais parti dans des études supérieures de physique tandis qu’elle était partie dans des études littéraires. Je fus vraiment surpris de la voir ici sachant que son école était à l’autre bout de la ville.
Elle passa devant moi sans me remarquer, mais je la rattrapai et l’interpellai :
He ! Salut Anaïs. Ça fait longtemps.
Thomas ?! Mais qu’est-ce que tu fais là ? Ça fait trop plaisir de te revoir.
J’étudie juste à côté, je rentrais chez moi quand je t’ai reconnue. Et toi ?
Je sors de mon cours de piano, j’avais envie de marcher un peu.
Ça te dit qu’on marche un moment ensemble ?
Ouais, super ! Alors, qu’est-ce que tu deviens ?
Nous discutâmes ainsi pendant un long moment avant de décider de nous arrêter dans un petit restaurant parce que nous commencions à avoir faim.
Je profitai du fait qu’elle enlève son manteau pour la regarder d’un peu plus près. Elle portait un jeans qui raffermissait ses fesses et un pull assez serré qui mettait en valeur ses formes alléchantes malgré le fait qu’elles n’étaient pas très développées.
Nous nous assîmes à une table et commandâmes nos plats tout en continuant de nous raconter tout ce qui nous était arrivé depuis le collège. Je la regardais me raconter ses bons souvenirs de l’époque où nous traînions ensemble et je sentais l’attirance que j’avais eue pour elle remonter gentiment.
Après le repas, lorsque nous sortîmes du restaurant, comme je sentais que le courant passait bien et que je n’avais pas envie d’arrêter cette soirée, je lui proposai de passer chez moi pour boire encore un verre. A ma grande surprise, elle accepta.
Après quelques minutes de marche, nous nous retrouvâmes donc chez moi où je lui proposai un verre de vin. Nous nous installâmes confortablement sur le canapé et j’ouvris une bouteille de rouge avant de lui tendre un verre et de trinquer à nos retrouvailles.
Après que nous ayons vidé la moitié de la bouteille, l’atmosphère commençait à se réchauffer et la discussion dériva lentement vers nos conquêtes et le sexe. Tout en parlant, nous nous rapprochions et nous devenions plus tactiles l’un envers l’autre.
Après encore un verre, et en n’y tenant plus, je brisai cette tension qui s’installait en l’embrassant à pleine bouche. Elle me rendit mon baiser sans hésiter et nous nous collâmes étroitement. Elle déboutonna ma chemise pendant que je lui retirais son pull mauve. Nous finîmes par nos pantalons et fûmes rapidement en sous-vêtements. Je lui pris la main et l’entraînai dans ma chambre. Je la poussai sur le lit et me couchai sur elle tout en l’embrassant sauvagement. Je lui dégrafai son soutien-gorge et l’envoyai valser à l’autre bout de la pièce. Je lui pris ses seins à pleines mains et les lui malaxai avant d’attaquer ses tétons avec ma bouche. Je les mordillais et les faisais rouler avec ma langue.
Anaïs avait fermé les yeux et profitait pleinement de mes caresses. Je ne mis pas longtemps à descendre plus bas et à atteindre son jardin secret. Je lui enlevai le dernier bout de vêtement qui lui restait et enfonçai ma langue entre ses lèvres juteuses.
Je jouai un moment avec ses lèvres et son clitoris, à les lécher et les mordiller, puis je remontai et l’embrassai à nouveau. C’est à ce moment-là que j’enfilai une capote, mis mon sexe en face du sien et la pénétrai lentement. Je rentrai sans problème et elle poussa un gémissement de bonheur.
Je ne tardai pas à accélérer le mouvement et à taper au fond de son vagin inondé de cyprine. Nos respirations s’accéléraient et l’excitation se faisait sentir dans toute la pièce.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Anaïs se releva et m’embrassa avec passion ; puis elle me retourna et me plaqua sur le dos avant de se mettre sur moi. Elle était assise sur mon ventre et me regardait avec un grand sourire. Elle était vraiment magnifique de ce point de vue, son corps brillait à cause de la transpiration et ses tétons pointaient fièrement dans ma direction. Je m’apprêtais à les prendre dans mes mains, mais elle ne m’en laissa pas le temps et s’empala sur mon sexe droit comme un I. Cette fois-ci, c’est moi qui poussai un gémissement tellement elle savait bien s’y prendre. Elle faisait onduler son corps sur le mien tout en faisant glisser ma queue jusqu’au fond de sa chatte.
Elle faisait varier le rythme et la profondeur de la pénétration et savait exactement quand ralentir pour que je tienne le plus longtemps possible. J’entendais sa respiration être de plus en plus irrégulière et sentais que son orgasme approchait. Je décidai de reprendre la main et me dégageai de son emprise. Je la retournai et me mis derrière elle. Sans que je dise quoi que ce soit, elle se cambra et me présenta ses magnifiques fesses rebondies. Je ne me fis pas prier et enfonçai mon sexe directement au fond de son trou avant de commencer des va-et-vient rapides. Ses gémissements se firent continus et j’accélérai encore la cadence.
Soudain, elle atteignit l’orgasme dans un long gémissement. Je fis encore quelques aller-retour qui lui arrachèrent des cris de plaisir et éjaculai à mon tour. Je me couchai à côté d’elle et nous nous embrassâmes longuement avant de sombrer tous les deux dans le sommeil.