Anna avait aimé leur mésaventure dans la rue. Tailler une pipe à son beau-père dans une impasse l’avait excitée. Elle avait tous justes 18 ans mais avait une envie débordante de sexe et l’envie d’apprendre. Son beau-père était satisfait de son apprentissage et tout aussi excité. Il ne manquait jamais une occasion de la caresser et de la déshabiller. Après leur aventure dans l’impasse, Anna avait joué la cochonne dans plusieurs endroits au risque de se faire prendre par d’autres personnes. Paul l’avait entrainé dans les toilettes d’un centre commercial et l’avait mis à genoux, sa bite bien dure dans la jeune bouche gourmande. Il avait sorti sa bite dans la voiture en plein jour lui dénudant les seins pour bien les voir pointer. Au détour d’un fourré en pleine forêt, ils avaient croisé un chien bien planté dans une chienne. Le mâle avait la queue gonflée et enfoncée bien profondément. Il donnait des coups sauvages à la chienne qui émettait des petits grognements plaintifs. Sans se soucier qu’une autre personne arrive, Paul avait déshabillé Anna. Anna était nue en pleine forêt. Paul s’était mis à genoux en la positionnant en levrette. Sa bite bien dure dressée, il lui avait écartée les cuisses d’un coup sec. Ils continuaient d’observer la saillie sauvage. Anna dégoulinait de la chatte. Elle aurait aimé se faire saillir de la même manière en gémissant. Paul plaqua sa bite contre la chatte bien humide avec une main. Il se mit à se frotter fort et vite contre sa vulve gonflée.
— Tu aimes ça ma cochonne ? Relève bien ton cul que je puisse te baiser.
— Oh oui vas y ! Baises moi ! J’aime ta bite !
Anna devenait de plus en plus coquine et chaude, au fur et à mesure de son initiation. Elle crut qu’il allait craquer et la pénétrer. Le chien éjacula et quelques secondes après sorti sa bite couverte de sperme. L’excitation d’Anna devint plus forte en voyant les trainées de sperme frais sur la bite en érection du chien. Paul allongea Anna et inséra sa bite dans la jeune bouche pulpeuse. Elle ouvrit ses lèvres rapidement pour accueillir la bite mature et experte. Anna glissa un doigt dans sa fente et écarta les cuisses. Elle se caressa lentement et rapidement en alternance pendant que Paul prenait du plaisir à se faire lécher doucement le gland, laissant monter la pression. Paul sortit sa bite de la bouche. Anna se mit à lécher et suçoter la paire de couilles viriles. Ana sentit de l air chaud sur sa vulve puis la langue du chien. Elle poussa un crie surpris. Paul se retourna et grogna de plaisir.
— Le chien te lèche. Il sait reconnaitre une chienne en chaleur. Laisses le faire ! Écarte tes cuisses pour qu’il puisse bien lécher ta fente.
Paul caressa la fente d’Anna gémissante en incitant le chien à continuer. Ce dernier ne se fit pas prié attiré par l’odeur de la fente prête à saillir. Paul passa un doigt pour écarter les deux lèvres de la vulve. Le chien y fourra sa truffe et poussa sa langue chaude bien à l’entrée de son trou vierge.
Anna gémissait, sentant monter l’orgasme. Paul repositionna sa bite devant les lèvres d’Anna qui le goba folle d’excitation. Elle le léchait et le mordillait furieusement, gémissant fort. Anna s’était mise à écarter elle-même les lèvres de sa chatte. D’une main elle caressait la tête du chien pour qu’il termine de la lécher. Elle jouit relevant son bassin violement. Paul en profita pour jouir, remplissant la jeune bouche d’un foutre épais et blanc.
— Oui, ma petite chienne mange bien la bite de beau-papa !! Mets-la entièrement dans ta petite bouche. Nettoies moi bien !!
Elle entreprit de lécher par petits coups la bite. Lorsqu’elle se releva la fente ruisselante, le chien était parti.
Depuis ce moment, Anna avait une envie folle de sentir une bite entre les lèvres bien mouillées de sa chatte. Paul n’avait pas l’air décidé. Il faisait durer le plaisir. Il la voulait bien mûre. Prête à tout accepter entre ses cuisses chaudes, dans n’importe quelle position.
Quelques nuits après, elle caressait doucement sa fente, sa chemise de nuit remontée sur ses hanches. Elle entendit sa mère gémir et ne put s’empêcher de se lever. La porte de leur chambre était ouverte. Son beau-père devait la laisser ouverte pour qu’elle puisse venir observer si elle le voulait. Paul léchait goulument la chatte aux poils bouclés et bruns de sa mère. Il écartait les lèvres de la chatte et passait sa langue chaude en appuyant sur le trou et le clitoris. Les seins nus et ronds de sa mère pointaient. Elle ondulait et se caressait les tétons. Le beau-père d’Anna introduisit deux doigts dans la fente dégoulinante de sa mère, Céline. Cette dernière poussa pour mieux sentir les doigts.
— Encore, vas-y, doigtes moi plus profond !! gémissait-elle.
Paul pris sa bite dure en main et grimpa sur Céline.
— Gobes moi ça ma cochonne. Montres moi que tu l’aimes, suces la bien, prends en soin !! Humidifies la bien, elle aime ça !
Il s’était planté dans la bouche de la mère d’Anna, sa bite toujours en main, il la guidait. Il imposait le rythme. Il se faisait sucer le bout puis d’un coup l’enfonçait profondément. Céline mettait parfois un peu plus de bave pour bien la lubrifier. Les cuisses de la mère d’Anna étaient toujours ouvertes et Anna apercevait la vulve chaude et gonflée. Elle était ruisselante de plaisir. Céline se caressait la chatte. Elle léchait furieusement la bite de Paul comme affamée. Paul mit Célie à 4 pattes sous les yeux d’Anna qui sentait sa chatte prête à tout pour être baisée comme une chienne, tellement elle avait envie.
Paul attrapa un tube de lubrifiant et enduisit ses doigts. Il commença à caresser le trou du cul de la mère d’Anna qui gémissait d’excitation en ondulant des hanches. Toujours bien dure, Paul caressait la fente avec sa bite tout en préparant le petit trou de la cochonne mature. Anna sentait que sa mère avait juste envie de se faire prendre. Anna aurait voulu être à sa place. Elle aurait voulu sentir les doigts de Paul caresser son trou du cul et l’élargir au fur et à mesure pour pouvoir la saillir.
Paul enfonça un doigt puis deux doigts dans le trou du cul de Céline. Puis, tenant fermement sa bite il l’enfonça profondément. Céline poussa un cri qu’il étouffa d’une main. Il se mit à la saillir rapidement, avec des gros coups d’animal en ruth, virils et sauvages.
— Oui baises moi, chéri, fais de moi ta chienne en chaleur. J’aime ça !! Enfonce bien ta bite. J’aime être ta salope. J’aime sentir ta bite.
Paul aimait ses mots de chaudasse. Anna le savait et elle aimait les dire. Paul se retira et Céline se tourna.
— Manges ma bite cochonne !!
Paul jouit dans la bouche de Céline à 4 pattes. Un peu de sperme coula le long du menton de la mère d’Anna qui sortit sa langue pour se nettoyer . Puis, Céline se pencha et saisit à nouveau la bite de Paul. Par petits coups de langue, elle nettoya la bite soigneusement.
Anna retourna dans sa chambre jalouse de partager son beau-père. Elle avait la chatte gonflée, en feu. Elle se mit à 4 pattes devant son lit et enleva sa chemise de nuit. Ses petits seins en forme de poire pendaient, bien fermes. Dans cette position, on voyait parfaitement sa jeune chatte rose prête à se faire sauter. Anna entrouvrit les cuisses laissant apercevoir le trou de sa chatte vierge. Elle ferma les yeux. Elle se surprit à avoir envie d’être à 4 pattes au-dessus de sa mère allongée. Anna aurait voulu lui donner sa vulve à lécher. Céline aurait écarté les lèvres de la chatte pour introduire sa langue et l’aurait fouillée en la mordillant et en la léchant en gémissant d’envie. Anna s’imaginait fourrer un doigt dans la chatte de sa mère et jouer de sa langue avec le clitoris. Elle aurait voulu découvrir cette chatte accueillante et y fourrer sa langue. Jouer avec le trou. Céline aurait rempli la bouche d’Anna de son jus. Anna aurait laissé onduler ses hanches sous les lèvres gourmandes de sa mère. Elle aurait bien collé sa vulve dans la bouche de sa mère :
— Oh, oui maman, lèches moi, tu me fais du bien !
Puis, Anna aurait remonté ses hanches et Paul l’aurait sailli doucement puis rapidement, pendant que la mère d’Anna continuait de la lécher. Anna aurait senti la bite dure et experte la pilonner en continuant de lécher la vulve chaude de sa mère. Elle aurait gémit comme une folle. Paul aurait éjaculé un jet chaud et liquide. Anna aurait collé le trou de sa vulve sur les lèvres de sa mère. Céline se serait régalée du sperme chaud sortant de la chatte en ouvrant la bouche et en léchant. Anna aurait lécher Paul pour le nettoyer puis aurait embrassé sa mère, ses lèvres recouvertes de sperme.
Anna enfonça profondément deux doigts dans sa chatte ouverte et plus très timide. Elle remonta ses fesses. Un mâle aurait pu la prendre facilement tellement elle était dégoulinante, chaude et ouverte. Anna jouit sans retenue et s’imaginant dans ce trio avec son beau-père et sa mère. Elle se caressa encore doucement pour profiter des dernières minutes de son plaisir. Assise par terre, elle porta ses deux doigts à sa bouche et les lécha du bout de la langue en se caressant un sein
