Dès qu’Anna et sa mère eurent découvert le plaisir de coucher ensemble et de dévoiler leur sexe l’une à l’autre, elles formèrent un couple à trois avec Paul. Son beau-père trouvait les deux femmes délicieuses à saillir. La mère et la fille. La jeune et la mature. Ils se mirent à partager beaucoup de choses ensemble. Ils dormaient ensemble, se lavaient ensemble, se baladaient tous nus dans l’appartement ou en string pour les femmes.
Le matin après avoir découvert le corps de Céline, Anna fut réveillée par les gémissements de sa mère. Elle ouvrit les yeux. Son beau-père prenait sa mère par derrière, allongée sur le côté. Céline avait bien redressée ses fesses pour qu’elles soient écartées. Paul pressait les tétons en enfonçant profondément son gland large. Anna se pencha et embrassa sa mère. Leurs langues se mêlèrent étouffant les gémissements. Paul accéléra la cadence. Sa mère gémissait fort, ne cherchant plus à se retenir. Anna se pencha et de deux doigts, écarta les lèvres de la fente de sa mère. Tout était chaud et coulant de mouille. Anna sortie sa langue et avec le bout vint caresser doucement le clitoris gonflé. Céline encouragea sa fille à lui faire du bien et Paul n’en perdait pas une miette. Ca l’excitait et il avait envie de jouir. Il commença à donner des coups secs, profond pour enfoncer sa bite. Anna suçotait le clitoris de sa mère, léchait, plaquant sa bouche contre la fente dont elle recevait des jets de cyprine. Céline poussa un hurlement de bonheur grâce à sa fille. Paul éclaboussa la chatte mature d’un jet épais et chaud de sperme. Sa mère se mit sur le dos, les jambes écartées, la fente palpitante. Anna vint recueillir le sperme à l’entrée de la fente. Elle lécha le trou bien large et rentra le bout de sa langue. Puis, elles nettoyèrent la bite de Paul en mêlant leurs langues.
Parfois, Paul les laissait se savonner en se caressant et il prenait souvent Anna debout penchée contre le mur. Céline venait aussi lécher la fente de sa fille, avec soin. Sa langue allait et venait :
– Oui maman donnes moi du plaisir, tu me fais du bien, disait-elle souvent
La mère et la fille découvrait le plaisir de se lécher. Elles aimaient ça. Céline recueillait aussi le sperme dans la fente de sa fille et lui faisait parfois goûter enfonçant un doigt coquin entre les lèvres de sa fille. Son beau-père les laissait s’amuser de temps en temps seul, profitant du spectacle de leurs corps nus, chauds à la vulve humide. Il aimait entendre particulièrement les gémissements de sa belle-fille.
Anna venait de déposer son vélo au garage. Elle pensait à la soirée prévue avec sa mère et son beau-père. Elles devaient se déguiser en infirmière et s’occuper de lui. Toutes les deux avaient soigneusement épilé leur chatte pour l’occasion.
Perdue dans ses pensées, Anna n’entendit pas les pas arrivés à contre sens de l’autre côté du mur. Elle percuta un homme. Anna leva les yeux et reconnu le vieux voisin voyeur. Celui qui lui matait la chatte avec ses jumelles. Elle ne l’avait jamais rencontré. Gênée, elle voulut le contourner mais il la bloqua dans un coin.
– Tu ne dis pas bonjour ? Ca fait longtemps que tu ne m’as rien montré ? Il souriait, son regard inspectait ses courbes
– Bonjour. Je suis occupée.
– J’ai vu que maintenant, vous jouez à trois. Tu es une vraie cochonne, bien chaude. A priori, tu es bonne à saillir pour que ton beau-père s’occupe autant de toi. Tu sais à 70 ans, je ne vois pas souvent des jolies vulves comme la tienne. TU ne veux pas me la montrer de plus près.
– Non, de toute façon ils m’attendent. Je dois y aller.
– Minute, Je veux juste voir. Je ne suis pas sûre que ton beau-père soit content d’apprendre que tu t’exhibes devant moi. Il te mettrait une fessée.
– Laissez-moi !!
– Aller, je veux juste voir. Tu ne voudrais pas décevoir papi Raymond ?
Anna hésita.
– Ok, pas longtemps
– Viens
Anna suivit Raymond au fond du garage. Ils rentrèrent au fond d’un box de garage isolé. Raymond baissa la porte du box et alluma une lumière blafarde. Ils passèrent derrière une voiture garée. Raymond indiqua à Anna de s’installer sur le bureau au fond. Elle s’assit.
– Montres moi tes belles formes, ma chérie, fais plaisir à papi Raymond, dit-il en souriant
Anna dévoila sa poitrine ronde entourée d’un soutien-gorge en dentelle blanc, comme une jeune vierge. Elle passa sa main dans le soutien-gorge et en sorti un sein au bout rose foncé. Elle sortit l’autre sein. Anna malaxa ses seins et léchait ses tétons, doucement pour lui faire plaisir. Il sortit son téléphone et photographia chaque téton. Raymond appréciait le spectacle. Sa bite encore rangée durcissait. Puis, elle se leva et s’allongea courbée sur le bureau, dos à lui. Elle releva sa jupe et entrouvrit ses cuisses. Elle dévoila sous l’il de l’appareil photo, sa vulve parfaite, chaude, déjà humide, prête à être saillit. Elle lécha son doigt et doucement se mit à se caresser sous l’il attentif de Raymond. Il se pencha pour mieux voir. Elle remonta une de ses jambes pour mieux lui faire voir son trou palpitant. Puis, Anna se tourna pour lui faire admirer son clitoris en écartant ses lèvres. Raymond devenait fou, en observant cette chatte magnifique, faite pour la saillit. Il se rêvait être un étalon et elle sa jument en chaleur. Anna se caressait l’intérieur des cuisses.
Papi Raymond se pencha pour rapprocher les lèvres dégoulinantes de sa bouche. Anna voulu le repousser mais son geste était ferme et elle était excitée. Elle le laissa faire. Il lui procurait un plaisir fou. Sa langue courait vite et lentement, le long de la fente gonflée. Il jouait avec son clitoris, le caressait puis repartait fouiller l’entée de son trou, qui s’ouvrait sans difficulté. Il lui suçotait admirablement le clitoris. Elle ouvrit un peu plus ses cuisses, et les rapprocha du bord du bord. Elle commença à onduler en accueillant le doigt de papi Raymond.
– Oui papi, fais-moi du bien. Lèches moi s’il te plait ! Je serai gentille avec toi. Joues bien avec mon petit clitoris, et mets ton doigt profondément dans ma chatte.
– Tu es une vraie cochonne, une jeune salope, ma chérie, tu le sais ?
– Oui, papi et j’aime ça. J’aime le bonheur que tu me donnes.
Raymond était content. Anna sentit la jouissance monter. Elle ondula plus vite et gémit fort, sans retenue. Elle avait les cuisses inondaient de mouille. Papi Raymond venait de la rendre heureuse.
Anna se pencha voyant la bite bien gonflée encore enfermée. Anna ouvrit la braguette et sortit une bite longue et souple, entourée de poils blancs. Relevant une jambe, toujours assise et pointa la bite dure devant sa fente. Elle se mit à la branler doucement en caressant le gland rose et luisant. Ana caressa les couilles pleines en accélérant le rythme. Raymond n’avait pas vu de jeune fente depuis plusieurs mois. La vue de la chatte luisante l’avait beaucoup échauffé. Il lui demanda d’aller plus vite. Elle le branla plus vite en le regardant, souriante. Un long jet de sperme vint lui inonder la fente et coula vers le petit trou. Raymond grogna de bonheur. Il passa son doigt sur la fente et enduisit les lèvres d’Ana avec le sperme. Elle les lécha puis guida les doigts couverts de sperme dans sa bouche. Elle les suça doucement. Raymond recommença à plusieurs reprises, jusquu’à ce que la fente soir propre.
Anna prit la bite en main et en fit rentrer le bout dans sa chatte fumante. Elle fit tourner le gland à l’entrée de sa chatte pour la nettoyer. Raymond l’embrassa.