Anne, ma femme et moi avons décidaient d’aller manger au resto après avoir laisser les enfants chez mes parents. Nous avons tous les deux trente-cinq ans.
J’arrive à la convaincre à porter sa mini robe noire à col bénitier, une ceinture marron, ses leggings noirs et ses bottes.
Au restaurant, elle est en face de moi et me dit :
— Je t’ai fait une petite surprise, regarde !
Elle se penche en avant et je vois parfaitement ses seins jusqu’aux tétons.
— Je me suis servi de mon soutien-gorge comme porte-seins, ça te plaît ?
— C’est super sexy !
Elle n’a pas vu que le serveur était juste à côté de nous et profitait pleinement de la vue. Quand elle s’en rendit compte elle rajusta immédiatement sa robe.
Après le resto, nous allons boire un coup au dans un bar cocktail, le Sherlock, où nous tombons sur deux vieux d’au moins 60-70 ans qui ont reconnu Anne car ils étaient ses profs de T.P. à la fac. Ils se mettent à notre table et se mettent à discuter tous les trois. Anne les a reconnus aussi et elle a un bon souvenir d’eux. Ils nous offrent un autre cocktail que nous acceptons avec plaisir.
Je m’aperçois que leurs yeux se dirigent très souvent sur le profond décolleté de ma femme. Ils ont remarqué qu’elle porte son soutien-gorge balconnet en dentelle rouge sous les tétons.
Je m’approche d’elle et lui dis dans l’oreille :
— T’as un décolleté qui leur plait t’as vu.
— Ca te gêne qu’ils en profitent ?
— Non, non c’est même excitant, non ?
— Toi, t’as trop bu, mais moi aussi. C’est excitant aussi pour moi. Je peux accentuer les poses si tu veux ?
— C’est toi qui vois mais pourquoi pas !
— Tu veux qu’on me mate mes gros seins de salope ?
Quand elle commence à parler comme ça, c’est qu’elle a trop bu ! Alors je rentre dans son jeu.
— Oui, ma salope, montre-leur tes gros nibards !
Alors elle se penche en avant, boit leurs paroles et laisse aller son décolleté. Maintenant, même la table d’à côté où se trouvent cinq jeunes qui la regardent faire. J’entends leurs commentaires alors je pense que ma femme doit les entendre un peu car elle jette un regard furtif sur eux.
Ils sont du genre :
— Regardez la meuf à côté, c’est une pute vous croyez ?
— Non, c’est qu’elle est à moitié bourrée mais c’est une belle salope !
— Vous savez comment elle va finir la nuit ?
Tous en cur, ils disent :
— En objet sexuel !
Ma femme me regarde et me dit :
— Sinon ils sont sympas mes anciens profs, non ?
— Ouai, ouai.
— On vous offre un dernier verre chez moi, on continuera à parler de la fac. Vous venez ? Nous dit un de ses anciens profs.
— Ce serait avec plaisir mais on a un peu bu et on voulait rentrer directement sans faire de détour.
— Ca tombe bien j’habite dans l’immeuble derrière.
— Bon d’accord mais vite fait.
Alors nous sortons du bar et ma femme se tient à moi, car elle n’a vraiment plus toute sa tête. Dehors, je remarque qu’elle a oublié son sac à main.
— Excusez-moi, je reviens, Anne laissait son sac, je vais le chercher.
Alors ils tiennent ma femme chacun d’un côté.
— On va commencer à avancer pour gagner du temps.
— D’accord ! Dis-je, je vous rejoins.
Quand je sors du bar, je ne les vois pas alors j’avance dans la direction qu’ils m’ont dis. Je les aperçois au loin dans une petite rue. Anne n’a plus son manteau, il est dans la main du plus grand. Ils s’arrêtent, le plus grand sort son téléphone et prend ma femme en photo tenue aux hanches par son ami. La robe qui est très courte à la base, je la trouve encore plus courte ! Je m’aperçois vite, qu’ils lui remontent tout doucement sans qu’elle ne s’en rende compte. On lui voit les fesses moulées dans les leggings noires. Une fois quelques photos prises, ils marchent en direction d’une rue animée. Ils la « montrent », je pense que ça les excite autant que moi alors je les laisse faire.
Le bas de sa robe lui arrivant au-dessus des fesses et le décolleté à la limite des mamelons, les bras dans leurs dos, elle se promène comme ça !
Un homme les accoste, leur dit bonjour, discute un peu avec eux sans rien perdre de la vue sur les atouts de ma femme.
— Bon, et bien je vous laisse et surtout bonne soirée avec madame, je pense qu’elle est prête pour vous ! Leur dit-il avec un sourire qui en dit long.
Arrivés chez eux, ils sont un peu déçus que je les aie rejoints. Nous montons alors tous les quatre jusqu’à chez eux.
Ils ont un grand appartement au deuxième étage où il fait au moins 25 degrés.
Nous prenons chacun un fauteuil, eux le canapé. Tout simplement pour avoir la vue sur les cuisses et dans le décolleté de ma femme. Ils nous servent une coupe de champagne, puis deux car ils ne veulent pas laisser la bouteille. J’ai remarqué qu’eux n’avaient pas bu.
Anne se lève :
— Je peux aller aux toilettes ?
— Oui je te montre où sont les w.c.. Viens.
Elle se tient au fauteuil pour traverser la pièce tellement elle a bu. Il vient l’aider en la tenant par les hanches, Anne s’accroche à son cou et lui dit en affouillant:
— J’ai beaucoup trop bu, je suis désolée
— Faut pas au contraire, en plus ça te va bien de boire. T’as l’air plus docile.
Et il lui remonte la main au niveau des tétons et lui caresse sur la robe. Ses tétons ne tardent pas à se dresser et pousser sur la laine de la robe. Puis ils disparaissent dans un couloir.
Lorsqu’ils reviennent, Anne n’a plus de leggings mais elle a toujours ses bottes.
— Anne avait chaud alors je l’ai aidé à quitter ses collants.
Il s’est positionné derrière elle et lui pince délicatement les tétons sur la robe. Elle se laisse faire en appuyant sa tête sur son épaule. Le deuxième vieux se lève et vient coller Anne devant, lui glisse une main sous la robe et lui caresse son entrejambe. Anne lui retient la main et rajuste sa robe.
— Non Seulement sur la robe et c’est déjà beaucoup.
— Ca ne t’excite pas d’avoir deux hommes pour toi toute seule ?
— Je ne sais pas. Où est mon mari ?
— Il est là, il t’admire. Fais-lui plaisir, laisse-toi faire. Tu aurais dû venir nous voir comme ça à la fac tu aurais eu ta deuxième année plus rapidement.
— Si j’avais su ! Vous êtes tout dur, vous.
— C’est que tu nous fais de l’effet, petite salope.
— Oui
— T’es notre petite salope, hein ?
— Si vous voulez.
Le vieux la force à reboire du champagne à la bouteille puis il se met à lui masser la poitrine. Il voit qu’elle se laisse faire alors il lui écarte le haut de sa robe pour faire ressortir ses seins et se met à les tripoter avec force.
— Je J’ai trop bu, je ne sais pas ce que je fais, quest-ce que vous faites ?
Il lui tire les deux tétons vers le haut, elle tente de lui en empêcher mais elle se retrouve tenue les bras dans le dos le temps de lui attacher avec un foulard ensuite il continu sur ses seins aux tétons en érection. Anne pousse un petit cri alors ils lui penchent la tête en arrière et lui roulent une longue pelle.
Ils lui remontent sa robe sur les hanches et lui baissent le haut au-dessous des seins. Sa petite culotte en dentelle noire est vite ôtée.
Pendant que le premier lui roule des pelles et s’occupe de ses seins, l’autre lui a écarté les jambes et lui lèche le minou en la doigtant par devant et derrière.
Après au moins un quart d’heure comme ça, un vieux s’allonge sur le tapis du salon, force Anne à s’empaler dessus en passant par l’anus et la couche sur lui sur le dos. Le deuxième homme les rejoint et la pénètre par devant.
Ainsi couchée sur le dos, ses seins sont bien malaxés et les tétons bien pinçaient.
En me regardant, ils me disent :
— Tu bandes ! Ca t’excite de la voir comme ça !
— Oui
— C’est une sacrée salope ! En s’adressant à Anne, hein, t’es une grosse chienne !
— Han, han, ouiii, han, vas-y finis !
Elle subira leurs assauts une bonne demi-heure avant qu’ils ne jouissent au plus profond d’elle. Ils lui nettoieront le sperme coulé sur les côtés avec un mouchoir avant de la rhabiller avec son leggings et sa robe ajustée.
— On nettoie toujours après notre passage.
On attendra une bonne heure avant qu’on puisse partir de chez eux, qu’Anne dessaoule un peu.
En rejoignant la voiture, je la tiens encore beaucoup.
— C’est vrai qu’ils sont assez sympa, lui dis-je.
— Oui, mais je me souviens plus de grand-chose, j’ai vraiment trop bu Je me souviens d’avoir joui mais c’est tout !
— C’est le principal, non ?
— Oui, si on veut
— T’as bien fait de mettre cette petite robe, tu vois, t’as du succès.
— Tu as aimé quand on était au bar, quand j’ai montré mon décolleté ?
— Oh que oui !
— Moi aussi, t’noublies pas, je suis ta petite salope qu’à toi !
Et elle me serre dans les bras.
A-t-elle tout oublié de la soirée ou fait-elle semblant ?